Le Jardin d’été
Vous voilà dans le jardin d’été d’Arles qui sépare le boulevard des Lices du théâtre antique.
Vous voilà dans le jardin d’été d’Arles qui sépare le boulevard des Lices du théâtre antique.
À deux pas de l'amphithéâtre, voici le théâtre tout court ! Il est moins bien conservé que son voisin, mais bon, il a un siècle de plus me direz vous, mais à leurs âges on n’est pas à 100 ans près !
D’ici, nous allons prendre la rue Vauban pour rejoindre notre prochain point d’intérêt, tout en restant axés sur le centre-ville.
L’arche, que vous voyez ici, est l’un des rares vestiges d’une ancienne et importante abbaye.
Cette petite église, bâtie au sommet de la colline, est celle de Notre-Dame de la Major.
Arrivés sur la place Major juste à côté de l’église, vous avez un très joli point de vue panoramique sur les toits arlésiens et les environs.
Passons aux choses sérieuses avec les magnifiques arènes d’Arles. C’est le monument le plus visité de la ville.
Vous voilà arrivés sur la place du Forum. Van Gogh l’a immortalisée dans le souvenir populaire en peignant sur toile le café Nuit.
Vous ne pouvez pas la rater, vous passez évidemment devant la Fondation Van Gogh.
Vous avez, au bout de cette impasse, l’église désaffectée des frères prêcheurs. C’est une église gothique du XVe siècle.
Les Vestiges romains que vous observez à présent sont les thermes de Constantin. Il ne reste certes pas grand-chose, mais ils font partie des thermes romains les mieux conservés d’Europe !
Vous arrivez à présent sur les berges du Rhône. Alors, en plus d’avoir inspiré le tableau “Nuit étoilée sur le Rhône” de notre ami impressionniste, sachez qu’ici, a été retrouvé en 2008, le buste de Jules César, face contre vase à 6 m sous l’eau !
Vous êtes ici au cœur du quartier historique de la Roquette. Des rues typiques, des maisons étroites, des façades de pierre claires recouvertes de végétation, des touches de couleurs grâce à leurs volets en bois peints, c’est un cocktail arlésien qui ravira les romantiques et les photographes.
Cette placette ô combien typique et débordante de charme est un lieu idéal pour faire une pause et regarder passer la vie depuis la terrasse d’un café.
Nous passons devant la belle façade fraichement restaurée du Musée d’Arlaten. Il a été créé en 1896, par le célèbre écrivain et poète provençal Paul Mistral, qui était très attaché à la préservation de l’identité culturelle de sa région.
Arrivés au cœur de l’espace Van Gogh, vous vous retrouvez dans un écrin de verdure, entourés de belles fleurs et d’arcades colorées.
Nous voilà sur la place de la République. Un incontournable de votre visite de la ville d’Arles puisqu’elle rassemble à elle seule une grande diversité culturelle et architecturale.
Voici donc la cathédrale Saint-Trophime. Il faut savoir que la communauté chrétienne d’Arles est l’une des premières dont on retrouve la trace en Gaule.
Cette rue des Allemands nous menait bien évidemment à la Porte des Allemands ! Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, son nom ne vient pas de sa situation géographique en direction de l’Allemagne, ni même d’une occupation allemande !
La petite rue de la Baue, vous amène à l’Église Saint-Maximin, qui se trouve juste sur votre gauche. Le lieu est peut-être méconnu, mais il mérite largement d’être connu !
Vous êtes à présent sur la place Saint-Louis, où débouchent les rues principales du centre-ville de Metz. C’est la place préférée des habitants comme des touristes . La place Saint-Louis date du Moyen-Âge.
Voyez la statue de Notre-Dame des prisonniers sur votre gauche. Elle marque le portail gothique de l’ancien hospice Saint Nicolas.
Je voulais juste vous dire, au cas où vous vous posiez la question, que la tour que vous voyez sur votre gauche, est la tour de l’ancien château d’eau.
Vous voilà sur la magnifique place Raymond Mondon. Elle est vraiment très élégante avec tous ces beaux édifices. C’est normal, c’est l’ancienne place impériale.
La tour Camoufle que vous voyez là est un vestige de l’ancienne enceinte médiévale de Metz. C’est l’une des rares tours à avoir été conservée. Elle a été construite en 1437 lors du renforcement des remparts à l’emplacement d’une ancienne tour gallo-romaine.
Voilà sur votre gauche, la porte Serpenoise. Aujourd’hui les villes s’étendent et se confondent, mais du IIIe siècle, à la construction du premier rempart romain, à la destruction du dernier rempart au début du XXe siècle, la ville était bien délimitée et protégée.
Ce beau palais de style néo-renaissance allemande que vous avez à présent face à vous, est le palais du Gouverneur. On l'appelait avant le “Général Commando”.
Vous êtes devant l’ancien arsenal de Metz, construit sur les ordres de Napoléon III dans les années 1860, face à la montée en puissance de la Prusse.
Cet ensemble que vous voyez à présent devant vous, est l’église de Saint-Pierre-aux-Nonnains. Construite au IVe siècle, elle est l’une des plus anciennes églises du monde !
Vous arrivez sur le charmant port du quai des Régates. Ce petit port de plaisance est labellisé Pavillon Bleu d’Europe, ce qui, soit dit en passant, veut dire que l’endroit mène une politique de développement touristique durable et gage d’une bonne qualité environnementale.
Le plan d’eau de Metz est l’endroit idéal pour faire une pause nature dans votre découverte de la ville. Vous pouvez en faire le tour en un kilomètre à peine ou profiter pleinement de la quiétude du lieu.
Vous êtes à présent sur l’autre rive du plan d’eau. Vous ne vous en rendez certainement pas compte, mais vous êtes sur une île.
Vous traversez le Moyen Pont, sans qui vous n’auriez pas accès à la superbe vue carte postale sur Metz. Ce pont, construit il y a plus de 700 ans, ne possède plus qu'une seule de ses arches d'origine.
Voilà donc ce fameux temple neuf !! Il est encore plus beau de près avec ces détails magnifiquement sculptés ! Il a été construit à l’époque du rattachement de Metz à l’Empire allemand.
Vous voilà face au magnifique Opéra Théâtre de Metz, en plein cœur de la place de la Comédie. Et bien figurez-vous que c’est l’un des premiers théâtres à avoir été construit en France et que c’est le plus ancien toujours en activité.
Cette petite promenade sur les quais vous mène au pont Saint-Georges, qui vous offre une jolie vue sur l’autre rive, sur l’ancien moulin des thermes, et l’ancien lavoir.
Vous arrivez à présent sur la place Jeanne d’Arc, aménagée en 1905 lors de la reconstruction de la belle église Sainte-Ségolène.
Ce bâtiment historique, sur votre gauche, abrite le FRAC de Lorraine. FRAC ça veut dire Fond Régional d’Art Contemporain.
Savez-vous pourquoi la rue que vous remontez s’appelle la rue Taison ? Parce que les gens avaient l’habitude de chuchoter : “taisons-nous, taisons-nous, le Graouilly plane sur la ville !”
Vous arrivez à présent sur la place d’Armes. Elle a été imaginée à la fin du XVIIIe siècle, comme pièce maîtresse de l’aménagement urbain voulu par Belle Isle en 1754 et réalisée par l’architecte Jacques-François Blondel 10 ans plus tard.
La voilà enfin, cette splendide cathédrale Saint-Étienne. Elle est unique en son genre et fait partie des plus impressionnantes cathédrales de France.
La petite place qui s’ouvre sur le côté droit de la rue, vous permet d’observer à votre guise, la belle façade de la maison des têtes.
Cette petite église bien installée sur sa place pavée est l’église Saint-Eucaire. La toute première version de l’édifice date du Ve siècle, et était alors située hors des murs de la cité.
Non, vous n’êtes pas devant une cathédrale ni devant un ancien château , c’est bien de la gare de Metz qu’il s’agit. Monumentale et impressionnante, les adjectifs ne manquent pas pour décrire cet incroyable monument.
On reste dans les monuments imposants avec l’énorme hôtel des postes qui fait face à la gare. Cette poste centrale est un bijou de l’architecture néo-romane et est d’ailleurs classée monument historique.
Vous voici sur les quais de la ville, qui longe l’Yonne, la rivière qui a donné le nom à ce département de Bourgogne.
Nous sommes actuellement dans le quartier de la Marine, autrefois l’un des quartiers les plus importants de la ville, aujourd’hui l’un des plus visités.
La rue de la Marine, cœur du quartier du même nom, porte les traces de la longue histoire d’Auxerre.
Place charmante et agréable, certainement l’une des plus pittoresques d’Auxerre, la place Saint-Nicolas marque la limite entre les quais de l’Yonne et le vieux centre auxerrois.
Cette tour, érigée au XIIe siècle, a été ajoutée à cette époque à l’abbaye Saint-Germain, qui se trouve juste à côté, pour remplacer l’ancienne tour construite un siècle plus tôt.
Cette abbaye est l’un des monuments incontournables d’Auxerre, et c’est l’occasion de revenir sur l’histoire de cette ville considérée comme la capitale culturelle de la Bourgogne.
Vous voici devant l’une des tours qui constituaient l’enceinte fortifiée qui entourait l’abbaye Saint-Germain.
Retournez-vous et admirez la façade qui vous fait face. Elle appartient à la chapelle du Séminaire. Elle est fermée à la visite malheureusement mais son extérieur dévoile un bel exemple de l’architecture de la ville au XVIIIe siècle.
Vous avez ici un très bel aperçu d’une partie de la cathédrale, et notamment de son imposante tour. S’élevant à 68 mètres au-dessus des toits d’Auxerre, elle fait la grande particularité de la cathédrale : celle-ci n’est en effet composée que d’une seule tour, ce qui est assez rare, puisque les cathédrales en comptent généralement deux.
Vous voici devant la cathédrale Saint-Étienne qui, du haut de ses 68 mètres, est le plus haut édifice de la ville.
Auxerre est une ville médiévale qui porte encore aujourd’hui de nombreuses traces de son histoire, notamment les maisons à pans de bois qui décorent les rues pavées de la ville.
Sur votre droite se trouve la place des Cordeliers, l’une des plus grandes de la ville. Elle est aujourd’hui dotée d’un grand parking en son centre, mais à l’époque, dès le XIIIe siècle, se trouvait là un couvent, le couvent des Cordeliers. Les Cordeliers, c’est le nom donné à un ordre de moines qui portaient justement une corde en guise de ceinture
Nous arrivons sur la place de l’Hôtel de Ville, l’une des plus pittoresques. On est entourée ici de belles maisons à pans de bois et, face à vous, le bâtiment de l’Hôtel de Ville. Il a été construit au milieu du XVe siècle, pour permettre aux représentants de pouvoir se rassembler dans un lieu officiel pour prendre les décisions municipales.
Je vous invite ici à lever les yeux pour admirer la belle tour de l’Horloge. Autrefois une prison, cette tour possède une horloge qui a été ajoutée au XVe siècle, mise ici sous les ordres du roi Charles VIII tout simplement pour permettre aux habitants de la ville de connaître l’heure à tout instant.
Cette place du centre-ville est l’une des plus représentatives puisqu'elle dévoile l’un des symboles d’Auxerre, qui n’est autre qu’un personnage bien connu : Cadet Roussel.
C’est sur les fondations d’un monastère du VIIe siècle que cette église a été édifiée : il aura fallu plus de 400 ans pour la construire.
Si Auxerre est la ville du célèbre Cadet Roussel, c’est aussi celle de nombreuses personnalités, moins connues, certes, mais tout aussi intéressantes.
Auxerroise de naissance, Marie Rouget passera sa vie dans cette ville bourguignonne et y écrira ses œuvres avec passion et dévouement.
Vous voici devant le théâtre d’Auxerre, véritable centre culturel de la ville. La construction du bâtiment débute en 1938 à l’emplacement d’une ancienne Bourse du Travail. Il était, à l’origine, destiné à être une Maison du Peuple, un lieu de rencontre pour les habitants ouvriers.
Monument incontournable du patrimoine auxerrois, l’église Saint-Pierre dévoile un fascinant mélange entre l’architecture gothique et le style Renaissance utilisé pour la restaurer aux XVIe et XVIIe siècles, comme sa façade et sa tour.
Depuis le pont Paul Bert, vous avez une vue emblématique d’Auxerre ! Les monuments de la ville ornent les rives de l’Yonne et de ses bateaux amarrés le long des quais.
Construite au XIe siècle et agrandie au XIVe, la basilique de Santa Trinita arbore un style gothique et devient rapidement l’église fétiche des familles les plus riches.
La rue des Tornabuoni est l’une des rues principales de Florence, construite à l’emplacement des anciens murs romains.
Levez les yeux sur votre droite ! Ce palais est construit au XVe siècle pour le banquier Filippo Strozzi, qui souhaitait un bâtiment imposant et élégant pour illustrer toute sa puissance de noble florentin.
Située à votre droite, l’église Saint Michel et Gaétan est l’une des plus belles œuvres baroques de Florence.
Elle est aux Dominicains ce que la basilique de Santa Croce est aux Franciscains.
Vous l’avez sans doute compris, il est impossible de visiter Florence sans parler de la célèbre famille de Médicis qui y a régné pendant des siècles !
Traversant l’Arno, fleuve qui parcourt la Toscane sur 240 km, ce pont a été construit en 1237 et portait le nom du magistrat qui gouvernait la ville au moment de son édification.
Impressionnante, cette cathédrale, non ? Elle s’impose comme étant l’une des plus grandes cathédrales au monde et ses dimensions étaient bien évidemment extraordinaires pour l’époque.
C’est en 1298, seulement deux ans après le début de la construction de la cathédrale, que débutent les travaux pour élever le campanile de Giotto.
La place de la République est une place historique qui constituait le cœur de la ville de Florentia, à l’époque romaine.
Véritable œuvre florentine du XIVe siècle, l’église d’Orsanmichele est construite sur une ancienne halle aux blés, puis agrandie pour en faire un lieu de culte.
C’est le musée du Bargello qui s’installe en 1859 dans ce palais du XIIIe siècle.
Anciennement un couvent, cet édifice situé sur la place San Firenze accueille aujourd’hui le siège du tribunal.
Vous voici devant la plus grande église franciscaine du monde !
Véritable vestige du XIVe siècle, la porte San Niccolo constituait une entrée dans la ville au temps du Moyen Âge.
La meilleure vue sur Florence s’offre à vous sur l’esplanade Michel-Ange qui domine le Sud de la ville !
Le jardin des Roses est un jardin panoramique qui relie le quartier d’Oltrarno à l'esplanade Michel-Ange.
Vous passez ici sous la porte San Miniato, qui date du XIVe siècle.
Situé sur la rive gauche de l’Arno, le quartier d’Oltrarno est plus calme et moins touristique que les quartiers de la rive droite.
Cet imposant palais est construit en 1458 par Brunelleschi, le brillant architecte qui a conçu la coupole de la cathédrale de Florence.
Filippo Brunelleschi, ça vous dit quelque chose ? Oui, c’est encore à lui que l’on doit cette basilique, comme c’est le cas pour de nombreux édifices de la ville, notamment le palais Pitti ou la coupole de la cathédrale.
Emblème de la ville, le Ponte Vecchio est, en plus d’être unique en son genre, le plus vieux pont en pierre d’Europe.
Vous voici à l’entrée de la Galerie des Offices, autre témoignage de la grande puissance de la famille régnante.
Symbole de la ville, le palais Vecchio abritait après sa construction le siège du gouvernement de Florence.
Bien qu’elle représente un sanglier, cette fontaine est appelée la Fontaine du Porcellino, ou porcelet en français.
Concerts, opéras, ballets… C’est ici que vous pouvez assister à l’une des représentations culturelles que propose l’Opéra National de Lyon.
La montée est rude, je vous l’accorde, mais il faut bien ça pour être récompensé en haut par la vue qu’offre le plateau de la Croix-Rousse sur les autres quartiers de Lyon !
Vous entrez dans une traboule, passage secret typique de la ville qui permet de passer d’une rue à l’autre en toute discrétion.
Petite pause dans notre ascension de la Croix-Rousse devant ce magnifique panorama de la ville.
Ce n’est pas un hasard si la place sur laquelle vous vous trouvez se nomme l’Esplanade du Gros Caillou.
Vous êtes sur le plateau de la Croix-Rousse, point culminant de ce quartier perché sur celle que l’on surnomme la “Colline qui travaille”.
Sur votre gauche se trouve la Maison des Canuts, qui n’est autre qu’un musée dédié à la passionnante histoire de la soierie lyonnaise.
Vous voici devant l'impressionnante fresque des Canuts. Ce mur peint de 1200m² est le plus grand trompe-l'œil d’Europe.
La place des Tapis doit son nom aux talus gazonnés qui se trouvaient autrefois au pied des remparts, qu’on appelait les tapis.
Place centrale du quartier, la place de la Croix-Rousse accueille aujourd’hui les manifestations les plus importantes du plateau, ainsi que le marché alimentaire plusieurs jours de la semaine.
Vous voici devant l’un des panoramas les plus emblématiques de Lyon !
Cette esplanade aménagée en plusieurs paliers est un lieu privilégié par les habitants de la Croix-Rousse pour se retrouver.
Reliant le bas des pentes au plateau de la Croix-Rousse, la montée de la Grande-Côte est bordée de bâtiments typiques de ce quartier si particulier.
Situé au bas des pentes de la Croix-Rousse, cet amphithéâtre est définitivement découvert en 1958 par Amable Audin, qui l’identifie comme amphithéâtre grâce à une inscription dédicatoire.
C’est une atmosphère conviviale qui règne sur cette place.
L'une des places les plus animées de la Presqu’île ! Avec ses grandes terrasses et son cadre exceptionnel, la place des Terreaux attire aussi bien les Lyonnais qui viennent boire un verre que les visiteurs qui aiment l'histoire.
La statue, pour le moins étrange que vous voyez à l’angle de la Rue du port et du quai Salvette, se nomme “Désillusion totale” ! Exposée à Paris et à Rio, c’est finalement Bergerac qui l’acquiert et l’installe dans ses rues.
Impossible de passer à côté, voici le Quai Cyrano. Cet ensemble nouvellement créé mélange culture, vin et tourisme dans un espace dédié de 150 m2. Vous y trouverez l’Office du Tourisme, mais également à l’étage la Maison du Vin, qui vous présentera ses cépages et ses meilleures bouteilles.
Maison à colombages, volets peints, parterres fleuris et statue de Cyrano, on se croirait dans un tableau ! La place de la Myrpe, à l’ombre des marronniers, est l’endroit parfait pour s’arrêter un peu et prendre le temps de regarder ce qui nous entoure.
En regardant son long ruban bleu couler devant vous, vous comprenez pourquoi la Dordogne a donné son nom à tout le département. C’est elle, la véritable star de la région.
Vous êtes sur l’ancien port gabarrier de Bergerac. Les gabarres sont des bateaux fluviaux typiques de plusieurs régions du bassin atlantique, comme la Loire, la Charente, la Dordogne et la Garonne. Tous ces bateaux ont la particularité d’avoir un fond plat qui leur permet de supporter un maximum de charge avec un faible débit d’eau.
Voilà une jolie vue sur le pont de Bergerac. Le premier vrai pont de la ville a été édifié dans les années 1200. C’était un pont fait de voûtes et de bois, maintes fois réparé après les dommages des crues importantes, mais qui a quand même tenu 6 siècles !
Dans les grandes capitales comme dans les petites villes du monde, les ponts nous offrent toujours de beaux points de vue sur les environs. D’ici, vous pouvez observer les quais pavés de l’ancien port de Bergerac entouré du centre-ville d’un côté, et de l’autre, les berges sauvages de la Dordogne.
Maintenant que nous sommes sur la rive droite, autant aller voir cette étrange église de la Madeleine. Cette église catholique de style néo-classique a été construite en 1843.
Vous voilà face à un ensemble de bâtiments que l’on nomme la Maison de Henri IV sans qu’il n’y ait aucun rapport avec le roi de France. Aujourd’hui, vous avez ici, l’entrée du Musée du Tabac.
Vous voilà face à l’hôtel de ville de Bergerac. En 1254, Bergerac obtient son autonomie communale. Sa nouvelle municipalité siège alors dans un bâtiment de la place Malbec qui n’existe plus aujourd’hui.
Voici l’église Notre-Dame de Bergerac. C’est la principale église catholique de la ville. Construite entre 1856 et 1865, elle est plus récente que ses grandes sœurs des autres villes de France. À la moitié du XIXe siècle, le catholicisme voit un regain d’intérêt et le curé de l’église Saint-Jacques, Justin Macerouze, veut absolument une nouvelle paroisse en mode petite cathédrale.
Comme vous passez par la rue du Dragon, je ne peux pas ne pas vous raconter la légende du Coulobre de Bergerac ! Replongeons-nous dans des temps immémoriaux, dans le village de Lalinde sur les rives de la Dordogne à proximité de Bergerac.
Vous débouchez sur la petite place Louis de la Bardonnerie qui accueille depuis le XIXe siècle, le marché couvert de la ville. On construit les halles dans un style baltard comme à Paris, qui conjugue le fer, la fonte et le verre.
Cyrano semble la contempler, vous voilà devant la belle église romane de Saint-Jacques le majeur. C’est elle que l’on a toujours considérée comme l’église principale de Bergerac jusqu’à la construction de Notre-Dame au XIXe siècle.
Les vestiges de l’ancienne centrale hydraulique de Bergerac ont été découverts en 2007, lors de travaux d’aménagement de la rue des fontaines.
J’attire votre attention sur le nom de la rue que vous empruntez à présent, car elle nous rappelle un moment fort de la vie de Bergerac et un moment clé de notre Histoire à tous. C’est là, dans la maison de M. Doublet, que vous voyez à l’angle, que se sont tenues les conférences de paix.
Voilà le temple protestant de Bergerac. Sa construction date de 1788. En 1561, Bergerac rejoint officiellement le camp des protestants. La ville est connue pour être partisane de la Réforme depuis bien longtemps.
Au milieu de la 5e avenue, l’une des rues les plus célèbres de New York, se dresse cette magnifique cathédrale en marbre blanc qui contraste fortement avec les hauts gratte-ciel new-yorkais.
Vous voici devant l’imposant Rockefeller Center, qui se dresse au cœur du quartier des théâtres.
On la compare souvent aux Champs Élysées de Paris, la 5e avenue de New York est sans aucun doute la rue la plus huppée de Manhattan !
Autre grand monument mythique de New York, la gare de Grand Central s’inscrit sans aucun doute dans la liste des bâtiments à ne pas rater !
Vous voici au pied de l’un des plus hauts gratte-ciel de New York, le Chrysler Building.
Deuxième plus grande bibliothèque publique des États-Unis, la New York Public Library regorge de trésors littéraires et historiques parmi les 56 millions de documents qu’elle a collectés depuis son ouverture en 1895.
Au plein cœur de Manhattan et à deux pas de la 5e Avenue, vous voici dans le Bryant Park, l’un des parcs les plus célèbres de New York.
Vous l’avez forcément déjà aperçu en vous baladant dans les rues de New York, mais vous voici au pied du mythique Empire State Building qui fait la fierté des New-Yorkais et des États-Unis en général.
Postée au cœur de Manhattan, voici une belle église anglicane aux couleurs qui se démarquent sans peine dans la 29e rue de New York.
C’est l’un des nombreux parcs qui composent Manhattan, le Madison Square Park !
Voici le fameux fer à repasser de New York ! Oui, c’est ainsi que se traduit Flatiron, le nom de cet impressionnant building qui s’impose à quelques pas du Madison Square Park.
Le Chelsea Hotel, posté au cœur du quartier du même nom, possède une histoire hors du commun qui commence en 1883 lorsqu’il ouvre ses portes dans l’ancien quartier des théâtres à Chelsea.
C’est dans ce quartier que vous retrouverez la plus grande concentration de galeries d’art de New York !
Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la High Line de New York, lieu privilégié pour découvrir la ville autrement ?
A votre droite se dresse l’une des salles les plus connues au monde !
Vous avez ici, au cœur de la 33e rue, un très bel aperçu sur l’Empire State Building, gratte-ciel incontournable de New York !
Que de choses à voir dans cette partie de New York, qui constitue certainement l’un des quartiers les plus animés !
On connaît tous Broadway comme étant le berceau de la comédie musicale, du théâtre et des spectacles en tout genre, mais saviez-vous que Broadway est en fait le nom de la plus ancienne et la plus longue avenue de New York ?
Jetez un œil à la tour qui se trouve sur votre gauche : du haut de ses 222 mètres et de ses 47 étages, la Times Square Tower est construite en 2004 pour accueillir de nombreux bureaux dans le quartier de Midtown Manhattan.
Quoi de plus emblématique que le Times Square de New York ? Préparez-vous, il n’y a presque que des superlatifs pour qualifier cette place
Si vous n’êtes pas trop subjugué par les lumières éblouissantes de cette place mythique, revenons, si vous le voulez bien, sur l’histoire de Times Square.
MTV Video Music Awards, Grammy Awards, Tony Awards, que de cérémonies prestigieuses ont lieu dans cette salle mythique de New York, qui rassemble à l’occasion les plus grandes stars internationales dans un seul et même événement !
Voyez le bâtiment qui fait l’angle devant vous. On dirait un simple immeuble du XIXe et pourtant, c’est le théâtre impérial ! Alors s’il n’est pas plus grandiose que ça, c’est à cause de la Guerre que la France mène contre la Prusse et de la défaite de Sedan qui a ruiné le royaume et interrompu les travaux.
Vous voilà dans le grand parc du château. Vous avez devant vous une belle vue sur la façade du château et tout autour de vous, les beaux jardins à la française. Le projet de concevoir ces jardins a commencé en 1752, mais n’a pas abouti à cause de la Révolution.
Voilà la grande église gothique Saint-Jacques. Elle est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.
Vous arrivez devant un monument aux morts, dédié à Georges Guynemer. Comme il y a des chances que vous ne connaissiez pas vraiment Georges, laissez-moi faire les présentations.
Voilà le petit jardin confidentiel des remparts de Compiègne. Peu fréquenté, il permet une balade agréable et un bon accès aux vestiges de l’enceinte de la ville.
Vous voilà devant la belle église Saint-Antoine. Elle a été édifiée en même temps que l’église Saint-Jacques, lorsqu’en 1199 on décide que Compiègne a besoin de paroisses et ne peut plus dépendre uniquement de l’abbaye Sainte-Corneille.
Vous êtes à présent dans le parc Songeons installé autour d’une demeure bourgeoise du XVIIIe siècle. Elle abrite aujourd’hui le musée d’art et d’archéologie fondé grâce au mécène Antoine Vivenel.
Vous voilà longeant l’Oise, qui inspira longtemps les peintres du XIXe siècle. Cette rivière prend sa source à Chimay en Belgique et passe 287 de ses 302 km en France. Elle est un axe important du transport fluvial qui relie la région parisienne au Nord de la France ainsi qu’à la Belgique et aux Pays-Bas.
La tour dont vous pouvez observer les vestiges aujourd'hui, se nomme la grosse tour du roi, ou la tour Jeanne d’Arc. Elle est tout ce qui reste du château primitif des Capétiens qui succéda au château des Carolingiens.
Le bâtiment des salles de Saint-Nicolas, qui fait l’angle entre la rue Jeanne d’Arc et la rue du Grand Ferré, est l’ancien Hôtel Dieu de Compiègne. Il a été construit au XIIe siècle sur les fondations d’une annexe de l’abbaye de Sainte-Corneille.
Vous voilà sur la place du marché aux herbes. Si elle accueille aujourd’hui un nouveau centre commercial et ses boutiques de mode, elle n’en reste pas moins la plus ancienne place de la ville. Elle daterait même de 1079, et était connue à l’époque, sous le nom de Cour du Roi.
Vous arrivez devant l’entrée du musée du cloître. Il est installé dans l’abbaye Sainte-Corneille et retrace l’histoire de cette abbaye, berceau de la ville de Compiègne. Si elle mérite un musée, c’est que son histoire est aussi longue que riche et débuta en 877, lorsque l’empereur Charles le Chauve décida de fonder une abbaye qui pourrait rivaliser avec la chapelle palatine d’Aix-la-Chapelle, qui était la chapelle privée de Charlemagne et qui fut le lieu de couronnements pendant 600 ans.
Le bâtiment fraîchement rénové que vous voyez là est l’ancien grenier à sel de la ville. Ici, vous aviez au Moyen Âge, le quartier des banques. Voyez d’ailleurs, vous êtes sur la place du change, prêt à prendre la rue des Lombards.
La belle maison à colombages si bien conservée que vous voyez là se nomme la vieille Cassine. Le terme Cassine, en Picard, désigne une maison d’aspect rustique. Et pour cause, c'est l’une des plus anciennes maisons de Compiègne.
Vous voilà sur la place de l’hôtel de ville entouré de Jeanne d’Arc brandissant son drapeau et de celui qui est peut-être le plus bel édifice de la ville, l’Hôtel de Ville de Compiègne. Sa construction débute dans les années 1500.
La petite église de Saint-Pierre des Minimes est Le nouvel espace d’expositions à Compiègne. Cette ancienne église romane du XIIe siècle, classée monument historique, reçoit aujourd'hui des expositions temporaires.
Vous voilà devant le palais de Compiègne. 100 fois moins visité que Versailles, il n’a pourtant rien à lui envier ! Alors, qui a vécu là, quand et pourquoi, faisons un petit tour d’horizon.
Sur la rue du Maréchal Leclerc, s’élève, au milieu de la grisaille des bâtiments, un petit bout de l’Inde aux couleurs vives. Voici le temple hindouiste de Kovil Kalikambal.
Vous êtes à présent devant la chapelle Saint-Thomas-des-Indiens. Oui je vous l’accorde, il n’en reste pas grand-chose. Néanmoins, elle est le témoin silencieux d’une époque d’évangélisation massive, celle des Indiens venus lors de la période de l’engagisme réunionnais.
Vous avez ici de chaque côté de la rue, des temples taoïstes chinois. La communauté chinoise de l’île est surnommée en Créole les Sinois avec un « s » ou les « ROC », les Réunionnais d’origine chinoise.
La Réunion est donc un savant mélange de religions vivant en harmonie. Avec Mayotte, elle est le seul département français où l’appel à la prière est autorisé au-delà des murs des mosquées.
Vous êtes dans la rue Juliette Dodu, et comme vous ne savez certainement pas qui elle est et que nous avons deux minutes devant nous, autant y remédier. Figurez-vous que Juliette Dodu, née à Saint-Denis, est la première femme française à obtenir la Légion d’honneur à titre militaire !
J’attire juste rapidement votre attention sur l’œuvre de street art que vous voyez sur votre gauche, car vous verrez certainement souvent ces petits personnages jaunes lors de votre visite de l’île. Ce sont des Gouzous.
Vous empruntez à présent le sentier de randonnée du Littoral Nord qui relie les communes de Sainte-Suzanne et de Saint-Denis en longeant le front de mer. Vous ne le suivez ici qu’un instant, pour rejoindre le Barachois en profitant de belles vues sur l’océan.
Impossible de retracer l’histoire de l’île de la Réunion, sans plonger dans l’une de ses périodes les plus sombres, son exploitation de l’esclavage. Et pour comprendre comment est arrivé l’esclavage à Bourbon, il faut reprendre l’histoire là où on l’avait laissée.
Vous voilà tout au nord de l’île, dans le quartier le plus septentrional de Saint-Denis : Le Barachois. Le mot « Barachois » signifie « Petit Port sommaire ». Au XVIIe siècle, vous aviez donc ici un point d’embarquement et de débarquement de marchandises et de voyageurs.
Comme nous passons devant la statue de Roland Garros, j’en profite pour vous présenter un peu cet homme, natif de Saint-Denis, et qui jouait non pas au tennis, mais au rugby ! Le jeune Roland naît donc à Saint-Denis en 1888.
Je profite de la présence de Mahé de la Bourdonnais, qui était le gouverneur général de la compagnie des Indes, pour vous faire un petit point historique sur les débuts de la colonisation à la Réunion, avant que la compagnie des Indes n’y installe ses plantations de café et y instaure l’esclavage.
Vous voilà devant la cathédrale Saint-Denis, toute simple et toute blanche, dressée au milieu des arbres. Elle a été construite à la base entre 1829 et 1832, pour être l’église du Saint Sauveur. Puis, à la création de l’évêché de Bourbon, l’édifice est devenu cathédrale.
Cette belle colonne, surmontée d’une victoire ailée tenant à bout de bras une couronne de laurier, a été élevée à la mémoire des disparus de la Première Guerre mondiale. Elle est entièrement inscrite au registre des monuments historiques depuis 2007.
Au bout de la rue Pasteur se trouve le Parking république dont le toit aménagé vous permet d’avoir un panorama intéressant sur les collines environnantes. Vous voyez notamment la belle église de Notre-Dame de la Délivrance.
Que serait la découverte d’une ville sans la visite de son marché ! Vous voilà donc devant l’entrée du Grand Marché de Saint Denis, aussi appelé le marché Malgache. La belle halle en fonte qui l’abrite, date de 1866 et est le premier bâtiment civil en fonte de l’île.
Vous êtes ici, sur la rue de Paris, qui relie le Barachois au jardin de l’État. C’est l’axe principal de la capitale et c’est là que vous trouverez le plus grand nombre de bâtiments d’époque.
Vous arrivez à présent aux jardins de l’État, anciennement les Jardins du Roy. Ils ont été créés en 1767 par Honoré de Crémont, responsable de l’île au nom du roi, pour servir de jardin d’acclimatation.
Au fond du jardin de l’État, vous trouvez le Musée d’Histoire naturelle. Bien installé dans le bâtiment qui servait au Conseil colonial puis au Conseil général, le musée d’Histoire naturelle est le plus ancien musée de l’île.
Vous passez la rue du Ruisseau des Noirs, qui prend son nom pour le ruisseau qui se situe en contrebas et où les maîtres blancs envoyaient les esclaves noirs chercher de l’eau. L’histoire de la Réunion est inscrite dans les noms de ses rues, de ses places et de ses cirques.
Pyrmont Bridge a été inauguré en 1902 et remplace un ancien pont plus petit qui ne suffisait plus face à la vive croissance de l’activité industrielle et portuaire de la ville.
Ce phare situé au bord du Darling Harbour se trouvait autrefois vers la ville de Townsville, ville du Queensland au nord de Sydney, et servait à protéger le littoral depuis la fin du XIXe siècle.
James Cook, un nom indissociable de la ville de Sydney puisque c’est lui qui fait le premier pas sur les terres australes à bord de son navire appelé Endeavour en 1770.
Ce musée est le témoignage du lien étroit que la ville de Sydney entretient avec la mer et l’activité maritime.
Cette balade, appelée Waterfront Promenade, soit la promenade au bord de l’eau, est l’un des lieux de promenade les plus appréciés par les visiteurs.
Cette fontaine bien particulière a été inaugurée en 1988 sur la Waterfront Promenade, à deux pas de la Cockle Bay, à l’occasion du bicentenaire de la fondation de Sydney et de la Nouvelle-Galles du Sud.
Sur votre gauche se trouve l’entrée dans le Chinese Garden of Friendship, un magnifique jardin aux airs asiatiques, s’inspirant notamment d’anciens jardins privés chinois du Ve siècle.
Vous voici devant l’un des plus célèbres marchés de Sydney, le Paddy’s Market, qui comprend à la fois le bâtiment qui se tient devant vous, mais aussi un deuxième édifice à quelques kilomètres, ce qui en fait le plus grand marché de la ville.
C’est en 1828 que la migration chinoise débute à Sydney et en Nouvelle-Galles du Sud et en 1851, avec la découverte de l’or, qu’elle s’accélère.
Vous voici devant la Gare Centrale de Sydney, la plus grande gare et la plus fréquentée d’Australie !
Considéré comme le quartier chic de Sydney, Surry Hills est un peu comme le Notting Hill de Londres, un village dans la ville où restaurants, galeries d’art et boutiques en tout genre en font un lieu original et très agréable pour se balader !
Voici un mémorial de guerre construit dans les années 30 pour rendre hommage aux hommes et aux femmes de la Nouvelle-Galles du Sud qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale.
Vous êtes ici dans le plus vieux parc public d’Australie qui fait référence au célèbre Hyde Park de Londres. Il est construit à partir de 1827 sur le modèle des parcs anglais et c’est aujourd’hui le plus grand parc de Sydney.
Certains le considèrent comme le plus beau centre commercial du monde : le Queen Victoria Building, appelé QVB par les habitants de la ville, est sans aucun doute l’un des plus beaux bâtiments de Sydney.
Vous avez devant vous l’hôtel de ville de Sydney, un bel exemple de l’architecture typique de la ville, en grès de Sydney.
Vous voici devant la plus ancienne cathédrale d’Australie. Construite entre 1837 et 1868, elle dévoile un très beau style néo-gothique qui rappelle celui des églises que l’on trouve en Angleterre.
Le quartier de Darling Harbour est l’un des quartiers les plus animés de la ville.
Une fois les remparts traversés, vous arrivez devant la Christuskirche de Lucerne, dédiée à Jésus Christ. En Suisse, les guerres de Religion du XVIe siècle, ont mené à une séparation des cantons entre catholiques et protestants.
Vous voilà sur le parvis de l’église principale de la ville et l’édifice religieux le plus important de la Renaissance en Suisse. Elle est dédiée à saint Léodegard, connu sous le nom de saint Léger en français, un évêque de Bourgogne du VII siècle, reconnu comme un martyr pour sa mort violente.
Vous voilà devant la statue la plus célèbre de la ville. Plus d’un million de visiteurs viennent se promener chaque année dans ce jardin pour découvrir le fameux Lion de Lucerne. Cette sculpture poignante, taillée à même la roche dans les années 1820, est l’œuvre du sculpteur danois : Berthel Thorvaldsen.
Vous avez ici l’entrée du Jardin des Glaciers, un musée géologique très apprécié à Lucerne. Si vous voyagez avec le Swiss Travel Pass, donnant accès aux transports et à de nombreuses activités dans le pays, alors l’entrée est gratuite.
Une chose est sûre, une grande partie du plaisir du voyage réside dans la découverte de la gastronomie locale. En Suisse, il peut être difficile d’en profiter, les prix étant souvent élevés pour le commun des mortels.
Vous avez ici accès à la muraille de Musegg. Le nom des remparts vient d’un mot de vieil allemand :”Musen”, qui signifie approximativement “garder l’œil ouvert”.
Nous y voilà, vous êtes à présent devant la célèbre Zytturm, traduisez la tour de l’horloge. Haute de 31 mètres, et reconnaissable entre mille avec sa fresque de 2 géants soutenant le cadran, elle fut construite en 1442, mais l’horloge qu’elle abrite est plus ancienne encore.
Les terrasses du Musegg vous permettent de profiter d’une magnifique vue sur la ville, le lac et les montagnes environnantes sans avoir à grimper sur les remparts. Je vous laisse profiter de ce cadre exceptionnel à votre rythme.
La Sternenplatz a beau être toute petite, elle n’est pas moins un passage obligé lors d’une visite à Lucerne et vous comprenez vite pourquoi ! Les façades peintes sont l’une des particularités les plus frappantes de la ville et celles que vous voyez-là sont peut-être les plus belles de Lucerne !
En arrivant devant la chapelle Saint-Pierre, vous vous trouvez nez à nez avec la jolie fontaine colorée de Fritschibrunnen. Érigée en 1918, elle remplace une autre fontaine plus ancienne, et est dédiée, comme son nom l’indique, à Fritschi, un personnage légendaire né du Carnaval de Lucerne.
Vous avez ici à votre gauche, l’un des bâtiments les plus remarquables de Lucerne. Il s’agit du “Zunfthaus zu Pfistern”, la maison de la guilde de Pfister. À l’époque médiévale, les guildes étaient des associations professionnelles qui régulaient les métiers, établissaient les normes et contrôlaient les formations et l’accès à la profession à laquelle elles étaient rattachées.
Ces quelques marches d’escalier vous mènent sur la place Kornmarkt, que l’on pourrait traduire en français de place du marché aux grains. Les Lucernois s’y rendaient pour acheter et vendre des céréales depuis 1356.
Vous avez peut-être remarqué le côté pratique des Suisses, qui, du moins à Lucerne, nomment fréquemment les rues d’après le lieu où elles vous mènent. La rue Hirschenplatz, vous a donc conduit sur la magnifique place Hirschen.
Vous arrivez ici sur la place Weinmarkt, autrement dit la place du marché aux vins. Même si l’on y vendait effectivement du vin par le passé, il faut savoir que jusqu’au XVIe siècle, s’y tenait un marché aux poissons.
En sortant de la place Weinmarkt, vous tombez nez à nez avec une sublime façade peinte, celle de l’Hôtel des Balances. La fresque a été peinte suivant le style de Hans Holbein, un artiste de la Renaissance, connu pour son portrait de Henri VIII.
La Mülhenplatz, avec ses 15000m², est la plus grande place historique de Lucerne. Elle a été créée à la fin du Moyen-Âge, profitant de l’espace laissé par la destruction de plusieurs bâtiments. Des fouilles archéologiques ont démontré la présence d’habitations datant d’avant même que la cité de Lucerne ne soit fondée.
Levez les yeux en direction de la colline en face de vous sur l’autre rive. D’ici, vous avez une vue dégagée sur le château Gutsch, dont la blancheur tranche avec la forêt qui l’entoure.
Vous arrivez donc au fameux Spreuerbrücke. Il a été construit pour la première fois dans les années 1400 dans le but de relier les anciens moulins au quartier des boulangers sur l’autre rive.
L’étrange barrage que vous voyez en face de vous, et qui semble être un amas de vieux bouts de bois, est le barrage à aiguilles de Lucerne. Ces aiguilles sont là pour maintenir l’eau du lac à un niveau optimal.
Je voudrais juste attirer votre attention ici, sur le bel édifice du XVIe siècle qui fait l'angle, avec la tourelle d’escalier sur sa façade. Il s’agit de L’Alte Suidersche Apotheke, la plus ancienne pharmacie de Lucerne toujours en activité.
L’imposant palais Renaissance qui se dresse devant vous est un bâtiment emblématique de Lucerne. Il a été construit dans les années 1550, à une époque où la majorité des habitations de la ville était en bois. Les habitants furent donc impressionnés par cette construction luxueuse en pierre.
Vous voilà enfin devant la fameuse église des Jésuites de Lucerne. Vous la verrez d’un peu partout, grâce à son emplacement privilégié au bord de la Reuss. Photogénique au possible, elle s’inscrit indéniablement dans le panorama de la ville.
Le grand bâtiment blanc que vous passez à présent est le théâtre de Lucerne. Il s’agit de l’unique théâtre multidisciplinaire de la région. Il dispose de ses propres troupes de comédiens et présente des spectacles toute l’année.
Avant d’emprunter le pont le plus célèbre de la région, j’aimerais vous parler un peu de la fameuse tour de l’eau que vous voyez, attenante à la passerelle. Celle qui se nomme “Wasserturm” en allemand, qui se traduit généralement par château d’eau en français, n’en était probablement pas un.
Vous voilà à présent au cœur du sujet, traversant l’emblématique “Kapellbrücke”, littéralement le pont de la Chapelle. Au Moyen-Âge, Lucerne était une ville unique en son genre, dont les 3 ponts de bois permettaient de traverser la rivière en différents points.
Vous arrivez à présent sur la place Rosengart, à l’arrière de la chapelle Saint-Pierre, la plus ancienne église catholique de Lucerne. C’est elle qui a donné son nom au pont que vous venez de traverser.
Vous le savez peut-être, l’histoire de Lucerne est marquée de nombreuses légendes mystérieuses. L’impressionnant Mont Pilate qui la surplombe fait travailler l’imaginaire des habitants depuis la nuit des temps.
Le Nationalquai vous permet de longer le magnifique lac des 4 cantons. Véritable star scintillante de la ville, il offre un bol d’air pur et un cadre idyllique pour rêver au bord de l’eau. Vous pouvez suivre les quais aussi longtemps que vous le souhaiter.
Vous voici sur la place du Singel, et non, vous ne rêvez pas, c’est bien un immense marché aux fleurs qui s’étend devant vous !
Construit dans les années 1920, ce bâtiment si particulier est un cinéma-théâtre. Son style architectural mélange l’art nouveau, l’art déco et le style de l’école d’Amsterdam
Avis aux amateurs d’arts et de peinture, vous voici sur la place Rembrandt.
Grâce à ce joli pont donnant un beau panorama sur l’opéra, nous allons changer de quartier pour arriver à Waterlooplein, l’ancien quartier juif de la ville.
Anciennement catholique, la ville d’Amsterdam devient en 1578 une ville réformée : les églises catholiques sont changées en églises protestantes.
Le bâtiment pittoresque qui se trouve devant vous est appelé le De Waag, connu pour être le lieu dans lequel Rembrandt a peint son célèbre tableau La leçon d’anatomie du Docteur Tulp.
Pas besoin de vous indiquer que vous vous trouvez dans le quartier chinois, ce temple parle de lui-même !
Vous entrez dans le quartier le plus visité de la ville. Situé en plein centre, il faut savoir que tout ce qui se dit sur ce quartier est vrai
La plus ancienne et certainement la plus belle église d’Amsterdam !
Avec une longueur de 141 mètres, ce bâtiment est l’un des plus imposants d’Amsterdam : c’est la Bourse de Berlage.
Une ville, une place ! Et bien, c’est ici la place du Dam qui constitue l’un des lieux les plus emblématiques de la ville.
Aaah, le palais royal. Monument symbolique d’Amsterdam, il s’impose fièrement sur la place du Dam : on ne peut pas le rater.
Face à vous, vous avez affaire à un autre monument phare de la ville, situé à deux pas de la place du Dam.
Vous apercevez ici le superbe centre commercial Magna Plaza, construit à la fin du XIXe siècle dans le style de la Renaissance hollandaise
Nous voici au bord du canal Herengracht, l’un des plus beaux de la ville.
Symbole de la ville, du pays, mais également de toute la résistance de la Seconde Guerre mondiale, c’est ici que s’est caché pendant plus de deux ans Anne Frank, adolescente juive persécutée par les nazis.
Il fait partie des quartiers à ne pas manquer ! Le quartier Jordaan a vu le jour au début du XVIIe siècle et était destiné à la classe ouvrière et les artisans, d’où le format très étroit des maisons…
On connaît les Pays-Bas pour ses bières, ça ne fait aucun doute. Mais la cuisine amstellodamoise a aussi de quoi étonner les amoureux de la gastronomie !
Je profite de ce petit instant au milieu des canaux pour vous donner quelques anecdotes à savoir sur la capitale des Pays-Bas.
Prêt pour une expérience terrifiante ?
Surprenante, cette petite cour cachée et située au plein cœur de la ville, non ?
“Vous ne rentrerez dans vos foyers que sous des arcs de triomphe” ! Une chose est sûre, Napoléon savait motiver ses troupes. Voilà la promesse qu’il fait à ses soldats suite à la bataille d’Austerlitz. Grand admirateur de l’Empire romain et de leur style, il veut lui aussi un arc de triomphe érigé pour accueillir le général vainqueur à la tête de ses troupes.
Vous voilà sur la belle avenue Kléber qui relie l’Arc de Triomphe au Trocadéro sur un peu plus d’un kilomètre. Elle est l’une des douze avenues créées par Haussmann qui rejoignent la place de l’étoile.
Vous arrivez sur l’esplanade du Trocadéro dominée par l’immense palais de Chaillot, construit sur la colline du même nom. L’histoire du Trocadéro est plutôt méconnue. L’ancien palais, aujourd’hui disparu, était pourtant grandiose. On l’avait construit pour l’Exposition universelle de 1878.
Vous voilà, face au célèbre pont d’Iéna, que vous admirez en premier plan. Il a été voulu par Napoléon premier, pour traverser la Seine dans la continuité de l’école militaire et la relier à la colline Chaillot où devait se construire un grand palais pour son fils.
Je ne vous la présente pas, voici donc, la Tour Eiffel ! Vous savez certainement qu’elle a été créée pour être la pièce maîtresse de l’Exposition universelle de 1889, symbole du centenaire de la Révolution française, par Gustave Eiffel.
Un mot sur le Champ de Mars que vous traversez un instant. Ce grand jardin public de 780 mètres de long s’étire du pont de Iéna jusqu’à l’école militaire. C’est d’ailleurs en rapport avec cette école militaire qu’il s’appelle le Champ de Mars, en honneur au dieu grec de la guerre.
Arrêtez-vous un instant et admirez la splendide façade de l’immeuble Lavirotte. L’Art nouveau est un courant artistique, qui fut aussi bref qu’intense.
Vous passez devant l'église Saint-Pierre du Gros Caillou, installée au cœur du quartier éponyme depuis 1733. Alors pourquoi ce quartier emblématique, qui abrite aujourd’hui la tour Eiffel, le Musée du Quai Branly, le Trocadéro, etc., s'appelle-t-il le Gros Caillou ?
L’hôtel des Invalides que vous voyez sur la place a été pensé par Louis XIV qui était très sensible au sort des militaires. Il a donc fait construire dans les années 1670 une fondation pour recevoir les soldats blessés qui ont servi l’armée royale.
Vous voilà devant l’un des plus beaux ponts de Paris qui vous offre une perspective magnifique sur le Grand Palais avec ses belles statues dorées en premier plan. C’est aussi vrai de l’autre côté avec un super panorama sur les Invalides.
On peut réellement dire merci aux Expositions Universelles quand on voit la richesse culturelle qu’elles nous ont apportée. Et ce alors que la tradition voulait que les bâtiments construits pour les expositions soient éphémères.
Vous êtes dans les jardins au bas des Champs Élysées. Beaucoup moins connus que les célèbres boutiques, ils valent pourtant le détour et offrent une pause agréable face au tumulte de la ville.
Nous voilà sur la place de la Concorde. Cette place qui est la plus vaste de la capitale est aussi l’une des plus belles. Chargée d’histoire, elle est créée fin 1700 à la demande de Louis XV.
Cet immense temple grec, installé sur la place de la Madeleine, est en réalité l’église de la Madeleine ! Je vous l’accorde, l’architecture néoclassique ce n’est pas le plus courant pour une église catholique !
Nous voilà sur le Faubourg Saint Honoré. L’une des rues les plus luxueuses de Paris et l’adresse du président français, du ministre de l’Intérieur ou encore de l’ambassadeur des États-Unis. Boutiques, galeries d’art et hôtels particuliers complètent le tableau du faubourg.
Vous passez à présent le petit théâtre Marigny, classé monument historique. L’histoire de ce théâtre commence en 1835, lorsqu’un physicien-magicien propose ses numéros au carré Marigny, dans une petite salle, nommée le château d’enfer.
Vous voilà sur la plus belle avenue du monde. Rien que ça ! Cette célèbre avenue relie la place de la Concorde à la place de l’Étoile en deux kilomètres d’enseignes de luxe et de grands restaurants, tous bien installés dans des monuments classés.
Vous passez sur votre droite, le célèbre cabaret du Lido. Cette salle mythique, ouverte en 1946, vient de prendre une nouvelle direction avec le Lido 2.0. Le groupe Accor a en effet racheté le cabaret, et le transforme en une salle de spectacle dédiée aux comédies musicales.
Levez les yeux, juste à l’angle de la rue Saint-Michel et de la rue Saint-Épvre. Voyez-vous ces deux petites statues enlacées ? Malgré le nom de la maison, il ne s’agit pas de sirènes mais de deux tritons barbus. Ce détail sculpté a donné son nom à la Maison des Deux Sirènes, un hôtel particulier construit en 1586 pour Raymond Luyton, valet du futur duc Henri II de Lorraine.
À ce carrefour, ne cherchez pas, il n’y a rien de spécial à voir. En revanche, au niveau de la grille noire, un peu plus haut sur la droite, vous trouverez l’une des plus belles demeures de Nancy.
Avec ses traits gothiques et sa magnifique flèche pointant à 87 mètres de hauteur, la basilique Saint-Epvre semble veiller sur la ville depuis des siècles.
Dans le paysage architectural de la Vieille Ville, ce bel édifice est la preuve formelle qu’avant Stanislas et ses multiples transformations urbaines, Nancy avait déjà tout d’une grande. Une grande cité ducale, précisons.
Des centaines de personnes qui vous marchent dessus, le bec en l’air, sans vous prêter attention. Voilà l’éternel quotidien de l’inscription “1477” située au 30 Grande Rue de Nancy.
Orléans, Lyon, Blois, Arras, Poitiers, Marseille, toutes ces villes partagent un même point commun. Celui d’avoir quelque part, dans l’une de leurs rues, une statue à l’effigie de Jeanne d’Arc.
En pâtisserie, on connaît trop bien le débat sans fin autour du macaron et de son lieu d'origine.
Là, sur la partie haute du portail d’entrée, vous pouvez effectivement lire : Chambre de Commerce et d’Industrie de Meurthe et Moselle.
Devanture guindée, fenêtres corpulentes, larges stores rouges vieillis par le temps, tout porte à croire que nous sommes en présence d’une grande adresse de Nancy. Et tel est le cas.
Dans la famille des sept portes que compte Nancy, on vous présente la Porte Stanislas.
Au cas où vous n’auriez aucune idée de ce qu’est l’Art nouveau, caractérisé par les courbes et le thème de la nature, ouvrez bien vos yeux et admirez le bel immeuble bleu posté sur votre gauche.
Si vous voulez savoir pourquoi on a tenu à vous amener devant ce bâtiment, plutôt qu’un autre, la réponse vous attend sagement à l’intérieur.
Un son de cloches ? Oui, mais pas n’importe lequel. Celui-ci vous annonce la présence de la cathédrale de Nancy, répondant au nom de Notre-Dame-de-l’Annonciation.
De tous les incontournables de la destination qu’il faut absolument découvrir, voilà sans hésiter le plus éminent. Chère aux Nancéiens, et plus largement aux Lorrains, la place Stanislas, c’est la carte de visite de Nancy.
Dans le sublime décor que nous réserve la place Stanislas, il est impossible de ne pas remarquer celui qui en occupe une immense partie, à savoir l’Hôtel de Ville de Nancy.
Un pavé lumineux, des grilles finement ouvragées, des fontaines majestueuses, une statue centrale dédiée à son fondateur, la place Stanislas, c’est un parfait mélange de tout ça.
Flattée aussi bien par les habitants que par les milliers de visiteurs, la place Stanislas ne tarit pas d’éloges. On l’a dit belle, harmonieuse, immense, lumineuse, mais saviez-vous qu’elle sait aussi être surprenante ?
Vous voici devant l'Arc Héré, ce monument qui unit magistralement la Place Stanislas à la Place de la Carrière. Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, cet arc de triomphe n'a pas été conçu comme un simple ornement, mais pour résoudre un véritable casse-tête urbain du XVIIIe siècle. Imaginez Nancy en 1750 : deux villes distinctes séparées par d'imposants remparts militaires.
Située dans le prolongement de la place Stanislas, la place de la Carrière reste injustement dans l’ombre de cette dernière. Pourtant, elle possède elle aussi une histoire ancienne à défendre et à vous partager aujourd’hui.
Vous voici devant le majestueux Palais du Gouvernement, ce bâtiment en hémicycle qui ferme si harmonieusement la perspective de la Place de la Carrière. Mais saviez-vous que ce palais a une histoire mouvementée qui commence bien avant Stanislas ?
Implanté à proximité immédiate de la place Stanislas, le parc de la Pépinière est un vaste écrin de verdure déroulé sur une surface de 21 hectares. Promeneurs, groupes d’étudiants et joggeurs, en font leur rendez-vous quotidien sans même connaître un tant soit peu son histoire. Pourtant, il y a matière à dire.
De loin l'un des monuments les plus connus de la ville, la Porte de la Craffe, possède une histoire passionnante.
Comptée parmi les quelques monuments religieux de la Vieille Ville, l’église Saint-François-des-Cordeliers doit son existence à un seul et unique homme.
Vous longez la place Simone Veil, sur votre droite. Personnage français des plus emblématiques, il existe de nombreux endroits portant le nom de Simone Veil : des parcs, des établissements, des rues, des immeubles, et bien entendu, des places publiques.
Vous arrivez ici dans l’avenue Foch, l’une des grandes artères du centre de Nancy. Devant vous se dresse un bâtiment élégant qui attire immanquablement le regard : l’immeuble de L’Est Républicain. Construit en 1929 dans le style Art Déco, il fut conçu par l’architecte Pierre Le Bourgeois.
Pendant que vous déambulez dans l’avenue Foch, laissez-nous vous parler des grands événements qui rythment la vie de Nancy tout au long de l’année. Le premier rendez-vous incontournable, c’est Le Livre sur la Place, qui se tient chaque mois de septembre sur la place de la Carrière.
L’une des artères principales de la ville de Nancy, qu’est la Grande Rue, vaut bien le détour. Celle-ci, traversant une partie du centre historique a pour atout de mener jusqu’à la légendaire place Stanislas, faisant la renommée de Nancy.
C’est le fameux quartier de l’Upper West Side qui se dessine devant vous, au-dessus du lac et des arbres qui composent l’ouest de Central Park.
Cette partie du parc a été conçue pour permettre aux habitants de la ville de bénéficier d’une zone totalement boisée, où les balades sont très agréables et permettent de s’échapper totalement de l’agitation de New York.
Ce panorama sur le lac et le Bow Bridge vous rappelle sûrement certaines scènes de films ou de séries romantiques…
Avec ses 26 mètres de longueur, le Bow Bridge est considéré comme le pont le plus romantique de Central Park, mais c’est aussi le plus long.
Ce cercle qui orne le sol est un mémorial qui rend hommage au célèbre et talentueux John Lennon, auteur-compositeur-interprète connu pour avoir fait partie du légendaire groupe des Beatles.
Sur votre droite, ce grand espace vert recouvert de pelouse est appelé le Sheep Meadow, ou le “pré des moutons” en français.
Le Carrousel de Central Park est une véritable attraction qui attire, vous vous en doutez, les enfants du monde entier !
Vous voici au pied de la Central Park Tower, la deuxième plus haute tour de New York !
C’est l’une des salles de spectacle les plus réputées au monde qui se trouve devant vous.
Vous voici dans le parc le plus célèbre des États-Unis, voire du monde entier !
The Mall, surnommé “La promenade” par les New-Yorkais, est l’allée principale de Central Park : c’est d’ailleurs certainement l’un des seuls chemins rectilignes du parc.
C’est ici que des concerts de musique classique, de jazz et de rock sont donnés depuis de nombreuses années dans le parc le plus important de la ville.
Considérée comme la plus belle fontaine du parc, elle est le lieu de rassemblement de nombreux New-Yorkais qui se retrouvent ici pour profiter du parc et du lac qui commence juste derrière.
Cette magnifique statue représente Hans Christian Andersen, romancier dramaturge danois à qui l’on doit les contes de La Petite Sirène ou encore La petite fille aux allumettes.
Cette belle statue, qui émerveille petits et grands, représente les cinq personnages principaux d’Alice au Pays des Merveilles, à savoir Alice, bien évidemment, le Lapin Blanc, le Chapelier Fou, le Chat ou encore la Souris de la Mare de larmes.
Le bâtiment que vous commencez à apercevoir sur votre droite est le plus grand musée de New York, le Metropolitan Museum.
Cet obélisque de presque 21 mètres de haut a été installé à Central Park en 1881 en présence de quelque 10 000 personnes venues assister à la mise en place de cet objet si historique dans le parc le plus populaire de New York.
Le romantisme est au rendez-vous dans ce beau jardin dédié à l’un des plus grands dramaturges du monde.
Plutôt incroyable, ce château médiéval en plein cœur de Central Park, n’est-ce pas ?
Vous voilà devant un monument aux morts particulièrement important en Argentine, puisqu’il commémore les soldats envoyés se faire littéralement écraser par les Anglais lors du conflit éclair des îles Malouines.
Mais que fait cet énorme œuf blanc posé devant la place San Martin ? Il s’agit d’un hommage que la ville a décidé de rendre à l’artiste argentin avant-gardiste Peralta Ramos, qui avait réalisé une œuvre représentant un œuf géant en 1965.
Voilà sur votre droite la Basilica del Santisimo Sacramento qui s’élève, dépassant à peine les immeubles voisins. La basilique du Saint-Sacrement, en français, a été consacrée en 1914.
Je profite de cette longue rue, agréable, mais sans point d’intérêt notable, pour vous faire un petit point gastronomique. Vous n’allez pas me contredire, si je vous dis que la découverte de la nourriture locale fait partie intégrante d’un voyage réussi.
À votre gauche, si vous avez besoin de faire une petite pause à l’ombre sur un banc, vous avez la charmante place de la Liberté, qui est plus un square qu’une place et vous rencontrer la statue d’Adolfo Alsina, un homme politique argentin, créateur d’un parti libéral fondé en 1812.
Vous passez sur votre gauche, la basilique Saint-Nicolas de Bari. Cette église catholique a été construite sur l’emplacement d’une première chapelle édifiée en 1733.
Avis aux amateurs de culture alternative, la Galerie Bond Street qui s’ouvre sur votre gauche est une véritable caverne d’Ali Baba.
Vous voilà devant la génialissime librairie de l’Ateneo. Entrez dans cet édifice somptueux et laissez-vous embarquer dans un voyage aux pays merveilleux des livres.
Puisque nous avons encore 5 bonnes minutes avant d’arriver à notre prochain point d’intérêt, j’en profite pour vous parler un peu de la naissance de Buenos Aires et de l’origine de son nom.
Cet impressionnant édifice néo-gothique n’est ni une église ni une cathédrale. C’est d’ailleurs la seule construction gothique monumentale de nature non religieuse de Buenos Aires
Vous arrivez dans une petite zone cachée de Recoleta nommée la Isla. Cet îlot de verdure a été imaginé en 1906 par l’architecte français Joseph-Antoine Bouvard à la demande de la municipalité qui voulait un petit coin en mode cité-jardin avec de beaux hôtels particuliers.
Vous remarquerez lors de votre séjour à Buenos Aires que l’Argentine et la France sont liées de plusieurs manières. De l’architecture parisienne à l’amour du bon vin et aux discussions politiques enflammées, l’Argentine et la France se comprennent.
Arrivés sur la place des Nations Unies, dans ce jardin de 4 hectares, vous ne voyez qu’elle, la belle Floralis Generica, la fleur de toutes les fleurs, installée confortablement au centre de son petit lac artificiel.
Cet immense bâtiment, qui a tout l’air d’un palais de Justice, est en réalité la Fac de Droits de Buenos Aires. Elle est l’une des treize facultés de la ville.
Vous empruntez à présent le pont piéton de la faculté de droit. Derrière vous, les jardins de Recoleta, le grand bâtiment de la fac de droit avec à ses côtés la belle fleur de métal sur la place des Nations-Unies.
Vous voilà devant l’entrée du centre culturel de Recoleta. Le centre appartenait à l’origine à un ensemble de bâtiments régi par les moines des Récollets qui s’étaient vu offrir un lopin de terre en 1716.
Mais le clou du spectacle dans ce quartier, c’est lui : Le Cimetière de Recoleta. Cette ville miniature, mini musée d’art aux tombeaux hallucinants, est rapidement devenue une visite incontournable de la ville. Au temps où Recoleta appartenait encore aux moines récollets, il y avait déjà un petit cimetière appelé alors Cementerio del Norte.
L’avenue que vous remontez à présent est peut-être la plus élégante de la ville. Elle porte le nom de celui qui l’a tracée, Mr Alvear donc, qui était en 1885, le premier maire de Buenos Aires.
Encore un beau palais dites donc. Alors oui, on est dans les beaux quartiers, vous vous rendrez vite compte que ce n’est pas le seul visage de Buenos Aires.
Cet imposant palais de style Beaux Arts a été conçu pour Mercedes Castellanos, une aristocrate de Buenos Aires qui a également financé la basilique du Saint-Sacrement.
Bon, on n’allait tout de même pas vous emmener sur la place San Martin sans faire les présentations avec le célèbre général ! Vous le voyez fier sur son cheval dressé, avec la République à ses pieds lui offrant une couronne de laurier.
Cette petite balustrade vous permet d’avoir une vue dégagée sur les environs et le parc de la place San Martin. La tour que vous voyez en face de vous se nomme la tour monumentale, anciennement torre de los ingleses, la tour des Anglais.
D’ici, vous avez un superbe point de vue sur le Lincoln Memorial, dédié au 16e président des États-Unis. Il se trouve à l’extrémité de ce qu’on appelle le Lincoln Memorial Reflecting Pool, le plus grand bassin réfléchissant de Washington DC.
Vous voici devant le Mémorial des anciens combattants du Vietnam.
C’est en honneur au 16e président des États-Unis que cet imposant monument a été construit en 1922. Abraham Lincoln, ça vous dit quelque chose ? C’est lui qui a aboli l’esclavage !
Inauguré en 1995 par le président américain Bill Clinton et le président sud-coréen Kim Young Sam, ce mémorial est un hommage aux hommes et aux femmes qui ont combattu pendant la guerre de Corée, qui s’est déroulée de 1950 à 1953.
Ce mémorial est un peu particulier, car c’est le seul qui rend hommage non pas à un événement ou une personne, mais aux seuls résidents du District de Columbia, ceux qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale.
Aaah, Martin Luther King... Voilà un nom qui ne laisse personne indifférent. On le voit, ici, gravé dans la pierre comme il reste gravé dans nos mémoires. Martin Luther King, c’est LE leader de la lutte pour les droits civiques aux États-Unis.
Voici un hommage au 32e président des États-Unis, Franklin Delano Roosevelt, qui a dirigé le pays de 1933 à 1945. C’est un président qui a marqué le pays, parce qu’il a gouverné pendant une grande partie de la Grande Dépression qui a commencé en 1929, et pendant la Seconde Guerre mondiale.
La grande étendue d’eau qui se trouve devant vous est appelée le Tidal Basin. C’est un bassin artificiel, qui a été créé dans les années 1880.
C’est encore un président qui est mis à l’honneur grâce à ce mémorial, qui nous renvoie tout droit à la Révolution américaine. C’est en 1943 que le Jefferson Memorial est achevé pour rendre hommage au 3e président des États-Unis, dont certaines citations sont inscrites sur les murs.
Sur votre droite se dresse le Musée du Mémorial de l’Holocauste. L’entrée principale se trouve de l’autre côté du bâtiment. Ouvert en 1993, il a été conçu par l’architecte James Ingo Freed et présente des documents et des recherches sur l’Holocauste, mais aussi des objets et des collections qui datent de cette période sombre.
Vous avez là l’un des nombreux symboles de la ville : le Washington Monument. Il fait référence à George Washington, en l’honneur de qui il a été construit.
Inauguré en 1988, ce petit jardin qui se compose de parcelles de plantes et de deux fontaines symbolise la relation entre l’Allemagne et les États-Unis et commémore les 300 ans d’immigration allemande en Amérique.
L’imposant bâtiment qui se trouve ici est le siège du Département du Trésor des États-Unis, chargé d’assurer la sécurité financière du pays, de fabriquer les pièces et les billets de banque, rapporter l’état financier du gouvernement au président ou encore assurer la prospérité économique.
La voilà... ! La maison la plus célèbre du monde se dévoile à vous, imposante et éclatante derrière sa clôture qui ne vous permettra pas d’aller plus loin. Préparez-vous, il y en a des choses à dire sur celle qui sert de résidence au Président des États-Unis !
Le square Lafayette faisait autrefois partie du parc présidentiel. Il sera séparé de la Maison-Blanche en 1804 par le président Thomas Jefferson, qui fera aménager la route qui se trouve entre le parc et le bâtiment.
Construit entre 1871 et 1888, cet élégant bâtiment qui dévoile un style Second Empire français a été édifié pour accueillir les départements de l’État, de la Guerre et de la Marine. Son architecture est un très beau chef-d’œuvre de l’époque.
C’est en 1976, sur la demande du président Ronald Reagan, que ce parc a été construit.
C’est encore un mémorial que vous avez ici : Washington étant la capitale des États-Unis, elle compte plus d’une centaine de mémoriaux répartis dans la ville, qui rendent hommage à la fois à l’histoire du pays, mais aussi à de grands personnages américains et internationaux.
Vous êtes sur la petite place du colonel Fabien. Face à vous, l’alignement de façades colorées est le grand centre commercial du Cour Perrinon. C’est ici qu’il faudra vous rendre si vous voulez faire un peu de shopping.
Ce beau bâtiment en pierre de style néoclassique, est l’ancien hôtel de ville de Fort-de-France. Il a été construit en 1884, sur le site d’un ancien hospice, pour remplacer la maison commune de 1848.
Le bâtiment que vous avez devant vous, face au petit square Victor Schœlcher, est l’ancien palais de justice, construit en 1907, dans un style néoclassique. Il abrite aujourd’hui l’espace Camille Darsière, un lieu multiculturel, partiellement ouvert au public.
Vous voilà devant la belle cathédrale Saint-Louis, en plein cœur du centre-ville. L’édification d’un lieu de culte à cet endroit remonte à la fin du XVIIe siècle, alors que la ville se formait peu à peu autour du Fort Royal.
Les différents points d’intérêt que vous avez découverts lors de cette visite audioguidée, vous ont éclairé sur certaines parties de l’histoire de la Martinique. La fondation de la ville autour du fort, son importance stratégique militaire, le rôle des Martiniquais dans les différentes guerres, et les personnages politiques clés de son histoire.
Vous arrivez à présent devant l’une des images les plus emblématiques de Fort-de-France, la magnifique bibliothèque Schœlcher, et certainement le batiment le plus photographié de la ville. Elle a été fondée en 1887, lorsque Victor Schœlcher, fervent défenseur de l’abolition de l’esclavage, décide de léguer sa vaste collection privée au conseil général de la Martinique.
Vous longez à présent le parc de la Savane, qui s’étend sur 5 hectares, entre la ville, le fort Saint-Louis et la mer. Cette vaste étendue paysagère a longtemps été au cœur de la vie des Foyalais.
Vous êtes à présent devant le monument aux morts du parc de la Savane. Cette statue a été érigée en 1926, pour honorer les soldats martiniquais tombés au combat lors de la Première Guerre mondiale.
Vous êtes devant l’entrée du célèbre fort Saint-Louis, bien installé sur son promontoire rocheux dominant la baie de Fort-de-France. Son histoire est aussi ancienne que celle de la colonisation française de l’île et intimement liée aux conflits entre les grandes puissances européennes.
Vous êtes ici à l’entrée de la plage de la Française, seule plage du centre-ville de Fort-de-France. Pas de décor carte postale comme cela peut-être le cas avec les autres plages paradisiaques de l’île, mais la petite plage de la Française a le mérite de vous offrir une mini pause détente au cœur de votre visite.
Vous passez devant le très joli kiosque à musique Henir Guédon. C’est un monument emblématique du front de mer de Fort-de-France.
Vous êtes ici sur le Malecon, la belle promenade longeant la mer des Caraïbes. Elle vous offre une vue imprenable sur les eaux scintillantes de la baie de Fort-de-France, encadrée de montagnes et de collines verdoyantes.
Vous arrivez au bout du Malecon, admirant l’immense et incroyable fresque colorée qui se déroule sous vos pieds. Vous reconnaissez des paysages typiques de la Martinique ainsi que certains de ces animaux les plus emblématiques, ou encore des représentations diverses et variées de la culture martiniquaise.
Vous arrivez devant l’entrée du grand marché couvert de Fort-de-France, un passage obligé pour tous les amateurs de saveurs et d’authenticité. C’est l’endroit idéal pour vivre une expérience immersive dans la culture locale et explorer la diversité des saveurs et du savoir-faire de l’île, à travers ses produits locaux et son artisanat.
Vous êtes actuellement dans le quartier du Safranier. Il fait partie du centre ancien d’Antibes, et dévoile de belles ruelles pittoresques qui nous font sentir comme dans un petit village méditerranéen. Mais c’est un lieu qui a une histoire bien particulière
Regardez ici cette étonnante statue. Elle est appelée le Défi, et représente un personnage debout sur les remparts, qui tend le pied dans le vide. Si elle peut donner lieu à de nombreuses interprétations, son auteur, Nicolas Lavarenne, l’explique comme le symbole d’un pas vers l’inconnu, je cite, “celui susceptible de bouleverser toute une vie”.
Ici, vous arrivez devant le jardin des Poètes. Longeant les remparts de la ville, ce petit parc public présente des plantes exotiques, des cactus et des succulentes qui lui donnent un aspect bien particulier. On retrouve à l’intérieur quelques œuvres et citations qui rendent hommage aux grands poètes français et internationaux. Vous remarquez notamment le buste de Victor Hugo
Vous voici devant le dernier lavoir encore présent à Antibes. Il date du XIXe siècle. Les lavoirs, vous avez déjà dû en voir dans plein d’autres villes de France. Mais connaissez-vous leur histoire ? Ils remontent généralement tous au XIXe siècle, et ce n’est pas un hasard si une vague de construction a été lancée à cette période.
Jetez un œil sur votre droite : vous êtes face à la plus ancienne fontaine de la ville ! Et elle nous vient tout droit de l’Antiquité. A cette période, deux aqueducs romains ont été construits pour permettre d’approvisionner la cité Antipolis en eau.
Vous voici arrivé sur l’une des places les plus agréables du centre-ville antibois !
Vous voici dans la rue de la République, l’une des rues les plus commerçantes d’Antibes ! Ici, vous avez le choix : prêt-à-porter, bijoux, chaussures…
Observez le bâtiment qui se dresse sur votre droite, qui fait l’angle avec la rue Paul Martelli. Cette chapelle à la façade néo-gothique fait partie du patrimoine historique d’Antibes.
Nous arrivons maintenant sur la place Nationale, l’une des principales de la ville. Là aussi, vous avez largement de quoi vous arrêter un moment pour vous restaurer ou boire un verre !
Nous arrivons ici dans le début du cours Masséna, l’une des rues principales d’Antibes. Face à vous, vous ne pouvez pas le louper, se trouve un imposant ouvrage témoin de la longue histoire de la ville.
Vous voici devant l’un des plus célèbres marchés de Provence ! Il est ouvert tous les matins du mardi au dimanche donc même s’il n’est pas ouvert pendant votre visite, vous aurez certainement l’occasion de le découvrir à un autre moment.
Ce bâtiment est l’un des plus importants d’Antibes. C’est le château Grimaldi, un édifice qui a été construit à partir du XIe siècle, sur les fondations d’une ancienne structure romaine.
Cette belle église colorée est la cathédrale d’Antibes, classée au titre des Monuments historiques depuis 1945. Plus grande église de la ville, elle présente une façade de style classique et renferme plusieurs chefs-d'œuvre de l’art religieux.
Rien de tel que de se balader le long de la mer Méditerranée pour compléter cette visite d’Antibes ! La promenade Amiral de Grasse promet de magnifiques panoramas et une balade des plus agréables à deux pas du centre-ville.
D’ici, vous avez un bel aperçu sur la plage de la Gravette, qui se trouve en plein centre-ville d’Antibes.
Vous voici devant l’un des points de vue emblématiques d’Antibes, puisqu’il donne sur son port, l’un des plus grands ports de plaisance d’Europe.
Nous voici arrivés dans le boulevard d’Aguillon, à quelques pas seulement du port. Sur votre droite, percée dans ce qui était autrefois les remparts de la ville, se trouve la porte Marine.
Voici le bastion Saint-Jaume. L’entrée est libre mais soumise à des horaires d’ouverture, alors si le site est fermé quand vous arrivez, vérifiez les horaires pour pouvoir y entrer.
C’est à l’artiste catalan Jaume Plensa que l’on doit cette sculpture monumentale d’environ 10 mètres de haut, qui représente un homme assis face à la mer.
Le port d’Antibes possède une longue histoire derrière lui : déjà au temps des Phocéens, au IVe siècle av. J.-C., l’anse Saint-Roch était utilisée pour le commerce et en tant que base navale dans la cité qui s’appelait à ce moment-là Antipolis.
L’histoire de la ville d’Antibes est loin d’être toute récente : fondée au IVe siècle av. J.-C. sous le nom d’Antipolis, ce sont les Grecs qui s’y établissent avant même l’arrivée des Romains. Elle devient ensuite une ville romaine prospère et développée, et son port attire pour le commerce de vins, d’huiles et de céramiques.
Sur votre gauche, au numéro 12 de la rue, se trouve l’atelier d’un artiste dont vous avez peut-être déjà croisé les œuvres dans la ville. Il faut cependant avoir l’œil pour repérer ses réalisations. Situées sur les murs des bâtiments, sur le sol dans la rue, sur les trottoirs, elles se caractérisent par des visages d’hommes, de femmes et d’enfants formés grâce à des fissures dans les murs, des trous dans les sols, des tâches...
Vous longez à présent la rivière des Outaouais, qui constitue le principal affluent du fleuve Saint-Laurent. C’est la plus longue rivière du Québec et la 8e plus grande du Canada.
Le Canada est le deuxième plus grand pays du monde, loin derrière la Russie, mais devant les États-Unis. C’est pourtant un pays qui possède l’une des plus faibles densités de population, qui est concentrée, en plus, dans les grandes villes du pays : Montréal, Vancouver, Toronto, Calgary et bien sûr Ottawa, la capitale.
Voici un joli point de vue sur la rivière des Outaouais ! De l’autre côté, les bâtiments que vous voyez appartiennent à la ville de Gatineau, qui fait partie de la province du Québec.
Derrière l’Édifice du Centre, vous remarquez la superbe bibliothèque du Parlement. Elle a été créée en 1871, réunissant les ouvrages et collections des deux anciennes bibliothèques des Assemblées législatives du Haut-Canada et du Bas-Canada, qui rappelez-vous, à l’époque, étaient divisés en deux.
Nous arrivons ici le long du canal Rideau. Il relie la rivière des Outaouais, située sur votre gauche, au fleuve Saint-Laurent, au niveau de Kingston, en Ontario. Il mesure au total 202 kilomètres de long.
Malgré son nom, cet imposant bâtiment n’est pas le siège principal du Sénat. Celui-ci, en temps normal, siège dans l’Édifice du Centre du Parlement, comme la Chambre des Communes.
Vous observez ici un bâtiment qui renferme le centre des Congrès d’Ottawa. Il est constitué de 37 salles différentes pouvant accueillir des événements de toutes sortes, tels que des salons professionnels, des réunions d’affaires et des mariages.
Vous êtes devant l’Hôtel de Ville d’Ottawa. Il est composé de deux grands bâtiments, dont celui qui se trouve devant vous, qui correspond à la nouvelle aile. Son entrée se trouve de l’autre côté.
Sur votre gauche se trouve la belle église presbytérienne Knox. Elle porte le nom du célèbre ministre écossais John Knox, théologien qui fut l’un des grands dirigeants de la Réforme au XVIe siècle.
Vous voici devant le palais de justice d’Ottawa, situé sur le même espace que l’Hôtel de Ville. L’occasion pour moi de vous en dire un peu plus sur la façon dont est organisé le gouvernement au Canada.
Regardez sur votre gauche : la belle église que vous voyez-là, avec sa flèche vert clair, appartient à la première congrégation baptiste d’Ottawa.
Vous voici au cœur du parc de la Confédération, l’un des principaux de la capitale canadienne. Devant vous se trouve une fontaine, érigée en granit Peterhead, qui rend hommage au fondateur de la ville d’Ottawa, le lieutenant-colonel John By, venu tout droit d’Angleterre.
Devant vous se dresse un monument qui a de quoi nous propulser quelques siècles en arrière. Ce totem a été installé ici en 1971, et célèbre le centenaire de l’union entre le Canada et la Colombie-Britannique, qui a eu lieu en 1871.
Vous voici face à l’un des plus grands pianistes et compositeurs de jazz de tous les temps ! Né à Montréal en 1925, Oscar Peterson a plusieurs surnoms : le “Maharaja du clavier”, le “Bombardier brun du boogie-woogie”, le “Maître du swing” ou encore “l’Homme à quatre mains”.
Nous arrivons sur la célèbre place de la Confédération, l’une des principales de la ville. Ici, vous avez un bel aperçu de certains bâtiments emblématiques d’Ottawa.
Ici, c’est vrai qu’on peut vite être attiré par l’immense bâtiment qui se trouve devant vous. Mais avant de porter votre attention sur le château, regardez sur votre droite.
Allez, parlons un peu maintenant du mastodonte qui se tient devant vous. Il s’agit du château Laurier, un hôtel 4 étoiles qui a été ouvert en 1912, après 3 ans de construction.
Vous allez le voir, le Parlement du Canada se compose de plusieurs bâtiments tous plus beaux et imposants les uns que les autres. Ici, vous êtes devant l’édifice de l’Est, qui comme les autres, est classé Lieu historique national.
La Flamme du Centenaire est un vrai symbole pour le Canada : ce monument représente l’unité du pays, à travers une flamme qui brûle au-dessus d’une fontaine.
S’il y a bien une chose qu’on ne peut pas louper à Ottawa, c’est son Parlement. Déjà, parce qu’Ottawa étant la capitale du Canada, il possède ainsi les plus hautes institutions du pays.
Vous observez ici une élégante statue de la reine Victoria, personnage indissociable de la ville d’Ottawa. Si bien qu’il existe même, au Canada, un jour férié dédié à celle-ci, la Fête de la Reine, ou la Victoria day, célébrée le lundi qui précède le 25 mai.
Arrêtons-nous un instant pour observer les bâtiments qui vous font face. À gauche, de l’autre côté de la route, se trouve le musée de la Banque Canadienne. Il a été installé dans un bâtiment ultramoderne en 2017, juste à côté de la Banque du Canada.
Sur votre droite se dresse, dans le même style que les autres bâtiments du Parlement, l’édifice de la Justice. Il a été construit entre 1935 et 1938 par l’architecte Thomas Fuller.
Vous voici devant, encore, l’un des édifices les plus importants du pays : la Cour Suprême du Canada. Symbole du pouvoir judiciaire canadien, elle est l’ultime recours juridique en ce qui concerne les décisions civiles, criminelles, administratives et constitutionnelles.
Regardez sur votre droite : l’imposant bâtiment qui se dresse devant vous renferme la bibliothèque et les archives du Canada.
Située en plein cœur de la vieille ville, l’église Notre-Dame de Calais est l’un des grands symboles historiques de la cité. Sa construction débute en 1223 et se poursuit par de nombreux agrandissements jusqu’au XVIe siècle, une époque où Calais est restée sous domination anglaise pendant plus de deux siècles.
Au début des années 1880, le sculpteur Auguste Rodin a déjà essuyé plusieurs échecs lors de concours pour des monuments publics. Pour gagner en notoriété et assurer sa stabilité financière, il multiplie alors les commandes officielles, et celle que vous avez sous les yeux tombe à point nommé en 1884.
Positionné à la pointe de la langue de terre clôturant l’avant-port, le fort Risban nous rappelle ô combien Calais, ouverte sur le détroit de la Manche, a très tôt été une terre convoitée.
Une enfilade de maisons le long d’un quai et un petit bassin nettement moins attrayant à marée basse, effectivement, la plus belle image à retenir de Calais ne se trouve peut-être pas ici.
Fortement rattachés au nord de la France, les beffrois témoignent de la puissance passée des villes, tout en apportant volume et hauteur à leurs paysages en manque de relief.
Addition de commerces et de restaurants, siège favori des manifestations calaisiennes, point de rencontre principal des habitants, la place d’Armes anime autant Calais qu’elle ne la fait vivre.
Oui, c’est juste, en termes d’écrin, le Musée des Beaux-Arts de Calais n’a certainement pas hérité du plus élégant.
Le voisinage de l’Angleterre, Calais ne peut s’en défaire. Sur son front de mer, les côtes britanniques apparaissent par temps clair.
Des parcelles verdoyantes, de nombreuses espèces d’arbres, un grand bassin d’eau à cascades, plus vous progressez dans les allées du parc Richelieu et plus vous vous verriez bien faire une pause.
Calais pour vous, ça évoque quoi ? Une ville tournée vers la mer avec ses ferries, son port de commerce et ses marins-pêcheurs d’aujourd’hui et d’autrefois.
Si leur architecte les a créés collés et si bien assortis, le beffroi a quelque chose en plus que l’Hôtel de Ville ne peut se vanter d’avoir : un classement au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Une ville côtière, bien sûr que Calais en est une. Mais une ville verte, ça, elle l’est aussi. Sur les 3 350 hectares qui la composent, près de 350 d’entre eux sont des zones boisées, des jardins familiaux, des espaces verts, etc.
Point stratégique de premier ordre pour les Britanniques et les Allemands, Calais va énormément souffrir du contexte conflictuel du siècle dernier, et plus particulièrement au moment de la Seconde Guerre mondiale.
Emblème du savoir-faire à la française, la dentelle de Calais est un chapitre essentiel dans l’histoire de la destination. Un superbe musée lui est d’ailleurs consacré, un peu plus loin, sur le quai du Commerce.
En création, vous pensiez que Calais faisait exclusivement dans la dentelle ? Eh bien non, la ville a plusieurs cordes à son arc ! Si vous regardez sur votre gauche, vous en aurez justement la preuve concrète.
À la suite de la reconquête de Calais en 1558, les rois de France n’ont qu’une idée en tête, renforcé la protection de la ville afin que celle-ci reste définitivement française.
Sévèrement détruite lors des aléas des deux guerres mondiales, Calais compte encore un fier symbole de son époque médiévale à son patrimoine.
Mêlée au reste de la foule, cette œuvre est la première représentation sculpturale d’un couple présidentiel en France.
Depuis le pont Henri Hénon, les témoignages du patrimoine calaisien sous toutes ses formes ne manquent pas.
Vous peinez à visualiser ce que cette masse sombre représente et les marques de corrosion ne vous facilitent pas la tâche ?
Croyez-nous, le panorama du front de mer calaisien ne serait pas le même sans la centaine de chalets de plage plantée face à la Manche.
Passé le panorama habituel du front de mer de Calais, où sable fin et chalets de plage prennent la pose, nos regards se figent inévitablement sur cet immense abri de verre qui normalement laisse transparaître une étrange masse.
Dans son apparence très épurée, cette colonne de pierre blanche implantée dans le quartier du Courgain Maritime rappelle un événement anecdotique de Calais.
Port fréquenté depuis des siècles, Calais a toujours été sur les documents de signalisation maritime.
Principale rue commerçante de Dijon, la rue de la Liberté est bordée d’immeubles datant du XVe au XVIIIe siècle, qui ont été classés Monuments Historiques.
Face à vous et sur votre gauche se trouvent deux bâtiments qui nous viennent tout droit du XVIIe siècle.
Le Musée des Beaux-Arts de Dijon est l’un des plus anciens et des plus riches de France. Il a été fondé en 1787, dans le but premier de rassembler des œuvres qui serviraient de modèle aux élèves de l’école de dessin.
Allez, le temps de rejoindre le centre historique, attelons-nous à un sujet de taille : l’histoire de Dijon, qui est indissociable de l’histoire de France, grâce à la présence et au règne des puissants Ducs de Bourgogne.
Construite au XIIe siècle, après le grand incendie de 1137, l’église Saint-Philibert est la seule église romane de Dijon. Elle était autrefois dédiée à la paroisse des vignerons, qui habitaient le quartier.
Le joli bâtiment qui se dresse devant vous est la chapelle des Carmélites. Ancien couvent des carmélites au XVIIe siècle, elle est taillée en pierre blonde et rose en 1642.
Regardez sur votre gauche : la place des Cordeliers dévoile des toits vernissés typiques de la Bourgogne.
Vous voici devant le grand symbole de la ville ! S’il y a bien une chose qui fait la réputation de Dijon, c’est son incroyable palais des Ducs.
Vous arrivez sur la place Darcy, au pied de la porte Guillaume, l’une des douze portes qui entouraient la ville au XIIe siècle.
La première pierre de ce théâtre majestueux est posée en 1810, mais sa construction est vite suspendue à cause de la Chute de l’Empire de Napoléon, et n’a été reprise qu’en 1823.
Cette maison, à l’échauguette remarquable, est un hôtel particulier qui a été construit entre 1552 et 1558 pour Philibert Berbis, un conseiller au Parlement de Dijon.
Cette église située à deux pas du Palais des Ducs semble avoir vécu plusieurs vies, comme en témoignent les différents siècles que révèlent ses murs : construite au XVe siècle, elle est restaurée au XVIIe et sa façade date du XVIIIe.
Cette place, bien plus récente que les autres bâtiments de la ville, a été construite en 1905 en hommage au sculpteur François Rude, né à quelques maisons de là.
Aménagée en 1911, la place Grangier offre une superbe vue sur l’Hôtel des Postes, construit en 1907 dans le style Louis XVI, à l’endroit où se trouvait autrefois le château de Dijon.
Premier jardin public de Dijon, le jardin Darcy est aménagé en 1880. Il est construit sur un grand réservoir d’eau potable souterrain, qui a été créé en 1838 par Henri Darcy pour alimenter les fontaines de la ville.
Avant d’être une cathédrale, cet édifice est un monastère construit en 871, rebâti au XIe siècle en cathédrale par Guillaume de Volpiano.
Et oui, c’est bien une troisième église que l’on aperçoit ici, à quelques mètres seulement de la Cathédrale Saint-Bénigne.
Nous voici sur la place Émile Zola, très appréciée des habitants et des visiteurs.
Il aura fallu plus de 150 ans pour construire cette somptueuse église, qui arbore en conséquence un mélange de deux architectures différentes
Vous voici devant une maison qui vous fera sans aucun doute remonter le temps. Vous l’avez déjà remarqué, les maisons à colombage sont nombreuses ici, à Dijon, et témoignent de son riche passé médiéval.
Sur votre droite, voici l’un des plus prestigieux hôtels particuliers du XVIIIe siècle.
Vieille de plus de 500 ans, cette maison est un incontournable de l’histoire de la ville. Son architecture gothique date de la fin du Moyen Age, du XVe siècle exactement !
Chef-d'œuvre de l’architecture gothique du XIIIe siècle, l'église Notre-Dame est la plus vieille église de Dijon.
Quoi de mieux que de s’imprégner de la vie dijonnaise en goûtant ses spécialités culinaires ?
Véritable monument du quartier de la Boucherie, la chapelle Saint-Aurélien se dresse fièrement sur la place du même nom, au cœur des maisons à colombages qui décorent les rues du centre historique.
Vous voici sur une petite place chargée d’histoire !
Affichant une belle architecture typique du XIXe siècle, les halles de Limoges sont un véritable paradis pour ceux qui souhaitent sentir, goûter et acheter les produits locaux !
Admirez cette belle fresque en trompe-l'œil : elle égaye la place de la Motte de ses belles couleurs, qui se fondent avec brio dans le décor du centre historique de Limoges.
Sur votre gauche, vous apercevez l’église Saint-Michel-des-Lions, qui dévoile son haut clocher au style typique du Limousin, à l’instar de la cathédrale Saint-Étienne.
La Cour du Temple fait partie des lieux plutôt insolites de Limoges, cachée par les bâtiments qui composent la rue du Temple et la rue du Consulat.
Autre édifice remarquable de la ville de Limoges, l’église Saint-Pierre-du-Queyroix présente une architecture d’inspiration romane, mêlée à quelques touches gothiques ajoutées au XIXe siècle, comme des pignons ou des balustrades.
Vous voici devant la fontaine des Barres, qui se présente sous la forme d’une pyramide qui date du XVIIe siècle.
Ici, ce n’est pas le Champ de Mars, mais bien le Champ de Juillet que vous traversez, qui mène tout droit à la gare des Bénédictins.
Vous voici devant LE monument emblématique de Limoges, la gare des Bénédictins. Et c’est peu de le dire, puisqu’elle est considérée comme l’une des plus belles gares au monde !
Cette petite place située au centre de plusieurs avenues et boulevards rend hommage au militaire limougeaud Jean-Baptiste Jourdan, vainqueur de l’une des batailles de la Révolution, la Bataille de Fleurus qui eut lieu en 1794.
Vous avez ici, au cœur de la rue Saint-Affre qui rappelle la période médiévale de la ville, une très jolie vue sur l’arrière de la cathédrale Saint-Étienne, l’un des symboles de Limoges.
Ce pont chargé d’histoire vous offre une jolie vue sur les alentours, sur le pont Neuf et sur les maisons qui composent l’autre rive de la Vienne.
Vous êtes ici dans le Jardin de l’Évêché, qui surplombe la Vienne depuis les pentes du Puy Saint-Étienne.
C’est après 6 siècles de construction que cette cathédrale voit le jour, à la fin du XIXe siècle.
Inspiré de l’Hôtel de Ville de Paris, cet imposant bâtiment situé sur la place Léon Betoulle a été conçu par Charles-Alfred Leclerc, qui a été pendant 6 ans l’architecte en chef du château de Versailles au cours du XIXe siècle.
C’est l’une des plus anciennes rues de Limoges ! Comme son nom l’indique, ce quartier ancien était habité par les bouchers de la ville, du XIIe au XXe siècle.
Vous voici dans l’un des lieux emblématiques de la capitale madéroise, en plein cœur de son centre historique. Ici se dresse la belle cathédrale de Funchal. C’est l’un des plus vieux bâtiments de l’île. Sa construction a débuté en 1490. La première
Nous continuons à avancer ici dans l’une des principales artères de la ville. L’avenue Arriaga constitue le centre culturel et historique de Funchal, et est donc très fréquentée aussi bien par les visiteurs que par les habitants. Elle relie la
Sur votre gauche se dresse une statue d’un Portugais bien connu : Joao Abel de Freitas. Il s’agit d’un médecin et homme politique originaire de l’île. Véritable visionnaire, cet homme a marqué les esprits des Madérois pour son service pendant la
Jetez un œil sur votre droite : ici les bâtiments ont laissé place à un grand espace vert, qui n’est autre que le jardin municipal de la ville. N’hésitez pas à traverser et à aller le découvrir, si vous souhaitez faire une petite pause dans votre visite. Ce
Sur votre gauche, situé face au Jardin municipal, se trouve le Théâtre Baltazar Dias. Il a été construit en 1888 pour remplacer l’ancien Grand Théâtre de la ville, qui a été démoli plusieurs dizaines d’années plus tôt. Son architecture reprend celle
Ici, vous n’avez pas manqué de remarquer le grand bâtiment qui longe une partie de l’avenue dans laquelle vous vous trouvez. Il s’agit du Palais de São Lourenço, un bâtiment classé Monument National. Il est construit dès le XVIe siècle, d’abord
Vous voici au niveau de l’Avenida do Mar, l’un des lieux les plus animés de Funchal. C’est en effet ici que vous découvrez la marina, le port et la belle balade qui longe l’océan, sur un trottoir qui, une fois encore, est décoré des galets typiques de
La Praça do Povo, où vous êtes actuellement, marque l’entrée dans la ville pour ceux qui arrivent depuis la mer. Elle se trouve en effet à deux pas de la marina et mène à l’avenue do Mar, la route qui longe le littoral. C’est un bel espace de balade,
Le temps d’avancer le long de l’agréable Promenade de Funchal, laissez-moi vous raconter l’histoire de l’île de Madère et de cette ville historique. Vous pouvez, si vous le souhaitez, en profiter pour vous asseoir un moment. Cette île qui se trouve
Face à vous se dresse une étrange porte, un peu sortie de nulle part : il s’agit de la porte Varadouros, aussi appelée Portas da Cidade. Ce n’est pas la construction originale que vous avez là, mais une reproduction qui a été réalisée en 2004. Elle
Jetons un œil à la Praça de Colombo ! N’hésitez pas à avancer et à vous y rendre pour la voir dans son entièreté. Ce bel espace, surnommé la place Jaune en référence aux bâtiments qui la composent, est un bel exemple d’une place typique de l’île.
Quand on pense à Funchal, on pense forcément à l’Océan Atlantique, qui borde l’île de Madère au large des côtes africaines. Mais saviez-vous que cette ville est traversée par deux rivières, qui se rejoignent à quelques mètres de là, avant de se
Sur votre droite se trouve le musée de l’Electricité, la Casa da Luz, en portugais. Il permet de partir à la découverte de l’histoire de l’électricité dans la région autonome de Madère. Installé dans l’ancienne centrale thermique de Funchal, il présente
A gauche, vous arrivez ici devant le Madeira Story Centre. C’est un musée qui retrace toute l’histoire de l’île, de sa formation, il y a plusieurs millions d’années, à aujourd’hui, en passant par sa découverte par les Européens, les attaques de pirates dont elle
Le monument qui se trouve sur votre droite est l’un des plus symboliques de la ville. Il commémore les 500 ans du Diocèse de Funchal. Celui-ci est très important dans l’Histoire, car il était le tout premier diocèse portugais créé en dehors du Portugal, et
Nous sommes toujours dans le jardin Almirante Reis, et en nous dirigeant vers le front de mer, on tombe forcément sur cette grande statue. Appelée le Joueur de football, elle a été sculptée par Martim Velosa en 2005. Elle représente un homme prêt à
Ici, vous avez un très bel aperçu du relief qui entoure la ville de Funchal, avec l’océan juste devant. Mais vous avez surtout une superbe vue sur l’un des monuments emblématiques de la ville, la forteresse de Sao Tiago. Ce bâtiment historique aux couleurs
Vous voici arrivé dans l’une des rues incontournables de Funchal ! La rua de Santa Maria est l’une des plus anciennes de la ville, puisqu’elle se trouve dans le tout premier quartier créé à Funchal. Cette rue étroite et pavée, qui s’étend sur plus de 600 mètres, est empreinte d’une ambiance qui nous
Vous voici devant un lieu dans lequel vous voudrez certainement entrer ! Le Mercado dos Lavradores rassemble toutes les bonnes saveurs de Funchal sur ses 3 étages d’étals colorés. Ce marché couvert a été construit dans les années 30 : c’est pour ça qu’il dévoile une très belle architecture
Vous voici dans une rue qui n’est pas aussi historique que celles du vieux-centre. Elle a été construite dans les années 1940, et on lui donne le nom de Fernão de Ornelas, ancien maire de Funchal, entre 1935 et 1946. Il est très connu à Madère car il est à l’origine d’importants travaux de
Vous en avez forcément entendu parler si vous avez fait quelques recherches sur ce qu’il y a à faire dans la capitale madéroise : le téléphérique de Funchal est un grand incournable de l’île ! Il vous emmènera, en une quinzaine de minutes,
Voilà la place des Carmes, certainement l’une des plus typiques et pittoresques de la ville. Elle est entourée de bâtiments qui datent du XVIIIe siècle. L’édifice rose qui se trouve sur votre gauche, appelé le palais des consuls, nous vient même du XVIIe siècle. La place des Carmes est marquée par ses
Vous traversez ici la rivière de Santa Luzia, et sur votre droite, vous voyez dépasser la tour d’un bâtiment à l’architecture bien particulière. Il s’agit de l’Institut du Vin. Ancienne résidence d'un ancien marchand de vin de la ville, il abrite un musée qui retrace l'histoire de ce savoir-faire
Sur votre droite, l’imposant bâtiment qui est posté là est le tribunal de Funchal. Il dévoile une très belle architecture caractéristique des structures administratives portugaises du XXe siècle, sobre, mais fonctionnelle. Il se fond bien dans le décor des autres bâtiments de la ville, qui sont pourtant
La praça do Munícipio, ou place municipale en français, est marquée par ses superbes pavés en forme de vagues, qui habillent le lieu et qui attirent le regard. Mais en relevant un peu les yeux, on s’aperçoit qu’elle aussi entourée de beaux bâtiments historiques, à l’architecture typique de l’île.
Voici la vue la plus emblématique de Grenade, celle que l’on trouve sur les cartes postales, les livres et les sites de voyage !
C’est un ensemble de jardins à la française et à l’anglaise qui composent le Carmen de los Martires, véritable écrin de nature à quelques mètres seulement de l’Alhambra.
Une jolie vue s’offre à vous sur votre gauche alors que vous marchez sur le Paseo de los Martires.
Cette tour qui s’élève au milieu de cette petite rue remonterait au Xe siècle, voire peut-être même avant.
Cette petite église située au cœur du quartier de l’Albaicin porte le même nom que la place sur laquelle elle est installée depuis le XVIe siècle.
Vous êtes ici au pied du palais de Dar al-Horra, l’un des derniers vestiges du quartier musulman que constituait l’Albaicin au Moyen Âge.
Voici un autre exemple de l’architecture mudéjare, qui mélange à la fois des éléments chrétiens et musulmans sur un seul et même bâtiment.
Vous voici devant le palais de los Córdova , qui affiche une belle façade de style Renaissance.
Petite promenade le long du Darro, le fleuve qui traverse Grenade au pied de l’Alhambra, qui se trouve sur votre gauche, en haut de la colline.
La maison richement décorée qui se situe à votre droite est appelée la Casa de Castril, monument emblématique de Grenade.
On a tous déjà passé un véritable moment de détente dans un hammam ! Si ce n’est pas votre cas, je vous le conseille fortement…
Retournez-vous un instant pour admirer la façade typiquement mauresque de cette petite église grenadine située au bord de la Plaza Nueva.
Voici devant vous un aperçu du quartier Albaicín, caractérisé par ses maisons d’un blanc éclatant.
Vous voici à deux pas de l’Alhambra, dans les jardins qui permettent d’atteindre ce monument emblématique de Grenade.
Nous sommes ici dans le quartier Realejo, ancien quartier juif qui dévoile de belles maisons d’une blancheur éclatante.
Vous l’aurez compris, cette place porte le nom d’Isabelle la Catholique, reine de Castille et Leon, d’Aragon, de Majorque, de Valence, de Sardaigne, de Sicile et de Naples.
Cette rue est certainement l’une des plus typiques de Grenade !
Vous voici devant l’entrée de la Chapelle Royale de la cathédrale !
Véritable carrefour entre les rues commerçantes de Grenade, la place de la Trinidad doit son nom à l’ancienne église qui se trouvait là au XVIe siècle.
Monument phare de la ville, par son élégance et ses proportions impressionnantes, la cathédrale de Grenade est la première cathédrale de la Renaissance construite en Espagne.
Située à deux pas de la cathédrale, cette grande place centrale est sans aucun doute l’une des plus animées de la ville.
Face à l'entrée de la Chapelle Royale, sur votre droite, se dresse le beau palais de la Madraza.
Vous entrez ici dans le quartier le plus typique de Grenade, ancien quartier arabe caractérisé par ses maisons blanchies à la chaux, appelées les cármenes, qui s’élèvent sur l’une des collines de la ville.
En sortant du petit parc de l’église, vous tombez nez à nez avec un porche d’entrée à la décoration tranchant totalement avec le reste des édifices de la rue.
Vous entrez à présent dans les fameuses Hackesche Höfe. C’est un ensemble de cours aménagées et interconnectées, toutes avec un style différent.
Vous pénétrez à présent dans l’allée la plus fascinante de Berlin : la fameuse Haus Scharzenberg, surnommée la Dead Chicken Alley.
Vous voilà au croisement entre la nouvelle et l’ancienne rue Schönhauser dans le quartier de Mitte, qui vient de mitan, milieu et signifie ici, centre-ville.
La belle fontaine que vous voyez à présent se nomme la Fontaine de Neptune. Sans surprise puisque vous voyez à son sommet, le dieu des eaux vives et des océans dans la mythologie romaine.
Vous voilà au cœur du quartier de Nikolaiviertel, le plus ancien quartier de Berlin.
Ce beau palais, qui fait l’angle, est le palais Ephraïm. Il a été construit en 1762, dans ce style rococo, connu pour l’abondance de ses courbes et de ses décorations.
Vous passez à présent la célèbre statue de Saint George terrassant le dragon. Il existe de multiples représentations du saint combattant un dragon.
Vous longez à présent la Spree qui sépare en deux la capitale allemande.
Vous ne rêvez pas, c’est bien une porte indienne qui se présente devant vous en plein centre-ville de Berlin !
Vous voilà donc devant l’entrée du nouveau Forum Humbolt. Pourtant, la façade baroque que vous avez sous les yeux est bien celle de l’ancien Berliner Schloss, autrement dit le Château de Berlin.
Vous avez en face de vous la cathédrale de Berlin ! Si elle est si imposante et luxueuse, c’est parce qu’elle servait d’église à la monarchie.
Vous êtes donc sur l’île de la Spree. Là où est né le Berlin du XIIIe siècle, lorsque la future capitale allemande n’était qu’un petit village de pêcheurs et de chasseurs.
Commençons par le commencement avec le tout premier musée construit sur l’île : l’Altes museum.
Cet imposant bâtiment, élevé au sommet d’un socle, tel un grand temple antique, abrite la Alte Nationalgalerie.
Ici, vous faites face au Neues Museum, c’est-à-dire au nouveau musée. S’il ne vous parait pas si nouveau que ça, sachez que son nom fait tout simplement écho à l’Altes Museum qui se traduit par le vieux musée.
Vous avez, sur votre droite, l’entrée de la James Simon Galerie. Il s’agit du nouveau centre des visiteurs de l’île aux Musées.
Son architecture strictement néoclassique tranche avec la modernité et la blancheur de la James Simon Galerie : voilà le célèbre musée de Pergame !
Vous arrivez finalement à la pointe de l’île. Le beau bâtiment néo-baroque qui épouse les courbes du bout de l’île est le Bode Museum.
Ce beau bâtiment, qui fait l’angle de la rue, est l’ancien relais de poste. L’édifice est imposant avec sa tour octogonale encadrée de ses deux petites coupoles, et son architecture de style néo-Renaissance franchement magnifique.
Vous êtes devant la Nouvelle Synagogue de Berlin. Du moins une fidèle reproduction, l’originale ayant été détruite lors des bombardements.
Le parc que vous longez à présent, se nomme Monbijou. Oui, en français.
Vous voyez sur votre droite, une émouvante statue représentant un groupe de personnes, adultes et enfants aux visages émaciés et aux regards perdus.
La petite église baroque que vous avez devant vous, classée monument historique, s'appelle l’église Sainte-Sophie.
Vous êtes sur l’immense place Alexander, l’un des lieux les plus emblématiques de Berlin. Elle a été nommée ainsi en 1805, pour la venue du Tsar Alexandre Ier de Russie, lors de sa visite au roi de Prusse.
Cette horloge un peu bizarre que vous voyez à présent est l’horloge universelle Urania. Sa rotonde vous donne l’heure dans 148 grandes villes du monde ! (que vous pourrez toutes bientôt visiter avec Navaway :) )
La tour de la télévision d’Alexanderplatz est un édifice emblématique de la skyline de Berlin et, à 368 mètres de haut, sans doute le plus visible.
Maintenant que vous êtes bien en place à côté du soi-disant puits du chat, attardez-vous sur le n°16 de la rue d’en face et plus précisément sur la fenêtre du dernier étage, côté arche. Vous ne remarquez pas quelque chose d’étrange ? Si, l’ouverture n’est en fait qu’illusion !
Difficile à croire, et pourtant bien vrai, l’église Saint-Nicolas a déjà plusieurs années d’existence à son compteur. Remonté au XVIIIe, au XVIe, voire au XVe siècle est une estimation bien trop timide, car c’est en réalité au Moyen Âge que ce lieu de culte à fait son apparition.
Kiek in de Kök, voilà un nom qui sent bon l’Estonie ! Seulement voilà, à part être un local, il devient difficile d’en connaître la signification. C’est donc, dictionnaire en main chez Navaway, que l’on vous annonce que ces 4 petits mots se traduisent par “coup d'œil dans la cuisine”.
C’est du haut de sa colline calcaire que le château de Toompea a été pendant plus de 800 ans le siège du pouvoir estonien. Depuis sa création, sa côte a toujours été au beau fixe, puisque chaque empire qui a dominé le pays l’a investi en tant que base.
Spectaculaire avec ses clochers à bulbe, témoins des normes de l’art religieux russe, la cathédrale Alexandre Nevsky se voit de loin. Érigée en 1900, alors que l’Estonie faisait encore partie de l’Empire soviétique, la bâtisse fut principalement conçue comme un symbole de domination, autant religieuse que politique tsariste.
La cathédrale Sainte-Marie, quelquefois appelée le Dôme, serait la plus ancienne église de Tallinn, malgré la division des historiens sur son origine et sa date de construction.
L’intérêt premier quand on monte sur une colline, c’est bien souvent d’y trouver les meilleurs points de vue. Celle de Toompea, que vous venez tout juste de gravir, sait très bien y faire à ce niveau-là ! En même temps caché et tranquille, le point de vue de Patkuli nous livre un cadre sensationnel qui se prête parfaitement à la photo souvenir de Tallinn.
Avant toute chose, approchez, et n’ayez pas peur du vide ! Plus recentré que celui de Patkuli, le point de vue de Kohtuotsa est la deuxième adresse à connaître pour capturer les plus beaux traits de Tallinn.
Se situer à Tallinn, c’est simple, même un grand enfant peut le faire. Si vous ne vous trouvez pas dans sa “ville basse” de Vanalinn, alors c’est que vous êtes forcément dans sa “ville haute” de Toompea.
Présents sur quelques portions de la Vieille ville, les remparts sont des fragments inestimables du caractère médiéval de Tallinn. D’abord entamé sous l’occupation danoise au XIIIe siècle, et ensuite poursuivi sous la domination suédoise au XVIe siècle, le système de fortification atteignait une longueur de 4 km à l’origine.
Ici, cela ne vous servira à rien de projeter le regard au loin. Ce qu’il vous faut, c’est le lever bien haut vers le ciel pour saisir toute la verticalité qui caractérise l’église Saint-Olaf.
À Tallinn, rares sont ceux qui n’ont pas connaissance du musée du KGB, de son histoire, et du moment à partir duquel tout a malheureusement dérapé. Comme bien souvent au début, tout va pour le mieux et rien de suspect n’est à relever.
Comme le laisse entendre son nom en estonien, la rue Pikk est la plus longue de la ville basse. Au Moyen Âge, un bon nombre d’artisans et de commerçants la peuplaient et y exerçaient leur activité.
De toutes les charmantes bâtisses qui composent la rue Pikk, celle-ci n’a aucun mal à sortir du lot, a commencé par son architecture. Le style typiquement médiéval, avec ces fenêtres arquées à vitraux et ce massif portail, nous mettrait presque sur la route d’un édifice 100% religieux.
Si toutes les églises de Tallinn se rejoignent sur leur teinte blanche absolue, chacune d’elles a néanmoins connu un parcours de vie propre. Connue comme le plus petit édifice religieux de la capitale estonienne, l’église du Saint-Esprit occupe le même emplacement depuis le XIIIe siècle.
Épicentre de la cité médiévale depuis le XIe siècle, la Raekoja plats est le lieu de rassemblement où convergent tous les habitants de Tallinn et les voyageurs de passage.
Si la Raekoja plats est déjà une attraction à part entière à Tallinn, sa fréquentation est plus que renforcée par la présence de cet édifice tout près. En même temps, personne ne voudrait rater le seul hôtel de ville gothique, si bien préservé, de toute l’Europe du Nord.
Une petite toux, un rhume sévère ou une douleur passagère ? Bingo, voilà l’adresse qu’il vous faut ! Ouverte depuis 1422, cette étrange petite boutique au coin de la Raekoja plats est en réalité la plus ancienne pharmacie d’Europe à être encore opérationnelle dans les mêmes locaux.
En flânant dans les rues séculaires de Tallinn, on est témoin d’indices de différentes époques qui nous aident à comprendre à quoi pouvait bien ressembler la vie ici autrefois.
Pittoresques, voire enchanteresses, les portes de Viru sont souvent le premier aperçu qu’ont les visiteurs de Tallinn. C’est aussi votre cas dès maintenant ! Rien que par leur présence, on obtient un rare témoignage de ce que furent les portes médiévales du système défensif de la ville, élevé au XIVe siècle.
Prospère au temps du Moyen Âge, et triomphante sur les routes commerciales de la mer Baltique, la ville basse est restée immuable depuis le XVe siècle. Certes, la bonne conservation est passée par là, mais la chance y est aussi pour quelque chose.
L’hôtel particulier que vous voyez sur votre droite est l’Hôtel de Than. Il a été construit vers 1527 pour Thomas Morel, qui était le seigneur de deux communes du Calvados.
Ici, dans la cour de l’office du tourisme, vous trouvez le plus bel exemple d’hôtel particulier de la Renaissance de Caen.
L’héritage médiéval de Caen est tel qu’il est tout à fait normal de tomber nez à nez avec une tour fortifiée du XIVe siècle, en plein centre-ville, entre des arrêts de bus et des files de voitures.
Vous arrivez ici au bassin Saint-Pierre, qui forme aujourd’hui le petit port de plaisance de Caen.
Vous voilà finalement arrivés devant l’Abbaye aux Dames. Fondée par la duchesse Mathilde au XIe siècle pendant que son mari fondait celle des hommes, l’abbaye a servi jusqu’à la Révolution française de couvent pour les sœurs bénédictines.
Vous passez devant les vestiges de l’ancienne église Saint-Gilles qui a été entièrement détruite par les bombardements de 1944.
Vous passez à présent un nouvel édifice religieux désaffecté de Caen. Il s’agit d’une ancienne collégiale fondée au XIIIe siècle par le prêtre Guillaume Acarin, qui était le conseiller du roi Philipe Auguste.
Un seul coup d'œil autour de vous suffit à vous rendre compte que vous êtes arrivés au cœur du Caen médiéval.
Nous arrivons au fameux château de Caen ! Il a été construit vers 1060 par Guillaume le Conquérant, peu de temps avant qu’il ne devienne roi d’Angleterre !
N’hésitez pas à grimper sur tous les remparts où vous trouverez un accès, c’est le meilleur moyen de profiter de la vue sur la ville.
Alors oui, je vous l’accorde, il y a un paquet d’églises à Caen. L’église Saint-Pierre, qui se dresse devant vous, était l’édifice principal de Bourg du Roi.
Vous avez de la chance, les deux maisons à pans de bois que vous avez là, ont récemment été rénovées ! Vous pouvez donc admirer toute la finesse de l'œuvre du XVIe siècle !
À votre droite, vous avez l’énigmatique église Saint-Sauveur, autrefois appelée Notre-Dame de Froide-Rue.
Vous pénétrez à présent dans l’une des rues les plus intéressantes de Caen.
En arrivant sur la place Saint-Sauveur, vous avez l’église du Vieux Saint-Sauveur.
Vous voilà à présent sur la place Saint-Sauveur, l’une des plus anciennes places publiques de la ville !
Beaucoup de villes de France, et encore plus du Nord ont leur rue de la soif.
Je vous propose ici de vous arrêtez un instant, de vous trouvez une place sur un banc de la belle esplanade Jean Louvel pour parler un peu de la fascinante histoire de la Normandie.
Vous voilà sur l’esplanade Jean Marie Louvel face à l’impressionnante abbaye aux hommes.
L’église en ruines que vous voyez-là, porte le même nom que l’église abbatiale, à une différence près, il s’agit cette fois-ci de Saint-Etienne-le-Vieux.
Caen est une ville riche en histoire et en culture, remplie de belles librairies indépendantes ! S’il y en a une à voir absolument, c’est bien celle que vous avez devant vous: la librairie Guillaume.
Je profite du fait que nous arrivons rue du moulin pour faire un court aparté sur la place de l’eau à Caen au fil du temps.
Les petites histoires de la Habana Vieja et de la Habana Centro
5,8 km
2h30
24 audios
C’est fou de voir comment à l’approche d’un port, notre vitesse de marche ralentit et notre flânerie prend le dessus.
Depuis Le Tréport au Havre, la côte d’Albâtre a très tôt été rattachée aux pratiques balnéaires.
Emblématique dans la découverte de Dieppe, le quai Henri IV est ce type de lieu qui égaye la promenade rien que par son enfilade de façades colorées donnant sur le port de plaisance.
À Dieppe, rares sont les locaux qui ne connaissent pas cette adresse située à la toute fin du quai Henri IV. Soit parce qu’ils ont déjà mangé un bout au bistro qui s’y trouve, soit parce qu’ils ont déjà eu vent de l’histoire des lieux.
Avant même de vous indiquer ce qu’il faut voir et dans quelle direction orienter votre regard, avez-vous déjà entendu parler des gobes ?
Les bains de mer, la plage, le port, Dieppe est l’une des cités balnéaires emblématiques de la côte d’Albâtre. Et par logique, une destination incontournable pour tous nos amoureux du monde marin.
En France, quand il est question de station balnéaire, nous avons comme une sorte de renvoi automatique au club des destinations de la Côte d’Azur et de la côte atlantique qui s’opère.
Culturel, vert, balnéaire, religieux, en Normandie, il n’existe pas un seul type de tourisme profitable aux visiteurs, mais bel et bien plusieurs. Et cette liste demeure incomplète sans la mention de l’incontournable tourisme de mémoire si cher à la région.
Entre les jours de marché et l’omniprésence de voitures sur le parking de la Place Nationale, repérer la statue d’Abraham Duquesne peut sembler être toute une épreuve.
Entièrement piétonne, la Grande Rue est sans conteste l’artère commerçante principale de Dieppe. Déjà présente à l’époque gauloise, elle permettait de faciliter le passage d’une falaise à une autre.
En balayant rapidement le boulevard de Verdun, ça saute aux yeux, l’édifice qui vous fait face à quelque chose en plus que ses voisins n’ont pas. Et cette chose toute particulière, c’est une forte valeur historique.
Tournez légèrement la tête sur votre droite en direction de la falaise, et là, presque comme par magie, apparait l’incontournable Château-Musée de Dieppe. Château-Musée, en voilà une drôle d’association.
Faire connaissance avec l’église Saint-Rémy, c’est partir à la découverte du patrimoine religieux de Dieppe.
Au carrefour de non pas deux, mais bien six rues, si vous comptez juste, la place du Puits-Salé est sans doute la plus animée et la plus connue de Dieppe.
Construite entre le XIIe et le XVIe siècle, sur les anciens vestiges d’une chapelle, l’église Saint-Jacques doit son existence à l'archevêque de Rouen.
En tant que port de mer, Dieppe est pourvu de deux ponts bien distincts qui permettent aux habitants de facilement circuler d’un bassin à un autre.
Ça alors, des bateaux en lévitation et non posés à même les flots. Décidément, la visite de Dieppe n’a pas fini de vous surprendre.
Derrière cette ossature métallique, un peu rongée par le temps et par le sel qui flotte dans l’atmosphère, se cache un emblème dieppois à l’histoire plus qu’attachante.
À Dieppe, il y a un slogan qui clame haut et fort “poisson dieppois, poisson de choix”. Un peu chauvin, vous nous direz ? En soi, pas plus que n’importe quelle autre croyance défendue par un ou une Française fière de sa région ou de sa ville d’appartenance.
Pour trouver le cœur ancien et traditionnel de Dieppe, il n’y a rien de plus parlant que de se promener gentiment dans les rues du quartier du Pollet.
Ne vous méprenez pas, si nous tenions à vous faire marquer l’arrêt à cet endroit, c’est pour une bonne raison. Comme vous pouvez le lire sur l’un des panneaux accrochés au petit muret à gauche, non loin de vous, se trouve la chapelle Notre-Dame de Bonsecours.
En ayant rejoint le bord de l’eau et en tournant normalement le dos à la circulation, vous êtes en train de profiter de l’une des plus belles images de votre passage à Dieppe.
Sur les bords du Pô, s’étirant sur 50 hectares, se trouve le poumon vert de Turin, son beau parc del Valentino.
Vous arrivez devant le magnifique château Valentino. Les origines du premier château de l’époque médiévale, qui fut racheté par Emmanuel Philibert, sont encore floues aujourd’hui. Toujours est-il que lorsque le duc transfère sa capitale de Chambéry à Turin, il achète ce château au bord du Pô et le transforme en maison de campagne.
Un peu de tendresse dans ce monde de brutes. On en a tant besoin. C’est la minute mignonnerie et l’occasion de faire une photo originale. On doit cette œuvre d’art au travail d’un jardinier romantique turinois, Rodolfo Marasciuolo.
Même si Turin a été une ville romaine, elle ne connut de véritable essor qu’une fois qu’elle devint capitale du duché de Savoie au XVIe siècle. On ne retrouve donc pas trop de traces de son passé médiéval.
La pièce maîtresse de cette reconstitution médiévale est sans nul doute la Rocca. La forteresse est construite sur le modèle de plusieurs châteaux du Val d’Aoste et du Piémont.
Vous arrivez à la célèbre fontaine des douze mois. Cette fontaine monumentale a été inaugurée en 1898 pour célébrer le cinquantième anniversaire du statut albertin.
Nous retournons côté ville, mais restons dans la nature avec cet incroyable bâtiment de bioarchitecture moderne.Cette forêt verticale est l'œuvre de Luciano Pia, grâce à qui les habitants de la résidence 25 verde peuvent se vanter de vivre à la fois en pleine forêt et en plein centre-ville.
Le bel immeuble que vous voyez là est une extension de la première usine FIAT réaménagée en musée d’archive. Il retrace toute l’histoire de l’automobile et vous présente des modèles incroyables racontant à eux seuls un grand pan de notre histoire.
Le bâtiment que vous voyez sur votre droite est le palais des instituts anatomiques de Turin et appartient à l’Université. Au vu de l’architecture de l’édifice, vous comprenez l’importance de la discipline à Turin et le prestige de l’école au XIXe siècle.
Si nous avons quitté la rue principale pour une rue secondaire et qui paraît au premier abord sans intérêt, c’est pour voir la magnifique porte de la grenade. Cette porte, emblématique du mouvement art nouveau qui a embelli les villes du monde, est sans doute la plus belle de Turin.
Vous voilà au cœur d’un carrefour réussi entre patrimoine religieux, culturel et modernité. Vous avez d’un côté, les anciens bains municipaux et de l’autre l’église du Sacré cœur de Maria. La façade du bâtiment art déco des anciens bains douche, rappelle leur utilisation première avec ses frises décorées de poissons, grenouilles et coquillages.
Vous êtes à présent au cœur du quartier multiculturel de San Salvario. Ce quartier de Turin qui était encore malfamé il y a quelques années est aujourd’hui l’endroit le plus tendance de la ville. L’ambiance qui règne autour de cette petite place à l’heure de l’aperitivo est chaleureuse, festive et unique en son genre. L’église que vous voyez devant vous est d’ailleurs ouverte jusqu’à minuit.
Vous arrivez sur la place Primo Levi, nommée en l’honneur du chercheur en chimie turinois qui marquera les mémoires avec son livre “Si c’est un homme” racontant son emprisonnement à Auschwitz.
Vous voilà face à la gare principale de Turin. Cette immense station ferroviaire est la troisième plus grande d’Italie et vous emmène à Paris en à peine 6h.
La belle église du XIXe que vous voyez en face de vous est l’église du temple vaudois. Il faut savoir que le mouvement protestant Vaudois, né à Lyon à la fin du XIIe siècle, est déclaré hérétique et a été violemment persécuté !
Voilà l’arc du Valentino, surnommé Arc de Triomphe par les Turinois pour sa ressemblance avec son homologue parisien. Il est dédié à l’artillerie de l’armée et a été inauguré en 1930.
Le pont Umberto primo, considéré comme le plus beau de la ville avec ses 4 groupes de statues, vous permet d’avoir un beau panorama sur le Pô et ses berges naturelles.
La construction de cette église s’explique par le développement de la voie ferrée, qui se trouve juste à côté et qui a isolé ce quartier appelé le quartier de la Vallée.
Si typiques de la ville qu’on les appelle les Amiénoises, les maisons mitoyennes d’Amiens ont un style bien reconnaissable : construites en briques rouges, en tuile, en fonte et en fer, elles datent du XIXe siècle au temps de la Révolution industrielle pour accueillir les ouvriers et les employés du textile, de l’industrie, de la verrerie ou de la serrurerie.
Avec ses 52 mètres de hauteur, le beffroi d’Amiens s’inscrit dans l’histoire de la ville et de la région. Les beffrois sont particulièrement présents dans les villes du Nord de la France et en Belgique et renferment les cloches communales.
Vous voici devant l’édifice le plus visible d’Amiens, avec la cathédrale bien sûr. Du haut de ses 110 mètres, la tour Perret se voit à 10 km à la ronde ! A la fin de sa construction, elle était d’ailleurs considérée comme le plus haut gratte-ciel de France, et même de toute l’Europe de l’Ouest !
La place René Goblet porte le nom de cet ancien avocat d’Amiens, devenu procureur général, député de la Somme puis président du Conseil des ministres entre 1886 et 1887. On y trouve d’étonnantes maisons à l’architecture singulière, typique d’Amiens, mais surtout un imposant monument sur votre gauche,
Vous marchez à présent dans la rue des Otages. Le temps de rejoindre le prochain point d’intérêt, laissez-moi vous raconter la riche histoire de la ville. Vous avancez d’ailleurs ici dans une rue qui existait déjà à l’époque romaine, puisqu’elle faisait partie de la via Agrippa, une voie construite au Ier siècle av. J.-C. pour relier Amiens à Lyon.
Difficile de passer dans cette rue sans remarquer ce superbe hôtel particulier du XXe siècle, commandé par André Bouctot et Marie-Louise Vagniez, jeune couple fortuné qui décide de s’installer à Amiens suite à leurs noces. C'est en 1911 que l’architecte Louis Duthoit achève ce joyau de l’architecture,
Vingt Mille Lieues sous les mers, Voyage au centre de la Terre, Le Tour du monde en quatre-vingts jours… Que de livres à succès que l’on pourrait citer parmi les quelque soixante romans écrits par le célèbre écrivain Jules Verne, l’un des plus grands noms du XIXe siècle.
Tournez-vous sur votre droite : vous avez ici un bel aperçu du sommet de la tour Perret. On voit bien ici la différence d’architecture entre ses diverses parties, un coup carrée, un coup ronde, et le cube de verre qui est placé à son sommet. Celui-ci a pour but d’illuminer la tour à la tombée de la nuit et de la rendre visible à des kilomètres à la ronde.
Devant vous se dresse un étonnant bâtiment qui a toute son importance ici. Il s’agit de l’un des derniers cirques en dur encore debout en Europe ! Ces bâtiments sont progressivement construits dans les villes françaises au cours du XIXe siècle,
L’art et l’archéologie sont à l’honneur dans ce musée ouvert en 1869. Il est installé dans un superbe bâtiment construit au XIXe siècle, destiné dès sa création à recevoir les œuvres d’art de la ville, ce qui en fait le premier édifice construit en France pour devenir spécifiquement un Musée des Beaux-Arts.
Vous voici arrivé sur l’une des places centrales, et devant vous se dresse l’imposant Hôtel de Ville d’Amiens. La version que l’on voit aujourd’hui, avec son plan en forme de U, a été achevée au XIXe siècle, et restaurée le siècle suivant, suite aux bombardements de la Première Guerre mondiale.
Voici la rue des Trois Cailloux, véritable rue commerçante d’Amiens. Ici, vous trouverez une grande partie des boutiques du centre-ville, dans cette jolie artère très fréquentée par les habitants. C’est une rue historique, car elle aurait été créée à partir du XVe siècle, au moment où une partie des fortifications de la ville a été supprimée.
Sur votre gauche se trouve le passage du Logis du Roi, celui que nous allons emprunter pour rejoindre le prochain point d’intérêt, mais avant cela, je vous propose de regarder le bâtiment qui se trouve un peu plus loin sur votre droite, au numéro 32. N’hésitez pas à vous en approcher pour voir la façade qui fait l’angle avec la prochaine rue.
Majestueuse, immense, époustouflante… Que d’adjectifs élogieux qui nous viennent à l’esprit lorsque l’on se retrouve face à la cathédrale Notre-Dame d’Amiens ! Immense, en tout cas, fait partie de ses caractéristiques puisque c’est la plus grande cathédrale de France et de loin : elle fait carrément le double de la cathédrale Notre-Dame de Paris !
Construite à la suite de la guerre de Cent Ans, cette église est la plus ancienne église de la ville après la cathédrale. Bâtie au XVe siècle, elle est un véritable témoignage de l’art gothique flamboyant et possède une particularité qui la rend plutôt unique : son clocher penche vers le nord, ce qui lui vaut le joli surnom de “La petite Pise de Picardie".
C’est sans aucun doute le quartier le plus pittoresque d’Amiens ! Créé au Moyen Âge, le quartier Saint-Leu était autrefois le quartier des tisserands, teinturiers et tanneurs, qui profitaient de la proximité de l’eau et des quelque 25 moulins en activité pour développer leurs commerces et vendre leurs produits.
Devant vous se dresse l’église Saint-Leu, la plus ancienne de la ville après la cathédrale. Elle a été édifiée en 1449, mais on estime qu’une autre église se trouvait déjà ici avant elle, certainement détruite quelques temps plus tôt. L’églie Saint Leu a donc remplacé l’ancienne.
Sur votre droite se trouve l’une des places les plus animées et festives d’Amiens. Il s’agit de la place du Don, où l’on retrouve de nombreux bars dansants et restaurants. On a d’ici une superbe vue sur la cathédrale et sa flèche, qui culmine à 112 mètres.
Vous voici au-dessus de la Somme, la rivière qui traverse la ville et qui a donné son nom à la vallée dont Amiens fait partie. Cœur du pittoresque quartier Saint-Leu, la rue de la Dodane est une voie historique où l’on trouvait de nombreux ateliers et des échoppes, ce qui en faisait déjà un lieu très animé à l’époque.
C’est à la fin du XIXe siècle que le projet de construire l’église Saint-Rémi voit le jour, à la place d’une ancienne église paroissiale du XVIe siècle qui fut démolie en 1850.
Si vous cherchez un lieu animé dans Amiens, vous êtes au bon endroit ! Le quai Bélu regorge de bars et de restaurants qui offrent un superbe cadre au bord de la Somme pour boire un verre et manger les spécialités de la ville !
Sur votre gauche, un peu plus loin, se trouve l’agréable parc Saint-Pierre. Situé entre le quartier Saint-Leu et le quartier Saint-Pierre, cet espace vert de 22 hectares est le lieu privilégié pour des balades en pleine nature, à quelques pas du centre-ville !
Véritable particularité de la ville d’Amiens, les hortillonnages sont un ensemble de petits jardins flottants à deux pas du centre-ville ! Ils débutent à quelques mètres de là, sur votre gauche. Les marécages qui se trouvaient ici autrefois ont été aménagés de cette façon au Moyen Âge pour permettre la culture maraîchère au cœur d’Amiens.
Jetez un œil sur votre gauche. Construit au début du XVIe siècle, cet édifice remarquable a vu passer quelques-uns des plus grands personnages de l’époque. Parmi eux, le roi Louis XIII et son ministre, le cardinal Richelieu, et même Louis XIV quand il était enfant. C’est pour cela qu’il porte le nom de Logis du Roi, encore aujourd’hui.
C’est une belle balade qui vous attend sur le chemin du Halage, qui part du parc Saint-Pierre et longe la Somme et les hortillonnages sur plusieurs kilomètres. À l’époque, le chemin de halage était aménagé pour permettre la traction des embarcations qui n’avaient pas de moteur ou qui ne pouvaient plus utiliser leur voile pour avancer.
Plutôt atypique, cette horloge, non ? Ce monument surprenant est l’un des symboles de la ville, que l’on doit à l’architecte Emile Ricquier, qui a également conçu le somptueux cirque Jules Verne.
À Agen, du centre-ville à la Garonne, il n’y a qu’un pas. Et ce pas, ici, nous vous proposons de le faire à l’un des endroits de promenade préférés des locaux. C’est-à-dire sur l’agréable et verdoyante esplanade du Gravier.
Si elle ne peut voler la vedette au pont-canal, situé à votre droite quelques mètres plus haut, la passerelle suspendue reste tout de même l’un des moyens rapides et agréables de relier la promenade du Gravier à l’extrémité de la rue Gambetta.
Vous arrivez ici au niveau de la place Jasmin. Posture bien droite, main gauche sur la poitrine, pendant que l’autre semble vouloir accompagner un flot de paroles imaginaires, mais qui peut bien être cet homme ? Et quel est son lien avec la “capitale du pruneau” ?
De tout les incontournables du patrimoine agenais que rassemble notre itinéraire, celui que nous sommes sur le point de vous présenter est sans nul doute l’un des plus importants. Si ce n’est pas le premier sur la liste !
Pôle religieux important, Agen fait partie de ses villes à pouvoir présenter plusieurs lieux de culte à ses visiteurs, autres que sa cathédrale Saint-Caprais.
Vous voilà à présent en face de l'ancienne église Saint-Hilaire, ou du moins ce qu’il en reste.
En France, nombreuses sont les spécialités culinaires qui ont fait et qui continuent de faire la renommée de leur ville.
Aussi méconnue qu’emblématique, la maison du Sénéchal serait la plus ancienne habitation civile d’Agen. Pour la voir de plus près, avancez dans la rue Puits du saumon et arrêtez-vous au numéro 17.
Si avec leur clocher ou leurs flèches les églises parviennent à dominer les toits d’Agen, la construction qui se trouve ici leur fait une belle jambe.
Si depuis la gare, elle est l’une des premières images patrimoniales d’Agen que vous puissiez voir, au croisement étroit de ces rues, la présence de l’église Sainte-Foy est légèrement déconcertante.
Si le pruneau est l’emblème d’Agen et le pont-canal, sa fierté, la cathédrale Saint-Caprais, elle, est sa pépite sacrée.
À Agen, s’il y a bien une rue que tout le monde préfère, c’est la rue des Cornières ! Véritable livre d’histoire à ciel ouvert, cette artère était le poumon économique principal de la ville entre le XIIIe et le XIXe siècle.
Vous voici sur une petite place animée. Ici se dressait autrefois le forum de la cité gallo-romaine et le parvis de la première cathédrale Saint-Étienne, détruite au XIXe siècle. L’animation et la fréquentation des lieux ont toujours fait de la place des Laitiers, le cœur de la ville d’Agen où s’acheminent plus d’une rue, ainsi que ce grand boulevard de la République.
Voici la chapelle Notre-Dame du Bourg, un petit joyau du centre d’Agen. Construite à la fin du XIIIe siècle en briques rouges, elle se trouvait à l’époque hors des remparts, au milieu d’un grand cimetière chrétien.
C’est un incontournable en Aquitaine et l’un des plus importants de sa catégorie dans le Sud-Ouest de par sa richesse et sa diversité, le Musée des Beaux-Arts d’Agen se devait impérativement de figurer dans l’itinéraire de visite de la ville.
Identifiable par sa façade en rotonde, le théâtre Ducourneau est l’un des sites emblématiques d’Agen. Il a été financé par un enfant de la ville, Alphonse-Pierre Ducourneau, un philanthrope et mécène agenais qui fit fortune à Paris au XIXe siècle.
Petite en taille, mais grande par son charme, la rue Beauville est l’un des passages incontournables et privilégiés dans la découverte d’Agen.
L’église Notre-Dame des Jacobins est pour ainsi dire le seul morceau restant du couvent des Dominicains, fondé en 1249 par l'inquisiteur Bernard de Caux sur tout le quartier ouest de la ville.
Bienvenue devant le Marché Couvert d'Agen, situé sur la Place Jean-Baptiste Durand, au cœur de cette ville gourmande du Sud-Ouest. Pendant des siècles, les Agenais faisaient leurs emplettes à ciel ouvert sur cette place.
Vous voilà sur la Place du Peuple, un nom qui résonne avec l’histoire sociale de Saint‑Étienne et fait tout de suite penser à une place populaire, comme la célèbre Piazza del Popolo de Rome, lieu de rassemblement par
En vous approchant de cette jolie tour ronde, difficile d’imaginer qu’il s’agit là d’un des plus anciens vestiges médiévaux de Saint‑Étienne. Voici la Tour de la Droguerie, unique survivante des remparts qui entouraient la ville
En arrivant dans cette rue, impossible de ne pas remarquer cette grande bâtisse à pans de bois et encorbellements : on l'appelle la Maison du Mouton à cinq pattes. Ce nom qui peut faire sourire témoigne justement du fait
Voici la Demeure Chamoncel, que tout le monde ici appelle la Maison François Ier. Mais attention, ne vous fiez pas au nom ! Le roi n’y a jamais dormi, même s’il est bien passé dans la région en 1536. Cette belle demeure
Vous voilà devant l’un des plus anciens monuments de Saint-Étienne : la Grand’Église, comme on l’appelle ici. Officiellement, c’est l’église Saint‑Laurent‑Saint‑Étienne, un nom à double vocation. Saint Étienne, premier
Vous êtes devant l’un des plus beaux témoins de l’âge d’or industriel de Saint-Étienne : l’ancienne Chambre de Commerce, aujourd’hui devenue la Maison des Avocats. Ce bâtiment, installé dans celle qu’on appelait alors la
Vous vous trouvez devant la librairie Forum, mais saviez-vous que vous êtes sur l'un des sites les plus emblématiques de l'histoire du commerce français ? C'est ici même qu'en 1898 naquit l'empire Casino, l'une des plus
Vous voici devant l'Hôtel de Ville de Saint-Étienne, construit au début du XIXe siècle. Sa façade néoclassique marque le centre historique de la ville avec son style sobre et élégant. Observez les deux statues qui se dressent
Ici, sur la place Jean Jaurès à l'arrière de l'Hôtel de Ville, arrêtons-nous quelques instants devant ce buste pour découvrir l'homme dont le nom résonne dans tant de villes françaises. Approchez-vous de cette sculpture et
Bienvenue devant la cathédrale Saint-Charles-Borromée, l'une des plus jeunes cathédrales de France ! Contrairement aux géants gothiques millénaires que vous connaissez déjà, celle-ci fête tout juste son centième
De l'autre côté de la place, en face de la préfecture, vous pouvez découvrir le buste de José Frappa, une figure marquante de l’histoire sociale et ouvrière de Saint-Étienne. José Frappa était un syndicaliste et militant
Je voulais juste attirer votre attention sur le bâtiment sur votre droite qui fait l’angle de la rue. Regardez sa façade sculptée, et ses balcons ornés. Si vous levez les yeux, vous remarquerez l'inscription "Loire Républicaine”,
Si vous voulez une belle vue sur Saint-Étienne et une photo souvenir digne de ce nom, je vous invite à grimper les escaliers de la Montée du Crêt de Roc. Une fois en haut, vous serez récompensé par un beau panorama sur la
Difficile à imaginer aujourd’hui, mais jusqu’au début du XXe siècle, vous vous seriez trouvé ici au milieu d’un enchevêtrement de ruelles étroites, dominé par l’ancien Hôtel-Dieu. L’avenue de la Liberation n’existait pas. C’est
Vous voilà maintenant à l’angle de l’avenue de la Libération et de la rue du Grand-Moulin, devant un bâtiment qui ne passe pas inaperçu. Large façade en pierre blonde, fronton imposant, détails sculptés… Bienvenue devant
Devant vous se dresse La Martre de France, l'un des joyaux architecturaux les plus spectaculaires de Saint-Étienne. Avec un nom pareil, on s'attend déjà à quelque chose d'exceptionnel... et la façade tient toutes ses promesses
Vous voilà sur la rue des Martyrs-de-Vingré. Une rue piétonne tranquille, bordée de commerces et de vitrines, dans laquelle on déambule sans forcément penser à ce que cache son nom. Et pourtant… ce nom raconte une
Vous voilà sur la place Chavanelle, en plein centre de Saint-Étienne. Aujourd’hui, elle ressemble à une grande respiration urbaine, bordée de cafés et ponctuée d’œuvres d’art contemporain. Mais imaginez-la il y a quelques
Vous êtes à présent sur la place Waldeck-Rousseau. Jetez un œil autour de vous : d’un côté, l’église Saint-Louis, de l’autre, l’imposant bâtiment des anciennes Galeries Lafayette. Deux styles, deux histoires, deux
Vous arrivez à présent devant la célèbre maison Jeanne d’Arc. Détruite lors des bombardements de la Seconde Guerre mondiale, elle a été reconstituée en 1965. C’est Jacques Boucher, trésorier du Duc d’Orléans, qui aura les honneurs d’héberger Jeanne d’Arc du 29 avril au 9 mai 1429.
Ce grand cloître gazonné que vous voyez sur votre gauche, entouré d’arcades, c’est le Campo Santo. C’est l’ancien cimetière de la ville, construit au XIIe siècle et aujourd’hui classé monument historique.
J’attire juste une demi-seconde votre attention sur l’angle de la rue de Bourgogne et de la rue Parisie. Le street artiste Mifamosa joue avec les mots comme avec les mosaïques et a parsemé sa ville natale de clin d'œil humoristique.
Vous êtes au cœur de ce qu’était Orléans à l’époque gallo-romaine. Des fouilles archéologiques ont confirmé les dires des moines bénédictins qui affirmaient avoir trouvé plein de pierres taillées et provenant certainement d'anciens édifices païens.
Vous voilà face à l’église Saint-Aignan. Saint-Aignan c’est quelqu’un de super important qui va faire son entrée dans la grande Histoire en tenant tête au terrible Attila, le chef des Huns. Ils arrivent pour conquérir Orléans après avoir saccagé Metz et Reims.
Les bords de Loire ont été joliment aménagés pour vous permettre de profiter d’une agréable balade le long du fleuve. Bancs, transats, pontons et bateaux anciens participent grandement au charme des quais du Châtelet.
Suivant le modèle de plusieurs villes internationales comme nationales, Orléans décide de se doter d’un emblème ! Ce sera un simple “O” de 3 mètres de haut et créé par Jean Dubrana.
La place du Châtelet, où vous arrivez à présent, a été créée dans les années 1880 pour faire de la place à la construction de quatre halles métalliques abritant le marché de gros. À l’époque c’est un vrai cœur commercial et on dénombre pas moins de 40 boutiques autour des halles.
J’attire rapidement votre attention sur la façade de l’édifice sur votre droite. Oui, celui qui est tout beau, tout sculpté. Il s’agit de la maison de Jean d'Alibert.
Les ponts, anciens ou nouveaux, nous permettent toujours de prendre un peu de recul et d’avoir une belle vue sur la ville. Vous avez ici, d’un côté les bords de Loire sauvage avec au loin, la structure élancée du moderne pont de l’Europe, et de l’autre, la ville d’Orléans, ses quais avec les tours de la Cathédrale dépassant du tableau.
Vous êtes à l’entrée de la ville. Arrivant par le pont George V, s’ouvre devant vous une perspective majestueuse jusqu’à la place du Martroi. La rue Royale a été percée après la construction du nouveau pont.
Ce pont de pierre que vous avez sur votre droite est le pont George V. Le premier pont connu qui traverse la Loire à Orléans, date de l’époque gauloise et reliait la rue du Lin derrière vous à celle de Saint Marceau sur l’autre rive.
Vous voilà sur la petite place Louis XI. Alors Louis XI, n’est pas le plus connu de notre longue liste de Louis, mais sachez qu’il aimait beaucoup Orléans et y a vécu à plusieurs reprises au cours de son règne. Si vous regardez bien, vous verrez sa statue perchée sur un socle le long du mur d’une ancienne église.
Oui, elle est drôlement belle cette façade du XVIe siècle avec son alternance de style gothique et Renaissance ! Comme son nom l’indique, il s’agit du premier hostel de ville d’Orléans, l’Hôtel des Créneaux.
De l’autre côté du square, vous pouvez admirer ce qui est sans doute le plus beau bâtiment Renaissance d’Orléans. En 1862, la ville rachète cet hôtel particulier construit par l’avocat Philippe Cabu vers 1550.
Cette place qui s’ouvre sur votre droite est la Place de la République. On voit que ce n’est pas une place classique qui s’est créée avec le temps. Elle s’est installée sur l’espace laissé par la destruction d’un pâté de maisons nécessaire à la percée de la rue Jeanne d’Arc.
La rue Jeanne d’Arc, qui s’ouvre majestueusement sur la Cathédrale Sainte-Croix, est certainement l’image la plus connue d’Orléans. Et c’est voulu !
Vous voilà devant le magnifique Hôtel Groslot. Il a été construit au XVIe siècle par Mr Groslot donc, qui était le bailli du roi. Le bailli du roi, c’est celui qui le représente sur un territoire, pour bien rappeler sa présence à d’autres autorités locales comme les évêques, les seigneurs ou les municipalités.
Alors, on va se mettre tout de suite dans l’ambiance. À Orléans, la star, c’est Jehanne. Vous savez comme moi que Jeanne d’Arc a délivré la ville d’Orléans du siège des Anglais pendant la guerre de Cent Ans et permis à Charles VII d’être couronné roi de France légitime.
Les jardins de l’hôtel vous offrent un accès privilégié et une belle vue sur la façade arrière de l’Hôtel Groslot. Avec ses pelouses bien entretenues et les tours de la Cathédrale qui dépassent derrière l’hôtel, vous avez un joli cadre à immortaliser.
Laissant le Campo Santo derrière vous, vous avez une vue spectaculaire, sur la face nord de la Cathédrale, absolument splendide avec sa rosace et sa flèche centrale qui culmine à 114 mètres dans le ciel.
Il est toujours étrange dans ce monde bâti en carré, de trouver une construction ronde. Celle que vous avez devant vous est le temple protestant d’Orléans. C’est d’ailleurs l’un des rares temples ronds en France.
Maintenant que vous l’avez vue sous toutes ses coutures, arrêtons-nous un instant pour parler un peu de la belle cathédrale Sainte-Croix. Déjà, sachez qu’il y avait là, au IVe siècle, au début de la chrétienté à Orléans, un premier édifice religieux qui aurait tenu jusqu’au Xe siècle.
Vous êtes au point 0. C’est d’ici, sur le parvis de Notre-Dame, qu’est calculée la distance kilométrique des villes de France depuis Paris. Ce point n’est pas choisi par hasard puisque nous sommes en plein cœur du berceau de la ville, noyau central de la Lutèce romaine.
Changement d’époque pour une page tragique de notre Histoire. Vous êtes devant le Mémorial des Martyrs de la déportation dédié à l’ensemble des déportés de France pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Le bâtiment que vous voyez en face de vous sur la rive gauche est l’hôtel-Dieu de Paris. C’est le plus vieil hôpital de la ville ! Il a été fondé en 651 à l’initiative de l’évêque de Paris pour accueillir les plus nécessiteux.
Vous voilà face à l’hôtel de ville de Paris. Cet imposant monument, à la façade néo-renaissance éblouissante, est l’un des plus vieux symboles de Paris.
Alors, oui, c’est assez surprenant de voir une tour magnifique comme la Tour Saint-Jacques, isolée comme ça dans un parc du même nom, mais c’est tout simplement le clocher d’une église disparue. L’église Saint-Jacques de la Boucherie, de son nom complet, s’y élevait depuis le XIIe siècle.
Vous voilà à présent sur l’intéressante place Igor Stravinsky, nommée en hommage au célèbre compositeur russe. Imaginée comme un carrefour entre l’ancien et le moderne, la place mêle église gothique, fontaine fantaisiste et œuvres de street art.
On l’adore ou on le déteste, toujours est-il que le Centre Georges Pompidou passe la barre des 3 millions de visiteurs annuels et arrive sur le podium des bâtiments les plus visités de Paris ! C’est quand même la 1ère collection d’Art Moderne en Europe !
Vous passez à présent devant le forum des Halles. Cet immense centre commercial est parmi les plus fréquentés de France. Comptez environ 150.000 personnes par jour, soit 50 millions de visiteurs par an ! C’est quand même environ 5 fois plus que le Louvre !!
Vous arrivez sur le parvis de l'église Saint-Eustache, connue pour abriter l’un des plus grands orgues de France. On doit son édification à François 1er, qui voulait une grande église au cœur de Paris, suffisamment impressionnante pour rivaliser avec Notre-Dame.
Ce beau bâtiment en rotonde, devant lequel vous arrivez, est l’ancienne bourse de commerce de Paris. Faites le tour pour arriver devant son entrée majestueuse.
Moins connue que les autres places royales, la place des Victoires est néanmoins une très belle place circulaire parisienne flanquée d’hôtels particuliers de style Louis XIV, tous classés monuments historiques. Elle est dédiée à Louis XIV et à ses victoires militaires, d’où le nom de la place.
Il serait bien dommage de traverser tout Paris sans passer par l’un de ces magnifiques passages couverts. Les Galeries Vivienne dans lesquelles vous vous engouffrez maintenant sont considérées comme les plus belles de la capitale !
Vous venez de traverser le petit passage du Perron, qui vous permet d’entrer dans les beaux jardins du Palais Royal. Cette galerie d’à peine 30 mètres de long date de 1784 et mène à un escalier donnant accès au Palais.
Vous voilà, au cœur de la cour d’honneur du Palais Royal. C’est vrai qu’elle est plutôt impressionnante. Alors, le palais a beau s’appeler royal aujourd’hui, c’est le cardinal de Richelieu qui en a ordonné la construction en 1633.
Reconnaissable entre mille, vous voilà devant la célèbre pyramide du Louvre ! Le musée, lui, reçoit tous les superlatifs possibles ! Il est à la fois le plus grand musée d’Art et d’Antiquité au monde, mais aussi le plus visité avec plus de 10 millions d’entrées vendues chaque année !
Que serait Paris sans ses ponts qui vous offrent de superbes panoramas ! Ici, c’est une vue à 360° que vous avez ! Vue pittoresque sur la Seine, vue sur le Louvre d’un côté et de l’autre sur l’Institut de France. C’est magnifique !
Le magnifique bâtiment que vous voyez devant vous est l’Institut de France, surnommé “Le Parlement du Monde Savant”. C'est une institution fondée en 1795 pour créer un endroit qui réunirait l’élite dans les grandes académies françaises.
Vous récupérez à présent le pont neuf. Comme c’est très souvent le cas, le pont neuf d’une ville est en réalité l’un des plus vieux. Ici, c’est même LE plus ancien pont de Paris.
Rien de tel qu’une pointe avançant sur l’eau pour avoir une sensation de calme et de plénitude. Vous êtes sur l’île de la Cité, au cœur du square du Vert Galant érigé en l’honneur d'Henri IV. Le nom Vert Galant vient du fait que Henri IV, malgré son âge avancé, continua à avoir de nombreuses maîtresses.
Merci aux ponts de Paris, de nous permettre sans cesse de nous resituer dans l’espace ! Vous êtes ici sur le pont au change, l'un des 37 ponts traversant la Seine. Il tient son nom des bureaux de change, qui y étaient installés.
Vous voici devant la Tour de l’Horloge du palais de la cité. Le magnifique cadran sur fond bleu que vous voyez là, est la première horloge de Paris ! À la base, le beffroi avait été construit comme tour de guet pour protéger le palais où étaient installés les rois de France.
Vous avez ici l’entrée de la Sainte-Chapelle. Alors, l’entrée est payante, mais si vous décidez d’aller la visiter vous découvrirez un chef-d'œuvre total. De l’Art gothique flamboyant avec pas moins de 1.113 vitraux, véritable mur de lumière retraçant les scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament.
Vous passez ici l’entrée de la splendide galerie Sciarra. N’hésitez pas à prendre un moment pour aller en admirer les peintures.
Sur votre gauche, les 11 colonnes corinthiennes qui se dressent face à la place de la Pietra, faisaient autrefois partie du temple d’Hadrien. Durant l’Antiquité, cet espace était connu sous le nom du champ de Mars, et représentait environ 2 km² de plaine inondables, à l’extérieur des limites sacrées de la ville de Rome.
On sent tout de suite, en arrivant sur cette immense place pratiquement fermée, que l’on est face à l’un des joyaux de Rome. C’est clairement sa plus belle place. Sa grande taille rectangulaire est due au fait qu’elle servait de stade pour les courses de chars avant la création du Colisée.
Nous avons ici une magnifique vue sur le Palais de la Cour suprême de cassation. Elle est le siège de la plus haute juridiction italienne, héritée de la Révolution française dont les idées ont été introduites en Italie lors des conquêtes de Napoléon.
Aaah, on est pas mal là, sur le pont Saint-Ange avec le château du même nom en fond et cet alignement magnifique de statues ! Autre image emblématique de Rome et célèbre lieu de pèlerinage, ce pont remplace son prédécesseur, le pont Aelius, construit par l’empereur Hadrien en 134.
L’imposant château Saint-Ange que vous avez à présent juste devant vous a été tour à tour, tombeau, château fort, palais des papes, prison et musée. Il a été construit sous le règne de l’empereur Hadrien vers l’an 135 et était destiné à servir de mausolée pour le souverain.
Nous empruntons à présent la célèbre rue de la Réconciliation. Cette grande ligne droite qui relie le Château Saint-Ange à la place Saint-Pierre est aussi connue que symbolique, mais elle a surtout été beaucoup critiquée.
Vous l’attendiez, et vous y êtes, vous voilà sur la sublissime place Saint-Pierre du Vatican. Comme vous le savez, elle est le lieu des grands rassemblements religieux célébrés par le Pape.
Par où commencer pour vous parler de la basilique Saint-Pierre ? Vous êtes face au plus important bâtiment de la chrétienté et accessoirement à la plus grande église du monde.
Libre à vous à présent de partir visiter le Vatican. Les 11 musées du Vatican sont considérés comme les plus beaux musées du monde.
D’ici, en longeant les fossés du parc du château Saint-Ange, vous vous rendez mieux compte que ce dernier est installé au cœur d’une citadelle. On l’a vu, c’est l’empereur Hadrien qui, au IIe siècle après J.C, a fait édifier un mausolée à sa gloire, encadré d’un beau jardin carré.
Vous voilà sur la place Cavour, à l’arrière du magnifique bâtiment de la Cour suprême de Rome. Le monument au centre rend hommage au comte de Cavour, considéré, avec Victor Emmanuel II, Garibaldi et Mazzini, comme le père de la Patrie.
Le monument que vous passez sur votre droite est le Mausolée de l’empereur Auguste. La plupart des éléments de la Rome antique sont présentés dans notre itinéraire dédié mais sachez que ce mausolée est l’un des monuments les plus importants de l'Antiquité.
Vous remontez à présent la Via di Ripetta. Cette rue historique du vieux Rome, dont les origines remontent au Ier siècle avt. J.C. est aujourd’hui partie intégrante de ce qu’on appelle le Trident du Campo Marzio.
Nous arrivons à présent sur l’une des places les plus populaires de Rome! La piazza del Popolo, la place du peuple. Mais en réalité le nom viendrait plutôt des peupliers qui l'entourent.
Le balcon de la Piazza Napoleone où vous vous trouvez actuellement se trouve sur la colline de Pincio. Il vous offre une superbe vue sur la piazza del Popolo.
Vous passez à présent devant l’entrée de l’Académie de France à Rome. Fondée en 1666 par Louis XIV, l’académie des beaux-arts est installée dans la villa Médicis depuis 1803.
Nous arrivons au sommet des escaliers de la place d’Espagne ! Cet immense escalier baroque est un lieu de rencontre privilégié des Romains.
Si nous vous emmenons faire un léger détour, c’est pour que vous puissiez découvrir l’étrange palais Zuccari que se dresse devant vous. Avouez que ce n’est pas tous les jours que vous faites face à une entrée d’immeuble en forme de bouche de monstre grande ouverte.
La piazza di Spagna était en 1620, un petit bout de l’Espagne qui y avait installé son ambassade auprès du Saint-Siège. C’était les lois espagnoles qui étaient en vigueur et les Espagnols y avaient leur propre administration ainsi que leurs soldats.
Vous empruntez à présent la célèbre Via del Corso qui s’étire de la place du peuple à la place de Venise. Appréciée pour ses nombreuses boutiques qui bordent son kilomètre six, elle suit en fait le tracé d’une des principales chaussées romaines de l’antiquité : la voie Flaminia.
Rome compte plus de 400 fontaines, mais c’est bien sûr la fontaine de Trévi, la véritable vedette de la capitale !! C’est sur qu’avec des dimensions pareilles, on ne peut qu’être impressionné !!
Vous voilà face à une star incontestée de la ville, littéralement le temple de tous les Dieux, en d’autres termes, le célèbre Panthéon de Rome. Ce bâtiment exceptionnel a été construit en -27 avant Jésus-Christ, sous le règne d’Auguste.
Voilà une des sculptures les plus particulières de Rome. Sur la place de la Minerve, vous avez devant vous, celui que l’on surnomme le poussin !
Un peu éparpillées dans la ville, comme ici aux portes du Merrion Square Park, les maisons de style géorgien sont monnaie courante en Irlande, et encore plus à Dublin. Caractérisées par leur apparence sobre en brique et leurs fenêtres blanches, ces hautes demeures bourgeoises du XVIIIe siècle alimentent énormément l’humour irlandais.
Que ce soit en hiver ou en été, le St Stephen’s Green n’a pas de meilleures saisons pour se faire apprécier. Lieu de pâturage, jusqu’en 1663, cette zone périphérique a commencé à se métamorphoser dès l’année suivante, lorsque le gouvernement clôtura la parcelle de 9 hectares pour en faire un parc.
Sanctuaire idéal pour tout acheteur qui se respecte, le Stephen’s Green Shopping Centre est un centre commercial absolument gigantesque. Construite sur le site de l’ancien marché Dandelion, où le groupe U2 a donné ses premiers concerts, cette galerie marchande a ouvert ses portes en 1988, avec seulement 4 magasins opérationnels sur 78, lors de son premier jour d’activité.
Sublime exemple de l’architecture victorienne, avec ses briques rouges si caractéristiques, la George’s Street Arcade est un lieu très populaire à Dublin, depuis son ouverture en 1881. Ne ressemblant à aucun autre site de la ville, cette sorte de marché couvert, avec une tendance centre commercial, est le premier de sa catégorie à être construit dans la capitale.
Joyaux du centre-ville, le château de Dublin représente à lui seul un important morceau de l’histoire dublinoise. Bâti en 1204 sur un ancien fort viking, par le roi Jean d’Angleterre, cet ancien édifice avait pour objectif de symboliser la domination britannique sur l’Irlande, autrement dit le règne des Anglo-Normands sur le peuple irlandais.
La cathédrale Saint-Patrick de Dublin, telle que nous la voyons aujourd’hui, a été construite à la place d’un ancien lieu de culte datant du Ve siècle. Les récits irlandais disent que c’est à cet endroit même que Saint-Patrick aurait baptisé dans un puits plusieurs de ses disciples, menant progressivement l’Irlande à l’évangélisation.
Inévitable sur votre chemin, le Dublinia Museum est l’endroit parfait pour découvrir l’histoire médiévale de la ville. Très prisé par les touristes pour son offre culturelle plaisante, le site bénéficie d’un décor néogothique d’autrefois qui donne immédiatement le ton.
Figure emblématique du patrimoine médiéval de la ville, la cathédrale Christ Church est un monument devenu incontournable pour les passionnés d’histoire. Afin de planter le décor, il faut d’abord savoir qu’un premier édifice en bois a été élevé sur le terrain en 1038 par Sitric Silkenbeard, roi de la colonie viking.
Ô combien populaire et branché à Dublin, le quartier Temple Bar est un incontournable de notre itinéraire de visite. Très mal famée dans les années 1600 et occupée par les artistes et les commerçants à partir de 1800, la zone devient réellement prospère dès 1991, avec l'élection de Dublin en tant que Capitale européenne de la culture.
Parcourue par le populaire fleuve Liffey, Dublin nous décline pas moins de 23 ponts pour nous faire voyager d’une rive à l’autre. Il est vrai que cela nous laisse du choix, voire même un peu trop… Heureusement, le Ha’penny bridge est là pour vous sauver la mise.
Équivalent des Champs-Élysées français, la O’Connell Street est l’artère principale de Dublin. D’ailleurs, qu’importe l’heure à laquelle vous l’approcherez dans la journée, cette rue commerçante et touristique est bien souvent noire de monde.
Ni envahi par la foule, ni spécialement massif, ce mémorial compte pourtant énormément dans la vie des Dublinois. Lourdement touché par la Grande Famine de 1845 à 1849, le peuple irlandais connaît un climat de misère éprouvant, mais surtout meurtrier.
Amarré le long du quai nord de la ville, ce magnifique trois-mâts est le Jeanie Johnston. Risquant de gâcher prématurément votre enthousiasme, il est bon de vous prévenir qu’aucune croisière à l’approche de cette figure navale ne vous sera proposée, mais plutôt une visite pédagogique payante sur l’une des pages d’histoire du pays.
Stoïque sur les abords de la rive nord de la Liffey, le Custom House est le bâtiment néoclassique le plus célèbre de la ville. Dessiné par James Gandon, l’un des architectes les plus réputés de Dublin, l’édifice a engendré un chantier de construction colossal, nécessitant la participation de tous les ouvriers disponibles du coin.
Plus pour ses façades que pour ses services certainement honorables, le Bloom Hôtel est un point d’arrêt totalement improvisé dans notre itinéraire. Pour ceux qui l’ignoraient, Dublin est autant indissociable de sa bière Guinness que de ses légendes de la littérature irlandaise.
Que serait Dublin sans son prestigieux Trinity College ? Considéré comme l’une des meilleures universités d’Europe, et la plus ancienne du pays, ce lieu d’enseignement fait figure de véritable institution.
Perdue au milieu des passants depuis 1988, cette statue d’une autre époque fait l’objet d’une légende urbaine importante pour le peuple irlandais. Si certains se mettraient volontiers à raconter son histoire en chanson, comme le veut l’hymne officieux de la ville, nous avons opté pour une version plus sage et moins lyrique. Ne nous en voulez pas !
Un peu comme un film que l’on aurait besoin de regarder plusieurs fois, Dublin dévoile son histoire et ses particularités par touches successives. Il y a les choses évidentes que l’on sait sur elle, avant même de la rencontrer, comme sa collection de pubs et son empire de la bière.
Hormis le fait que ce soit l’une des premières maisons du quartier, construites dans un style évidemment géorgien, cette demeure est plus connue comme ayant appartenu à la famille du célèbre écrivain irlandais, Oscar Wilde.
Si Dublin recense une collection de statues à l’effigie de personnalités ayant marqué son histoire, celle qui se présente devant vous est tout particulièrement réussie. Aussi grand par la taille que par la carrière qu’il s’est forgée, Oscar Wilde est un homme fortement rattaché à la ville.
Ce quartier était à l’époque du Moyen Âge, le coin des Meuniers et des Tanneurs, pour qui il était bien pratique d’avoir tous ces bras de rivière à disposition. La Maison des Tanneurs, classée monument historique, en est un beau témoin.
Vous vous trouvez ici au croisement entre l’ancien et le moderne. Vous voyez derrière vous une construction contemporaine, faisant face à l’ancienne prison Sainte-Marguerite. Et pourtant, les deux bâtis ne font qu’un et l’ensemble constitue aujourd’hui le siège de l’Institut national du service public, l’INSP.
Aujourd’hui, le barrage Vauban est aménagé de belles terrasses panoramiques qui vous permettent d’avoir une superbe vue d’ensemble sur la Petite France, les ponts couverts avec Grande Île en toile de fond et la cathédrale qui pointe son nez au-dessus des toits alsaciens.
Le barrage que vous voyez en face de vous est le barrage Vauban. Dès que Strasbourg fut rattachée à la France, Vauban fut réquisitionné pour parfaire la protection de la ville.
Vous voici sur les fameux ponts couverts de Strasbourg. À découvert depuis 1784, mais, qu’importe, le nom sonne bien, on le garde. Ces trois imposantes tours datent du XIVe siècle !
Ce petit pont historique, appelé le pont du faisan ou simplement le pont tournant, offre une vue pittoresque sur la petite France. Il pivote de droite à gauche pour laisser passer les péniches et les bateaux.
Vous empruntez à présent la passerelle dite des anciennes glacières. Le nom pouvant apporter son lot de questionnements, en voici l’explication. Ces fameuses anciennes glacières sont l’ensemble de bâtiments que vous voyez derrière vous, avec la tour portant l’inscription “Hôtel”.
Il n’y a pas que la cathédrale à visiter à Strasbourg ! Vous voilà devant l’église protestante Saint-Thomas qui est un magnifique exemple de ce qu’est l’art gothique alsacien
Cette place, aménagée en 1100 environ, est l’une des plus anciennes de la ville. Elle a été le centre historique de Strasbourg jusqu’à la Révolution française. Elle est bordée d’un magnifique bâtiment typique Renaissance, la chambre des commerces et de l’industrie.
Eh oui, je vous l’accorde, le problème de cette énorme cathédrale c’est qu’on manque un peu de recul pour l’admirer correctement et avoir de belles prises de vue.
Vous voyez en face de vous, sur le quai Saint-Nicolas, l’entrée du musée alsacien. Ouvert en 1907 et installé dans trois maisons à l’architecture typique de la région, il vous permettra de découvrir une vaste collection d’objets retraçant la vie quotidienne des Alsaciens au fil des siècles.
J’attire ici votre attention sur la brasserie “Au Canon” qui fait l’angle avec la rue d’Austerlitz. Vous voyez sur sa façade, un curieux obus, qui semble avoir été arrêté dans sa course. Il y en a 8 au total disséminés dans la ville de Strasbourg.
Du XIVe au XVIIe siècle, cette place s'appelait « Bei der Schindbrücke » pour ceux qui ne parlent pas alsacien, cela veut dire (près du pont aux supplices). Charmant, n'est-ce pas? J’y viens.
Face au centre-ville, vous avez à votre gauche l’ancienne douane et à votre droite l’ancienne boucherie. Un mot sur ces bâtiments emblématiques. La douane, déjà, nous rappelle la prospérité de la ville due à son commerce fluvial.
Vous êtes sur la place du marché aux cochons de lait. Un si grand nom pour une si petite place. Pas de subtilité ici, on y vendait simplement des cochons de lait, puis du porc en général.
Vous voilà, tout comme 4 millions de visiteurs chaque année, face à la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg. C’est un “Prodige du gigantesque et du délicat » ce n’est pas moi qui le dis, c’est Victor Hugo.
Ces deux maisons en pain d’épices que vous voyez face au côté de la cathédrale sont la fondation de l'œuvre de Notre-Dame et son musée, chargé de récolter des fonds pour l’entretien de la cathédrale.
D’ici, vous avez une magnifique vue sur la façade extérieure du Palais Rohan et ses 17 fenêtres parfaitement alignées surplombant l’Ill. L’Ill est la rivière qui traverse l’Alsace.
Les quais aménagés que vous longez à présent, se nomment les quais des bateliers, pour les bateliers qui y étaient installés autrefois. Ils sont aujourd’hui entièrement piétons.
On se sent tout de suite bien au cœur de la place du marché Gayot. Il parait même impensable de ne pas s’arrêter boire un verre dans l’un de ces nombreux restaurants qui l’encadre.
Quasiment collée à la cathédrale, vous ne pouvez pas manquer la célèbre maison Kammerzell. Elle doit son nom à l’épicier Kammerzell qui y vivait au 19e siècle. Plutôt impressionnante à regarder !
Cette immense église, qui se dresse sur cette place en demi-cercle, est le Temple Neuf de Strasbourg. Au XIIIe siècle, vous aviez ici le couvent des moines dominicains.
Cette place toute en longueur et bordée de tilleul et d’hôtels particuliers accueille chaque année le célèbre marché de Noël de Strasbourg. Si vous êtes justement venus pour l’occasion, la place est certainement pleine à craquer et brillante de mille feux.
La perspective se ferme sur l’Opéra du Rhin. Si vous aimez l’Opéra, sachez qu’il est doté d’une excellente scène, grâce à l’apport des trois villes qui le compose, Strasbourg, Colmar et Mulhouse.
Cette sympathique fontaine qui attire l'œil, c’est la fontaine de Janus, ou la naissance de la civilisation. Janus c’est le Dieu Romain des commencements et des fins.
Cette place aux allures de parc bien arboré nous en dit long sur l’histoire de Strasbourg. Vous êtes au cœur de la nouvelle ville, construite par les Allemands, enfin, à l’époque, les Prussiens.
Ici, depuis le pont de la Fonderie, vous avez une magnifique vue sur le Palais de Justice et l'Église Catholique Saint-Pierre-le-Jeune toute belle dans ses briques roses et rouges et couronnée de la plus vaste coupole d’Alsace.
Voilà donc l’Église protestante Saint-Pierre-le-Jeune. Avant la construction de la nouvelle Église catholique Saint-Pierre-le-jeune, catholiques et protestants se partageaient la même église, celle que vous voyez devant vous.
Comme toutes les places principales des villes de France, vous voilà sur les lieux des grands rassemblements, que ce soit pour une victoire de coupe du monde, un gigantesque sapin de Noël ou des manifestations.
Arrêtez-vous un instant pour prendre le temps d’admirer l’imposant bâtiment des Galeries Lafayette. Alors oui, c’est un grand magasin, mais son architecture est admirable.
Axe historique de la Ville, Grand-Rue emprunte l’ancienne voie romaine qui menait de Strasbourg à Saverne. Elle a été coupée en 2 dans les années 20 lors de la grande percée.
Nous voilà au cœur du sujet. Strasbourg comme vous l'imaginiez. La carte postale de la fameuse Petite France. Mais pourquoi la Petite France ? L’origine du nom est bien moins charmante que le quartier qui le porte.
Les constructions monumentales dans ce quartier se suivent et se ressemblent. Ici, vous avez l’entrée du musée historique allemand, connu sous le nom de Zeughaus qui signifie Arsenal.
Vous avez en face de vous un ensemble de résidences royales datant du XVIIIe siècle : le palais du Kronprintz et le palais des princesses, aujourd’hui le café de l’Opéra.
La célèbre avenue Unter den Linden, signifiant littéralement “sous les tilleuls”, s’étend de la porte de Brandebourg au pont du château que vous avez derrière vous.
Vous voilà sur l’une des plus belles places de la capitale, rebaptisée en 1947, en l’honneur de l’un des fondateurs du parti socialiste démocrate ouvrier allemand : August Bebel.
Voilà un magnifique symbole de tolérance religieuse. La cathédrale Sainte-Edwige, que vous avez sous les yeux, est le siège épiscopal del'archevêché de Berlin et l’un des lieux de culte catholiques les plus importants d’Allemagne.
Vous voilà sur la Gendarmenmarkt, la place du marché des gendarmes en français. Grandiose et harmonieuse, elle est décrite comme la plus belle de la capitale. Certains disent même qu’elle est la plus belle place au nord des Alpes!
Vous l’avez remarqué, l’un des intérêts majeurs de cette place réside dans la ressemblance entre les deux églises qui l’équilibrent. Pourtant, elles n’ont pas été construites en même temps.
Puisque vous allez descendre, sur plusieurs centaines de mètres, la rue Charlotte, j’en profite pour vous parler un peu de la reine cachée derrière ce nom.
Vous voyez ici, à l’angle de la rue, la belle façade art nouveau du palais Michaelsen.
Ce pâté de maisons ultra coloré, qui tranche franchement avec le reste du quartier, est l'œuvre de l’architecte italien Aldo Rossi : le quartier Schützenstraße.
On passerait à côté sans le voir, tant le mémorial de Peter Fechter est sobre. Et pourtant, il est l’une des victimes les plus célèbres du Mur, sinon la plus symbolique.
Le voilà, le fameux Checkpoint Charlie. Il fait partie de ces images que vous aviez probablement déjà en tête avant d’arriver à Berlin.
Vous avez sur votre droite, le projet The Wall, Asisi Panorama Berlin qui vous propose de revivre, grâce à des centaines de photographies retouchées et mises à l’échelle, le quotidien des Berlinois dans les années 80.
Vous arrivez à l’emplacement de l’ancien siège de la Gestapo et des SS, dont les ruines furent rasées après la guerre.
Vous avez certainement entendu parler de la Potsdamer Platz de Berlin, considéré, du moins à une époque, comme la version allemande de Times Square.
Avant d’en apprendre un peu plus sur le mémorial aux Juifs assassinés d'Europe, que vous voyez devant vous, je voulais vous dire un mot sur Hitler.
Préparez-vous mentalement parce que le mémorial aux Juifs assassinés d’Europe est lourd en émotions.
Vous êtes sur l’immense place Alexander, l’un des lieux les plus emblématiques de Berlin. Elle a été nommée ainsi en 1805, pour la venue du Tsar Alexandre Ier de Russie, lors de sa visite au roi de Prusse.
Comme la plupart des autres visiteurs, si vous êtes venus jusqu’ici c’est avant tout pour voir la magnifique Porte de Brandebourg, symbole de la réunification allemande et dernière porte historique encore là aujourd’hui !
Soyez préparés, lors de votre visite à Berlin, à rencontrer de nombreux mémoriaux dédiés aux diverses communautés persécutées par le régime nazi.
Alors voilà un bâtiment chargé d’histoire. Le Palais du Reichstag a joué un rôle important dans l’histoire de Berlin.
Les croix blanches que vous découvrez sur les rambardes sont là en commémoration des personnes qui ont perdu la vie en essayant de franchir le mur.
Le beau bâtiment à l’architecture ultra moderne que vous voyez sur l’autre rive fait partie du complexe parlementaire du gouvernement fédéral allemand.
La Spree, qui sépare en deux la capitale allemande, incarne à elle seule l’histoire tumultueuse de la ville qu’elle traverse. C’est sur ses bords que la première cité a été créée au XIIIe siècle, et elle servit plus tard de frontière naturelle entre Berlin-Est et Berlin-Ouest.
Vous arrivez au Tränenpalast, au Palais des larmes en français, lieu hautement symbolique de la division allemande. Après la construction du mur de Berlin, la gare de Friedrichstrasse s’est retrouvée entièrement dans le secteur soviétique.
Le beau bâtiment que vous voyez de l’autre côté de la rue avec ses grandes colonnes ioniques et ses innombrables moulures est l’une des rares grandes salles de divertissement du début du XXe siècle, encore présentes à Berlin.
L’imposant bâtiment que vous longez sur le côté gauche et qui semble prendre la totalité du pâté de maisons est la bibliothèque d’État de Berlin.
Si vous vous posiez la question, sachez que la statue du cavalier que vous voyez au centre de la rue est celle du roi Frédéric II de Prusse, alias Frédéric le Grand.
Vous voilà tout entouré de beaux édifices d’époque, normal, vous arrivez dans le quartier de l’université d’Humboldt, entourée de la bibliothèque d'État et de l’Institut des sciences.
Approchez-vous de ce temple à colonnade et regardez à l’intérieur. Il s’agit d’un émouvant monument commémoratif en souvenir des victimes de guerre.
Vous voyez ici une belle statue de bronze d’une femme nue, brandissant une épée vers le ciel, le visage tourné vers la lumière. Il suffit de la regarder pour ressentir l’explosion de sentiments mêlés qu’ont dû vivre nos ancêtres à la déclaration de l’armistice en 1918.
Vous arrivez devant la place du Maréchal Foch nommée en l’honneur du commandant en chef des forces alliées, à la fin de la Première Guerre mondiale.
En vous rapprochant de l’arrière de la cathédrale, vous tombez sur le vestige le mieux conservé de l’époque médiévale de Nantes. Il s’agit de la porte Saint-Pierre, qui permettait de passer les remparts de la ville.
Vous voilà place Saint-Pierre face à la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint Paul. De taille à peu près équivalente à celle de Notre-Dame de Paris, elle a, elle aussi été touchée par un important incendie en 2020
En plein cœur du Nantes médiéval, le château des ducs de Bretagne vous accueille dans la partie des remparts, de la cour et des douves pour un saut dans le temps et à travers l’histoire.
Depuis les remparts du château, vous pouvez apercevoir, sur le quai en face de vous, la belle tour au dôme bleu et or, appartenant à l’ancienne usine de la célèbre biscuiterie Lefèvre-Utile, j’ai nommé “LU” et son indémodable petit beurre.
Vous pénétrez à présent dans la rue de la Juiverie, qui, comme son nom l’indique, était le quartier où vivait la communauté juive de Nantes au Moyen-Âge. Une présence juive est d’ailleurs attestée dès l’époque romaine.
Vous arrivez sur le parvis de la très belle église Sainte-Croix, élégamment dressée au cœur du quartier du Bouffay, dont elle est la paroisse depuis le XIIe siècle. Sa façade blanche et harmonieuse est de style jésuite, un courant artistique né de la Contre-Réforme catholique, et proche de l’art baroque.
Le quartier Bouffay, c’est la vie nantaise par excellence ! Et ça ne date pas d’hier puisque c’est ici que les Namnètes ont créé leur cité celte. On sait que le village possédait une belle industrie du bronze et que l’on y échangeait des outils, du blé, du chanvre, contre des amphores, des tapis, des huiles et des bijoux.
Suivons un instant cette ligne verte que vous avez certainement aperçue à plusieurs reprises pendant votre visite. Nantes possède tellement de pépites à découvrir que la municipalité vous a simplifié la vie, en traçant sur le sol une ligne verte de 12 km, parcourant les moindres recoins de la ville à la recherche de son patrimoine ancien comme nouveau.
Vous traversez la rue Kervégan, artère principale de l’ancienne île de Feydeau. Elle était à la base séparée de la ville de Nantes par des bras de la Loire.
Vous êtes ici, sur la place du Commerce. C’est le point de rendez-vous par excellence, de par sa proximité avec les transports et les rues principales de la ville.
Vous ne pouvez pas manquer la Cigale en traversant la place Graslin. C’est vrai que cette brasserie est sublime. On la considère d'ailleurs comme l’une des plus belles brasseries de France.
Vous êtes à l’intérieur du square Cambronne. Ce beau jardin fait partie intégrante du grand plan d'aménagement urbain dessiné par Graslin. Il voulait créer un projet urbain dédié à la bourgeoisie.
Juste un mot sur cette sympathique statue que vous voyez à présent. Il s’agit de l'Éloge à la transgression, de Philippe Ramette.
Je voudrais attirer votre attention sur cette étrange installation que vous voyez sur la façade de l’hôtel sur votre gauche. Il s’agit d’un compteur à moutons !!
La place Graslin où vous vous trouvez actuellement représente le cœur du quartier du même nom. C’est le côté chic de Nantes.
Alors, figurez vous que vous êtes en train de Crébilloner ! Tout à fait. Combien de rues peuvent se vanter d’avoir donné naissance à un verbe ?
Toute personne étant passée par Nantes se souvient d’un sublime passage-escalier entouré de belles boutiques. Et vous n’échapperez pas à la règle. Le passage Pommeraye impressionne et vous englobe d’un sentiment de beauté.
Voyez la belle librairie en bois qui se dévoile de part et d’autre de la rue de la Fosse. Créée en 1919, la librairie Coiffard est l’une des plus anciennes de la ville et conserve toute son authenticité grâce à ses belles bibliothèques en bois et ses échelles anciennes.
La place Royale est née fin XVIIIe siècle, de la main de Mr Crucy, l’architecte de la ville, à qui l’on doit l’Opéra Graslin. L'ancienne muraille médiévale vient d’être détruite et l’on doit donc aménager l’espace libéré.
Vous êtes devant l’une des deux basiliques de la ville. Petite église du XIIe siècle qui deviendra grande à coup d’agrandissements répétés siècle après siècle. Il y avait donc ici, à la fin du XIIe siècle, une petite église ou une chapelle et son cimetière Saint-Nicolas.
Arrivés sur la place du change, vous pouvez admirer l’un des rares vestiges du Moyen-Âge présent à Nantes. Contrairement à d’autres villes de Bretagne, comme Rennes ou Vannes, vous avez remarqué que la ville ne comptait que très peu de maisons à pans de bois.
Vous voyez ici, bien à l’abri derrière son portail en fer forgé, le bel Hôtel de Ville de Nantes. L’ensemble des bâtiments abritent aujourd’hui les bureaux du maire, le conseil municipal, et divers services administratifs.
Vous avez peut-être remarqué que certaines maisons de Nantes avaient tendance à pencher dangereusement. C’est particulièrement flagrant sur le quai de la Fosse, face au port, où les façades semblent suivre un angle surréaliste.
La place des 50 Otages et son monument commémoratif nous rappellent une histoire douloureuse, mais qu’il faut bien raconter. Comme toutes les horreurs que les hommes ont été capables de commettre et les souffrances infligées à tant d’autres, se rappeler pour ne pas répéter.
Vous avez à présent un beau panorama sur L’Erdre. François 1er l’adorait et disait qu’elle était la plus belle rivière de France. L’Erdre est un affluent de la Loire.
Les quais vous emmènent jusqu’à l’île de Versailles construite de toute pièce sur l’Erdre. Auparavant, vous aviez ici un marécage.
Vous avez ici l’accès à la Maison de l'Erdre. Cet espace conçu sur le modèle d’un pavillon de thé japonais sensibilise les visiteurs à la biodiversité de l’Erdre.
En quittant l’île, profitez de cette haute passerelle pour une vue panoramique sur l’Erdre et ses jolies péniches. C’est le moment idéal pour immortaliser l’endroit !
Alors, oui, on est dans le Financial District, donc ce qu’on admire principalement pour l’instant, ce sont des immeubles historiques. Je vous laisse admirer ici le franchement pas dégueu Hallidie Building.
Pas besoin de vous faire un dessin, cette arche parle d'elle-même. Vous comprenez aisément que vous allez pénétrer dans le célèbre Chinatown de San Francisco.
Vous voilà face à la Old St Mary’s Cathedral. Oui, s’il y a Old, c’est bien qu’il y en a une New de Saint Mary’s Cathedral, et si vous voulez voir un édifice religieux carrément étrange, je vous conseille d’aller y faire un tour.
Les croisements des rues principales de Chinatown offrent généralement de belles opportunités photographiques. Vous avez ici une belle vue d’ensemble avec les beaux réverbères typiques, les murs peints mixant tradition chinoise et rêve américain, les lampions rouges, la vue sur les gratte-ciel, et même quelques représentations des soldats de l’armée de terre cuite de Xian.
Au XIXe siècle, les lois de la ville interdisaient aux Chinois de s’établir hors de Chinatown. C’est donc dans ce quartier que vous trouverez les temples les plus anciens.
Si nous avons emprunté cette petite allée, c’est pour venir voir cette institution de la ville : Le Golden Gate Fortune Cookie Factory. Déjà, faisons une mini aparté sur cette histoire de Golden Gate, car tout s’appelle le Golden Gate quelque chose dans le quartier.
Avant de descendre l’avenue Columbus, venez voir la façade du bâtiment qui fait l’angle. Cette mini place piétonne relie Chinatown à North Beach.
Vous passez à votre droite la célèbre librairie indépendante : City Lights Booksellers. Passage obligé pour tout fan de littérature et de la culture beatnik, cette librairie est un véritable symbole de la Beat Generation.
La Columbus Avenue étant la seule diagonale du quartier, elle est le meilleur endroit pour observer la pyramide Transamerica, qui est quand même plus chouette à voir de profil que de face !
Vous voilà au cœur de Chinatown, et même au cœur de San Francisco. Le Portsmouth Square est en effet installé sur l’emplacement de la première implantation mexicaine de Yerba Buena qui fut le premier nom de San Francisco jusqu’en 1847.
Il est temps à présent de réveiller le chercheur d’or qui sommeille en vous ! Le Wells Fargo History Museum, est un must see pour les inconditionnels d’aventure et de l’Amérique de la ruée vers l’or et en plus son entrée est gratuite !
Vous voilà sur la petite plaza qui fait l’angle devant la célèbre Market Street. Il s’agit de l’une des artères principales de la ville.
Vous voilà au pied du plus grand gratte-ciel de la ville. Alors oui, il est difficile d’en apprécier tout le gigantisme de si près, mais vous l’avez bien entendu vu de plus loin toute la journée.
Allez jeter un coup d'œil sur cette petite place à votre gauche et face à la Golden Gate University. Vous y trouverez plusieurs petites œuvres d’art originales.
Vous voilà sur l’agréable petite place de Jessie Square qui fait face à la fois au musée juif contemporain et à l’église Saint Patrick’s.
De l’autre côté de la rue, vous êtes à présent dans les jardins de Yerba Buena. Vous le savez peut-être, Yerba Buena est le premier nom de San Francisco.
Cet imposant bâtiment à colonnade que vous avez devant vous est le Old San Francisco Mint. Il s’agit d’une succursale du United States Mint qui est l'hôtel de la monnaie des États-Unis.
Vous êtes-vous déjà demandé comment le cable car de San Francisco faisait pour faire demi-tour ? La réponse est là sous vos yeux, face à la cable car turntable.
Je vous laisse prendre 2 minutes pour admirer plus en détail l'édifice aux teintes vertes que vous voyez de l'autre côté de la rue. Il s'agit du Pacific Building.
Vous voilà au cœur du quartier le plus animé de la ville, là où bat le pouls de San Francisco : l’Union Square. Cette place de l’Union, comme vous l’avez si bien traduite, tient son nom des rassemblements de soutien envers les soldats, qu’elle accueillait pendant la guerre de Sécession.
Cette charmante rue pavée, considérée comme une parenthèse européenne, est la Maiden Lane. Traduisez, le sentier de la jeune fille, voir le sentier virginal, ce qui est plutôt ironique, quand on sait, que jusqu’au début du XXe siècle, c’était le red light district de San Francisco.
Elle est drôlement belle cette fontaine en fonte . Si belle que c’en est presque étrange de la voir coincée entre deux passages piétons.
Attention les yeux, vous voilà devant l’entrée du Palace Hotel. Ce splendide hôtel de style Beaux-Arts vaut la peine d’y entrer ! Vous pouvez aller le visiter gratuitement ou pourquoi pas, aller prendre un café ou un brunch sous sa verrière somptueuse.
Asseyez-vous si vous pouvez, sur les marches autour de la sortie de métro par exemple, et levez les yeux. Perdus au milieu des gratte-ciel, il faut parfois s’arrêter et prendre le temps de regarder vers le ciel pour se rendre compte de la beauté et de la singularité de chaque édifice.
L’imposant monument aux morts qui se dresse derrière l’église est personnifié par Athéna, déesse de la Guerre et représentant la France victorieuse. Il a été édifié en 1927 pour les combattants de la Première Guerre mondiale.
Juste un mot sur le prestigieux hôtel Gassion que vous avez devant vous, car il en dit long sur les constructions que Pau a vues naître pendant son boom touristique. Alors, vous vous en doutez, l’hôtel a été construit pour accueillir une certaine classe de touristes.
Le bâtiment blanc que vous avez sur cette place nous raconte tout un pan de l’histoire de Pau. Il accueille aujourd’hui le Conseil Général des Pyrénées Atlantique, mais a eu bien d’autres fonctions
Vous voilà enfin arrivés au beau château de Pau ! Avant d’être ce magnifique palais de la Renaissance, le château de Pau était une simple fortification érigée pour surveiller le passage à gué sur le Gave et entourée d’une palissade en bois, palissade qui se dit pau en béarnais et qui aurait donné son nom à la ville.
Pau fait partie des villes les plus fleuries de France. Vous traversez à présent le jardin Renaissance du château. Si vous voulez aller plus loin, vous pouvez poursuivre votre exploration en passant le pont de Nemours qui vous mènera dans le beau parc royal jouissant d’une vue exceptionnelle sur le château.
La place de la Monnaie, en contrebas du château, nous permet de profiter d’une excellente vue d’ensemble.
Vous empruntez à présent les agréables chemins aménagés plus connus sous le nom de sentiers du Roy. Cette charmante balade a été récemment mise en valeur et permet de rejoindre la partie basse de la ville.
Vous voilà sur le site de l’ancien vélodrome de Pau, construit en 1901. Avec une centaine de départs et d’arrivées, Pau est considérée comme la capitale du Tour de France.
Voilà l’image emblématique du Pau des années folles ! Son funiculaire ! En 1905, les fortunes du monde entier accourent à Pau et la ville fait tout son possible pour accueillir comme il se doit ses invités de marque !
L’arrivée du funiculaire, sur le toit du pavillon des Arts, offre d’emblée une vue spectaculaire sur les environs. La place royale n’est ouverte sur le paysage que depuis 1808 lors de la visite de Napoléon qui ordonne les travaux d’agrandissement de la place.
Vous l’avez compris, Pau a été fortement marquée par l’arrivée en masse des aristocrates du monde entier. Mais d’où est venu cet engouement soudain pour cette ville qui n’est plus une capitale royale depuis des siècles ?!
L’avenue que vous venez de remonter, bordée de belles boutiques est la renaissance de l’ancien palais des Pyrénées dont on a ôté le toit et la coupole pour en faire un passage commercial ouvert, aéré et dynamique.
Vous en avez de la chance, les Halles de Pau sont toutes belles et toutes neuves ! Vous allez pouvoir découvrir le terroir béarnais dans les meilleures conditions possibles !
Juste après le Palais de Justice, vous arrivez devant l’église Saint-Jacques, construite à l’emplacement de l’ancienne chapelle du couvent des Cordeliers.
La belle maison en pierre, qui se dresse devant vous, est la maison natale de Jean-Baptiste Bernadotte. Son nom ne vous dit peut-être top rien, et pourtant, on vous parle ici du roi de Suède et de Norvège !
La rue du Hédas, qui s’étire sous vos pieds, suit le lit de l’ancien ruisseau éponyme. Si vous la voyiez du ciel, vous verriez d’ailleurs très bien que la rue serpente à travers la ville.
Vous voilà à présent sur celle qui était, au Moyen Âge, l’artère principale de la ville, la Grande Rue, qui partait du château et s’étendait toujours un peu plus vers l’Est.
L’église Saint-Martin devant laquelle vous arrivez est la deuxième du nom, installée à Pau. Une première église Saint-Martin avait été édifiée au XVe siècle face au château de Pau, sur l’actuelle place de la déportation.
Ici, nous sommes certains que votre regard s’est posé en premier sur ce vieux pontet surplombant la rue. Pourtant, croyez-nous, l’édifice auquel il est relié sur la gauche mérite lui aussi votre intérêt.
Prendre un café, faire du shopping, assister à un opéra sont la mince liste des activités qui font que la place de la Comédie est le lieu de passe-temps favori de tout Montpelliérain.
Comédie, la place, comédie, le théâtre, avons-nous droit à une mode montpelliéraine en termes d’appellation ? Pas vraiment, non. En revanche, si ces deux attractions phares de la ville affichent bien le même nom, ce n’est pas le fruit du hasard.
Cette silhouette fortifiée, classée monument historique depuis 1927, les Montpelliérains la connaissent bien. Mais pour nous, qui tranquillement avançons à l’inconnu sur le boulevard, l’effet de surprise est total.
Pendant que les grands monuments nous racontent l’histoire d’une ville, les marchés locaux, eux, sont ceux qui nous emmènent faire un tour d’horizon de leur terroir. Et à Montpellier, destination méditerranéenne au carrefour du goût, bien manger, c’est presque tout un art.
Le quartier où vous circulez, la place sur laquelle vous arrivez, et même l’église que vous approchez, vous comprenez qu’ici, seul un homme compte : Saint-Roch.
À Montpellier, on peut bien évidemment parler de centre ancien, mais dans la bouche des locaux, les vrais de vrais, on évoquera surtout l’Écusson.
La vie de quartier à Montpellier, ça rime gentiment avec marché. Et ce n’est pas l’immense masse rectangulaire devant laquelle vous vous tenez, qui viendra attester le contraire. Voir tout ce qui a pu exister avant elle, si l’on va plus loin.
Lorsque nous arrivons sur cette place, nous n’avons d’yeux que pour le clocher de l’ancienne église Sainte-Anne, perceptible dans tout Montpellier.
Eh oui, il n’y a pas que Paname qui a le droit à son Arc de Triomphe en France ! Montpellier, la “surdouée”, a apparemment droit au sien.
Vanter pour son panorama unique sur l’arrière-pays et ses jardins en terrasses, la promenade du Peyrou offre un cadre de visite qui en fait rêvasser plus d’un.
Approvisionner une ville en eau, en voilà une tâche banale de nos jours. Mais à l’époque, il faut s’imaginer que l’accès à cette ressource naturelle était un vrai challenge. Et Montpellier peut le témoigner.
Sur les 82 jardins botaniques de France et des pays francophones confondus, c’est ici, à Montpellier, que se cache le doyen de la bande. Impressionnés ? Vous pouvez l’être !
Depuis le temps qu’il existe et qu’on raconte son histoire, le jardin des Plantes fait partie de ces attractions montpelliéraines que l’on croit connaître. Et pourtant ! Durant ses 5 siècles de longévité, le site en a accumulé d’incroyables secrets et spécificités.
120 mètres, tout au plus, voilà la distance qu’il vous faudra parcourir en ligne droite, à partir d’ici, pour admirer un autre témoin remarquable de l’histoire de Montpellier.
Vous faire connaître les incontournables de Montpellier, telle est la promesse que nous nous sommes faite en élaborant cet itinéraire de visite. Mais que diriez-vous si nous vous faisions découvrir un endroit unique ?
Se décrocher la mâchoire ou risquer le torticolis, tels sont les risques que vous prenez en découvrant cette figure emblématique de Montpellier.
Si la place de la Canourgue nous était décrite par ses habitants, discrète, belle et romantique seraient certainement les adjectifs qui reviendraient le plus.
De Montpellier, il y a tout ce que vous saviez d’elle en arrivant. Et avec nous, il y aura tout ce que vous saurez de nouveau sur elle, en repartant. Tel est le deal !
Vous arrivez sur la plus belle place d’Espagne, la Plaza Mayor ou Place Majeure.
Vous passez devant une institution madrilène, à savoir la plus ancienne chocolaterie de la ville.
À cet endroit de la Gran Via, face à la place Callao, on comprend bien pourquoi cette avenue a souvent été comparée à Broadway.
Arrivés au bout de la Gran Via, vous pouvez voir plusieurs imposants édifices.
Nous arrivons à présent au nord-ouest de la ville, sur l’immense Plaza España, qui avec ses 36.900 mètres carrés est la plus grande place d’Espagne.
Vous arrivez au pied de la colline, nommée la montaña del principe Pio. Cette appellation populaire date du XVIIIe siècle.
Aller, petit détour en Égypte gratuit, pendant votre séjour en Espagne. Je vous emmène dans le parc de la montagne, contempler le magnifique temple de Debod.
Vous en avez de la chance. Venir voir le temple égyptien vous offre également l’accès au belvédère pour un superbe point de vue sur de la Cathédrale de l'Almudena et le palais royal.
Nous longeons à présent les beaux jardins de Sabatini. Ils portent le nom de l’architecte chouchou du roi Charles III et pourtant, ce n’est pas lui qui les a conçus.
Alors, on ne voit que lui depuis un moment, parlons donc un peu de ce fameux palais royal. Il a été construit en 1738, pour, vous vous en doutez, servir de résidence à la famille royale d’Espagne.
La ville de Madrid a eu la brillante idée d'aménager la zone du musée des Collections royales inauguré fin 2022.
Vous l’avez vu de loin et vous voilà finalement face à la belle cathédrale de l’Almudena. Contrairement aux cathédrales que vous avez l’habitude de voir dans les grandes villes du monde, celle de Madrid est relativement récente.
Vous êtes sur la face orientale du palais royal et par conséquent la place que vous traversez s’appelle la place de l’orient. Simple et efficace.
Nous sommes à présent sur la place de l’Opéra. Le teatro real de Madrid a été demandé par la reine Isabel II dont vous voyez la statue au centre de la place.
Est-ce que vous le voyez ? Levez les yeux. Cherchez le toit de l’immeuble qui fait l’angle avec ses beaux balcons tout vitrés en tête d’épingle.
C’est tellement beau d’arriver devant cette halle ! Voilà le marché couvert de San Miguel !
Elle est sympa cette petite place piétonne avec ses bâtiments de briques claires et ses pavés.
Voyez cette église en brique rouge avec sa grande tour. Il s’agit de l’une des plus anciennes églises de Madrid, la Iglesia San Pedro el Viejo.
Cette petite place si mignonne vous offre la possibilité de voir l’une des plus anciennes églises de Madrid, l’église San Andrés, et de découvrir le musée du même nom.
Nous sommes à présent au cœur du quartier de la Latina. Toutes ses petites rues sinueuses datent de l’époque médiévale, lorsqu’elles n’étaient que les faubourgs autour de l’enceinte de la cité.
Voyez sur votre droite, le restaurant Botin. Il nous raconte deux trois choses super intéressantes.
Cet arc magnifique s’appelle l’Arco de los Cuchilleros. Il a été créé après l’incendie de la plaza Mayor au XVIIe pour fermer complètement la place.
Nous voilà sur la place la plus célèbre de la ville, la Puerta del Sol. Alors pourquoi “Porte” et pourquoi “Soleil” ?
Vous êtes ici dans le cœur civique de Denver, un grand parc ouvert qui reflète l’ambition d’une capitale tournée vers l’ordre, la beauté… et les montagnes au loin. Ce lieu a été pensé dans l’esprit du City Beautiful, un mouvement
Difficile de passer à côté de ce bâtiment sans s’arrêter pour l’observer un peu mieux. Vous êtes face à la Denver Public Library, l’une des plus grandes bibliothèques publiques des États-Unis, avec plus de deux millions de
Vous voici devant l’un des musées les plus emblématiques de Denver… et il faut bien le dire, l’un des plus photogéniques aussi. Impossible de le manquer : le bâtiment semble littéralement sortir du sol dans une série de pics, de
Vous voilà sur l’Acoma Plaza of the Arts, une petite place piétonne coincée entre deux géants : le Denver Art Museum d’un côté, et le Denver Cultural Complex de l’autre. Prenez un moment pour observer l’architecture autour
Sur votre gauche, voici le History Colorado Center, un musée moderne, interactif et passionnant, entièrement dédié à l’histoire de cet État à la personnalité bien trempée. À l’intérieur, on peut remonter le temps en
Vous voilà devant le Ralph L. Carr Judicial Center, siège de la Cour suprême et de la Cour d’appel du Colorado. Solennel, imposant… et pourtant ouvert au public. Du lundi au vendredi, de 8 h à 17 h, vous pouvez entrer
Vous êtes ici face au Capitole du Colorado, à l'endroit où se dressait autrefois une statue de soldat en uniforme. C'était le Civil War Monument, érigé en 1909 pour honorer les soldats de l'Union ayant combattu pendant la
Du haut de ces quelques marches s’offre à vous l’une des vues les plus emblématiques de Denver. Et regardez bien l’inscription gravée sous vos pieds : vous êtes à exactement 1 609 mètres d’altitude, soit un mile tout pile au-
Vous êtes maintenant devant l’entrée nord du Capitole. Moins fréquentée que l’entrée sud, elle offre une autre perspective sur ce bâtiment emblématique. En levant les yeux, vous apercevez la célèbre coupole dorée, visible
Vous êtes ici sur la place Cheyenne face au monuments aux pionniers. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette place portait déjà ce nom à la fin du XIXe siècle ! Un hommage au peuple de la nation Cheyenne, rare,
Vous voilà sur 16th Street Mall, au niveau de Glenarm Place , soit en plein cœur du centre-ville de Denver. Cette longue rue piétonne de près de deux kilomètres a été inaugurée en 1982, à une époque où la ville cherchait à
Profitez de cette portion de rue un peu plus calme pour penser à ce que vous pourriez rapporter de Denver. Car même si l’on n’est pas tout à fait dans une ville de “souvenirs classiques”, il y a ici de quoi trouver des objets
Le bâtiment sobre, carré, voir un peu austère qui fait l’angle est la Banque fédérale de réserve de Denver, une branche régionale de la Réserve fédérale américaine : l’équivalent, en quelque sorte, d’une banque centrale pour
En levant les yeux, impossible de la manquer : voici la Daniels & Fisher Tower, l’une des silhouettes les plus emblématiques de Denver. Avec son horloge, ses colonnes et sa flèche élancée, elle pourrait presque passer pour un
Voilà une autre image typique de Denver ! Vous êtes au cœur historique de la ville, dans ce qu’on appelle ici Larimer Square, la toute première rue de Denver, et sans doute la plus photogénique. Imaginez-vous en 1858 : à cette
Vous longez ici l’un des bâtiments de l’Université du Colorado à Denver. En Europe, les universités comme Oxford ou la Sorbonne sont nées au Moyen Âge. Mais aux États-Unis, tout est plus jeune… et pourtant, l’éducation
Devant vous s’ouvre un enchevêtrement de colonnes, de verrières et de balcons : bienvenue dans le Denver Performing Arts Complex, le plus grand centre artistique entre Chicago et la côte ouest. Ici vous trouverez pas moins
Voici une salle qui ne paie pas forcément de mine de l’extérieur, mais qui compte parmi les joyaux de la scène lyrique américaine. L’Ellie Caulkins Opera House, surnommée “The Ellie”, porte le nom d’une grande mécène
Vous arrivez devant le big blue bear, la coqueluche de la ville ! Difficile de le rater ! Ce gigantesque ours bleu de 12 mètres, en train d’espionner l’intérieur du Colorado Convention Center, est devenu l’un des symboles les plus
Vous voilà à présent face à l’hôtel de ville de Denver, dont les hautes arches de colonnes blanches semblent vous accueillir à bras ouverts. Le bâtiment s’élance avec élégance au bout du Civic Center Park, et répond en miroir au
Dominant toute la Plaza de la Revolución, ce mémorial honore avec majesté l’une des figures nationales les plus glorifiées de l’île. Et son nom n’est autre que José Martí. Définition même de la bravoure, de la persévérance et de la dévotion envers sa patrie, cet indépendantiste cubain a laissé une empreinte profonde et immuable dans l’histoire du pays.
Chargée d’histoire, la Plaza de la Revolución est un espace public unique à Cuba. Avec une superficie d’environ 72 000 m², elle compte parmi les plus grandes places du monde. On s’y sent minuscule au milieu de tout cet espace démesuré.
Il y a plus de soixante ans, Cuba a connu l’un des chapitres les plus décisifs de son histoire : la Révolution cubaine. Dans la Habana Vieja, et plus encore ici dans le Vedado, ces deux mots résonnent encore avec force. Pour celles et ceux qui n’en connaissent pas bien les origines, voici comment tout a commencé.
On ne s’en rend pas forcément compte, mais ici vous êtes sur les hauteurs de La Havane. Juste à votre droite s’élève la Loma de Aróstegui, l’une des collines les plus élevées de la ville. Et à l’époque, on ne construisait pas des parcs pour y faire des promenades, mais des forteresses, profitant de la position stratégique pour repousser l’ennemi.
Idéalement située au sommet de l’Avenida de los Presidentes, cet imposant monument en marbre est certainement le plus beau de toute la promenade centrale.
Et non, ce n’est pas une blague, il existe bien un petit lieu de culte consacré à l’illustre Napoléon Bonaparte à La Havane.
Initialement située en plein cœur de la Vieille Ville, l’Université de La Havane fait partie intégrante du quartier Vedado depuis 1902. Connue pour être la plus ancienne de l’île, et l’une des universités coloniales les plus anciennes du continent, la faculté havanaise a été fondée en 1728 par les pères dominicains.
Promesse d’un arrêt hors des sentiers battus, le Callejón de Hámel est une ruelle unique à La Havane.
Nous y voilà, bienvenus sur le Malecón, aussi connu sous le nom de l’avenue Maceo. Commencée en 1901, sous l’occupation américaine, cette promenade maritime avait d’abord pour but de protéger la ville des assauts de la mer. Elle est vite devenue le lieu de rendez-vous incontournable des Havanais.
Avant que La Havane prospère et étende ses limites dès le début du XIXe siècle, on trouvait ici les carrières de San Lázaro.
120 Calle P, La Habana. Voilà l’adresse précise à laquelle nous vous avons amené. La raison ? C’est ici qu’a vécu Abel Santamaria, un jeune Cubain qui, en un rien de temps, est passé du statut de “monsieur Tout-le-Monde” à deuxième chef du mouvement révolutionnaire, créé par Fidel Castro.
Noir, rouge, gris, orange, sont autant de couleurs choisies pour faire ressortir l’inscription La Rampa, peinte en hauteur, sur votre droite. Le message ici est clair, votre arrivée sur la rue principale du quartier Vedado est imminente.
Facilement identifiable avec son architecture Art déco, peu commune dans le Vedado, l’hôtel Nacional de Cuba possède une réputation des plus remarquables, que les plus datés et les plus récents guides touristiques reconnaissent au diapason.
Ce qui est magique à La Havane, ce sont toutes ces fois où l’on est amené à franchir les portes du temps. Période coloniale, années 40-50, les époques s’enchainent.
Ouvert en 1958 sous la marque Hilton, l’hôtel Habana Libre est une construction historique de style moderniste.
Très différent des autres quartiers de la capitale, le Vedado est le visage plus récent de La Havane. Construit principalement entre les années 1920 et 1950, le secteur plutôt résidentiel et commercial se trouve sur un ancien domaine forestier, longtemps interdit à la construction, d’où son nom, Vedado, qui signifie “interdit”.
Dans le tracé en damier des rues du Vedado, deux énormes avenues rectilignes sortent leur épingle du jeu. Il est question de l’Avenida Paseo et de sa parallèle, l’Avenida de los Presidentes, dans laquelle vous venez justement de marquer l’arrêt.
“Il n'est pas de cœur à Cuba qui ne cesse de ressentir tout ce qu'il doit à cette vieille dame bien-aimée”.
Phares ronds, couleurs pop, lignes incurvées, vrombissement ancien, les berlines américaines de Cuba ne manquent pas d’atouts pour nous attendrir et nous subjuguer.
Aux antipodes de l’image que l’on se fait naturellement d’un édifice religieux, l’église troglodyte de Notre-Dame-des-Hongrois mérite facilement une visite de courtoisie. Situé à l’intérieur d’une grotte, à l’image du célèbre sanctuaire de Lourdes, ce petit lieu de culte catholique est un endroit vraiment surprenant.
Dans le prestigieux quartier de Buda, les anciens palais sont rois. On en compte encore plusieurs dizaines, fièrement debout, et chacun d’eux rappelle le souvenir des grandes familles nobles et princières qui vivaient autrefois sur ces terres.
Perchée à 235 mètres au sommet du mont Gellért, la citadelle de Budapest domine la ville et le Danube depuis plus d’un siècle et demi. Construite entre 1851 et 1854 sur ordre de l’empereur François-Joseph, cette forteresse longue de 220 mètres servait avant tout à...
Avec une telle ouverture sur le Danube, difficile de ne pas s’interroger sur cette silhouette monumentale. Et comme on l’aperçoit de dos, dominant la ville depuis les hauteurs, la curiosité est encore plus grande.
Bienvenue sur la rive ouest du Danube, à Buda ! Vous voici dans l'âme historique de Budapest, perchée majestueusement sur ses collines verdoyantes. Regardez autour de vous : ces rues pavées, ces façades baroques, ce relief ondulé... Vous êtes dans un véritable livre
Quoi de plus souverain que cette arche ornementale pour marquer l’entrée du palais de Budavár. On l’appelle la porte Habsbourg. C’est dans son allure à la fois si travaillée et imposante, du début du XXe siècle, que cette structure nous fait succomber à ses charmes.
Compte tenu du look, du nom et de la position géographique, le doute est levé, nous sommes bien en présence de l’un des monuments les plus importants de Budapest. Creusons ensemble pour en savoir un peu plus.
C’est dans la rue Szentháromság utca, s’ouvrant sur votre gauche, que se loge la très raffinée Ruszwurm Confectionery. Sa façade, certes sans artifices, est facilement repérable de loin grâce à cette couleur vert pistache, qui fait déjà preuve de gourmandise en soi.
Riche de 800 ans d’histoire, l’église Notre-Dame-de-l’Assomption, plus communément appelée l’église Saint-Matthias, n’a pour ainsi dire manqué aucun événement considérable qui a touché de près ou de loin Budapest.
Véritable attraction touristique de Budapest, le bastion des pêcheurs remplit davantage une fonction décorative qu’historique. Terminée en 1902, après deux décennies de travaux, cette promenade, presque tout droit sortie d’un conte de fées, est un hommage aux ancêtres du peuple hongrois, appelés les Magyars.
En plus de son attrait touristique évident, le Bastion des Pêcheurs vous offre une vue royale sur l’un des monuments les plus emblématiques de la ville : le Parlement de Budapest. Des bâtiments aussi longs, aussi majestueux, posés en bord de Danube, il n’y en a pas deux.
Visiter Budapest, c’est partir à la rencontre d’une ville pleine de surprises. Et pour vraiment l’apprécier, mieux vaut garder l’esprit curieux et l’œil attentif. L’exploration, ici, prend tout son sens.
Le pont des Chaînes, ou pont Széchenyi, est l’un des symboles les plus forts de Budapest. Premier pont permanent à relier Buda et Pest, il a été inauguré en 1849, à une époque où la traversée du Danube se faisait encore en bateau ou, en hiver, à pied sur la glace.
Vous arrivez sur la place Széchenyi… ou peut-être avez-vous déjà entendu parler de la place Roosevelt ? Pas d’inquiétude, il ne s’agit pas d’un piège. En réalité, Roosevelt a précédé Széchenyi. En 1947, la place est renommée en l’honneur du 32e président des États-Unis
Contrairement à beaucoup d’autres grands édifices religieux d’Europe, la basilique Saint-Étienne est relativement récente, avec une inauguration qui remonte à 1905. Une toute jeune existence, qui n'entache en rien la place qu’occupe le site dans le cœur de Budapest.
Étirée sur une longueur totale de 2310 mètres, l’avenue Andrássy est l’une des rues principales et historiques de Budapest. Sans cesse traversée depuis sa construction en 1872, elle rend hommage à Gyula Andrássy.
Perdu entre traditions et modernité, entre mémoire et renouveau, le quartier juif de Budapest oscille entre passé douloureux et vie contemporaine foisonnante.
Bavaroise d’origine, puis autrichienne par son mariage, Elisabeth d’Autriche, ou “Sissi” pour les plus intimes, aimait être partout à la fois, sauf auprès de sa cour royale à Vienne.
Avec ses 53 mètres de long et 26 de large, la Grande synagogue de Budapest impose le respect. C’est la plus grande d’Europe, et la deuxième au monde, juste derrière celle de Jérusalem.
Parallèle au Danube, la rue Vaci Utca est probablement l’une des rues les plus connues et fréquentées de Budapest. Sans elle, une flânerie dans le centre n’aurait pas le même piquant.
À Budapest, c’est le Danube qui trace la frontière entre les différentes facettes de la ville. Une séparation à la fois géographique… et sociale. Il en a toujours été ainsi, ou presque.
Surplombé d’une immense porte d’accès, ce bâtiment, qui a tout l’air d’être une gare ferroviaire, est en réalité les halles centrales de la ville. Au XIXe siècle, les temps sont durs pour Budapest. La nourriture a du mal à être acheminée, l’état de conservation des aliments n’est pas terrible et les maladies infectieuses se propagent.
Regardez cette façade monumentale qui se dévoile sur votre gauche,avec son entrée sculptée, ses coupoles vert-de-gris, et ses beaux balcons… Vous êtes devant l’un des joyaux de Budapest : les Thermes Gellért. Difficile de faire plus emblématique.
Sur votre droite se dresse le musée basque et de l’histoire de Bayonne. Il est situé dans une ancienne demeure portuaire construite au XVIIe siècle, la Maison Dagourette.
Installé dans un bâtiment du début du XXe siècle spécialement construit pour l’occasion, le musée Bonnat-Helleu abrite des collections de peintures, dessins, sculptures, objets d’art et d’archéologie.
Vous voici sur la place du Réduit, où se rejoignent les deux rivières de Bayonne, l’Adour et la Nive. L’imposante statue qui se dresse devant vous représente Charles Lavigerie, l’un des grands personnages de la ville.
À droite, longeant la Nive, vous avez la place de la Liberté, sur laquelle vous n’aurez pas manqué de remarquer le théâtre Michel Portal. Il sert à la fois de théâtre et d’Hôtel de Ville.
Vous entrez ici dans la rue Port Neuf, l’une des artères commerçantes de Bayonne. Vous voyez au loin les flèches de la cathédrale, qui s’élèvent entre les deux rangées de maisons typiquement basques qui bordent la rue, caractérisées par leurs volets colorés.
S’il y a bien une chose à laquelle on pense quand on parle de Bayonne, ce sont ses Fêtes attendues chaque année par des milliers de personnes.
Vous voici dans le jardin public Léon Bonnat, appelé ainsi en référence à ce peintre bayonnais à qui l’on doit plus de 200 portraits des personnalités les plus connues de son époque, telles que Victor Hugo, Louis Pasteur ou encore Jules Ferry.
Le jardin René Cassin, contrairement à son voisin le jardin Léon Bonnat, affiche un beau style anglais, avec des massifs de fleurs disposés autour des courbes du jardin.
Le temps de traverser la place des Basques, sur laquelle vous êtes en ce moment, parlons un peu justement de l’histoire de cette magnifique région.
Face à vous, adossé aux remparts, se dresse le monument aux morts de Bayonne, qui rend hommage aux Bayonnais morts pour la France. Il a été inauguré en 1924, pour honorer les victimes de la Première Guerre mondiale.
Vous êtes ici devant l’entrée du Jardin botanique de Bayonne. Ce parc en hauteur est en fait installé sur un bastion des fortifications de Vauban, à l’endroit où se trouvait autrefois l’ancien abri des vaches qui paissaient dans les douves.
Vous voici devant une porte qui a été percée dans les remparts au XIXe siècle, pour remplacer celle qui se trouvait-là autrefois, et qui menait au Château-Vieux.
Déjà au Ier siècle, on trouvait ici le castrum romain, enceinte fortifiée destinée à protéger le camp des troupes, installées dans la ville qu’ils appelaient Lapurdum.
La première pierre de cette somptueuse cathédrale est posée au XIIIe siècle, à l’emplacement même où une ancienne église romane se trouvait avant d’être ravagée par les flammes.
Nous voilà devant un beau témoignage de l’histoire de la ville ! La porte d’Espagne fait partie des fortifications de Bayonne depuis le XVIIIe siècle, du moins dans son état actuel, totalement repensé par Vauban.
Ici, impossible de ne pas lever les yeux vers le sommet des maisons ! Les colombages et les volets colorés s’invitent dans cette rue typique de l’architecture bayonnaise !
Aaah les halles de Bayonne, comment ne pas craquer ? Si Bayonne est connue pour sa fête et pour son histoire, c’est aussi sa gastronomie savoureuse qui attire nombre de ses visiteurs !
Nous sommes sur les quais de la Nive, d’où se déploie une superbe vue sur les maisons à colombages aux couleurs éclatantes.
Vous êtes ici sur la rive droite du Nive, la plus longue rivière du Pays basque. On appelle ce quartier le Petit Bayonne, en opposition au Grand Bayonne situé de l’autre côté.
L’histoire de ce château est étroitement liée à celle de la ville. Il faut savoir qu’en 1152, l’Aquitaine, région dans laquelle se trouve Bayonne, devient anglaise, par le mariage de la duchesse d’Aquitaine avec le roi Henri II de Plantagenêt.
Cette belle église en forme de croix latine est construite au XIXe siècle sous le règne de Napoléon III.
Chaque année, en plein cœur de l’été, Bayonne accueille son événement le plus attendu, et l’un des plus importants de France : les Fêtes de Bayonne, ou Baionako Bestak, en basque.
Vous voici sur la place centrale de Colmar. La place Rapp doit son nom au général Jean Rapp, grand acteur politique de la Révolution française salué pour son courage lors des guerres révolutionnaires. On retrouve d’ailleurs sa statue au centre de la place, sculptée par le célèbre artiste Auguste Bartholdi à qui l’on doit la Statue de la Liberté de New York. Rien que ça !
Vous êtes ici entre les deux bâtiments qui constituent le plus célèbre musée de Colmar : Unterlinden. Il s’agit d’un Musée des Beaux Arts, l’un des plus visités en France. Il est réparti entre deux bâtiments : celui qui se trouve sur votre gauche est un ancien couvent du XIIIe siècle.
Derrière vous se trouve le théâtre municipal. Il est construit entre 1847 et 1849 par l’architecte Louis-Michel Boltz. Face à son succès et l’accroissement de la population de la ville, il sera agrandi dès 1902 pour accueillir toujours plus de spectateurs.
Monument historique de Colmar, ce château d’eau est un très bel exemple de l’architecture allemande du XXe siècle. C’est l’ingénieur suisse Henri Grüner et l’architecte Jean-Baptiste-Victor Huen qui créent en 1886 ce château d’eau destiné à réguler la distribution d’eau potable dans la ville.
Autre monument emblématique de cette petite ville alsacienne, voici le Cercle Saint-Martin. Affichant un beau mélange entre le style néo-roman et le style néo-gothique, cet édifice qui longe l’avenue Joffre sur 72 mètres a été construit à la fin du XIXe siècle dans le but d’accueillir les hommes et les enfants pour des activités culturelles et sportives.
Vous voici dans la Petite Venise, l’un des quartiers de Colmar les plus pittoresques ! C’est ici au rythme des canaux que vous découvrez les maisons typiquement alsaciennes, avec leurs pans de bois peints aux couleurs de la région, agencées de telle sorte qu’elles nous rappellent celles que l’on peut voir à Venise.
Rue commerçante, mais tout aussi pittoresque que le reste de Colmar, la Grand’Rue est le centre de la ville. Dans ce sens, elle vous mène tout droit à la place Jeanne d’Arc, où se tenait autrefois le marché aux bestiaux, mais surtout les exécutions publiques.
Construit sous le modèle des palais vénitiens, cet édifice appelé la Maison des Chevaliers de Saint-Jean a été conçu au XVIIe siècle par l’architecte Albert Schmidt, à qui l’on doit plusieurs autres maisons particulières du centre de Colmar.
C’est un ensemble de briques et de charpentes métalliques qui renferme le marché couvert de Colmar depuis 1865. Un bâtiment historique donc, que l’on doit à l’architecte Louis-Michel Boltz, qui a également réalisé le théâtre municipal de la ville quelques années avant le marché.
Ce quai porte bien son nom, puisque ce sont des maisons de pêcheurs qui bordent la Lauch. Considéré comme l’un des plus beaux spots pour admirer les maisons typiques de l’Alsace, le quai de la Poissonnerie abritait au XVIe siècle les pêcheurs qui vendaient ici leurs poissons.
La rue des Tanneurs marque l’entrée dans le quartier du même nom. Comme son nom l’indique, c’est ici que se trouvaient les tanneurs à l’époque, qui n’étaient d’ailleurs autorisés à travailler que dans cette rue.
Ici, vous vous trouvez face à l’ancienne douane de la ville, appelée le Koïfhus. Avec son toit vert et jaune reconnaissable, c’est le plus ancien bâtiment public de Colmar : construit en 1480, il servait à la fois d’entrepôts, de lieu de taxation des marchandises et de lieu de réunion des députés alsaciens et du Magistrat.
Voici l’une des fontaines les plus célèbres de la ville ! Située en face de l’Ancienne Douane, cette fontaine est ornée de la statue d’un personnage alsacien du XVIe siècle, Lazare de Schwendi, qui a combattu en Hongrie contre les Turcs.
Un petit air de Bruxelles au cœur de Colmar ! Cette réplique du célèbre Manneken Pis, installée sur la façade du Palais de Justice, date de 1922 et a été offerte par Bruxelles à Colmar en hommage aux souffrances communes auxquelles les deux villes ont dû faire face pendant l’occupation allemande.
À ce croisement de rues se trouvent deux maisons emblématiques de la ville. À l’angle de la rue Mercière et de la rue des Marchands, on trouve la Maison Pfister, certainement la plus célèbre de Colmar.
Vous voici sur la place de la Cathédrale, mais avant de porter votre attention sur l’imposante collégiale Saint-Martin, je vous invite à vous retourner et observer les bâtiments qui lui font face.
Au vu du nom que porte la place sur laquelle elle se trouve, on pourrait penser que cette église est la cathédrale de Colmar, mais il n’en est rien. Plus maintenant, du moins, puisque pendant la Révolution, elle avait bien été élevée au rang de cathédrale, mais seulement pour une dizaine d'années.
La construction de l’église Saint-Matthieu, destinée à être l’église franciscaine de la ville, débute à la fin du XIIIe siècle. Après la Réforme luthérienne, elle est mise à la disposition du culte protestant pendant près de deux siècles, avant d’être de nouveau affectée au culte catholique en 1715 sur ordre du roi de France.
Véritable chef-d'œuvre de l’art gothique, l’église des Dominicains est construite à partir du XIIIe siècle sur l’actuelle place des Martyrs de la Résistance. C’est d’ailleurs Rodolphe de Habsbourg, roi des Romains, qui posera la première pierre de l’édifice.
C’est un hommage à l'aquarelliste et illustrateur Jean-Jacques Waltz, connu à travers ses œuvres sous le nom de Hansi.
Ce bâtiment à l’architecture si particulière est appelé la Maison des Têtes, en référence aux 106 têtes qui ornent son impressionnante façade. Classée aux Monuments Historiques, c’est l’une des maisons les plus connues de Colmar.
À votre gauche se tient le plus petit marché de Camden Town, l’Inverness Market.
À votre droite, à quelques mètres seulement de l’Inverness Market, se trouve le Buck Street Market, au sein d’un bâtiment à la structure bien particulière, composée de conteneurs maritimes recyclés.
Vous voici au-dessus du Regent’s Canal, canal artificiel qui donne tout son charme au quartier de Camden Town !
C’est ici le meilleur des stands de restauration rapide qui vous est proposé, pour une pause gourmande au cœur de Camden Town !
Bijoux, accessoires, pièces artisanales… Le Camden Lock Market regorge de petits trésors à ramener chez soi.
Vous voici devant le magasin le plus extravagant de Londres ! Au milieu des stands de friperies, d’antiquités et de street food, cette boutique se veut totalement futuriste !
C’est encore un marché que vous découvrez ici, et lui aussi a sa propre particularité : il est installé au cœur des anciennes écuries de Camden Town !
Star internationale de la musique, connue pour sa voix très reconnaissable, c’est la chanteuse Amy Winehouse qui est mise à l’honneur ici avec cette superbe statue grandeur-nature la représentant.
Nous arrivons ici au cœur du charmant quartier de Primrose Hill, bien plus paisible que son voisin Camden Town, mais tout aussi incontournable !
Ce sont des maisons multicolores qui bordent ce petit square situé au cœur de Primrose Hill.
Vous voici en haut de la colline du fameux quartier de Primrose Hill, d’où vous profitez de l’une des vues les plus emblématiques et les plus appréciées de Londres.
Vous entrez ici dans l’un des plus grands parcs royaux de la capitale !
Regent’s Park est entouré par deux rocades circulaires, l’Outer Circle, la route extérieure et l’Inner Circle, la route intérieure.
Avis aux amateurs de ce grand détective britannique ! Vous voici devant le musée de Sherlock Holmes, au 221b Baker Street, la véritable adresse de ce personnage fictif…
Nous sommes ici en plein cœur de la Cité de Westminster, qui couvre la plus grande partie de l’ouest de Londres.
Certainement le musée de cire le plus célèbre au monde ! C’est dans ce musée que vous pourrez vous prendre en photo aux côtés des plus grandes stars internationales et des personnalités les plus influentes de la planète.
Vous voici dans l’une des plus belles parties de Regent’s Park ! Si le parc a été créé au XIXe siècle, ce n’est qu’en 1930 que ces somptueux jardins sont aménagés.
C’est une jolie église danoise qui se dresse devant vous, située à deux pas du Regent’s Park.
Ce n’est pas pour rien que l’on qualifie Londres de capitale cosmopolite !
Vous voilà sur la place Morny, le point zéro de Deauville. Imaginez la scène en 1859 : à cet endroit, il n’y avait encore que dunes et marais. L’architecte Breney décide alors de dessiner une ville entièrement nouvelle. Il trace de grandes avenues droites qui relient les lieux essentiels de la station à venir : la gare pour les voyageurs venus de Paris, la plage et la mer, l’hippodrome et ses chevaux, la mairie et bien sûr le casino.
Devant vous s’élève l’Hôtel de Ville de Deauville. Difficile d’imaginer qu’avant ce bâtiment, la mairie se trouvait tout en haut du Mont-Canisy, près de l’église Saint-Laurent, avant qu’un incendie ne la détruise en 1840.
Vous êtes devant l’un des symboles de Deauville : son Hôtel Normandy. Imaginez l’été 1912, quand ce palace ouvre ses portes pour la première fois. Avec son plan en H, ses façades à colombages et ses toits à lucarnes, il semble tout droit sorti d’un conte normand, à la fois manoir et décor de cinéma. Au centre, la “cour normande”, plantée de pommiers, est un véritable jardin caché.
Voici l’autre grand symbole de Deauville : son Casino. Vous avez remarqué qu’en France on ne trouve des Casinos que dans les stations thermales ou balnéaires ? Ce n’est pas un hasard, c’est une loi du XIXe siècle, toujours en vigueur aujourd’hui. Voilà pourquoi vous découvrez le Casino de Deauville, ouvert dès 1864, alors qu’il n’y en a pas à Paris !
Arrêtons-nous un instant pour observez ce grand bâtiment sur votre gauche, c’est le Centre International de Deauville. Avouez qu’il intrigue… car on ne le devine qu’à moitié, comme s’il s’était fondu dans le sable. C’est volontaire : au moment de sa construction, à la fin des années 80, on voulait préserver la vue sur le front de mer. Résultat : plus de 150 000 mètres cubes de sable déplacés, un chantier colossal, et une inauguration en 1992 par Clint Eastwood lui-même, venu présenter “Impitoyable”. Symbole parfait, car ce lieu est vite devenu le “palais du cinéma” de Deauville.
Vous voilà sur la promenade la plus célèbre de Deauville : les fameuses Planches. Avant leur création, il n’y avait là que de vieilles cabines en bois alignées sur le sable. Mais au début des années 20, la Ville veut offrir un cadre digne de la réputation de la station. En 1923, elle inaugure ses “Bains pompéiens”, un établissement balnéaire Art déco, en béton et mosaïques, avec ses 250 cabines, ses salons et même son bar américain.
Voici l’Hôtel Royal, l’un des deux palaces légendaires de Deauville. Inauguré en juillet 1913, il sort de terre en un temps record, à peine dix mois après le début des travaux. Il est conçu par Théo Petit, déjà architecte du Normandy, avec la participation de Georges Wybo, futur auteur du Casino.
Vous voilà rue Raspail, dans le quartier des Villas. Regardez autour de vous : façades à pans de bois, briques en damier, toitures découpées, petits jardins clos par des grilles légères… Ici, tout respire la villégiature.
Vous voilà devant un bâtiment pas comme les autres : Les Franciscaines. Avec un nom pareil, vous imaginez bien qu’avant d’abriter un musée et un centre culturel dernier cri, c’était… un couvent ! Construit en 1876, il a vu arriver quelques années plus tard les premières sœurs franciscaines.
Nous voilà devant l’église Saint-Augustin. Elle a été construite pour remplacer l’ancienne paroisse Saint-Laurent, perchée sur la colline, et jugée trop éloignée pour une station balnéaire en plein essor. Ici, en plein cœur de Deauville, il fallait un lieu de culte à la hauteur de la nouvelle ville.
Vous voilà au plus près d’un lieu qui a façonné l’identité de Deauville : son hippodrome. Remontez le temps et projetez vous en août 1864. Ici, il n’y avait encore que des marais asséchés, et pourtant c’est déjà jour de fête : les 14 et 15 août se tiennent les premières grandes courses de la station naissante.
Vous voilà devant le bassin Morny, au cœur de la marina de Deauville. Dès le XIXe siècle, ce bassin accueillait déjà les voiliers des premiers villégiateurs venus en train depuis Paris profiter de la mer.
Arrêtons-nous un instant ici, sur la place Gabrielle-Chanel. C’est à Deauville que tout a commencé pour la créatrice, bien avant Paris ou la renommée mondiale. En 1913, Gabrielle Chanel, déjà surnommée “Coco”, ouvre sa toute première boutique sous son nom complet.
Sur votre droite, le Pont des Belges. Il relie Deauville à Trouville, mais son nom rappelle surtout un épisode marquant de la Libération en août 1944. Les soldats belges et luxembourgeois de la Brigade Piron franchirent la Touques ici même, sous le feu allemand, après que le pont eut été détruit.
Devant vous s’écoule la Touques, la petite rivière qui sépare Deauville de sa voisine Trouville. De ce côté, la station élégante née de toutes pièces au Second Empire, avec ses palaces, ses villas et son casino. De l’autre, la doyenne : Trouville, bien plus ancienne, et déjà célèbre au XIXe siècle comme port de pêche et comme “Reine des plages”.
Devant vous, remarquez ces deux tours rayées de noir et de blanc. Elles ont été construites tout récemment pour marquer l’entrée de la presqu’île portuaire. L’une abrite la capitainerie, l’autre sert de belvédère. Si le cœur vous en dit, vous pouvez grimper au sommet : 155 marches, ou un ascenseur, et une vue à 360° sur Deauville, Trouville, la mer et même la campagne augeronne.
Arrêtons-nous un instant sur la place du Marché pour découvrir son architecture et parler un peu de la gastronomie normande. En 1923, l’architecte Georges Madeline y fait construire deux halles à colombages, coiffées de tuiles et inspirées du style normand. Avec leurs allures de maisons traditionnelles, elles donnent au cœur de Deauville un charme pittoresque, comme un marché couvert en plein air.
Vous contemplez Cryptogramme One, une œuvre offerte à la ville en 2012 par l’artiste Karl Lagasse. Enfant de Deauville, il fut nommé en 2009 parmi les dix sculpteurs les plus talentueux de moins de trente ans. Observez les lettres gravées sur toutes ses faces : elles composent des mots universels, comme Hope, Wisdom ou encore 7e Art.
Devant vous se dresse la statue du duc de Morny, demi-frère de Napoléon III, et homme d’affaires ambitieux et visionnaire. Puisque la place porte son nom et que vous ne le connaissez peut-être pas, faisons de ce pas les présentations avec l’un des fondateurs de Deauville.
Vous voilà sur l’une des plus élégantes places de Split : la place de la République. Mais si vous demandez à un habitant comment s’y rendre, mieux vaut lui parler de la… Prokurative ! C’est ainsi qu’on la surnomme ici, en
Voici la place Franje Tuđmana, qui relie la Prokurative à la Riva. Aménagée comme un petit espace vert, fleuri aux beaux jours, elle porte le nom du tout premier président de la Croatie indépendante, élu en 1990, après des
Avec ses palmiers qui bordent le port, ses bateaux qui flottent sur l’eau, et le clocher qui transperce le ciel sur un fond montagneux, cette vue est l’une des plus belles que l’on puisse avoir sur la ville. Elle représente bien l’ambiance
Bienvenue sur la Riva, la star incontestée de Split ! Ici, tout le monde passe, repasse… et repassera encore. C’est le salon en plein air de la ville, où l’on marche, on papote, on prend un café, on regarde la mer… et on est regardé
Vous arrivez ici sur l’une des places les plus charmantes de Split : la place Braće Radić. Mais ne soyez pas surpris si personne ne l’appelle comme ça ! Pour les habitants, c’est tout simplement "Voćni trg", la place aux fruits.
Vous vous trouvez maintenant sur la Place du Peuple, ou Narodni trg en croate. C’est ici, au cœur de la ville médiévale, que s’est déplacé le centre de la vie publique après l’époque romaine. Une place qui, depuis des siècles,
Bienvenue dans l’un des lieux les plus étonnants de toute la Méditerranée : le palais de Dioclétien. Mais attention, ne vous laissez pas tromper par le mot "palais"… Car ce que vous avez sous les yeux, c’est un immense complexe
Vous voici sur une petite place qui renferme l’un des trésors cachés du palais de Dioclétien : le temple de Jupiter. On en voit l’arrière ici, mais je vous invite fortement à faire le tour en empruntant la petite ruelle pour voir sa
Vous vous trouvez maintenant dans l’un des espaces les plus impressionnants — et les plus acoustiques — du palais de Dioclétien : le Vestibul. Ce mot un peu mystérieux désigne tout simplement la salle d’entrée monumentale qui
Vous êtes devant la cathédrale Saint-Domnius, l’un des symboles de Split — et sans doute l’une des cathédrales les plus étonnantes au monde. Pourquoi ? Parce qu’à l’origine… ce n’était pas une cathédrale. Ce bâtiment circulaire,
Bienvenue au Stari Pazar, le vieux marché de Split. Ici, pas besoin de GPS ni de plan : il suffit de suivre les odeurs, les couleurs… et les voix. Car ce marché, c’est l’un des endroits les plus vivants, les plus bruyants — et les plus
Vous voici devant la Porte Dorée, Porta Aurea en latin, l’entrée la plus monumentale du palais de Dioclétien. C’est par ici que l’empereur lui-même passait, lorsqu’il arrivait dans son palais depuis l’intérieur des terres. On imagine
Vous êtes devant le musée des Beaux-Arts de Split, l’un des lieux culturels les plus riches et paisibles de la ville. Fondé en 1931, il rassemble plus de 5 000 œuvres, allant du Moyen Âge à l’art contemporain, avec un fort accent sur les
Voici l’un des hauts lieux de la culture à Split : le Théâtre National Croate. Ce bâtiment jaune pâle aux allures néo-baroques abrite plus d’un siècle de théâtre, d’opéra, de ballets et de passions locales. Le théâtre a ouvert ses portes
Vous vous trouvez sur la rue du général Marmont, ou Marmontova ulica en croate. C’est l’une des principales artères piétonnes de Split, qui relie le centre historique au quartier plus moderne. Elle est connue pour ses façades
Devant vous se trouve la Fontaine Pirja, l'un des monuments les plus intrigants de Split. Cette sculpture en bronze unique, également appelée "Figa i Pirja", se dresse sur la rue Marmontova depuis 1998. Créée par le sculpteur
Sur votre droite débute le quartier de Veli Varoš, l’un des plus anciens de Split… et sûrement l’un des plus attachants. Ici, on s’éloigne des foules du palais et de la Riva, pour entrer dans un dédale de ruelles étroites,
L’imposant bâtiment que vous voyez là et qui pourrait aisément passer pour le Musée des Beaux-Arts est en réalité la Bibliothèque Nationale du Chili.
Vous voilà sur la terrasse de Neptune, face à la belle fontaine du même nom. Cette fontaine monumentale, dédiée au Dieu romain des mers a été construite entre 1897 et 1903 pour servir d’ornement principal à l’entrée de la colline de Santa Lucia.
Monter au sommet du Cerro de Santa Lucia fait peut-être un peu les jambes avec ses nombreux escaliers, mais la vue valait bien l’effort ! Vous êtes sur la place Pedro de Valdivia.
Pendant l’époque de la Reconquête, dernière tentative de l’Espagne pour garder le Chili dans son empire colonial, le cerro de Santa Lucia est transformé en bouclier royaliste. Vous avez vu des canons, des portes fortifiées et vous voyez à présent le castillo hidalgo.
Voici un endroit bien particulier de Santiago, le centre culturel Gabriela Mistral, soit le GAM pour les intimes. Il diffuse des créations artistiques en tout genre, du théâtre, de la danse, des arts visuels, etc.
Le quartier Lastarria dans lequel vous êtes actuellement est le quartier artistique et créatif de Santiago. Sur à peine 3,4 rues, vous avez tout ce qu’il vous faut pour passer du bon temps. Vous avez un marché artisanal, des bouquinistes, le grand centre culturel de Gabriel Mistral, de nombreux musées, un cinéma, des hôtels, et une foule de bars et de restaurants.
Vous êtes à présent dans le beau parc forestier de Santiago. Ce grand espace vert a été créé sur les terres récupérées après la canalisation de la rivière Mapocho au XIXe siècle, qu’il longe d’ailleurs sur toute sa longueur.
Le pont Pio Nono, vous emmène de l’autre côté du Rio Mapocho, découvrir le quartier Bellavista. Derrière vous, vous pouvez apercevoir la place Baquedano, que les locaux continuent d’appeler par son ancien nom de plaza Italia.
Vous voilà donc dans le quartier bohème de Bellavista. Vous venez de traverser le Patio Bellavista qui offre une large variété de boutiques et de restaurants et vous êtes à présent dans la rue de la Constitution, bordée de maisons colorées et de terrasses décontractées.
Vous avez ici, la Chascona, la troisième maison de Pablo Neruda et la seule qu’il possédait à Santiago. Chascona signifie littéralement « femme aux cheveux décoiffés », c’est un clin d’œil à la coiffure de la troisième épouse de Neruda.
Vous voilà au pied du célèbre Cerro San Cristobal. Haute de 860 mètres de haut, cette colline pittoresque et son parc offrent des vues spectaculaires sur la ville et la cordillère des Andes ! Si vous ne voulez pas l’explorer maintenant, n’hésitez pas à y revenir !
Cela ne vous a pas échappé, les rues de Bellavista sont recouvertes d’un street art coloré, créatif et engagé. En matière d’art de rue, Valparaiso vole souvent la vedette à Santiago.
S’il y a bien un bâtiment à Santiago qui vous donne l’impression d’avoir fait un léger détour par Paris, c’est bien le Musée des Beaux-Arts ! Ce palais néoclassique magnifique, inspiré du Petit Palais parisien, a été dessiné par l’architecte franco-chilien Emilio Jéquier en 1910, à l’occasion du centenaire de la République !
D’ici, vous n’êtes plus très loin du marché principal de Santiago. Si vous avez un petit creux, c’est l’endroit idéal où aller découvrir la gastronomie locale et entrer en contact avec la population. Pénétrer dans le Mercado Central, édifié au XIXe siècle, c’est se faire réveiller par les couleurs, les odeurs et la frénésie d’un lieu occupant une place importante dans la vie des habitants depuis 1872.
Vous passez sur votre droite, l’église de Santo Domingo. Comme son nom l’indique, elle a été fondée par les Dominicains, troisième ordre religieux à s’établir au Chili après l’ordre de la Miséricorde et les Franciscains.
Tout ce côté nord de la place d’armes appartenait à Pedro de Valdivia dont vous voyez la statue équestre derrière vous. À sa mort, le site est divisé en trois et on y construit plusieurs institutions importantes.
Vous voilà donc de l’autre côté du grand Palacio de la Moneda, le siège de la présidence de la République. Si on l’appelle le palais de la monnaie, c’est parce qu’à ses débuts, en 1814 il servait à battre la monnaie du pays.
Vous voilà sur la place d’armes. Toutes les grandes villes sud-américaines ont leur “Plaza de Armas”, au cœur même du centre historique. Ces places ont été créées par les conquistadors et rassemblent les différentes puissances de l’époque.
Vous ne pouvez pas la rater, majestueusement dressée à l’angle de la plaza de armas, voilà la Cathédrale Métropolitaine. Elle est le siège de l’archidiocèse de Santiago et sa construction n’a pas été une partie de plaisir !
Vous vous trouvez ici entre deux institutions importantes de Santiago. L’ancien congrès national et le Palais de Justice. Sur votre droite, protégé par ses grilles et caché derrière ses beaux jardins, se trouve l’Ex Congrès de la Nation.
Vous entrez dans un monde en Technicolor grâce au génial projet del paseo bandera. Cette rue, habituellement très fréquentée par piétons et voitures, a été transformée en une gigantesque œuvre d’art par l’artiste Dasic Fernandez.
Vous voilà sur la place de la constitution, au cœur du quartier civique de Santiago. Elle est entourée de bâtiments gouvernementaux.
Le beau bâtiment cossu que vous voyez là est le club de l’Union. Il a été fondé en 1864 pour que l’aristocratie ait un lieu digne de ce nom où se retrouver. Depuis l’époque coloniale, la société chilienne a pris l’habitude de se rencontrer pour débattre et discuter.
Le bâtiment classique jaune que vous voyez là est l’Université du Chili, surnommée la “U”. Fondée par l’État chilien le 17 septembre 1842, elle est la première université de la nouvelle République du Chili ainsi que la plus prestigieuse université du pays.
Petit détour en Europe avec la découverte des rues Paris et Londres. Si vous trouvez ça bizarre que les noms des rues soient écrits en français, sachez qu'ils ne le sont pas et que ça s’écrit juste pareil en espagnol, mais ça se dit Paris/Londres. Mystère résolu.
Vous avez ici l’église et le couvent San Francisco. C’est l’un des monuments historiques les plus importants de Santiago et l’un des bâtiments coloniaux les plus anciens de tout le pays. Elle a été fondée en 1622 par les frères franciscains, d’où son nom.
Vous êtes sur la Place des Lices, l’un des lieux les plus emblématiques de Saint-Tropez. Sous l’ombre des platanes, l’esplanade vit au rythme des cafés, des terrasses et des parties de pétanque.
En marchant rue Gambetta, au cœur de l’ancien quartier des grandes familles de navigateurs, on tombe sur une petite chapelle discrète mais pleine de charme : la chapelle de la Miséricorde, aussi appelée chapelle des Pénitents Noirs.
Vous êtes devant la Tour Jarlier, l’une des trois grandes tours encore debout à Saint-Tropez, aux côtés de la Tour Vieille et de la Tour du Portalet.
D’ici, vous pouvez profitez d’une vue dégagée pour prendre votre cliché parfait de la baie de Saint-Tropez.
Derrière ses façades ocre et son clocher qui tranche fièrement dans le ciel tropézien, l’église Notre-Dame-de-l’Assomption veille depuis des siècles sur le village et ses habitants.
Vous êtes sur la place de l’Hôtel de Ville, le cœur civique de Saint-Tropez. La mairie occupe ici un ancien hôtel particulier du XVIIe siècle, devenu siège municipal en 1808.
Vous voilà devant la Citadelle de Saint-Tropez, la grande silhouette qui domine le village depuis plus de quatre siècles.
Vous voilà dans la rue de la Ponche, l’une des plus évocatrices du vieux Saint-Tropez. Ici, tout rappelle le village d’origine, avec ses ruelles étroites, ses façades aux couleurs passées et cette ambiance de carte postale.
Devant vous s’ouvre la plage de la Ponche, minuscule et pourtant légendaire. Coincée entre les maisons et les tours, elle fut longtemps une plage de pêcheurs, où l’on tirait les barques au petit matin.
Vous êtes devant la Tour Vieille, construite à la fin du XVe siècle. Ici, tout était question de vigilance. Les Tropéziens vivaient dans une époque où la Méditerranée était pleine de menaces : pirates, corsaires, flottes ennemies.
Vous êtes devant la plage de la Glaye, plus discrète que la Ponche. Coincée entre les remparts, elle garde une atmosphère intime, presque secrète.
Vous êtes devant la Tour du Portalet, construite au XVe siècle à l’entrée du vieux port. Son nom vient du provençal et signifie “petite porte”.
Le port de Saint-Tropez est le cœur du village, et il l’a toujours été. Aujourd’hui, il aligne yachts de luxe et petites barques colorées, mais il faut imaginer qu’aux XVIIe et XVIIIe siècles, c’était un port de guerre et de commerce.
S’il y a bien quelque chose en voyage comme en vacances qui met tout le monde d’accord, c’est bien la découverte de la gastronomie et des spécialités de la région visitée !
Vous êtes devant le musée de l’Annonciade, installé dans une ancienne chapelle du XVIe siècle, au bord du port. De l’extérieur, rien ne laisse vraiment deviner ce qu’on trouve à l’intérieur, et pourtant : c’est l’un des musées d’art moderne les plus remarquables de la région.
Tout parcours a ses petites histoires légères, celles qu’on raconte en souriant autour d’un café. Voici donc quelques anecdotes tropéziennes à connaître.
Selon votre génération… et vos références culturelles… ce bâtiment vous dit peut-être tout de suite quelque chose… ou pas du tout ! Pour certains, il évoque immédiatement une saga culte : Le Gendarme de Saint-Tropez avec Louis de Funès, lancée en 1964 et devenue un succès mondial.
Vous êtes devant la statue de Brigitte Bardot, inaugurée en 2017 pour ses 83 ans. Œuvre de Milo Manara, célèbre dessinateur italien de bande dessinée, elle la montre assise dans une coquille, pieds nus, cheveux au vent, l’air songeur.
Saint-Tropez n’a pas seulement séduit les peintres fauves et pointillistes du début du XXe siècle. La ville continue d’inspirer les créateurs, comme en témoigne la galerie Orlinski, reconnaissable à ses sculptures pop et monumentales, ou encore Bel-Air Fine Art, les Galeries Bartoux, la Galerie Sol et bien d’autres.
Vous êtes rue Étienne Berny, devant une façade discrète aux volets colorés. Ici, rien ne laisse deviner qu’à l’intérieur se cache un musée unique : la Maison des Papillons.
À l’angle de la place des Lices, vous apercevez une stèle dédiée à Jean Moulin, une figure majeure de la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bâtie par le même architecte que l’édifice voisin, la Royal Scottish Academy présente ici des œuvres d’art contemporain qui raviront les plus férus d’entre vous !
Véritable hommage à l’écrivain écossais Sir Walter Scott, l’un des plus célèbres de son pays, ce monument qui a noirci avec le temps est un vrai symbole pour les Édimbourgeois.
Construit entre 1894 et 1896, ce pont porte le nom de l’une des œuvres les plus célèbres de Walter Scott, l’un des auteurs les plus connus d’Écosse.
Cette rue typique de l’Écosse est certainement l’une des plus pittoresques !
Vous voici dans la rue principale d’Édimbourg, qui relie deux des monuments les plus emblématiques de la ville : le château d’Édimbourg et le Palais royal d’Holyroodhouse.
Vous voici devant l’église officielle du Palais de Holyrood, où les membres de la famille royale venaient et viennent encore aujourd’hui régulièrement lorsqu’ils résident dans le palais.
En plus de dévoiler de grands monuments chargés d’histoire aux quatre coins de ses rues, Édimbourg est connue pour compter des dizaines de cours intérieures cachées au cœur des habitations
Vous l’avez bien remarqué, on est loin ici des bâtiments typiquement écossais qui caractérisent l’architecture de la ville !
Le Palais de Holyroodhouse fait partie du patrimoine à la fois historique et architectural de la capitale écossaise. Il marque la limite du quartier ancien, appelé ici Old Town.
Vous voici devant l’un des bâtiments les plus imposants d’Édimbourg, qui n’est autre que le siège du gouvernement écossais, perché sur la colline de Calton Hill.
Vous avez devant vous le plus beau panorama qu’on puisse avoir sur la ville d’Édimbourg, tellement beau que la colline depuis laquelle on le voit est classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO !
Cette petite place située au pied de Calton Hill dévoile deux belles églises, l’église Saint-Paul et Saint-George sur votre droite et la cathédrale Sainte-Marie sur votre gauche.
Vous l’aurez peut-être déjà compris, la capitale écossaise est séparée en deux parties : son centre historique, le plus ancien qui date du XIIe siècle, et la New Town, nouvelle ville construite en plusieurs étapes entre 1767 et 1850.
Vous êtes dans George Street, l’une des principales artères commerçantes de la capitale. C’est l’architecte James Craig qui la construit au XVIIIe siècle, au même titre que toute la nouvelle ville d’Édimbourg.
Cette place est certainement l’une des plus emblématiques d’Édimbourg puisqu’elle est située à l’extrémité d’une des rues les plus commerçantes de la ville, George Street.
Devant vous se dressent deux des maisons les plus célèbres d’Édimbourg. Au numéro 6, la maison appelée Bute House, qui dévoile de belles colonnes et une façade élégante, est la résidence officielle du Premier ministre écossais.
Vous êtes dans la rue principale d’Édimbourg, artère commerçante qui marque la limite entre la nouvelle ville et le vieux centre.
Impossible de la rater, cette fontaine d’un bleu éclatant est l’un des monuments emblématiques des jardins de Princes Street et offre l’une des plus belles vues que l’on puisse avoir sur le château d’Édimbourg !
Vous voici sur l’une des places les plus animées et fréquentées d’Édimbourg !
Vous voici devant la majestueuse cathédrale Saint-Gilles ! Enfin, cathédrale, pas vraiment, puisqu’officiellement elle ne possède plus le statut de cathédrale, mais tout le monde la nomme encore comme ça.
Dans cette rue qui mène tout droit au château d'Édimbourg, vous aurez peut-être remarqué sur votre droite plusieurs ouvertures entre les maisons qui semblent mener au cœur des habitations, nommées James Court ou encore Lady Stair Close.
Véritable emblème de la ville, le château d’Édimbourg est certainement le monument le plus connu en Écosse
Si Édimbourg possède bien une particularité par rapport à d’autres villes du monde, c’est que c’est l’une des villes les plus mystérieuses, où les histoires de fantômes, de maisons hantées et d’inexplicables disparitions sont tellement nombreuses qu’on ne les compte plus !
Sur votre gauche s’impose la Scottish National Gallery, le musée d’Art national qui renferme certains des plus grands chefs-d'œuvre du monde depuis sa création en 1859.
Devant vous s’élève l’une des dernières portes fortifiées de Beaune : la porte Marie de Bourgogne. Avec sa silhouette élancée et son toit pointu couvert de tuiles vernissées, elle semble tout droit sortie d’un livre d’histoire.
Bienvenue à Beaune, ville de vin, certes… mais aussi ville d’histoire. Son nom évoque aujourd’hui les grands crus et les Hospices, mais Beaune a bien plus à raconter. Son histoire commence dès l’Antiquité. Les Romains s’y
Vous vous tenez là devant l’un des trésors du patrimoine bourguignon : les Hospices de Beaune, aussi appelés Hôtel-Dieu. Impossible de les manquer avec leurs toits flamboyants de tuiles vernissées, aux motifs géométriques
Vous êtes sur la Place de la Halle, en plein centre historique de Beaune. Elle tire son nom des anciennes halles, aujourd’hui disparues, où se tenait autrefois le marché couvert. Juste à côté se trouvent les célèbres Hospices de
Vous voici sur la place Général-Leclerc. Située juste à côté de la basilique, cette place pavée offre un joli point de vue sur les façades anciennes et constitue un véritable lieu de transition entre les ruelles médiévales et le reste
Vous voici devant la basilique Notre-Dame. Avec ses allures de petite cathédrale, elle veille sur la ville depuis plus de huit siècles. Sa silhouette imposante, son clocher roman et sa façade sobre rappellent l’époque où
Levez les yeux… Voici l’une des silhouettes les plus reconnaissables de Beaune : le beffroi. Avec sa haute tour coiffée d’un clocher en flèche, il domine les toits de la ville depuis le Moyen Âge et reste un repère incontournable
Vous êtes sur la place Monge, l’une des plus anciennes de Beaune. Elle rend hommage à Gaspard Monge, mathématicien né ici en 1746. Il est surtout connu pour avoir fondé la géométrie descriptive, une discipline essentielle
Vous êtes devant l’entrée de l’Hospice de la Charité, un lieu discret mais profondément ancré dans l’histoire solidaire de Beaune. Fondé en 1645 par un couple de bienfaiteurs, Antoine Rousseau et Barbe Deslandes, cet
Vous êtes devant l’hôtel de ville de Beaune, installé dans un ancien couvent du XVIIe siècle. Ce lieu, fondé en 1626, abritait à l’origine les religieuses ursulines, chargées de l’éducation des jeunes filles. Après la Révolution
Vous voilà devant l’une des anciennes portes de la ville : la porte Saint-Nicolas. Majestueuse, elle marque l’entrée nord du centre historique de Beaune. Autrefois, elle faisait partie intégrante des remparts qui ceinturaient la
En lisière du centre-ville, à deux pas des remparts, se cache un lieu que les Beaunois aiment tout particulièrement : le Théâtre de Verdure. Niché au cœur du parc de la Bouzaize, c’est un petit écrin de nature où la scène est à
Ce mural haut en couleur rend hommage à l’un des films les plus cultes du cinéma français… et à l’un de ses lieux de tournage emblématiques : Beaune. Sorti en 1966, La Grande Vadrouille met en scène Louis de Funès et
Sur votre droite, derrière le mur, se dresse un élégant bâtiment gothique, discret mais chargé d’histoire : l’ancienne chapelle des Jacobins. Elle est tout ce qu’il reste aujourd’hui d’un important couvent fondé à Beaune au XIIIe siècle par l’ordre des Dominicains,
Voici le palais de justice de Beaune, un édifice imposant qui domine la place par sa façade sobre et ses colonnes d’inspiration néoclassique. Construit au XIXe siècle, il reflète les codes architecturaux de l’époque : symétrie, grandeur, et une certaine solennité,
Cette façade cache un lieu chargé de silence et d’histoire : l’ancien carmel de Beaune. Fondé en 1619, il a abrité pendant plus de deux siècles une communauté de carmélites, ces religieuses cloîtrées qui vivaient dans la prière, la solitude et la simplicité. Ici, pas
Bienvenue sur la place Carnot, véritable cœur battant de Beaune. C’est ici que tout converge : les ruelles commerçantes, les terrasses animées, les promeneurs du matin comme les flâneurs du soir. Une place à la fois historique et résolument vivante, où se mêlent patrimoine et art de
On ne dirait pas comme ça, mais vous êtes devant l’un des bâtiments les plus emblématiques de Beaune : son château. Je vous invite à faire l’aller-retour dans cette rue pour le découvrir, et notamment voir sa partie la plus
La porte Hozomon qui, traduit en français, signifie la porte de la maison du trésor, a été construite à l’origine en 942 pour protéger le temple Senso-ji.
Juste à côté de la porte Hozomon se dresse l’un des bâtiments les plus remarquables de Tokyo. C’est une pagode à 5 étages qui appartient au temple Senso-ji.
Vous voici devant le temple Senso-ji, le plus vieux temple bouddhiste de la capitale japonaise. Il a été construit en 628 pour rendre hommage à la déesse Kannon, déesse de la compassion.
Contrairement au temple Senso-ji, ce sanctuaire est dédié au culte shinto. En fait, les temples, comme celui de Senso-ji, font partie de la religion bouddhiste, alors que les sanctuaires, eux, appartiennent à la religion shinto.
Vous êtes au cœur du quartier Asakusa, dans lequel se trouve le plus vieux temple de la ville, Senso-ji. Vous vous en doutez, c’est grâce à lui que le quartier est l’un des plus touristiques de la ville, si ce n’est le plus touristique, pour sa valeur historique.
Tellement de choses à dire sur ce beau pays qu’est le Japon ! Si ce n’est pas sur sa religion, ses monuments et sa culture, c’est sur sa géographie et sur ses habitants que l’on a également de quoi apprendre.
Vous êtes sur les quais de la rivière Sumida, qui traverse Tokyo en son centre. Face à vous, sur l’autre rive, se dresse l’incroyable Tokyo Sky Tree, qui vous l’aurez compris, se place parmi les plus hautes tours du monde.
Vous longez à présent le fleuve Sumida, à proximité duquel se trouve la Tokyo Sky Tree. Il traverse le nord-est de Tokyo, la partie dans laquelle vous vous trouvez, et mesure au total 23,5 km. Il a donné son nom à l’un des 23 arrondissements de Tokyo.
Je profite de la traversée de ce pont, qui vous offre une magnifique vue sur la Tokyo Sky Tree, pour vous raconter quelques anecdotes sur la culture japonaise. Vous le savez sûrement déjà, celle-ci est bien différente de celle des Français.
Le parc Sumida longe la rivière du même nom sur chacun de ses côtés. Très connu pour ses magnifiques cerisiers qui fleurissent pendant le printemps, c’est un espace idéal pour se balader au bord de l’eau et au cœur des arbres.
Vous voici devant l’entrée qui vous mènera jusqu’au sanctuaire Ushijima, un sanctuaire shinto qui aurait été construit au cours du IXe siècle.
Vous ne pouvez pas repartir du Japon sans avoir eu un petit aperçu de son histoire, qui a débuté il y a des milliers d’années. On estime que les premières populations à être venues sur l’archipel sont arrivées au Paléolithique, vers 35 000 av. J.-C.
Vous êtes devant le bâtiment qui abrite la mairie de l’arrondissement de Sumida. Il faut savoir que Tokyo compte au total 23 arrondissements, qui sont chacun dirigés par leur propre mairie, qui elle-même se trouve sous la préfecture métropolitaine de Tokyo.
Vous voilà au pied de l’un des bâtiments les plus insolites de Tokyo, l’Asahi Flame. D’en bas, comme ça, on le remarque pas forcément mais les deux bâtiments que vous avez devant vous représentent une pinte de bière et sa mousse, pour celui de droite, et un verre de bière surmonté d’une flamme pour celui de gauche.
Aller, la traversée de ce pont est l’occasion de faire un petit résumé des différents festivals et des fêtes religieuses qui ont lieu chaque année au Japon !
Et voilà, vous avez ici un beau point de vue qui met en évidence la Tokyo Sky Tree, comme à peu près partout, puisque c’est quand même la plus haute tour du Japon, mais aussi sur les fameux immeubles appartenant au groupe brassicole Asahi !
La porte que vous avez devant vous marque l’entrée dans le Senso-ji, le plus vieux temple de la capitale. Elle date, à l’origine, de l’an 942, soit il y a plus de 11 siècles !
Vous voici dans l’une des plus anciennes rues commerçantes du Japon, la Nakamise-dori. Ici, vous plongez littéralement dans la culture japonaise !
Vous le savez déjà, s’il y a bien une chose qu’on ne peut pas louper en venant à Tokyo, c’est goûter à ses spécialités culinaires, connues et appréciées dans le monde entier.
Le parc de l’Esplanade, ou Esplanadi en finnois, est un lieu de promenade privilégié pour les habitants de la ville. Fondé en 1812, il relie le centre d’Helsinki à son port, entouré de beaux bâtiments du XIXe siècle.
Situé à l’extrémité du parc de l’Esplanade, vous voici devant le théâtre suédois. La Finlande ayant deux langues officielles, le finnois et le suédois, il était indispensable d’avoir un théâtre de langue finnoise, placé sur la place de la Gare, et un théâtre de langue suédoise, qui se tient devant vous.
Je profite de ce petit moment dans cette rue pour vous parler de la langue finnoise, deuxième langue officielle du pays avec le suédois.
Helsinki a la particularité d’avoir un quartier appelé le Design District et dans ce quartier, dans lequel vous vous trouvez actuellement, on retrouve le majestueux musée du Design, qui se tient juste devant vous.
Construite entre 1888 et 1893, cette église luthérienne appelée l’église Saint-Jean présente un très beau style néo-gothique conçu par l’architecte suédois Adolf Melander.
Quartier incontournable dans la visite de la capitale finlandaise, le Design District révèle un grand nombre de boutiques de créateurs et d’antiquités, de galeries d’art, de musées et de magasins de mode qui en font un quartier tendance où l’identité finlandaise est partout !
Pendant que vous arpentez la rue Fredrikinkatu, l’une des principales rues d’Helsinki appréciée pour ses nombreuses boutiques, je vous propose un petit aperçu de la gastronomie locale !
Vous voici devant celle que l’on surnomme la “vieille église d’Helsinki”. Et comme son nom l’indique, c’est effectivement la plus ancienne église du centre de la capitale !
Nous voici arrivés dans le quartier de Kamppi, quartier central d’Helsinki animé par le grand centre commercial qui se trouve devant vous.
Cet édifice surprenant, situé sur la place Narinkkatori, est la chapelle de Kamppi.
Ce beau bâtiment est le musée d’Histoire naturelle d’Helsinki. L’édifice dans lequel il est installé a été construit en 1913, et à cette date-là, ce n’était pas du tout un musée, mais un lycée russe.
Véritable curiosité de la ville, cette église n’a rien d’ordinaire. Oui oui, c’est bien une église que vous voyez-là ! On en voit ici que le dôme, puisqu’elle a été construite directement dans la roche !
Vous êtes devant le bâtiment qui abrite le Parlement finlandais. C’est l'architecte Pekka Helin, gagnant d'un concours de design, qui se verra chargé de bâtir cette structure moderne de presque 300 bureaux.
Sur votre droite se trouve l’entrée de l’Amos Rex, musée d’art moderne et contemporain complètement rénové en 2018. Il est situé dans ce bâtiment appelé le Lasipalatsi, qui signifie “palais de verre”, construit dans les années 1930 dans un remarquable style fonctionnaliste.
Cette belle gare, chef-d'œuvre de l’Art Nouveau finlandais, a été construite entre 1909 et 1919 pour faire face à la croissance de la population dans la capitale finlandaise, qui est passée de 20 000 habitants dans les années 1860 à presque 95 000 en 1900.
Vous voici devant le théâtre national de Finlande, le plus ancien théâtre de langue finnoise. Il faut en effet savoir que la Finlande n’a obtenu son indépendance qu’en 1917 et qu’avant cela, elle appartenait à la Suède, jusqu’en 1809, puis à la Russie, de 1809 à 1917.
Vous êtes devant le musée qui contient la plus grande collection d’art classique de Finlande !
Pour profiter encore mieux de votre visite d’Helsinki et comprendre ses monuments, rien de tel qu’un petit retour sur l’histoire de celle que l’on surnomme la Ville blanche du Nord !
Lieu emblématique de la ville, la place du Sénat possède à la fois des bâtiments religieux, politiques et commerciaux. En dehors de l'incontournable cathédrale Tuomiokirkko, on y trouve également le palais du gouvernement à sa droite, l’ancienne université de Finlande et sa bibliothèque à gauche et un centre commercial en face.
Voici le monument phare d’Helsinki. Surplombant la place du Sénat, la Tuomiokirkko est la cathédrale luthérienne d’Helsinki, construite entre 1830 et 1852 sur les plans de l’architecte Carl Ludwig Engel, qui a également entièrement aménagé la place du Sénat.
En traversant ce petit pont, vous avez une superbe vue sur la cathédrale Ouspenski qui surplombe l’île de Katajanokka sur laquelle vous allez arriver.
Cette belle cathédrale construite en brique rouge est l’église orthodoxe de la ville, construite en 1868 pour la population russe.
Vous êtes ici au cœur du quartier de Katajanokka, petite île située à l’est d’Helsinki. Il est séparé du reste de la ville par le canal du même nom, creusé entre les années 1830 et 1840.
Vous voici devant le palais présidentiel d’Helsinki qui, comme son nom l’indique, est l’une des résidences officielles du président de la République de Finlande.
La place du Marché est certainement l’un des lieux les plus animés de la ville, et ici règne une ambiance conviviale et chaleureuse que l’on doit à la présence du marché d’Helsinki !
Le port d’Helsinki est un vrai symbole de la ville : il existe depuis le tout début de sa fondation. Helsinki était en effet un petit port de pêche avant de devenir cette capitale européenne ouverte au tourisme.
La promenade se termine sur le belvédère du Saint-Laurent, qui, comme son nom l’indique, vous dévoile une vue plongeante sur le fleuve. Il relie, sur pratiquement 1200 km, les Grands Lacs à l’Océan Atlantique, et en est le seul déversoir.
Vous voilà donc à l’entrée du grand parc des Champs-de-Bataille, que l’on appelle plus communément les plaines d’Abraham. Vous avez sur droite la citadelle de Québec, et sur votre gauche, l’accès au musée des plaines d’Abraham.
Le saltimbanque en courbette que vous voyez à l’angle de la rue est là pour vous accueillir à Québec et vous souhaitez un grand bienvenu chez nous. C’est le nom de l’œuvre de l’artiste Nicole Taillon.
Le bâtiment, qui se dresse majestueusement devant vous, est l’un des plus impressionnants hôtels de ville du pays. Il a été bâti sur le site d’un ancien collège Jésuite du XVIIe siècle. Les Jésuites, arrivés en Nouvelle-France en 1625, avaient bâti leur collège à Québec, pour évangéliser les jeunes autochtones, avant de s’ouvrir aux populations venues d’Europe.
Vous êtes à présent devant la cathédrale Notre-Dame-de-Québec, la plus ancienne église catholique au nord du Mexique, et la seule à avoir une porte sainte hors d’Europe. Une première église est construite sur cette place en 1647, sous le nom d'église Notre-Dame-de-la-Paix.
Que l’on approche des fêtes de fin d’années ou non, voici une visite incontournable de la ville de Québec, sa célèbre boutique de Noël. Passage obligé pour tous les fans de l’atmosphère scintillante de Noël, vous y trouverez une multitude de décorations, des plus simples aux plus soignées, des plus traditionnelles aux plus loufoques.
Vous pénétrez à présent dans une allée au nom évocateur, vous voilà dans la rue du trésor ! Elle est ainsi nommée, car elle menait jadis à la trésorerie de rue Saint-Louis, où l’on distribuait et échangeait les billets de monnaie courante, et où les colons se devaient d’aller payer leur redevance.
Sur votre gauche, vous voyez une œuvre d’art moderne en aluminium, rassemblant, tel un totem, divers éléments du Vieux-Québec. Il s’agit de l’un des repères commémoratifs, installés dans 4 zones patrimoniales de la ville, pour mettre en valeur leurs différentes identités.
Vous êtes présentement sur la place d’armes, centre touristique de premier ordre, au pied du château de Frontenac et aux abords des terrasses Dufferin et du centre d’informations touristiques. Elle a été créée dans les années 1640.
Le passage que vous empruntez se nomme le passage du chien d’or. Rien à voir avec la statue que vous avez devant vous, qui représente Monseigneur de Laval, qui fut le premier évêque de Québec. Pour comprendre cette histoire de chien d’or, il faut que vous leviez les yeux et que vous regardiez le fronton du bâtiment des postes derrière vous.
En face de vous, s’ouvre le beau parc de Montmorency. L’homme que vous voyez que son piédestal, se nomme Georges Etienne Cartier . C’est un homme politique du XIXe siècle, fondateur de la province de Québec, co-Premier ministre, avocat et auteur du tout premier hymne “Ô Canada”.
Le parc de Montmorency, à la pointe de la ville Haute, vous offre une vue plongeante sur le Saint-Laurent. C’est ici que le fleuve est le plus étroit. Le nom de Québec, vient d’ailleurs de la langue algonquine, utilisée par les Micmacs, les Cris et les Algonquins, et signifie, là où le fleuve se rétrécit.
Voilà donc la fameuse fresque des Québécois. Elle vous fait forcément penser à la fresque des Lyonnais, pour ceux qui connaissent, et pour cause ! Lorsque le président de la Commission de la capitale nationale, un organisme chargé de promouvoir et d’embéllir Québec, se rend à Lyon, il tombe sous le charme du gigantesque trompe-l’œil du Vieux Lyon.
La plaque commémorative que vous voyez sur le mur de la maison Barbel, rappelle la venue en Nouvelle-France des filles du Roy. Il faut savoir que lorsque Louis XIV monta sur le trône en 1661, tout semblait perdu dans sa colonie américaine.
Vous voilà au cœur de la ville à l’époque de la Nouvelle-France. C’est ici que s’est installé Samuel de Champlain, en construisant son “abitation”, qui servait à la fois de fort, de magasin, de poste de traite et de résidence, et dont vous pouvez voir le contour, dessiné sur le sol devant l’église Notre-Dame-des-Victoire.
À la sortie de la charmante rue du cul-de-sac, aussi surnommé l’allée des parapluies, pour l’installation colorée dont elle se voit parée en été, vous trouvez l’entrée de la maison historique de Jean-Baptiste-Chevalier, un armateur et négociant. Il s’agit de la maison que vous venez de longer avec les volets rouges, et dont vous trouverez l’acceuil un peu plus loin sur votre gauche.
Vous voyez sur votre gauche, la belle fresque du Petit Champlain. Elle a été créée par le collectif Mural Création , succursale québécoise de la maison mère lyonnaise de Cité Création. L’œuvre présente la vie au Cap Blanc, le quartier portuaire et populaire de Québec.
Il est temps de rejoindre la ville haute, au sommet du cap Diamant, nom donné à la colline de Québec par les premiers explorateurs, qui pensaient y avoir trouvé des diamants. Pour ce faire, vous pouvez, pour quelques dollars, emprunter le funiculaire historique, en service depuis 1879.
Je vous présente le célèbre Samuel de Champlain. C’est simple, Samuel, c’est tout bonnement le personnage principal du Québec. Il est le père de la Nouvelle-France. C’est lui qui a établi les prémices de la colonie, et qui a formé des liens et des alliances avec les peuples qui vivaient là, comme les Montagnais, les Hurons, les Odawas et les Népissingues.
Parlons un peu de la gigantesque silhouette qui se détache devant vous. Celle du célèbre château de Frontenac, qui donne, comme une tour Eiffel ou une statue de la liberté, son image emblématique à la ville, reconnaissable en un coup d’œil.
Cette belle promenade, aménagée, est la Terrasse Dufferin, l’un des lieux touristiques les plus populaires de la ville. À la base, vous avez ici le fort Saint-Louis, construit en 1620 par Samuel de Champlain.
La volée d’escaliers en bois vous permet de rejoindre la promenade des gouverneurs. Cette extension de la Terrasse Dufferin, relie le château de Frontenac aux plaines d’Abraham, en longeant la citadelle de Québec.
Vous voilà, face à un bâtiment pour le moins impressionnant ! Cette gigantesque façade, richement travaillée, est celle de l’Assemblée nationale du Québec. Édifié entre 1875 et 1886, il est l’un des monuments les plus représentatifs du Québec.
Vous voilà sur le chemin de ronde, entouré de canons braqués sur l’ennemi, entre deux portes emblématiques des anciens remparts de Québec. Vous êtes en présence de la seule ville fortifiée au nord de Mexico !
Lors de la traversée de la corniche, il nous est très difficile de détourner le regard de cette succession de maisons à droite de la mosquée et de son dôme bleu. Délicatement dressées face à la mer, ces belles demeures blanchies à la chaux et reconnaissables à leurs balcons ouvragés comptent parmi les plus anciennes du pays.
Découvrir une nouvelle destination, c’est tout un package. On décide de s’imprégner de la culture, de s’acclimater à l’environnement dominant, mais surtout de communier et de familiariser avec les locaux.
Glissé entre une mer de sable et l’océan Indien, le Sultanat d’Oman est un trésor caché du Moyen-Orient qui tend de plus en plus à se faire connaître du grand public. Preuve que vous n’êtes pas arrivé ici par le pur des hasards !
Établi sur une colline, dominant la corniche de Muttrah, le Riyam Park est un point de rendez-vous populaire à Mascate. S’y rendre, c’est permettre de combler un besoin urgent de tranquillité, de nature et certainement de fraîcheur.
Comme un balcon de verdure sur la mer d’Arabie, le Kalbuh Park, droit devant vous, est l’un des lieux de vie favoris des familles omanaises. Que l’on arrive de la corniche de Muttrah ou à l’inverse du vieux Mascate, ce charmant endroit nous happe à toute heure de la journée.
Point de passage obligé sur le plus important axe routier de la ville, le Muscat gate museum cache bien son jeu. Si la capitale d’Oman a fait l’objet de fortifications dans son passé, cette majestueuse arche n’en est en aucun cas une trace.
En plus des deux forts côte à côte sur le front de mer, tous deux restaurés en 1979 à la demande du Sultan Qabus, le vieux Mascate répertorie d’autres fortifications, elles aussi précieusement conservées. Vous en avez justement un très bel exemple sous vos yeux.
À votre portée, sur votre gauche, se dévoile toute l’imposante silhouette du fort Al Mirani. Sa construction remonte au XVIe siècle lorsque les colons portugais firent de Mascate leur porte d’entrée pour triompher sur la route des Indes.
Confortablement installé au bord de l’eau, vous devez normalement apercevoir, sur la rive opposée, une masse rocheuse surplombée par une imposante structure. À Mascate, il est impossible de faire l'impasse sur le fort Al Jalali et son voisin, le fort Al Mirani, qui encadrent tous deux le palais royal.
Si plus de 7000 km séparent l’Hexagone du Sultanat d'Oman, les deux territoires ne sont pas étrangers l'un envers l'autre. Et cette adresse en est la preuve formelle.
Pièce maîtresse du grand boulevard, le palais royal de Mascate, aussi appelé palais Al Alam, fait partie des trésors de la vieille ville depuis 1972. Comme son nom l’indique, cette resplendissante bâtisse est la résidence officielle et non habituelle du sultan d’Oman.
Fièrement dressé au bout de l’esplanade qu’il partage avec le palais royal de Mascate, le musée national d’Oman nous fait l’effet d’une légère claque d’élégance et d’une sobre majesté.
Dans un but de conserver son patrimoine et transmettre ses chapitres d’histoire aux générations futures comme aux visiteurs, Mascate peut compter sur ses nombreux musées. Si la bâtisse devant vous est l’une des adresses culturelles les plus visitées de la ville, rien ne la destinait pourtant à cela.
En bordure du golfe d’Oman, Mascate a la particularité d’être une ville très étalée. Il est d’usage que les visiteurs de passage optent pour une location de voiture afin de faciliter leurs déplacements.
C’est au détour de ce chemin de randonnée que vous obtenez en ce moment même l’un des plus beaux points de vue de la ville. Protégé pratiquement de tous côtés par des montagnes, le vieux Mascate s’étend dans votre champ de vision.
À Mascate, il y a le bleu de l’eau, le blanc des habitations et surtout cette dominance de marron en toile de fond. À l’image du dicton “pour vivre heureux, vivons cachés”, Mascate est niché au cœur d’un ensemble géographique riche avec à son nord toute la partie occidentale des monts Al Hajar.
Voyager à Oman, c’est s’attendre à croiser plus d’une fois la route de forts et de châteaux, à l’instar de celui qui se dresse en hauteur juste devant vous.
Adresses emblématiques de traditions authentiques et séculaires, les souks d’Oman rassemblent à eux seuls toute la richesse de la culture locale.
Bercée dans le même temps par l’agitation de la corniche et celle du souk, la mosquée de Muttrah est la parenthèse d'apaisement dans le quartier.
Référence culturelle et historique, cette jolie maison de 1930 vous accueille dans une architecture traditionnelle omanaise marquée par le mélange de la pierre blanche et du bois.
Avec des eaux territoriales connues comme assez poissonneuses, il aurait été dommage de se priver d’un lieu comme celui-ci dans l’envoûtante capitale d’Oman. Placée sans grande surprise à l’entrée du port, le marché aux poissons fait perdurer les traditions commerciales de la pêche dans la région tout en pérennisant l’activité touristique.
Déployée sur environ 10 km, la corniche de Muttrah est l’endroit rêvé pour se balader à Mascate et embrasser en un seul regard tout le front de mer. À cet emplacement précis, vraiment privilégié au passage, vous avez face à vous plus d’une figure emblématique de la ville.
Barcelone ou Bilbao ? Il est vrai qu’à la vue de ce joli bâtiment nos repères peuvent être un brin troublés. Considéré comme l’un des plus beaux exemples d’Art nouveau dans la ville, mais le seul à usage résidentiel, la Casa Montero retient très facilement l’attention.
Minimaliste et pourtant si cher à Bilbao, le musée des Beaux-Arts est l’une des meilleures institutions culturelles de premier plan en Espagne. Né en 1908, grâce au parrainage de collectionneurs locaux, l’établissement occupe le terrain depuis 1945, après sa fusion avec le musée d’Art moderne.
Longtemps considéré comme le seul véritable espace vert de Bilbao, le parc Doña Casilda Iturrizar et ses 11 hectares restent la destination de plein air préférée dans la ville. Si cet endroit était prévu dans le plan d’agrandissement de Bilbao en 1876, son histoire n’a réellement commencé qu’à partir de 1907.
Inaugurée en 1999, cette bâtisse est considérée comme l’un des plus grands ouvrages contemporains menés à bien par des architectes espagnols. Sa structure, essentiellement composée d’acier corten, rappellerait la forme d’un bateau en pleine construction.
Bilbao et la rivière Ria, c’est un peu comme une histoire de couple. Depuis ses premières origines, la capitale du Pays basque a toujours donné un rôle central à celle qui la divise en deux aujourd’hui.
Quand on fait référence à Bilbao, on s’imagine de plus en plus une ville à la croisée de l’ancien et du moderne. D’un côté, nous avons la Vieille ville avec ses édifices du XVIe siècle, puis de l’autre côté le quartier Ensanche et ses constructions toujours plus avant-gardistes.
Sorte d’icône de l’esthétique contemporaine, le musée Guggenheim a largement trouvé sa place à Bilbao, jusqu’à devenir une référence internationale que l’on ne présente plus.
Il est grand, il est blanc et semble flotter dans les airs. Voilà, comment en quelques mots, la prochaine attraction de la visite fait son entrée. Ouvert au public en 1997, le pont Zubizuri, pour dire le “Pont blanc” en basque, est une passerelle piétonne suspendue à 10 mètres au-dessus de la rivière Ria.
Très impliqué dans le développement de son architecture contemporaine, depuis maintenant quelques années, Bilbao présente toujours plus de constructions innovantes, au contraste net avec le bâti des quartiers historiques.
Si Bilbao rassemble en tout trois gares ferroviaires, il n’y a que celle-ci pour marquer aussi joliment nos esprits. Lors de son inauguration en 1902, la gare Concordia a permis de renverser l’image grise et industrielle qui collait à la ville depuis de nombreuses années.
En plus d’être l’un des symboles les plus importants de Bilbao, le théâtre Arriaga est aussi un édifice particulièrement beau. Sa construction a été menée entre 1886 et 1890 par l’architecte Joaquín de Rucoba, à qui l’on doit notamment le marché Atarazanas de Malaga, ainsi que ses arènes.
Point de référence du centre historique de la ville, la plaza Nueva est l’un des hauts lieux de la vie sociale de Bilbao depuis 1851. Lorsque les locaux ne sont pas en vadrouille dans les rues adjacentes, c’est ici qu’ils aiment se réfugier et se retrouver.
Située à l’entrée de l’une des ruelles les plus étroites de Bilbao, la fontaine du Chien fait partie des petites curiosités que compte la Vieille ville. Auparavant, c’était grâce à elle que les animaux conduits au marché étanchaient leur soif en chemin.
Au cas où vous vous demanderiez quel est le monument le plus ancien de la ville, sachez que la réponse se tient juste sous vos yeux. Les premières origines de la cathédrale de Santiago remonteraient autour de 1300, alors que Bilbao n'était encore qu’un village de pêcheurs.
Que l’on vous indique Casco Viejo ou Siete Calles, le résultat est strictement le même. Ces deux appellations sont autant utilisées l’une que l’autre pour désigner la zone dans laquelle nous vous avons fait venir, à savoir le cœur du vieux Bilbao.
Dans le parcours architectural de Bilbao, on ne pourrait se priver de l’énorme édifice gris et rouge situé au bord de la rivière Ria. Importante référence commerciale de la ville et de la région, le marché La Ribera a une histoire qui remonte au XVIe siècle, bien que ses murs datent, eux, de 1929.
C’est en pleine découverte du vieux Bilbao que notre route croise celle de l’ancienne église du Corazón de María, aussi connue comme le musée des Reproductions Artistiques.
Des perles architecturales, on peut vous confirmer que Bilbao n’en manque pas, rien qu’en découvrant le théâtre Campos Elíseos Antzokia. Emblématique et sans pareil dans la ville, cette adresse culturelle marque instantanément les esprits de tous ceux qui la croisent.
Depuis sa complète métamorphose en 2008, la Plaza Bizkaia expose le visage moderne de Bilbao. Les pergolas et les cascades latérales, caractéristiques de l’ancienne place, ont été sacrifiées dans le but de créer un espace plus ouvert, plus confortable et surtout plus accessible aux passants.
Référence en matière de culture dans la ville, l’Azkuna Zentroa est l’un des plus grands projets de rénovation que la mairie de Bilbao a pu entreprendre. Initialement, le terrain était occupé par plusieurs entrepôts dans lesquels on stockait plus d’une variété de vins.
Trouver le palais Chavárri sur la Plaza de Federico, c’est un peu comme pointer le nez au milieu de la figure. Il est impossible de traverser le périmètre sans lever au moins une fois le regard sur cet édifice à l’architecture éclectique si étonnante, mais pas vraiment locale.
Vous avez sur votre gauche la petite entrée d’un grand espace culturel pensé comme une oasis urbaine dans un des quartiers les plus denses de Buenos Aires.
Vous voilà sur l’avenue Callao, autre artère importante de la ville et entièrement déclarée en zone de protection historique. Levez les yeux sur cette portion de l’avenue, elle est bordée de bâtiments majestueux, construits pour la plupart entre 1880 et 1940.
Alors oui, là vous ne pouvez vraiment pas le rater, voilà le gigantesque Congrès de la Nation Argentine. C’est ici que se déroulent les activités du pouvoir politique.
Tout à fait, vous le reconnaissez, voilà le penseur de Rodin. Ce bronze installé sur la place du Congrès est arrivé à Buenos Aires en 1908 et a été récemment rénové et installé sur un piédestal plus haut afin de pouvoir mieux l’admirer.
Levez les yeux sur votre droite et admirez ce géant tout en douceur de courbe. Il s’agit du Palais Barolo. Vous avez devant vous le résultat du projet démesuré d’un jeune italien arrivé en Argentine en 1890.
Vous voilà, en plein cœur de la plus large avenue du monde, devant la statue du célèbre Don Quichotte, offerte par l’Espagne à l’Argentine en 1980 et face au célèbre mur d’Evita. Vous la connaissez certainement.
Vous passez à présent devant le café Tortoni, le plus vieux café de la ville et certainement le plus célèbre. S’il y a quelque chose de marquant à Buenos Aires, c’est sa nostalgie ambiante et son goût pour la tradition.
Vous arrivez à présent devant la belle église blanche de San Ignacio de Loyola. Si vous êtes familier avec le nom d’Ignace Loyola, militaire espagnol puis religieux, chef de la contre-réforme et fondateur de la Compagnie de Jésus, vous vous doutez que l’église doit avoir un lien avec les Jésuites.
Vous voilà sur la Plaza de Mayo face à la fameuse Casa Rosada, qui comme son nom l’indique et comme vous le voyez par vous même, est rose. Les versions de la raison du choix de la couleur pour peindre le siège du gouvernement diffèrent et alimentent les légendes urbaines depuis 1870.
Vous êtes au cœur du centre de Buenos Aires, sur la place de Mai, face à la Casa Rosada, où siège le gouvernement. C’est un lieu clé de la partie la plus sombre de l’histoire de l’Argentine, sa dictature.
Cet immense temple grec n’est autre que la cathédrale métropolitaine de Buenos Aires. Elle est la principale église catholique de la ville et le siège de son archidiocèse.
Vous voyez sur votre droite l’entrée aux Galeries Güemes. Alors, on ne dirait pas forcément, vu comme ça depuis l’extérieur, mais ce sont de belles galeries couvertes à la mode européenne, inaugurées en 1915 et décorées dans un magnifique style Art déco avec verrières, coupoles, murs sculptés, ascenseurs extravagants et tout ce qui va avec.
La rue Florida que vous remontez à présent est certainement très animée. Elle l’est depuis belle lurette. C’est l’une des premières rues de la ville et on retrouve son tracé dans les premiers plans de Buenos Aires retranscrits en 1580 !
Voyez sur votre droite le grand théâtre de style Art déco. C’est le Gran Rex, LA salle de spectacle principale de la ville. Avec ses 3.300 places, elle est aussi le plus grand cinéma du pays.
Vous ne pouvez pas le rater, vous le voyez pratiquement tout le temps depuis votre arrivée à Buenos Aires. Voici donc son obélisque. Vous êtes au centre de la place de la République, elle même au centre de la ville.
Vous avez à présent devant vous, le théâtre le plus important d’Argentine. Le théâtre Colon entre dans le top cinq des plus belles salles de la planète à côté de la Scala de Milan, de l’Opéra National de Vienne, du Semperoper de Dresde et de l’Opéra de Paris.
Vous traversez la place Lavalle, nommée en l’honneur de celui que vous voyez au sommet de sa colonne et qui n’est autre que le général Juan Lavalle.
Ici, vous êtes sur l’avenue Corrientes, l’une des artères principales de la capitale. Si vous n’en voyez qu’une portion, sachez que vous pouvez marcher encore 8 bons kilomètres tout droit et vous serez toujours sur l’avenue !
La rue Zabala est peuplée de bâtiments austères et imposants, à l’image de celui qui se dresse, gigantesque devant vous. Il s’agit d’un monument historique de Montevideo, et l’un des plus représentatifs de la vieille ville : le siège de la Banque de la République.
Vous êtes donc sur la très appréciée Rambla de Montevideo. Avec ces 24km longeant la baie, elle est la plus longue promenade maritime du monde. C’est vraiment l’endroit où venir prendre le pouls de la ville. Si vous n’avez pas arpenté la Rambla, vous n’êtes pour ainsi dire pas allé à Montevideo.
J’espère que cette balade dans Montevideo vous a mis en appétit, car vous arrivez devant son temple gastronomique, son Mercado del Puerto. Ne vous laissez pas avoir par son nom de marché du port, vous ne trouverez ni poissons frais ni fruits de mer à l’intérieur.
Vous rejoignez la rue piétonne de Sarandi qui part du port pour rejoindre la Plaza Independencia. Sachez d’ailleurs que si vous la prenez dans l’autre sens, en direction de la mer, vous pourrez marcher jusqu’au bout de la jetée où se trouvent habituellement quelques pêcheurs, et profitez un peu de la vue.
Jurant un peu avec le reste du paysage, vous trouvez ici, au bord de la Rambla, le Temple anglais. C’est assez unique de trouver un temple protestant, de l’église anglicane dans l’Amérique hispanique.
La rue que vous croisez à présent, s’appelle la Cumparsita. Étant donné que celle d’avant était la rue Carlos Gardel, il est peut-être temps de faire un petit point sur le Tango.
Je voulais vous parler aussi, de l’origine du nom de Montevideo. Pourquoi est-ce que les colons ont-ils choisi de nommer la ville comme ça ? Deux possibilités sont abordées, somme toute, assez proches l’une de l’autre.
Vous avez eu tout le loisir de l’observer, alors laissez-moi vous présenter brièvement le Rio de la Plata. Selon les géographes, vous lirez qu’il s’agit d’un fleuve, d’un estuaire ou d’un golfe.
La rue Isla de Flores, que vous remontez à présent, n’a l’air de rien de plus qu’une énième rue résidentielle aux maisons typiques de Montevideo. Mais lorsqu’arrive le Carnaval, elle se transforme et devient le théâtre des llamadas.
Un peu plus loin dans cette rue, se trouve le musée du cannabis, et c’est un exemple tout à fait frappant de ces petites choses qui différencient grandement l’Uruguay de ses cousins sud-américains.
Cet imposant bâtiment qui se dresse devant vous est celui de la Intendencia de Montevideo, c’est-à-dire le siège de la municipalité. N’hésitez pas à entrer et à monter au sommet de l’édifice. Le mirador panoramico, c’est-à-dire le point de vue panoramique installé sur le toit au 22e étage, à presque 80 mètres de haut est libre d’accès et vous offre une vue plongeante à 360° de la capitale uruguayenne.
La fontaine que vous voyez, recouverte de cadenas, a été rapportée du Mexique par les propriétaires du café FACAL afin de redorer l’image de leur restaurant. La légende voudrait que si un cadenas portant les initiales de deux personnes est placé sur la fontaine, alors ils reviendront à Montevideo et l’amour vivra pour toujours.
Vous avez ici la place de la Cagancha, avec d’un côté le beau théâtre circulaire et de l’autre, en plein centre de l’avenue 18 de Julio, la colonne de la paix. Elle marque le kilomètre zéro d’où sont calculées toutes les distances d’Uruguay.
Vous avez certainement remarqué que vous vous trouviez sur l’avenue principale de la ville. La Avenida 18 de Julio.
Le Palacio Salvo que vous voyez à l’angle de la place et de l’avenue 18 de Julio est sans aucun doute le bâtiment le plus emblématique de la capitale. Ce gratte-ciel art déco complètement fou, combine des influences gothiques, renaissance et néo-classique.
Vous voilà à l’entrée de la vieille ville, sur la Plaza Independencia, la place de l’Indépendance. C’est LA place emblématique de la ville, et elle rassemble un grand nombre d’éléments importants.
Vous voilà à présent devant le Teatro Solis, le principal opéra du pays et attention, le plus vieux théâtre du continent sud-américain ! Il a été construit en 1856,17ans à peine après l’indépendance de l’Uruguay.
Vous arrivez à présent sur la place de la Constitution, plus connue sous le nom de Plaza Matriz. Il s’agit de la plus ancienne place de la ville puisqu’elle servait de plaza mayor à la cité fortifiée espagnole qui s’appelait alors San Felipe y Santiago de Montevideo.
Vous arrivez ici sur la place Zabala. Elle date de 1890, mais la décision d’installer une place en plein centre de la vieille ville avait été prise en 1878, pendant la dictature du colonel Lorenzo Latorre qui avait fait détruire l’ancien fort espagnol. Mais il faudra attendre 12 ans pour que cet espace abandonné soit enfin investi.
Vous voilà devant la Cathédrale Saint-Michel et Gudule. Cette cathédrale gothique date du XIIIe siècle et a été construite sur les ruines d’une ancienne cathédrale romane.
Vous traversez à présent le Parc de Bruxelles qui vous mène au Palais Royal. On l’appelait d’ailleurs auparavant, le Parc Royal.
L’allée des palais en traversant le parc, vous amène comme c’est étonnant, face au Palais Royal. Alors petit rappel technique, oui, en Belgique, il y a une monarchie !
Cette place royale, bien entourée de beaux hôtels particuliers et de l’église Saint-Jacques sur Coudenberg, est née d’un énorme réaménagement urbain dans les années 1770.
Si comme moi, vous aimez l’art nouveau, à Bruxelles vous allez être servis ! À commencer par ce magnifique édifice, ancien grand magasin Old England construit par l’architecte Paul Saintenoy.
À quelques pas du Mim, se dresse une autre œuvre de l’architecte Paul Saintenoy, la Pharmacie Anglaise ! Qu’elle est belle, aujourd'hui reconvertie en bar à cocktails.
Vous avez sans doute remarqué que vous étiez sur la partie haute de Bruxelles où se trouve le palais royal.
Vous passez devant la maison de la bande dessinée. D'ailleurs, si vous êtes amateurs, rendez-vous au centre belge de la bande dessinée rue des sables.
Quand je vous disais que la Belgique regorge d'artistes ! Voici l’Envol, en hommage au Grand Jacques.
Vous pouvez admirer ici, le grand mur peint et son feu d’artifice! Vous l’avez sûrement déjà remarqué, les murs de Bruxelles sont fréquemment couverts de gigantesques peintures murales, rendant hommage à la Bande Dessinée belge.
Vous voyez un attroupement au coin de la rue, c’est normal, vous arrivez devant la petite célébrité de Belgique, je vous parle bien entendu du grand Manneken pis.
Il y a tant à voir à ce croisement de rues qu’on a besoin de s’y attarder quelques minutes. Je vous laisse vous imprégner de ses couleurs, de ses façades originales et de l’animation qui règne autour de ses bars et de ses magasins.
Les Halles sont souvent le lieu de rencontre par excellence de la ville. Celles de Saint Géry ne dérogent pas à la règle.
Après le Manneken-Pis et sa sœur la Janneken-Pis, voilà leur chien, Zinneke Pis ! Cette statue complète la famille des petits personnages de bronze et nous rappelle si on l’avait oublié, que les belges ne manquent décidément pas d’humour !
La place Sainte-Catherine est au cœur du quartier dynamique du même nom. Ici, place aux créateurs et à la culture.
On a ici l’étrange sensation d’être sur des quais sans fleuve ni rivière. Les bassins et l’alignement des façades nous rappellent qu’hier encore le port de Bruxelles arrivait jusque sur la place.
Cette église que vous voyez devant vous, remplace l’ancienne chapelle du plus grand béguinage de Bruxelles au XIIIe siècle.
Cette petite place qui se forme au départ de la rue au beurre mérite qu’on y attarde son attention.
Nous voilà face à la maison du Roi, écho néo-gothique de l’Hôtel de ville qui lui fait face. Elle a été construite en 1536 et rénovée en 1873.
Vous vous sentez tout petit et c’est normal ! Grand-Place vous englobe de sa majestuosité. Vous êtes au centre de l’une des plus belles places au monde !
Chacune des maisons des corporations de Grand-Place a plus à vous offrir que de jolies façades bien décorées.
Autre ensemble architectural imposant de la place, voici la maison des ducs de brabants. Immense, elle prend tout le côté est de Grand-Place.
Vous entrez dans les sublimes Galeries Saint Hubert. Construites en 1847, elles font partie des plus vieilles d’Europe !
Nous passons devant l’institution belge qu’est le Delirium. Sachez que la Culture de la bière belge est classée patrimoine immatériel de l’UNESCO !
Vous arrivez sur la place de la monnaie face à l’imposant théâtre opéra du même nom. Leurs deux noms viennent de l’ancienne fonction du lieu qui abritait l’hôtel de la monnaie qui frappait les pièces du duché de Brabant depuis 1420.
Vous voilà au cœur nostalgique de la vie de bohème parisienne. Tout est là pour dresser le portrait d’un mythe ô combien rentable des poètes du siècle passé. Les peintres, les chansonniers, les cabarets, les chevalets, c’est ici qu’est née cette notion de vie de bohème, qu’importe l’argent si l’on peut vivre d’art et d’amour.
Vous voyez à présent les vignes du Clos de Montmartre. Oui, des vignes en plein Paris, parfaitement. Et ça ne date pas d’hier ! On a des écrits attestant de leur existence depuis 944 !
Vous empruntez maintenant la jolie rue de l’Abreuvoir, peut-être la plus photographiée de Montmartre pour son côté bucolique et sa maison rose. On connaît l’existence de cette rue depuis 1325, sous le nom de rue du Buc, ruelle qui va au but !
Montmartre rend ici hommage à la célèbre chanteuse Dalida qui en avait fait son quartier de prédilection à sa venue en France. La ville lui consacre donc cette place ainsi qu’un buste, réalisé par le sculpteur Alain Aslan, à deux pas de son ancienne adresse.
Petit détour par Notting Hill, pardon Villa Léandre pour une impasse au charme fou bordée de belles maisons de style anglo-normand. La rue va même jusqu’à reproduire l’adresse la plus célèbre de Londres : Le 10 Downing Street, résidence du Premier ministre britannique !
Vous venez d’arriver sur la place Marcel Aymé, et observez étonnés, une étrange statue sortant du mur. C’est le passe-muraille, hommage à Marcel Aymé justement, qui vivait à deux pas d’ici rue Norvins.
Le moulin que vous voyez au-dessus du restaurant, n’est pas un élément décoratif, mais bien un véritable moulin historique ! Difficile à imaginer aujourd’hui, mais avant, il y avait 30 moulins sur la Butte Montmartre.
Vous retrouvez la rue Lepic, qui serpente la butte pour relier la place Blanche à la Place du Tertre. Mais cette rue aujourd’hui si dynamique et si typique de Montmartre a en réalité été pensée par et pour Napoléon Bonaparte.
Situé entre le Moulin Rouge et le Moulin de la Galette, il est facile de comprendre pourquoi on a appelé cet endroit le café des 2 Moulins. C’est en tout cas le café typique montmartrois que choisira Jean Pierre Jeunet comme décor principal de l’un des plus gros succès du cinéma français.
Vous connaissez forcément le Moulin Rouge, mais connaissez-vous réellement son histoire ? Indissociable des années folles de la belle époque, le Moulin Rouge ouvre ses portes le 6 octobre 1889 avec pour mission d’amuser et de divertir dans cette époque de paix et de bonne humeur.
Comme vous le voyez, nous sommes en plein cœur du célèbre quartier de Pigalle. Si Pigalle aujourd’hui ressemble plus à un décor touristique qu’autre chose, il était, fin XIXe et début XXe, un quartier plutôt chaud et mal famé.
Vous êtes sur la place des Abbesses, face à la seule église Art Nouveau de Paris ! Ce mouvement éphémère qui dura environ 20 ans laissa libre cours à la créativité des architectes, jusque-là cantonnés à une réglementation très stricte pour l’uniformité haussmannienne.
Alors, oui, Paris donne envie d’être amoureux, voire un tantinet fleur bleue. Ce n’est pas pour rien qu’elle est devenue la capitale mondiale du romantisme !
Vous êtes à présent au bas de la butte de Montmartre. Vous voyez au sommet, la Basilique du Sacré Cœur resplendissante. Si vous ne voulez pas monter les escaliers, vous pouvez, avec un ticket de métro, emprunter le funiculaire qui vous laissera au sommet en moins de 2 minutes !
Voilà. Tout le charme pittoresque de Montmartre tient en un regard. Le carrousel ancien en premier plan, les pelouses parsemées de rêveurs et la splendide Basilique du Sacré-Cœur qui semble veiller sur nous. C’est le moment de la jolie photo souvenir.
Monter des escaliers a au moins ça de bien, qu’on obtient généralement un point de vue plutôt pas mal à l’arrivée ! Vous pouvez souffler 5 min et profiter de la sublime vue sur Paris qui s’étend sous vos pieds !
Nous voilà donc arrivés à la belle basilique du Sacré-Cœur, si blanche et si différente de ce que l’on connaît en France avec son style néo-byzantin et ses coupoles. Mais sachez que bien avant sa construction en 1875, la colline de Montmartre était déjà un lieu de culte.
Juste un mot sur cette petite église que vous avez devant vous, bien souvent éclipsée par la Basilique du Sacré-Cœur. Sa construction débuta en 1134, ce qui en fait la deuxième église la plus ancienne de Paris, derrière celle de Saint-Germain-des-Prés.
Arrivant sur la place de la Cymaise, vous êtes face à l’emblématique fontaine du Lion et du serpent, l’une des plus anciennes de la ville.
Vous traversez l’Isère grâce à la passerelle Saint-Laurent qui jusqu’au XVIIe siècle était le seul pont de Grenoble. C’était à l’origine un pont de bois à péage qui fut mille fois emporté par les crues de la rivière et mille fois reconstruit.
Vous voici à présent sur la place Saint-André, face à la belle façade de style gothique flamboyant du Palais du Parlement. Le parlement est un bâtiment historique classé, dont la partie la plus ancienne remonte quand même au XVe siècle.
Ici, face à la collégiale Saint-André, vous êtes au cœur du quartier delphinal, lieu de pouvoir des Dauphins au Moyen Âge. Ici, le Dauphin n’a rien à voir avec le fils aîné du roi de France. Il s’agit du titre porté par les Comtes du Viennois.
Vous voilà face à la cathédrale Notre-Dame de Grenoble.L’évêché de Grenoble remonte à très loin !! Quasiment aux débuts de la chrétienté !
Maintenant, place à la gastronomie et aux produits du terroir ! La France se visite en goûtant aux saveurs de ses différentes régions et le Dauphiné n’est pas en reste côté produits locaux de qualité.
Vous voilà sur la place Grenette. Jusqu’à la fin du XIVe siècle, vous auriez été à l’extérieur des murailles de la ville, au pied de l’enceinte gallo-romaine.
Vous arrivez sur le parvis de l’église Saint-Louis, édifiée au XVIIe siècle. C’est l’évêque de Grenoble, Monseigneur Le Camus qui a décidé de la faire construire. Il en fait même ériger deux !
Cette belle place verte a été dédiée à Victor Hugo décédé l’année de sa création. Il y avait là auparavant les anciennes casernes de Bonne et l’ancien mur d’enceinte.
Vous venez de pénétrer dans le Jardin de Ville, petite dose de nature en plein centre-ville. C’est un exemple typique de jardin à la française classique, composé d’un côté d’un bois, où l’on retrouve platanes, marronniers et tilleuls, et de l’autre une partie fleurie avec roserai, palmiers et orangers.
Vous rejoignez les quais, d’où nous avons une jolie vue sur l'alignement de bâtisses colorées de l’autre côté de l’Isère. Attention, ici, vous devez faire un choix crucial !!
Attention, nous allons commencer notre ascension en direction du Fort de la Bastille. C’est une montée qui suit des sentiers aménagés et des escaliers avec un dénivelé positif de presque 300m.
Nous voici donc dans les jardins des Dauphins. Vous êtes au point de départ du GR 9 pour la partie Isère/Savoie. Ce GR fait un bon millier de km et part du Jura pour rejoindre la Méditerranée.
Petit arrêt photo pour se reposer un peu de cette grande montée vers la Bastille. Les points de vue ne manquent pas pendant cette ascension !
Bravo à ceux qui sont montés à pied ! Les autres, j’espère que vous avez fait de belles photos ! Vous voilà tous arrivés au fort de la Bastille. N'hésitez pas à explorer les lieux, terrasses et belvédères sont là pour vous proposer des points de vue époustouflants ainsi que des explications sur Grenoble et sa région ainsi que sur les fortifications.
Aller, un petit dernier point de vue sur les montagnes avant de redescendre dans la ville. Admirez une dernière fois le massif du Vercors et de Belledonne.
Voyez à votre gauche la porte Saint Laurent. Elle fait partie des cinq portes que comportait l’enceinte du XVIIe siècle. Construite en 1615, elle était la porte d’accès vers la Savoie via la vallée du Grésivaudan.
À votre droite, si vous voulez aller le visiter, aujourd’hui ou plus tard, vous avez le musée archéologique Saint-Laurent.
Vous êtes à présent dans la rue Saint-Laurent au cœur du quartier du même nom. C’est le plus ancien quartier de la ville. Situé sur la rive droite de l’Isère, on l’appelle “la petite Italie" pour ses jolies façades colorées et le fait que ses habitants arrivaient des Pouilles en Italie.
En bas de ces escaliers, vous arriverez sur une route dans laquelle se trouve l’abri Sadi Carnot. Grand lieu de mémoire brestois, cet abri anti-bombardement a été construit pendant la Seconde Guerre mondiale, entre 1942 et 1943.
Pendant que vous traversez la Penfeld, regardez sur votre droite. Vous avez un bel aperçu de l’un des Monuments historiques de la ville, le Bâtiment aux Lions. Il s’agit de l’édifice qui se trouve dans le renfoncement, que l’on reconnaît à son architecture militaire en pierres et ses neuf arches rondes.
Nous sommes sur la place de la Liberté, véritable place centrale de la ville de Brest ! Elle ne l’a pourtant pas toujours été : autrefois, elle était même située en dehors des fortifications de la ville, et ce, jusqu’à la fin du XIXe siècle.
C’est en 1877 que cette église au style néo-roman et néo-gothique voit le jour au cœur du quartier Saint-Martin. Elle doit son nom au maire de Brest de l’époque, Hyacinthe Martin Bizet.
Ce parc au cœur de la ville est un lieu privilégié pour les Brestois et les Brestoises qui viennent profiter d’un petit moment de calme pour pique-niquer sur les pelouses verdoyantes du Jardin Kennedy.
Entre la place de la Liberté et le pont de Recouvrance, la rue de Siam constitue l’une des rues les plus fréquentées de Brest et pour cause, la multitude de magasins qu’elle possède en fait une artère commerçante immanquable du centre-ville !
L’église Saint-Michel est construite au XXe siècle, lorsque l’église Saint-Martin devient trop petite pour accueillir les nombreux fidèles du quartier. Conçue avec un style gothique, elle est inaugurée en 1913 et connaîtra au fil de son histoire quelques mésaventures : elle sera notamment très touchée pendant la Seconde Guerre mondiale.
C’est une jolie vue sur le port et la rade de Brest que vous offre le cours Dajot, aménagé en 1800 d’après les plans de Louis-Lazare Dajot, directeur des fortifications de Bretagne.
Ici, j’attire votre attention sur l’un des éléments qui composent le panorama que vous avez devant vous. Sur votre gauche, surplombant les bâtiments qui se trouvent au bord de l’eau, se dresse une large grue reconnaissable à sa couleur jaune :
Place aux spécialités locales ! Les halles Saint-Louis raviront les plus gourmands d’entre vous en proposant des stands de produits du terroir tous plus alléchants les uns que les autres. Et la liste est longue à Brest !
À deux pas des halles, Saint-Louis est la plus grande église de France construite pendant l’après-guerre. L’ancienne a en effet été complètement détruite par les bombardements, ce qui a obligé la ville à en reconstruire une à l’emplacement d’origine à partir de 1955.
Cette rue est un passage emblématique de la ville de Brest, puisqu’elle permet de profiter d’une superbe vue sur la marina du Château, l’une des plus belles rades du monde. Ce sont pas moins de 700 bateaux qui sont amarrés là, dans le port de plaisance de Brest,
C’est sur ce petit square, appelé square l’Herminier, que l’on retrouve la porte de la Caserne Guépin, vestige d’une ancienne caserne du XVIIe siècle qui fut détruite pendant la Seconde Guerre mondiale.
Plus de 300 ans d’histoire façonnent cette place conçue en 1694 par le célèbre architecte Vauban. Utilisée à l’origine comme champ de manœuvre pour les gardes de la Marine, elle s’appelait autrefois le “Champ de Bataille”, puis place de la Liberté au moment de la Révolution.
Symbole de Brest, et de la Bretagne en général, ce château fort témoigne de la puissance de la ville à l’époque médiévale. Construit sur des remparts gallo-romains du IIIe siècle, le château tel qu’on le voit aujourd'hui est l'œuvre de Vauban, l’architecte du roi Louis XIV, qui décide de le remanier au XVIIe siècle.
Le quai Commandant Malbert est certainement l’un des lieux où vous pourrez ressentir toute l'âme de cette ville portuaire. Déjà par son nom, qui fait référence au commandant Louis Marie Malbert, un Brestois qui devient capitaine d’un remorqueur basé à Brest à partir de 1924.
Vous voici sur le pont levant de Recouvrance, qui relie le centre-ville de Brest au quartier de Recouvrance, quartier historique qui se situe de l’autre côté de la Penfeld, la rivière qui traverse Brest avant de se jeter dans sa rade.
Vous vous trouvez ici devant l’entrée du château. Nous parlerons de ce monument incontournable de la région un tout petit peu plus loin, au prochain point. Car c’est aussi par ici que l’on accède au Musée National de la Marine, l’un des musées les plus intéressants de la ville.
On doit cette statue en bronze de 4 m de haut au sculpteur brestois Jérôme Durand. Il met en scène deux personnages emblématiques de la ville, qui sont en fait les deux héros de deux chansons de marins, connues par les Brestois depuis de longues années.
Édifiée au XIVe siècle, la Tour Tanguy est l’un des monuments les plus anciens de la ville. Ce n’est malheureusement pas l’originale que vous avez devant-vous, car elle a été reconstruite deux fois au cours de son histoire.
C’est l’une des plus anciennes maisons de Brest ! Construite en pierre jaune de Logonna, kersantite noire et granite rose, cette maison aurait été construite au XVIIIe siècle, mais rien n’est sûr : certains plans de la ville datant du XVIIe siècle démontrent qu’un bâtiment se situait déjà ici un siècle plus tôt.
C’est certainement la vue la plus emblématique de Brest que vous apercevez ici, au cœur du Jardin des Explorateurs, qui rend hommage à ces hommes partis en mer de Brest au XVIIIe siècle à la découverte de nouvelles terres : Louis-Antoine de Bougainville, Philibert Commerson, Jacques-Julien Houton de la Billardière ou encore Etienne Raoul.
Vous avez certainement déjà dû le remarquer, la ville de Brest est traversée par un téléphérique qui franchit la Penfeld pour relier le centre-ville au quartier des Capucins, situé sur la rive droite de la rivière.
Sur votre gauche se dressent maintenant d’étonnants vestiges, composés d’une arche et de quatre colonnes. Il s’agit des restes d’une ancienne caserne de la Marine qui avait été construite dans les années 1870, à la suite de la guerre franco-prussienne.
C’est en 1877 que cette église au style néo-roman et néo-gothique voit le jour au cœur du quartier Saint-Martin. Elle doit son nom au maire de Brest de l’époque, Hyacinthe Martin Bizet.
C’est le style jésuite qui caractérise cette église édifiée entre 1740 et 1749 à l’emplacement d’une ancienne chapelle construite au XVIIe siècle.
Boutiques de mode, bars, restaurants et cinémas sont au rendez-vous dans la rue Jean Jaurès, l’une des rues les plus commerçantes de la capitale des océans.
Allez, pendant que nous parcourons la rue Eugène Mercier pour rejoindre la prestigieuse avenue de Champagne, laissez-moi vous raconter un peu l’histoire de ce vin effervescent qui porte le même nom que toute une région de France. A savoir
A côté des halles, vous avez certainement remarqué un bâtiment plutôt atypique qui se dresse sur la place. Cet édifice est appelé la Maison de la Lune, et elle a une histoire bien particulière. Elle a été construite en 1900 sur la demande d’un
A droite, c’est la place Bernard Stasi qui se dévoile à vous. Elle est entourée de bâtiments rouges et d’arcades qui lui avaient autrefois donné le nom de place des Arcades. C’est en 2011 qu’elle change de nom, pour prendre celui de Bernard Stasi,
Vous arrivez sur la place René Cassin, et sur votre droite, vous avez un bel aperçu sur la halle Saint-Thibault, le principal marché d’Epernay. L’occasion pour moi de vous parler un peu des spécialités qu’il ne faut pas manquer dans la ville ! Car si
Devant vous se dresse l’un des plus beaux édifices de la ville. Le Château Perrier est un magnifique bâtiment qui a été édifié en 1857. Il a été construit pour Charles Perrier, le fils du fondateur de la maison de champagne Perrier-Jouët. Cet homme
Sur votre droite s’étend la place Hugues Plomb. Située en plein centre d’Epernay, elle est entourée de bâtiments typiques de la ville, et de bâtiments administratifs, comme l’hôtel des postes sur votre gauche, ou l’office notarial de l’autre côté.
Ici, vous êtes face à l’un des plus beaux bâtiments d’Epernay. Il s’agit de l’Hôtel de Ville. Situé au tout début de l’avenue de Champagne, il prend la forme d’un élégant château et est entouré d’un parc aménagé qui a été classé Jardin remarquable.
Sur votre droite se dresse le théâtre d’Epernay. Il porte le nom de Gabrielle Dorziat, une comédienne originaire d’Epernay. Née en 1880, Gabrielle Dorziat est l’une des actrices les plus influentes du XXe siècle. Féministe et indépendante, elle
Vous voici arrivé devant l’entrée de la principale église de la ville. Notre-Dame d’Epernay a été édifiée à partir de 1897, à la place d’un ancien couvent qui se trouvait là, le couvent des Ursulines. Menés par Paul Selmersheim, architecte en chef des
Sur votre gauche s’élève un étonnant monument. Il s’agit du portail Saint-Martin, une façade qui appartenait à une ancienne église abbatiale du même nom, construite par les comtes de Champagne. Le portail date de 1540, et avait été ajouté à un
Vous voici sur la place Auban-Moët. Sur votre droite, au centre du rond-point se trouve une décoration qui rappelle encore une fois la principale activité de la ville. Il s’agit d’un pressoir, l’un des éléments indispensables à la fabrication du
Arrêtez-vous un instant ici, et jetez un œil sur votre droite, derrière la grille qui se dresse devant vous. Dans cette petite cour se trouve un impressionnant vestige qui nous vient tout droit de la Renaissance ! Il s’agit d’une ancienne façade, qui date
Vous êtes ici devant l’une des nombreuses maisons de champagne de l’avenue. Il s’agit de la maison Moët & Chandon, qui est à la tête du plus gros vignoble de Champagne. Rien que ça ! Elle possède en effet pas moins de 1190 hectares de
A Epernay, le détour dans cette rue est incontournable ! Vous aurez déjà compris pourquoi rien qu’en voyant son nom : c’est ici que se trouvent les prestigieuses maisons de champagne qui font la grande réputation de la ville et de la région. Si
Vous voici sur la place de la République, l’une des principales de la ville. Elle ouvre en effet la voie à 5 rues différentes, et à la célèbre avenue de Champagne. De par sa localisation, c’est une place très empruntée, bien que ce ne soit pas un lieu où l’on a l’habitude de s’arrêter, du fait
J’attire juste un instant votre attention sur la maison que vous voyez sur votre droite. Il y a si peu de bâtiments art nouveau à Melbourne qu’elle mérite un coup d’œil, même rapide.
Vous avez ici l’entrée aux jardins du trésor qui donnent sur les Jardins Fitzroy. Ces derniers sont les plus connus de Melbourne et s’étendent sur près de 26 hectares. Ils sont l’un des principaux jardins paysagers de l’ère victorienne d’Australie.
Vous êtes à présent devant la cathédrale Saint Patrick’s, le siège de l’archidiocèse catholique de Melbourne. C’est la plus grande et la plus haute église du pays.
En sortant des jardins du Parlement, vous êtes attirés presque malgré vous par l’opulence de la façade du beau théâtre princesse de l’autre côté de la rue. Il s’agit de l’un des édifices les plus spectaculaires de Melbourne et rappelle la richesse de la ville au temps de la ruée vers l’or.
L’imposant bâtiment que vous avez là est le Parlement du Victoria. Construit au XIXe siècle, il est considéré comme l’un des plus beaux exemples d’architectures civiles de l’Empire britannique.
Vous êtes à présent, vous l’avez compris, dans le quartier de Chinatown. Comme toutes les grandes villes du monde, Melbourne possède un important quartier chinois, né dans les années 1850. À cette époque, la ruée vers l’or attire des immigrants venus du monde entier dont des milliers de prospecteurs chinois.
L’immense bâtiment qui se dresse à présent devant vous est la bibliothèque d’État du Victoria. Créée en 1854 sous le nom de Melbourne Public Library, elle est la plus ancienne bibliothèque publique d'Australie et l'une des premières au monde à être gratuite !
Oui, il semblerait bien que quelqu’un ait oublié son porte-monnaie. Cette sculpture géante fait partie des “Big Things” d’Australie. Si vous êtes en train de faire un road trip dans le pays, vous en avez certainement déjà croisé d’autres.
Vous venez d’entrer dans la magnifique arcade royale de Melbourne. Quand je vous disais qu’elle était la plus européenne des villes australiennes ! Il s’agit du premier passage couvert du pays !
Vous voilà à présent devant le Melbourne City Hall, son hôtel de ville. Il faut savoir que Melbourne a été officiellement déclarée comme étant une ville, le 13 décembre 1842, avec Henry Condell comme premier maire.
Si on vous a vanté les mérites des merveilleuses ruelles de Melbourne, remplies de cafés alternatifs, de boutiques originales et véritable paradis culinaire, on parlait certainement de Centre Place et Degraves Street.
Vous avez ici la cathédrale Saint-Paul, dont le style néogothique tranche avec les immeubles qui l’entourent. Elle a été construite à l’emplacement où le premier service chrétien public avait été organisé en 1835.
Vous l’avez sans doute reconnu puisqu’il s’agit du monument le plus emblématique et le plus photographié de la ville, mais vous voilà donc devant la Flinders' Station, la gare ferroviaire de Melbourne.
La passerelle Even Walker vous emmène droit sur le quartier de South Bank. Cette banlieue, moderne et dynamique, s’étend à 1 km au sud du CBD. Si vous n’avez pas encore entendu ce terme, il représente simplement Melbourne centre, et signifie Central Business District.
Depuis la Southbank Promenade, vous avez une vue superbe sur le CBD de Melbourne. Les gratte-ciel se dressent derrière la Yarra River et la Flinders' Station s’étend de tout son long sur l’autre rive.
Le pont des princes que vous empruntez à présent reprend le site de l’une des plus anciennes traversées de la rivière et offre une entrée sud vers le centre historique. Sa position ultra centrale en fait un lieu clé pour les grandes célébrations comme celles du Nouvel An.
Vous voilà au centre de Federation Square, Fed Square pour les intimes ! Cette place moderne est le lieu culturel de Melbourne !
En sortant de Federation square, vous êtes soudainement frappé par l’immensité et l’architecture soignée du bâtiment qui vous fait face de l’autre côté de la rue. Il s’agit du Forum Theatre, un théâtre historique et un ancien cinéma, reconverti en salle de concert.
Melbourne est une ville vivante, active et en perpétuel mouvement. Hosier lane où vous vous trouvez actuellement en est un exemple frappant. Ici, tout change constamment !
Vous avez, sur votre droite, l’entrée de la AC/DC lane ! Une ruelle entièrement dédiée au groupe mythique de hard rock australien.
Vous êtes arrivés devant la cathédrale Saint-Michel. C’est elle qui a détrôné la basilique Saint-Nazaire, dans la cité médiévale, en 1803, lui volant le statut de cathédrale.
Ici, nous allons tourner à gauche, mais si vous continuez un tout petit peu dans la rue Aimé Ramond, vous tomberez sur votre gauche sur la Maison de l’Ambassadeur, au numéro 50.
Vous voilà devant un bâtiment qui va en intéresser plus d’un : les halles de Carcassonne. Construite au milieu du XVIIIe siècle, cette ancienne halle à grains était située sur la place du Pilori, la place où l’on exposait les voleurs pour les punir.
Vous vous trouvez maintenant sur la place Carnot, le cœur vivant de la ville. Idéale pour boire un verre ou goûter les spécialités locales au restaurant, elle est l’un des lieux les plus animés de Carcassonne.
L’église Saint-Vincent est particulièrement intéressante puisqu’elle vous permet de monter en haut du clocher pour profiter d’une vue panoramique sur Carcassonne, en échange de quelques euros !
Jetez un œil sur votre gauche : le mur qui se dresse ici est une partie du bastion Saint-Martial, construit au XVIe siècle.
Nous sommes dans le square André Chénier, du nom de ce poète et journaliste français qui a été guillotiné à Paris en 1794, en pleine Révolution.
C’est au XIIIe siècle que cette église est construite au cœur de la Bastide, en 1297 exactement. Elle suit, comme la plupart des églises de la ville, une architecture basée sur le style gothique méridional
Jetez un œil sur votre gauche : vous voilà en face de l’Hôtel de Rolland, l’actuel Hôtel de Ville de Carcassonne.
Le beau bâtiment devant lequel vous êtes est le Musée des Beaux-Arts.
Face au Musée des Beaux-Arts, le square Gambetta est un petit lieu paisible où il est agréable de faire une pause. Il a été aménagé en 1861 sous le nom de place du Charbon, puis place Sainte-Cécile.
Le Pont-Neuf, en opposition avec le Pont-Vieux qui se trouve juste en face, est construit en 1840 pour permettre un deuxième accès entre la Cité médiévale et la ville basse.
Vous voici dans la rue Trivalle, située dans le quartier le plus ancien de la ville. Au pied de la cité, elle suit le tracé de l’ancienne voie romaine qui reliait Narbonne à Toulouse
Derrière ce mur se cache Notre-Dame de l’Abbaye, un ancien monastère qui nous vient tout droit du Moyen Age.
Vous voici devant une statue d’une grande importance pour Carcassonne.
Vous êtes devant ce qui est aujourd’hui la principale entrée dans la cité médiévale. La porte Narbonnaise, qui se trouve effectivement du côté de Narbonne, est une impressionnante fortification qui assurait la protection de la ville.
La grande porte qui se trouve devant vous correspond à l’entrée dans le château comtal. Il s’agit d’une barbacane, installée ici pour le protéger.
Avec plus de 2 millions de visiteurs par an, la Cité médiévale de Carcassonne est l’un des sites les plus visités de France.
Allez, lançons-nous dans un une petite parenthèse historique. Si vous avez déjà écouté l’audioguide qui raconte l’histoire de la ville, vous avez compris que Carcassonne fut pendant plusieurs siècles, une féodalité.
La basilique Saint-Nazaire-et-Saint-Celse, de son nom complet, est le premier bâtiment restauré par Viollet-le-Duc lors de sa grande restauration de la Cité.
Vous sortez ici de la Cité médiévale par la porte d’Aude, qui se trouve à côté du château comtal. Je suis sûre que ce décor vous dit quelque chose...
L’église Saint-Gimer n’est pas aussi ancienne que les fortifications de la Cité médiévale. En effet, elle n’a été construite qu’en 1859, par Viollet-Le-Duc.
Sur votre droite, située à l’entrée du Pont-Vieux, se dresse l’ancienne manufacture royale de draps.
Nous allons maintenant traverser le Pont-Vieux de Carcassonne, qui permet de traverser l’Aude et de relier les deux parties de la ville.
Cette petite chapelle, sur votre gauche, porte bien son nom : on trouvait autrefois juste à côté d’elle un grand hôpital.
Vous l’avez peut-être déjà compris, mais Carcassonne est divisée en deux parties : la Cité médiévale, perchée sur son éperon rocheux et entourée de ses faubourgs, et la ville basse, appelée la bastide Saint-Louis, qui se trouve de l’autre côté de l’Aude.
Vous voici sur la place du Général de Gaulle. Ici, on tombe sur ce qui était autrefois l’une des constructions les plus importantes de la ville : la porte des Jacobins, sur votre droite, marque l’entrée dans la ville basse de Carcassonne.
Parmi les 33 ponts qui composent la ville de Londres, c’est sans aucun doute le Tower Bridge qui attire le plus de visiteurs.
C’est à Guillaume le Conquérant, duc de Normandie au cours du XIe siècle, que l’on doit la construction de cette impressionnante forteresse, après sa conquête de l’Angleterre.
Grâce à cette vue depuis les quais de la Tamise, vous pouvez admirer le plus haut gratte-ciel de Londres, appelé The Shard, qui signifie “tesson de verre”.
Cette église, initialement bâtie au XIIe siècle, est entièrement reconstruite au XVIIe siècle après le Grand Incendie de Londres.
Ce monument de 61 mètres de hauteur est un véritable hommage à la tragédie qui a frappé Londres en 1666. Un grand incendie débute dans l’une des boulangeries du quartier de la Cité, non loin de London Bridge, et s’étend rapidement dans la ville, détruisant tout sur son passage.
Vous voici au pied de cet étonnant bâtiment situé aux portes du quartier financier de Londres.
Voici une église anglicane dédiée au roi martyr Edmond d’Est-Anglie, dernier roi du territoire avant la conquête des Vikings au IXe siècle.
Nous voici au cœur du centre historique de la ville !
Construit en 1840, ce bel édifice aux huit colonnes corinthiennes abritait autrefois la bourse de commerce.
Cet imposant bâtiment n’est autre que la résidence des lords-maires de Londres !
Cette petite place cachée est une étape incontournable dans l’histoire de Londres : ici se trouvait, à l’époque romaine, un amphithéâtre.
En empruntant la rue qui part sur la droite, et en marchant quelques mètres, vous tomberez sur le Finsbury Circus.
Mais quelle est donc cette vieille tour qui s’élève en plein centre de la Cité de Londres ?
Vous voilà devant la cathédrale Saint-Paul, qui, avec sa coupole de 110 mètres de haut, s’impose parmi les plus grandes cathédrales au monde !
Vous voici sur le Millennium Bridge, qui vous permet de traverser la Tamise pour rejoindre le quartier de Southwark.
Le bâtiment qui se trouve sur votre droite est appelé le Globe Théâtre de Shakespeare, car c’est ici que Shakespeare a écrit et mis en scène ses plus grandes œuvres, connues dans le monde entier.
La cathédrale de Southwark est la plus ancienne église gothique de Londres.
Vous rejoignez ici le Tower Bridge par ce passage appelé le Queens Walk. Il relie le pont le plus emblématique de Londres au London Eye, situé à presque 4 km d’ici.
Situé sur la Canebière, le Palais de la Bourse fait partie, comme la majorité des monuments de la ville, de l’époque napoléonienne.
Grand témoignage de la fondation de la ville en 600 av. J.-C., le site archéologique du Port Antique, sur votre droite, présente les vestiges de la ville de Massalia, établie par les Grecs il y a plus de 2 600 ans.
Regardez le bâtiment qui se trouve sur votre droite. Il s’agit de la plus ancienne maison de Marseille.
Situé à l’ancien emplacement de la Maison de ville édifiée au XIIIe siècle, cet Hôtel de Ville est l’un des seuls bâtiments du quartier à avoir survécu à la Seconde Guerre mondiale.
Vous marchez actuellement dans le plus vieux quartier de Marseille, et l’un des plus vieux de France !
Cette rue colorée de graffitis en tout genre témoigne de l’importance du street art dans la ville.
Au bout de l’agréable place des Pistoles, le Centre de la Vieille Charité s’impose comme l’un des bâtiments historiques les plus importants de la ville.
Époustouflante, n’est-ce pas ? Cette magnifique cathédrale représente toute la puissance de la ville.
Ambiance du Sud garantie sur cette petite place du quartier bordée de cafés et de restaurants qui dévoilent leurs grandes terrasses pendant la saison estivale!
Imaginez-vous, il y a plus de 2 600 ans, que c’est ici que les Phocéens ont débarqué pour la première fois pour y établir une ville, Massalia, qui compte aujourd’hui parmi les trois plus grandes villes de France.
Le Vieux-Port de Marseille, c’est aussi une vue imprenable sur la Basilique Notre-Dame-de-la-Garde.
Nous sommes dans le premier arrondissement de Marseille, et c’est au croisement, face aux quais, que l’on remarque de loin l’église Saint-Ferréol.
Une vraie touche de modernité au cœur d’un des plus anciens quartiers de France !
Comment visiter Marseille sans parler de son célèbre savon ? Sur votre gauche se trouve le musée du savon de Marseille, véritable identité de la ville connue dans le monde entier.
Vous avez sur votre droite, malgré la grille, un très bel aperçu d’une partie de la Cité Phocéenne. Ce qui est intéressant ici, c’est que l’on aperçoit au loin, surplombant la mer et dévoilant son toit orangé, le magnifique palais du Pharo.
Ce bâtiment aux abords surprenants est l’abbaye Saint-Victor, fondée au Ve siècle et visible depuis le Vieux-Port.
Je profite de cet instant où nous marchons dans le boulevard de la Corderie pour vous parler des spécialités culinaires de Marseille, qui, vous allez le voir, sont nombreuses !
Pendant que nous revenons tranquillement vers le centre de Marseille, je vous propose un petit cours sur les célèbres expressions marseillaises qui, vous le savez, sont nombreuses et très utilisées ici !
Vous voici arrivé sur une jolie place piétonne qui a été inaugurée en 1989. C’est l’urbaniste Charlie Bové qui l’a conçue, mais elle porte le nom d’un personnage phare de la Seconde Guerre mondiale
Situé dans le 1er arrondissement, l’Opéra de Marseille est construit entre 1786 et 1787 dans le style classique.
Vous entrez dans le quartier le plus coloré de la ville. Le cours Ju, comme on l’appelle ici, ne présente pas de monuments historiques, ou de jolis points de vue sur la ville…
Réalisé par l’architecte Henri Espérandieu, qui a également conçu la Basilique Notre-Dame-de-la-Garde, le palais des Arts accueille aujourd’hui des concerts et des expositions, après avoir hébergé pendant longtemps la bibliothèque municipale et l'École des Beaux-Arts.
Centre du quartier de Noailles, la place du marché des Capucins accueille, comme son nom l’indique, un marché de producteurs où une vingtaine d’exposants étalent leurs fruits et légumes à des prix imbattables.
Tout le monde connaît la Canebière, ou du moins a déjà entendu ce nom lorsque l’on parle de Marseille. Mais connaissez-vous l’histoire de cette célèbre avenue ?
Vous voilà face à l’un des joyaux les plus emblématiques du Vieux Mans : la majestueuse cathédrale Saint-Julien. Prenez un instant pour lever les yeux vers sa façade imposante. Là-haut, les arcs-boutants semblent encore porter le souffle de
Bienvenue au Mans, une ville dont l’histoire remonte à plus de deux mille ans. Ici, chaque époque a laissé sa trace, des remparts antiques aux pavés du vieux centre, des clochers médiévaux aux grands événements contemporains. Tout
Vous êtes arrivés dans le square Jacques-Dubois. Il fait partie intégrante de la Cité Plantagenêt, le cœur historique du Mans, un quartier qui a traversé les siècles sans perdre son âme. Il porte le nom de Jacques Dubois, un historien local passionné,
Tournez légèrement votre tête à gauche, vous voilà nez à nez avec un arrosoir. Mais pas n’importe lequel. Oubliez l’outil discret rangé dans une cabane de jardin. Celui-ci mesure près de quatre mètres de haut. C’est un géant de zinc, accompagné
Cette place porte le nom de l'église Saint-Pierre, autrefois située à proximité. Au Moyen Âge, cet espace était déjà un point stratégique, servant de lieu de marché et de rassemblement pour les habitants. Elle a été au cœur de nombreux événements
Sur votre gauche, au numéro 69, se trouve l’une des maisons les plus emblématiques du Vieux Mans. Voici la Maison d’Adam et Ève, reconnaissable entre toutes grâce à sa superbe façade à colombages et ses sculptures intrigantes. Datée de la fin du XVe siècle
Vous voici devant l’Hôtel Denisot, un bel hôtel particulier du XVe siècle situé rue de Vaux. Sa façade discrète cache une histoire riche, entre héritage gallo-romain et élégance Renaissance. Une partie du bâtiment repose sur les vestiges d’une
Sur la gauche, vous voilà face à l’un des trésors les mieux gardés du Vieux Mans : son impressionnante enceinte romaine. Elle est là, massive, silencieuse, mais si vous tendez l’oreille, peut-être entendrez-vous résonner les pas des légionnaires
Pendant que vous continuez votre visite, laissez-nous vous parler d’un autre plaisir typiquement manceau : sa gastronomie. Car ici, on sait régaler les papilles ! On commence bien sûr par l’incontournable des incontournables : les
Face à vous se dresse l’église Saint-Benoît, l’un des plus anciens édifices religieux du Mans encore debout. Discrète et souvent méconnue, elle fait pourtant partie des trésors architecturaux de la Cité Plantagenêt. L’église a été construite à la
Vous voilà sur la place de l’Éperon, un endroit au charme indéniable, où l’histoire et l’art se rencontrent. Cette place, animée et centrale, se trouve à la croisée de la vieille ville et des quartiers modernes du Mans. Elle est bordée de maisons à pans de
Même en plein cœur de la ville, difficile d’échapper à l’aura des 24 Heures du Mans. Plus qu’une simple course, c’est un véritable symbole pour la ville, connu dans le monde entier. Tout commence au début des années 1920. L’industrie
Vous vous trouvez maintenant devant l'ancien couvent des Visitandines, un édifice emblématique du XVIIIe siècle, fondé en 1634 par l'ordre des Visitandines. Ce bâtiment a servi de monastère jusqu'à la Révolution française, avant de
La Place de la République est le cœur battant du Mans depuis plus de huit siècles. Vous vous trouvez au centre de ce qui fut autrefois la "Place des Halles", théâtre de l'histoire mancelle depuis 1229. Sous vos pieds, les archéologues ont découvert des vestiges gallo-romains : urnes funéraires et
Vous voici sur la place de la Sirène. Si ce lieu porte un nom aussi évocateur, ce n’est pas un hasard : il fait écho à deux œuvres emblématiques qui rendent hommage à la figure mythologique de la sirène, chacune à sa manière, et chacune à une époque bien différente. Levez les yeux vers la
Vous êtes ici devant un bel ensemble patrimonial, au pied de la Cité Plantagenêt, là où plus de deux mille ans d’histoire se côtoient. Sous vos pas, la terre repose sur l’ancienne enceinte gallo-romaine du IIIe siècle. Regardez autour de vous : les jardins s’étagent le long de cette muraille millénaire,
Bienvenue sur la place des Jacobins, un lieu emblématique du Mans. Avant d’arriver ici, vous avez probablement remarqué à votre gauche l’entrée dans un tunnel. Il s’agit d’une ancienne galerie souterraine, datant du XVIIIe siècle, qui servait à transporter l’eau de la rivière vers la ville.
Vous voici devant la fontaine du Jet d’Eau, posée comme une scène au pied de la cathédrale Saint-Julien. Si elle attire le regard par son élégance et le murmure de son eau, cette fontaine est aussi un marqueur important de l’histoire urbaine du Mans. Elle a été inaugurée en 1854, à une époque
Sur votre droite se trouve le musée Jean-Claude-Boulard – Carré Plantagenêt, le principal musée d’histoire et d’archéologie du Mans. Niché aux abords de la Cité Plantagenêt, il vous invite à un véritable voyage dans le temps. Le musée porte aujourd’hui le nom de Jean-Claude Boulard, ancien
11 septembre 1917, une date symbolique pour la France puisqu’elle marque la mort de l’un des pilotes les plus célèbres de la Première Guerre mondiale, Georges Guynemer, mort sur le champ de bataille en Belgique.
En plus des trois bateaux ouverts à la visite, le musée portuaire dévoile des maquettes, outils et photos qui retracent l’histoire du port de Dunkerque et les différents métiers issus de l’activité maritime.
Le port de Dunkerque, véritable emblème de la ville puisque c’est, je vous le rappelle, le 3e port français, est constitué de trois ports de plaisance qui permettent d’accueillir au total plus de 650 bateaux.
Vous voici dans le quartier du Grand Large, caractérisé par ses maisons à l’aspect si particulier, appelées les Gâbles.
Ce musée est l’occasion de retracer l’histoire de Dunkerque pendant la Seconde Guerre mondiale, ville qui a énormément souffert des bombardements puisque 90% de ses bâtiments ont été détruits au cours de la guerre.
Véritable curiosité de la ville, le Sablier est un hommage à l’Opération Dynamo qui a permis d’évacuer plusieurs centaines de milliers de soldats depuis la plage de Dunkerque.
Symbole de la ville, le Carnaval de Dunkerque fait chaque année, pendant 3 mois, la réputation de la cité de Jean Bart.
Encore un emblème de la ville ! Qui dit port dit bien évidemment phare, et vous avez d’ici une jolie vue sur le phare de Dunkerque, appelé le phare du Risban.
Voici un blockhaus construit pendant la Seconde Guerre mondiale, qui servait d’abri militaire conçu en béton armé et résistant aux assauts des ennemis.
Vous êtes sur la digue des Alliés, avec d’un côté la plage et la mer du Nord et de l’autre, le canal exutoire.
Cette plage porte le nom d’une ancienne commune voisine de Dunkerque, qui a fusionné en 1970 avec Dunkerque, constituant aujourd’hui l’un de ses quartiers, le quartier de Malo.
Vous voici dans le jardin des Sculptures, parc contemporain qui renferme le Lieu d’Art et d’Action Contemporaine, plus communément appelé le LAAC.
L’histoire de Dunkerque débute au Xe siècle, alors que des pêcheurs commencent à s’installer dans cette zone qui borde la mer.
Véritable symbole de cette ville portuaire et maritime, cette tour est le plus ancien édifice de la ville
Troisième port de France, le port de Dunkerque est indéniablement incontournable dans la visite de la ville.
Voici un joli point de vue, très représentatif de Dunkerque, ville maritime et portuaire !
Ce grand bâtiment qui s’impose sur la place Charles Valentin est l’hôtel de ville de Dunkerque, construit entre 1897 et 1901.
Du haut de ses 58 mètres, le beffroi de Dunkerque fait partie des visites incontournables de la ville.
Face au beffroi, de l’autre côté de la rue, voici l’église Saint-Eloi. Autrefois située à côté du clocher, elle a été reconstruite suite à l’incendie de l’ancienne église, mais paz entièrement, faute de financement.
C’est encore un hommage à Jean Bart que nous voyons là, sur cette place qui porte le nom de ce célèbre corsaire qui a sorti la France d’une grande famine au cours du XVIIe siècle.
Vous traversez ici une partie du port de plaisance de Dunkerque avec, sur votre gauche, le bassin de la Marine et sur votre droite, le bassin du Commerce.
Véritable emblème de la ville, ce voilier impressionnant est le plus grand voilier ouvert au public de France !
Vous voici sur la place principale de la ville, la place Georges Clémenceau, qui porte le nom d’un homme politique français qui a été sénateur du Var entre 1902 et 1920.
C’est en 1866 que cet édifice devient un remarquable hôtel de 80 chambres, qui dévoile un beau style néo-classique et se situe au cœur d’une luxuriante végétation. Mais à l’origine, ce bâtiment a une histoire bien plus ancienne que cela.
Si vous vous demandiez pourquoi le nom complet de la ville est Hyères-les-Palmiers, en voici l’explication ! Cette belle avenue du centre-ville est bordée sur chacun de ses côtés de magnifiques bâtiments, mais aussi de remarquables palmiers qui lui donnent un charme tout particulier.
Petite place charmante au carrefour de plusieurs rues du centre-ville hyérois, la place du Portalet dévoile une ambiance typiquement provençale avec ses maisons couleur pastel et ses terrasses de part et d’autre.
La porte Massillon, appelée également porte de la Rade, marque l’entrée dans le vieux centre hyérois. Érigée au XIIe siècle, c’était l’une des portes principales de la ville à l’époque médiévale, au moment où celle-ci était entourée de fortifications qui la protégeait des attaques ennemies.
C’est une rue plutôt originale que vous traversez là, qui passe sous différentes arcades qui lui vaudront son nom actuel, la rue des Porches.
La place Massillon est très certainement l’une des plus animées de la ville pendant la période estivale. Plutôt calme en hiver, cette place prend un tout autre visage en été : les terrasses se déploient, les verres tintent et les conversations vont bon train en plein cœur du centre historique de Hyères.
Voici l’une des portes qui marquaient l’entrée dans la cité médiévale. Construite juste à côté de la collégiale Saint-Paul, cette porte, que l’on nomme Peñiscola ou porte Saint-Paul, dévoile une tourelle, un porche surmonté de deux étages et un joli plafond bleu qui ne manque pas de surprendre.
Voici l’un des monuments phares de la ville de Hyères : la collégiale Saint-Paul. Affichant un très beau style roman provençal, cette collégiale a été construite au XIIe siècle, à laquelle s’ajoute une nef de style gothique qui, elle, date du XIVe siècle.
Plutôt surprenante, cette arche en plein cœur de la ville, non ? Ce n’est autre que la porte des Princes, encore une porte qui menait à l’intérieur ! Mais celle-ci serait bien plus récente que les autres : elle aurait été construite au XXe siècle, dans un style gothique, à la demande d’un particulier.
Une jolie vue sur la vieille ville et la collégiale Saint-Paul se présente à vous ici, dans le parc Sainte-Claire qui surplombe toute la ville.
Déjà en 1634 se trouvait ici un couvent, au cœur du parc Sainte-Claire qui surplombe la ville de Hyères. Mais un siècle et demi plus tard, fermé par la Révolution, le couvent est démoli.
Ce ne sont pas moins de 6 500 m² de plantes que l’on peut admirer dans ce jardin botanique conçu à la demande de la célèbre romancière Edith Wharton dans les années 1930.
Cette petite rue qui longe les hauteurs de Hyères relie deux des plus importants parcs de la ville, le parc Sainte-Claire, petit havre de paix à deux pas du centre historique, et le parc Saint-Bernard, qui se situe au pied de la Villa Noailles.
Vous marchez ici sur des ruines qui ont plus de 10 siècles d’histoire ! Bâti au XIe siècle par les seigneurs de Fos, le château de Hyères se situe sur un piton rocheux idéal pour surveiller les alentours, appelé la colline du Casteou.
À Hyères, les points de vue sur la ville et la mer ne manquent pas, et le parc Saint-Bernard fait partie des lieux incontournables pour en profiter !
La porte de Barruc, qui se trouve dans la rue du même nom, faisait autrefois partie intégrante des remparts qui entouraient la ville.
Cette petite église dévoile à la fois le style gothique, dans sa nef centrale, et le style roman pour ses deux nefs latérales. Elle est construite au XIIIe siècle et devient l’église des Franciscains, fraîchement installés en Provence.
Vous avez ici un très bel aperçu de l’emblématique Sky Tower ! Construite en béton armé haute performance, elle a été pensée pour résister à des vents de plus de 200 km/h et des séismes de magnitude 8.
Vous voici au pied de la plus haute tour de l’hémisphère sud ! La Sky Tower porte bien son nom : du haut de ses 328 mètres, elle domine la ville et promet une vue imprenable sur ses toits, mais aussi sur la baie d’Auckland et ses environs.
L’imposant bâtiment qui se trouve sur votre droite est le plus grand tribunal d’Australasie. C’est ici que les grandes décisions judiciaires sont prises.
Devant vous se tient la belle cathédrale d’Auckland, la cathédrale Saint-Patrick. Oui oui, elle est bien dédiée à Saint Patrick, le saint patron des Irlandais !
Ce bâtiment est le point de départ des nombreux ferries qui sillonnent la baie d’Auckland chaque jour.
C’est une ambiance complètement différente que vous retrouvez ici, dans ce qu’on appelle les Britomart Pavilions. Cette rue piétonne est entourée de petits bâtiments qui ont été conçus par le groupe Cheshire Architects.
Ce bâtiment, appelé Excelsior House, a été construit en 1885. Il était destiné à recevoir le groupe Brown, Barret & Co, qui regroupait des marchands de thé, de café et d’épices.
En continuant dans Commerce Street, et derrière la façade du bâtiment blanc qui se trouve devant vous se dresse l’imposante tour The Pacifica. C’est le plus haut gratte-ciel résidentiel du pays : il comporte 57 étages.
Cette petite voie piétonne est le parfait point de départ pour une belle virée shopping. Quartier animé, doté de boutiques originales, de restaurants, de bars, il possède tout ce qu’il faut pour qu’on s’y arrête un instant.
Vous entrez dans l’un des principaux parcs du centre-ville d’Auckland, Albert Park. Ici se trouvait autrefois un village maori, avant que les colons n’arrivent sur le territoire.
Ce beau bâtiment qui fait l’angle de l’Albert Park est le plus grand musée d’art de Nouvelle-Zélande.
C’est un élégant style édouardien qui caractérise l’hôtel de ville d’Auckland, qui s’impose le long de l’Aotea Square. Il a été inauguré en 1911 et était, à cette époque, l’un des bâtiments les plus imposants de la ville.
Vous êtes sur le square Aotea, une esplanade qui rassemble régulièrement les Néo-Zélandais lors de la tenue de foires, de festivals de musique, de concerts, de marchés ou de rassemblement politiques.
L’Aotea Square, en plus d’être entourée de grands bâtiments culturels, dévoile une sculpture impressionnante. Appelée Waharoa, elle représente une porte maorie traditionnelle faite de bois et de cuivre.
Retournez-vous et admirez la façade de cet imposant bâtiment qui se trouve dans Queen Street. C’est le Civic Theatre, un grand complexe qui réunit à la fois une salle de spectacle et un cinéma gigantesque dit “atmosphérique”.
Queen Street est l’une des principales artères du centre-ville, et d’Auckland en général. Elle porte ce nom en référence à la reine Victoria, qui régnait sur le Royaume-Uni entre 1837 et 1901.
Le centre-ville d’Auckland est appelé ici le Central Business District, ou CBD plus communément. C’est ici que la ville a été fondée en 1840, lorsque les colons britanniques sont arrivés.
Créé dans les années 90, ce petit jardin était autrefois l’emplacement du couvent des Capucins, entre le XVIe et le XVIIIe siècle, puis la cour du Tribunal jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.
La belle façade qui orne la rue sur votre gauche appartient à l’église Saint-Sébastien, église initialement construite au XVe siècle comme chapelle qui a été remaniée et agrandie au cours du XVIIIe siècle pour devenir cet édifice de style gothique flamboyant.
Ce petit square situé sur la place Thérèse Léon Blum, est un hommage à cet homme d’État qui s’est fortement engagé pour la mise en place des réformes socialistes qui sont apparues dans les années 30
Dans cette rue, on retrouve plusieurs hôtels particuliers, notamment l’Hôtel de la Brigade au numéro 12 et l’Hôtel Benavent au numéro 7.
Dans la rue qui se trouve sur votre gauche, la rue Rouget de l’Isle, se trouve l’entrée dans l’Horreum, un monument qui date du Ier siècle av. J.-C. Un Horreum, à l’époque romaine, était un entrepôt où l’on stockait toutes sortes de biens, du grain, du vin, ou encore des vêtements.
Classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO, le canal de la Robine offre de belles balades à pied ou à vélo, notamment dans le centre-ville de Narbonne où il permet de s’échapper de l’agitation de la métropole.
Ici, depuis la passerelle des Barques, le fameux pont des Marchands se dévoile devant vous !
C’est parti pour un petit aperçu des spécialités narbonnaises !
Impossible de ne pas apprécier flâner sur le cours Mirabeau, qui longe le canal de la Robine sur sa rive droite.
Vous voici devant un très bel exemple de l'architecture gothique languedocienne.
Au cœur des habitations du quartier de Bourg, on voit apparaître ici la façade de l’église Notre-Dame-de-Grâce.
Vous voici devant une maison bien particulière, sur votre droite.
Voici la basilique Saint-Paul, l’une des plus anciennes églises du Midi, et la première église gothique construite à Narbonne.
Nous sommes ici dans le quartier de Bourg, situé sur la rive droite du canal de la Robine qui sépare la ville de Narbonne en deux.
Difficile de s’en rendre compte ici, mais vous êtes actuellement en plein cœur d’un pont qui traverse le canal de la Robine !
Ici, la place de l’Hôtel de Ville a de quoi vous en mettre plein la vue. Et le palais des Archevêques, qui se trouve devant vous, n’y est pas pour rien !
Vous voici devant un précieux vestige de l’époque gallo-romaine. Face au palais des Archevêques, au cœur de la place de l’Hôtel de Ville, se trouve un morceau de la Via Domitia, voie romaine construite à partir de 118 av. J.-C.
Sur votre droite, le jardin de l’Archevêché offre un cadre exceptionnel pour faire une pause et se détendre au cœur de la ville.
Bien que située au sud de la France, cette cathédrale impressionnante a tout d’une cathédrale du Nord.
L’édifice qui se trouve sur votre gauche n’est autre que le palais des Sports, des Arts et du Travail, et si je vous arrête ici, c’est parce que c’est l’un des rares témoignages en Languedoc-Roussillon de l’architecture fonctionnaliste et rationaliste.
Le grand portail rouge qui se trouve sur votre droite débouche sur un bel hôtel particulier, appelé l’hôtel du Tricot. Certainement le plus remarquable des hôtels particuliers encore visibles dans la ville, le bâtiment a été
Par cette petite porte, nous allons sortir un instant de l’enceinte médiévale. Percée dans les remparts, il s’agit d’une poterne qui porte le même nom que l’hôtel particulier qui se trouve à côté, et que la rue dans laquelle elle
Après avoir traversé la porte Saint-Michel, vous voici arrivé dans la cité médiévale de Guérande, dans la rue du même nom. Principal axe commerçant de la ville, elle vous mènera tout droit jusqu’à la collégiale Saint-Aubin.
Cette petite place pavée est l’une des plus anciennes de Guérande. Comme son nom l’indique, elle abritait autrefois un marché, et ce à partir du XIVe siècle. On y vendait notamment du blé et on y trouvait un ancien cimetière.
La place Saint-Aubin est un passage incontournable à Guérande. En plus de vous mener jusqu’à la façade de la collégiale, que nous allons découvrir juste après, elle dévoile de très beaux bâtiments historiques qui vous
Vous voici arrivé devant la principale église de la ville, la collégiale Saint-Aubin. Située en plein cœur de la cité médiévale, elle est classée parmi les Monuments Historiques depuis 1840. La toute première église construite à
Vous voici sur la belle petite place du Pilori. Ici se déploie toute l’âme médiévale de la ville, avec ses pavés et ses maisons en pierres. Et justement, au Moyen Age, c’était l’un des lieux les plus importants de la cité, car ici se
Sur votre droite, derrière le grand portail rouge qui cache l’entrée, se dresse un bâtiment historique. Il s’agit du manoir de la Prévôté. Construit au XVIe siècle, c’était ici que résidait le prévôt de Guérande, un officier qui était
Le bâtiment qui se trouve devant vous est la chapelle Notre-Dame-la-Blanche. Elle fait partie des 8 bâtiments classés Monument Historique de la ville. On ne connaît pas très bien l’histoire de cette chapelle, mais grâce à la
Voici la porte de Saillé, classée Monument Historique de la ville. Elle constitue l’entrée sud dans la cité, menant dans la rue du même nom. Si elle porte ce nom-là, c’est parce qu’elle est tournée vers le village de Saillé, situé à
Vous voici sur la place Saint-Jean. Le bâtiment qui se dresse ici est l’hôtel-dieu de Guérande, un véritable bâtiment historique. Tellement, qu’on ne connaît même pas la date exacte de sa construction. N’hésitez pas à avancer
Impossible de visiter la ville sans parler de ce qui fait sa grande réputation aujourd’hui : ses marais salants ! Le sel de Guérande est en effet reconnu à l’international pour sa qualité exceptionnelle, mettant en avant le
Vous êtes ici devant la porte Saint-Michel, l’imposante entrée dans la cité médiévale. Vous n’avez pas manqué de le remarquer, Guérande est encore aujourd’hui entourée de ses puissants remparts. Cette enceinte fortifiée
Les petites histoires de la Habana Vieja et de la Habana Centro
5,8 km
2h30
24 audios
Vous voici devant l’un des meilleurs points de vue qu’on puisse avoir sur la baie de Menton !
Vous longez ici la promenade de la mer, qui mène tout droit, derrière vous, au port de Menton-Garavan et, dans votre sens, jusqu’au Vieux-Port.
Rien de tel que de déambuler sur le quai Impératrice Eugénie pour profiter d’une vue exceptionnelle sur Menton !
Situé à deux pas de la vieille ville, le Vieux-Port est l’un des emblèmes de la ville de Menton.
La place Fontana marque la fin de la Promenade de la Mer, qui relie le port de Garavan au Vieux-Port.
Ce joli point de vue vous offre un panorama sur la ville de Menton et les montagnes qui se dressent juste derrière.
C’est dans un bâtiment édifié en 1898 que les halles de Menton proposent chaque jour de nombreux produits frais !
Voici la partie la plus moderne du musée de Jean Cocteau, l’autre partie se trouvant à quelques mètres de là seulement, au niveau de la place Fontana.
Sur votre gauche s’étend la plage du Marché, plage de galets située au cœur de Menton qui fait partie des nombreuses possibilités de baignade que propose la Baie du Soleil.
Ces jolis jardins, qui rendent hommage à Emile Biovès, ancien maire de Menton à la fin du XIXe siècle, offrent une jolie balade entre les plantes verdoyantes et les parterres fleuris qui colorent le square.
Cet imposant bâtiment situé juste en face des jardins Biovès est le palais de l’Europe, qui regroupe le centre des Congrès et la plus grande salle de spectacle de Menton.
L’immense bâtiment qui se trouve sur votre gauche n’est autre qu’un palace construit à l’origine en 1874.
Affichant une façade élégante et travaillée, l’Hôtel de Ville est l’un des édifices de Menton qu’il est difficile de ne pas remarquer.
Vous voici dans l’une des rues commerçantes de Menton, la rue Saint-Michel. Au programme dans cette rue : bars, restaurants et boutiques de produits du terroir !
C’est un petit air d’Italie qui caractérise cette place aux Herbes !
Vous voici devant la plus ancienne fontaine de la ville. Construite en 1779, c’est grâce à elle qu’on a pu acheminer l’eau pour la première fois à Menton !
Ces belles rampes qui mènent tout droit au parvis de la basilique Saint-Michel-Archange ont été construites en 1753 pour permettre de relier la rue Longue, principale rue de la vieille ville, à la mer.
Vous voici devant LE monument phare de la ville, la basilique Saint-Michel-Archange. S’imposant en plein cœur du centre-ville mentonnais, cette basilique est un véritable joyau de l’art baroque.
Également appelée la chapelle des Pénitents Blancs, cette chapelle se trouve sur la même place que la basilique Saint-Michel-Archange et est aussi classée aux Monuments historiques.
Quoi de plus typique à Menton que la rue des Grenadiers ? Étroite, pentue et colorée, elle compte à elle seule toutes les caractéristiques des maisons mentonnaises.
C’est dans cette rue que vous retrouverez toute l’âme médiévale de la ville de Menton, bâtie au XIIe siècle.
Plutôt insolite de se retrouver en plein milieu d’un cimetière pendant une visite, je vous l’accorde, mais si je vous emmène ici, c’est parce que c’est l’un des plus beaux cimetières de France !
Ce magnifique hôtel particulier date du XVIIe siècle : c’était la résidence du navigateur havrais Michel Joseph Dubocage de Bléville au cours du XVIIIe siècle.
Cette maison-musée est un véritable témoignage de la vie havraise du XVIIIe siècle, dévoilant au travers de ses différentes pièces l’architecture, la décoration et l’ambiance d’une ancienne demeure bourgeoise.
Cette superbe cathédrale a été construite au cours du XVIe siècle, à la place d’une ancienne chapelle en bois.
Plutôt atypique, cette sculpture, n’est-ce pas ? Constituée de deux arches entremêlées, la Catène du havre a été réalisée grâce à des containers, véritable symbole dans une ville portuaire aussi importante que Le Havre.
Le quai des Abeilles, qui longe l’avant-port, est le lieu idéal pour observer et comprendre l’importance du port du Havre
C’est ici que vous pouvez retrouver et admirer certaines des plus grandes œuvres impressionnistes de France, réalisées par les plus grands noms
Sur votre gauche se déploie l’immense port de plaisance du Havre, constitué de l’anse de Joinville et de l’anse des Régates, qui peut accueillir jusqu’à 1200 bateaux à deux pas du centre-ville et de la plage.
Oui, c’est bien une église que vous voyez là ! Surprenante, atypique, unique en son genre, l’église Saint-Joseph a vraiment de quoi étonner…
Le Havre, c’est une ville à l’architecture bien particulière, un port qui s’inscrit parmi les plus importants de France, mais c’est aussi une grande plage au bord de la Manche, qui attire chaque été de nombreux visiteurs venus s’y baigner ou surfer.
Cette belle église située à deux pas de la plage du Havre a été bâtie au cours du XIXe siècle, dans un style néoroman.
Aujourd’hui propice à la balade et à la détente, cet espace a eu plusieurs vies : au XVIe siècle, il était occupé par des bâtiments qui accueillaient les pestiférés, puis il sera abandonné pendant plus d’un siècle.
C’est à Auguste Perret que l’on doit cette vaste avenue, l’une des plus larges d’Europe. Reliant l’hôtel de ville à la mer, elle constitue une véritable promenade le long des grands immeubles modernes qui la bordent.
Avant de parler de cette place emblématique du centre-ville havrais, rappelons-le, Le Havre est une ville qui a été totalement reconstruite après la Seconde Guerre mondiale
Cet ensemble d’espaces verts ornés de fontaines et de jardins aquatiques n’est autre que le jardin de l’Hôtel de Ville.
Il fallait bien que l’une des places du Havre porte le nom du talentueux personnage qui s’est chargé de sa reconstruction après la guerre !
Bâtie à la fin des années 1970, cette étonnante structure est l’un des principaux espaces culturels de la ville.
Vous voici au-dessus du bassin du Commerce, destiné à la navigation de plaisance depuis 1791.
Devant vous se dresse l’un des seuls bâtiments de la ville à avoir échappé aux bombardements de la Seconde Guerre mondiale.
Parmi les souks de la Médina, on retrouve le souk des épices, le souk du cuir, le souk des potiers ou encore le souk des maroquiniers, mais aussi le souk des tapis, véritable spécialité de Marrakech et du Maroc en général !
Alors que vous déambulez dans les allées du souk de la Médina, vous avez certainement dû apercevoir les couleurs éclatantes des épices et peut-être quelques spécialités culinaires de Marrakech.
Elle est au cœur de la vie sociale et économique de Marrakech : la place Jemaa el-Fna est l’un des principaux attraits de la ville.
Vous entrez ici dans la partie incontournable de Marrakech, si exceptionnelle qu’elle est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO !
Ici se trouve le musée Dar Si Saïd, ou musée des Arts Marocains. Installé dans l’ancienne résidence de Si Saïd, ministre de guerre et frère d’un grand vizir, il expose la plus grande collection de mobiliers, d’armes, d’instruments de musique et autres objets de la vie quotidienne de Marrakech.
Vous voici devant l’un des immanquables de Marrakech ! Ce palais, construit à la fin du XIXe siècle, a été conçu avec l’objectif de devenir le plus beau, le plus grand et le plus important palais de son époque.
Nous entrons ici dans le quartier de Mellah, ancien quartier juif de Marrakech. C’est en 1558 que le sultan Moulay Abdallah ordonne que les Juifs soient rassemblés dans un seul et même quartier, pour éviter les conflits avec le reste de la population qui est musulmane.
Derniers vestiges d’un palais richissime du XVIe siècle, ces grands et vieux murs appartiennent à El Badi, l’Incomparable. C’est ainsi que se nomme cet ensemble édifié par le sultan Ahmed al-Mansur, sixième sultan de la dynastie saadienne.
Ouvert au public depuis 1917, ce site exceptionnel est un passage obligé lors de la visite de Marrakech. C’est ici que se trouvent les tombeaux des grands sultans saadiens, qui ont dirigé la ville entre 1524 et 1659, et de leur famille.
Vous voici devant un monument de taille : de par ses dimensions impressionnantes, déjà, mais aussi parce qu’il date du XIIIe siècle !
Marrakech est une ville qui peut se targuer d’avoir plus de 10 siècles d’histoire ! Un héritage qui débute au XIe siècle, lorsque la dynastie des Almoravides s’installe sur les terres marrakchies.
La mosquée de la Koutoubia est la plus grande mosquée de Marrakech et était l’une des plus grandes mosquées du monde à la fin de sa construction. C’est l’un des plus anciens monuments de la ville, achevé en 1158 après 17 ans de construction.
Ici, c’est le spot idéal pour avoir une belle vue d’ensemble sur la mosquée de la Koutoubia et surtout son minaret de 69 mètres de haut, 77 en comptant sa flèche.
Pendant que nous marchons le long de la rue Lalla Rkia, je vous propose de revenir sur les différentes dynasties qui ont régné sur le Maroc au cours de son histoire.
Vous êtes devant l’entrée qui mène au majestueux Jardin Secret de Marrakech, situé dans le quartier Mouassine, dans la Médina.
La Maison de la Photographie est un musée qui présente plus de 10 000 photos anciennes prises entre 1870 et 1950.
Vous êtes devant l’entrée de la Médersa Ben Youssef, l’un des plus beaux monuments de Marrakech. C’est son intérieur surtout qui impressionne, ainsi si vous n’êtes pas contre verser quelques euros, je vous conseille vivement d’en faire la visite, d’autant plus que c’est la plus grande médersa du Maroc.
C’est en 1997 que le musée de Marrakech est créé par la fondation Omar-Benjelloun dans un ancien palais qui vous en mettra plein la vue.
Elle porte le nom de l’un des plus grands sultans marocains, Ali Ben Youssef, issu de la dynastie des Almoravides. Il a régné pendant 37 ans sur le Maroc entre 1106 et 1143.
Vous passez ici devant le seul vestige encore debout d’une construction almoravide, peuple qui a fondé la ville de Marrakech.
Aller, c’est le moment de sortir vos plus grands talents de négociateur ! Le Maroc, on le sait, est un pays où il faut sans cesse négocier les prix des produits, et encore plus lorsqu’on est visiteur : les locaux ont tendance à monter les tarifs de base pour les voyageurs.
Vous voilà à présent devant l'entrée du célèbre musée hanséatique de Bergen. Sa visite payante pour les adultes, mais gratuite pour les enfants est une excellente façon de vous plonger dans l’histoire de Bergen, indissociable de sa position dans la ligue hanséatique.
La file d’attente que vous voyez certainement ici, est celle du funiculaire du mont Floyen. C’est l’une des attractions les plus populaires de la ville. Vous le savez, on surnomme Bergen, la ville aux sept collines, et la plus connue est sans doute celle du mont Floyen, directement accessible depuis le centre-ville en moins de 10 minutes grâce au funiculaire Floibanen.
Vous voilà à présent devant la cathédrale de Bergen, dédiée à Olav le Saint, roi éternel de Norvège. Avant de pouvoir se dresser fièrement devant vous, notre Domkirke a connu bien des déboires. Elle a brûlé 5 fois et a même été touchée par un boulet de canon en 1665.
Vous êtes ici au cœur du quartier de Vågsbunnen. C’est l’un des quatre quartiers qui divisaient la ville au Moyen Âge. Ils avaient chacun douze représentants qui assistaient au conseil municipal. Ici, vivaient principalement des cordonniers et des Néerlandais qui y avaient ouvert des échoppes.
Arrivés sur l’immense place piétonne du centre-ville, vous ne pouvez pas rater le monument de 7 mètres de haut à la gloire des marins de Norvège. C’est l'œuvre du sculpteur Dyre Vaa et elle a été inaugurée le 7 juin 1950.
Vous vous trouvez à présent sur la Festplassen. Pas besoin de parler couramment norvégien pour deviner que cette place à un rapport avec la fête. C’est en effet ici que se célèbre la grande fête du 17 mai.
La continuité de la place vous mène au charmant Byparken et son emblématique kiosque à musique de 1888. Cet espace vert a été créé en 1865, une dizaine d’années après qu’un grand incendie ait dévoré le centre-ville.
Vous la voyez depuis le bas de la rue, se détachant dans le ciel dans sa belle couleur rouge, et vous voilà finalement devant la belle église protestante Saint-Jean, Johanneskirken en norvégien mal prononcé.
On vous l’a dit, Bergen est l’une des plus belles villes de Norvège. Les habitants d’Alesund diront le contraire, mais à part eux, tout le monde est à peu près d’accord. Et pour se rendre compte du charme de cette ville, il faut flâner dans ses quartiers aux maisons typiques et colorées.
Élue ville européenne de la culture en l’an 2000, Bergen possède une scène riche et variée. Elle accueille l’un des plus anciens orchestres symphoniques du monde, une ribambelle de festivals internationaux, de nombreux musées de qualité et le premier théâtre national du pays, que vous avez à présent sous les yeux.
La petite place de Tårnplassen vous dévoile le palais de justice de Bergen. Les quatre statues de trois mètres de haut qui décorent l’entrée sont des allégories des quatre vertus cardinales. La première est la sagesse, la deuxième, la justice, la troisième, la tempérance et la quatrième, la force d’âme.
Vous vous trouvez à présent au cœur du quartier de Klosteret. Moins touristique que Bryggen, c’est un endroit paisible, idéal pour découvrir l’architecture typique scandinave. Au XVIIIe siècle, la péninsule de Nordes reçoit un nouveau chantier naval.
Ici, prenez le temps de déambuler dans les rues tranquilles de ce quartier résidentiel. Observez comme les Norvégiens aiment à décorer leurs fenêtres et comme ils prennent soin de leurs jardins et de leurs extérieurs.
Cette statue en bronze représentant une mère et son enfant est l'œuvre du sculpteur norvégien Per Ung. Elle a été inaugurée le 08 mai 2009, jour de l’armistice, pour commémorer toutes les mères qui se sont battues pour protéger leurs enfants lors de la Deuxième Guerre mondiale pendant que leurs maris étaient sur le front.
La petite église blanche que vous voyez à présent est la Nykirken, ce qui signifie la nouvelle église. Mais en réalité son nom de consécration est l'Église de la Sainte-Trinité. Elle a été construite en 1621 pour les habitants du quartier de Nordnes, qui devaient, à l’époque, se déplacer vers la cathédrale de Bergen, car les églises du quartier avaient été détruites dans des incendies.
Vous êtes ici sur une partie du port de Bergen. Vous voyez sur votre gauche le marché couvert d’Havrommet. Ouvert un samedi sur deux, il propose également un marché de Noël au mois de décembre.
D’ici, vous avez un point de vue idéal pour apprécier toute la beauté du vieux quartier de Bryggen. C’est l’image que vous aviez en tête avant de vous rendre à Bergen, alors j’espère vraiment que le temps est clément et que vous pourrez rapporter de votre séjour norvégien, la photo carte postale de la ville.
Vous le savez, la gastronomie norvégienne vient principalement de la mer. Logique me direz-vous, quand on voit l’importance de la mer en Norvège. Ici, vous arrivez au fameux marché aux poissons de Bergen ! L’endroit idéal pour vous essayer aux spécialités locales.
Au bout de cette jetée, venez faire la connaissance de l’officier Leif Andreas Larsen, surnommé Shetland Larsen pour son active participation au Shetland bus. Si vous ne connaissez pas cette action de la Deuxième Guerre mondiale, sachez qu’ il s’agit en fait d’une unité navale norvégienne qui faisait des navettes entre les Shetlands en Écosse et la Norvège occupée pour transporter des réfugiés, des résistants, des agents des services de renseignements, des armes, etc.
Vous l’avez compris, vous êtes arrivés au cœur du sujet. Vous contemplez à présent ce que vous vouliez voir de Bergen, son plus vieux quartier, j’ai nommé le fameux Bryggen, qui veut simplement dire embarcadère en norvégien.
Vous arrivez à présent sur le site de la forteresse de Bergenhus, le cœur historique de Bergen. L’entrée dans la zone de la forteresse est gratuite, mais certains éléments peuvent demander une entrée payante.
Vous avez ici l’accès à la salle d’Håkon. C’est le plus grand bâtiment médiéval laïque de Norvège. Elle a été construite dans les années 1260, certainement par des architectes anglais. Son style gothique monumental sur trois niveaux est inhabituel pour l’époque en Norvège et le roi Håkon IV était en très bon terme avec Henri III d’Angleterre donc pourquoi pas.
L’église que vous voyez à présent se nomme Mariakirken, soit l’église Sainte-Marie. C’est l’une des églises romanes les plus importantes du pays et des plus anciennes encore intactes aujourd’hui. Elle date en effet de 1180 et a la particularité d’avoir deux clochers, ce qui est unique pour le Moyen Âge norvégien.
Après avoir vu le côté pile de Bryggen, avec sa silhouette si typique de façades bien alignées sur le port, voilà le côté face. Vous êtes au cœur du plus beau témoin du passé hanséatique de la ville, remis au goût du jour pour le plaisir des touristes. C’est l’endroit idéal pour flâner dans les petites boutiques et goûter aux douceurs proposées dans les divers cafés.
Si vous vous trouviez à Rennes au XVIIe siècle, et que vous étiez à court de parchemin, c’est ici que vous vous seriez rendus. C’est en effet sur cette place de la Parcheminerie, que se réunissaient tous les vendeurs de parchemins, qui les préparaient dans leurs ateliers, dans la rue du même nom.
Si vous étiez un duc ou une duchesse de Bretagne, il y a fort à parier que cette cathédrale serait spéciale à vos yeux. C’est ici que vous, vos ancêtres et vos descendants ont été couronnés pendant des siècles !
Remontons le temps jusqu’en 300 avant notre ère. Rennes s’appelle encore la Condate, qui veut dire Confluent en Celte.
Difficile à imaginer, mais c’est ici, sur la place des Lices, que le connétable Duguesclin, le chevalier par excellence et immense figure de la guerre de Cent Ans, réalisa son premier combat !
Vous arrivez sur la petite place Saint-Michel, qui s’ouvre au nord sur la célèbre rue de la Soif. Rennes étant une ville jeune et étudiante par excellence, vous avez forcément entendu parler de la fameuse rue de la soif. Eh bien ladies and gentleman, là voilà !
Vous voilà sur la place Rallier du Baty, petite place fort agréable qui, avouez, vous donne envie de vous installer à l'un de ses nombreux cafés et de regarder passer la vie rennaise.
Si vous vous aventurez au bout de l’impasse Rallier du Baty, vous verrez l’ancienne prison Saint-Michel, quasiment inchangée depuis le XVIIIe siècle.
C’est fou comme un défaut peut donner un charme fou ! Avouez que cette place ne serait pas la même si les façades étaient bien droites et alignées ! Personne ne s'intéressait tant à la Tour de Pise si elle n’était pas penchée !
Cette rue du vieux Rennes s'appelait autrefois “la Rue de la Fracasserie” ! Avant, les corps de métier étaient souvent regroupés.
Vous êtes maintenant sur la place Sainte-Anne, absolument trop mignonne avec son alignement de façades multicolores ! À l’époque où Rennes était entourée de remparts, elle était située à l'extérieur de la ville, mais pourtant déjà bien animée.
Vous arrivez sur la ravissante place Hoche, bordée de marronniers et de charmants hôtels particuliers. Elle a été aménagée à la fin du XIXe siècle par Jean-Baptiste Martenod, l’architecte de la ville.
La rue Saint-Mélaine nous amène devant l’église abbatiale du même nom. Elle est dédiée à saint Mélaine, considéré comme le premier évêque de Rennes. Et ce n’était pas n’importe qui.
Vous avez ici l’entrée au central Park de Rennes, son magnifique parc Thabor. Si vous décidez d’aller le visiter ou d’y revenir plus tard pour l’explorer plus en profondeur, vous découvrirez 10 hectares de verdure, qui vous feront passer par des jardins à la française, à l’anglaise, devant des orangeraies, des roseraies, un jardin botanique, un kiosque à musique, et j’en passe.
Vous voilà face à un véritable symbole de la Bretagne: son Parlement. Son assemblée est constituée dès le XIIIe siècle par les Ducs de Bretagne. Puis, il devient un Parlement de l’Ancien Régime français au XVIe siècle.
Vous êtes dans la rue Saint-Georges. Cette rue typique de Rennes est avec la rue du Chapitre, celle qui compte le plus de façades en pans de bois.
Ce n’est pas tous les jours que l’on s’arrête voir la piscine municipale de la ville que l’on visite. Mais là franchement, c’est impressionnant et elle a quand même été élue 8e plus belle piscine du monde !
Vous voilà devant le beau palais Saint-Georges. Il faut vous imaginer qu’avant, au XIe siècle, vous étiez ici hors des murs de la ville et devant une grande abbaye bénédictine, fondée par le Duc Alain III.
Vous voilà sur l’une des plus anciennes places de la ville ! Lorsque les fouilles, réglementaires avant la construction du métro, ont été menées, les archéologues ont trouvé tout un tas de trésors datant du Moyen-Âge et témoignant d’une vie commerçante très active !
Depuis la passerelle Saint Germain, vous avez une jolie vue dégagée sur la Vilaine. Vous vous demandez peut-être pourquoi,un fleuve aussi joli a-t-il écopé d’un nom aussi disgracieux ?
Vous êtes dans la rue du capitaine Alfred Dreyfus, à proximité du lycée Zola. Vous ne le saviez peut-être pas, mais c’est Rennes qui accueillit la révision du procès de la fameuse Affaire Dreyfus.
Véritable expérience conviviale, vous voilà aux Halles de Rennes. Si vous êtes gourmands, entrez donc dans la Criée et suivez les étals de produits variés. Il y en a pour tous les goûts !
Comme toutes les autres en France, la place de la République de Rennes est l’axe le plus central de la ville.
D’un côté, la mairie, de l’autre l’Opéra. Observez ces deux bâtiments et ressentez l’échange qu’il se passe entre eux.
En passant devant la Basilique Saint-Sauveur, j’aimerais vous raconter une histoire. L’église actuelle a été construite au XVIIIe siècle, mais elle remplace une chapelle qui était là depuis aussi longtemps qu’on s’en souvienne.
Vous entrez dans la rue préférée des Rennais ! Une parenthèse enchantée dans l’effervescence de la ville. Ici, c’est une rue pour flâner sur les pavés, en admirant les façades typiques à pans de bois, les hôtels particuliers et les belles boutiques.
Vous voilà devant l’Hôtel de Ville d’Aix-les-Bains… mais en réalité, vous faites face à un ancien château seigneurial ! Eh oui, bien avant d’abriter les bureaux de la mairie, ce bâtiment était la résidence d’une grande famille :
À côté de l'Hôtel de Ville se dresse un véritable trésor qui passerait pourtant presque inaperçu : le temple de Diane, un bâtiment romain vieux de près de 2000 ans ! C'est l'un des trois seuls temples romains entièrement
Vous voilà sur la place Carnot, la plus ancienne place d'Aix-les-Bains ! Cette vaste esplanade pavée cache plus de secrets qu’il n’y parait. Dès le Moyen Âge, cette place portait le nom de “Grande-Place”. Située entre les deux
Vous voilà devant l'un des monuments les plus anciens d'Aix-les-Bains… et sans doute l'un des plus mystérieux. L'Arc de Campanus se dresse ici depuis près de deux mille ans. Il a été construit par un notable local, Lucius
Vous voici dans la montée des Moulins, un lieu chargé d'histoire qui témoigne d'un aspect méconnu du passé d'Aix-les-Bains. Sous vos pieds, coule un ruisseau invisible, témoin d'une histoire fascinante. En 1739, après un
Bienvenue à l'église Notre-Dame d'Aix-les-Bains, magnifique joyau romano-byzantin au cœur de la cité thermale ! Son imposant clocher vert, teinté par l'oxydation du métal, est un repère incontournable depuis plus d'un
Vous voilà devant l'église Saint-Swithun, qui raconte une histoire étonnante : celle des Anglais qui ont adopté Aix-les-Bains au XIXe siècle ! Construite en 1870, cette petite église anglicane témoigne d'une époque où de
Vous voilà devant l'un des casinos les plus prestigieux de France : le Grand Cercle d'Aix-les-Bains. Derrière cette façade élégante, se cache une histoire fascinante, qui nous ramène à l'âge d'or du thermalisme européen.
Vous vous demandez peut-être d’où sortent ces statues colorées, installées juste devant le Casino, et qui tranchent littéralement avec la blancheur immaculée du bâtiment. Elles ont été commandées en 2012 par le groupe
Arrêtez-vous un instant pour observer plus en détail la belle façade du Grand Hôtel qui se dresse devant vous, de l’autre côté de la rue. Une fois n’est pas coutume, cet édifice nous raconte une page de l’âge d’or du
Vous êtes ici au cœur de l’espace vert le plus apprécié d’Aix-les-Bains : le parc floral des Thermes. Il s’agit de l’ancien jardin des marquis d’Aix qui avaient leur château juste à côté et qui fut racheté par les Thermes, puis
Voici un petit escalier discret, presque caché… et pourtant chargé d’histoire. Vous êtes devant le passage Rossignoli, aménagé dans les années 1880 pour relier le centre-ville aux somptueux palaces qui dominaient alors Aix-les-Bains : le Splendide
Cette sculpture monumentale représentant un grand chat en bronze inaugurée en 2020 est l’oeuvre de l’artiste Michel Bassompierre. Son nom, “la Dent du Chat” peut vous surprendre si vous ne connaissez pas bien la
Vous voilà devant l’un des ensembles thermaux les plus emblématiques de France : les Thermes Nationaux d’Aix-les-Bains. Un lieu où se lisent, en un seul coup d’œil, plus de deux mille ans d’histoire, entre pratiques
Il est vrai que du haut de sa colline, le monastère de Michelsberg se mérite. Comprenez que ne pas vous amener au pied du deuxième site religieux le plus incontournable de la ville, derrière la cathédrale, était pour nous inconcevable.
Allemande, franconienne, baroque, culturelle, médiévale, brassicole, oui Bamberg est un beau mélange de tout ça. Or, pour que la recette soit une complète réussite, il manque encore un attribut qui lui est plus que rattaché.
Touches de blanc, de jaune, de rose, de rouge, ou soyons fous, tout ça mélangé, le Rose Garden est une mer de couleur lors de la floraison.
Prenez la cathédrale, ajoutez la nouvelle résidence et complétez avec l’Alte Hofhaltung, ici devant vous, et vous obtenez là le centre du pouvoir spirituel et temporel de l’ancien évêché de Bamberg.
De tous les musées que la ville allemande recense, voilà peut-être bien le plus grand, mais sans nul doute le plus important. On nomme : le musée d’histoire de Bamberg.
Un hôtel de ville insolite, check. Une ou deux brasseries où faire honneur à la bière, check. De belles demeures et palais baroques d’antan, check. Qu’est-ce que Bamberg vous réserve de plus ? Ah oui, on sait, sa cathédrale !
Quand ce ne sont pas les cathédrales ou les églises qui rappellent à quel point Bamberg est une ancienne ville épiscopale, ce sont ses quelques musées qui s’en chargent à merveille.
La cathédrale, le musée diocésain et à présent l’Obere Pfarre, rassurez-vous, c’est bien un itinéraire de visite que nous vous avons réservé, et non un pèlerinage.
Si Bamberg rassemble dans un mouchoir de poche la majeure partie de ses plus belles merveilles et curiosités, croyez-nous, d’autres plus à l’écart n’ont pas de quoi rester sur le banc de touche. La preuve avec la Böttingerhaus droit devant.
Comme toute visite à pied mérite sa pause, arrêtons-nous un petit moment sur le pont Obere. C’est ici, plus que nulle par ailleurs, que l’on saisit le mieux la beauté singulière de Bamberg.
Pendant que les hauteurs de Bamberg se partagent les nombreux établissements religieux, le centre historique, lui, se réserve les maisons d’artisans, les brasseries, les demeures bourgeoises et les palais. Un vrai livre d’image et de style.
En tant que conteur de renom, la France a Charles Perrault, le Danemark a Hans Andersen, le Royaume-Uni a Geoffrey Chaucer, quant à l’Allemagne, elle a les fameux frères Grimm et le cher Hoffmann.
À présent que vous avez traversé deux ponts, comme on franchirait des frontières, vous voilà dans un nouveau quartier de Bamberg. Bienvenue dans l’Inselstadt, le centre bourgeois d’autrefois, mais aussi d’aujourd’hui.
Vous la voyez, vous la ressentez, mais surtout, vous l’entendez, l’animation de l’Inselsadt est particulièrement palpable à cet endroit.
De tout ce que l’on vous réserve de mieux à Bamberg, l’Altes Rathaus est sans doute l’édifice le plus iconique. Sans exagération, car un hôtel de ville sur un pilier de pont, il fallait y penser.
Avec ou sans nous, les chances de s’arrêter devant cette surprenante bâtisse étaient maximales. Il faut dire que c’est le genre de bien que l’on ne voit pas partout.
Si du tac au tac, on vous demande de citer la boisson alcoolisée préférée des Allemands, quelle réponse apporteriez-vous ? Bien sûr, ça ne peut être que la bière, à la fois une fierté et une pratique nationale !
Bâtie sur 7 collines du paysage franconien et traversée par un certain nombre de rivières, Bamberg est aussi splendide que très éclatée. Résultat, on a du choix côté quartier.
Doté d’un des plus grands centres historiques intacts en Europe, Bamberg est à quelque chose près le modèle idéal d’une ville empreinte de sa structure médiévale.
Au fil de la balade, Bamberg, ville du patrimoine mondial, ne nous est plus tout à fait étrangère. Pour autant, si vous pensez tout connaître d’elle, pardon de le dire, mais c’est faux.
Tout comme Rome, à qui l’on ne cesse de l’a comparé sur plusieurs points, Bamberg a été fondée sur 7 collines. Ici, vous êtes au sommet de Michelsberg.
Vous voici au bord du Canal de la Fontaine, qui vous mène tout droit aux jardins du même nom !
Voilà l’un des plus beaux jardins du monde, et je ne mâche pas mes mots quand je vous dis ça ! Les jardins de la Fontaine ont été classés dans le top des 150 plus beaux jardins du monde.
Impossible de ne pas passer devant ce véritable vestige romain, situé au cœur des jardins de la Fontaine !
Arrêtons-nous ici un moment. Vous vous trouvez entre les deux bassins des jardins, qui constituent la source originelle de Nîmes.
Vestige remarquable de l’enceinte qui entourait la ville de Nîmes, la Tour Magne surplombe les jardins de la Fontaine et témoigne du riche passé historique de celle que l’on surnomme la Rome française.
Ici, ce sont les vestiges du castellum qui se dresse devant vous, en plein milieu de la rue et à deux pas de l’université de Nîmes.
Édifiée sous le Second-Empire, l’église Sainte-Perpétue et Sainte-Félicité arbore un style éclectique typique de cette période. Il aura fallu environ 12 ans pour l’achever.
Jetez un œil sur votre gauche : vous avez ici un intéressant spot de street art.
Vous voici devant un bâtiment qui accueille depuis 2013 un lieu hybride et alternatif : le Spot. C’est ici que s’est installée l’association du même nom, dans le but de promouvoir les cultures alternatives.
La magnifique église Saint-Baudile, construite entre 1867 et 1877, est loin d’être aussi ancienne que la plupart des monuments de Nîmes.
Véritable joyau du patrimoine nîmois, voici la porte d’Auguste ! Appelée aussi la porte d’Arles, elle représente un vestige très ancien de l’enceinte qui entourait la ville à l’époque romaine : elle remonterait en effet au Ier siècle av. J.-C. !
Cet édifice est le Grand Temple des Dominicains. Il est édifié entre 1714 et 1736, en tant qu’église appartenant aux religieux catholiques issus de l’Ordre des Prêcheurs, fondé en 1215.
Voici la chapelle des Jésuites, construite à la fin du XVIIe siècle.
Construite dans la deuxième moitié du XVIe siècle, l’esplanade Charles de Gaulle était destinée à devenir un lieu consacré aux exercices de l’artillerie.
Vous voici devant l’amphithéâtre romain le mieux conservé au monde ! Ce sont plus de 23 000 spectateurs qui pouvaient assister ici aux combats de gladiateurs, à partir du Ier siècle !
En continuant sur la place des Arènes, nous arriverons devant l’imposant Musée de la Romanité, qui se trouve droit devant vous.
C’est une place pleine de charme, vous ne trouvez pas ? Observez le palmier qui se trouve en son centre : c’est l’un des deux symboles de la ville de Nîmes !
Vous voici devant l’Hôtel de Ville de Nîmes. À l’origine, cet édifice abritait la Trésorerie royale.
Nous sommes actuellement au cœur du centre historique de Nîmes, appelé l’Écusson en raison de sa forme qui, si vous regardez sur une carte, ressemble effectivement à un écusson !
Vous voici devant la cathédrale de Nîmes, appelée Notre-Dame et Saint-Castor.
Devant vous s’élève la Maison Romane de Nîmes, au n°1 de la rue de la Madeleine.
Vous voici sur la place de l’Horloge. Et effectivement, devant vous, se dresse la tour de l’Horloge, qui surplombe la place du haut de ses 31 mètres.
Avis aux gourmands ! Les halles de Nîmes proposent une centaine d’étals où les marchands se feront une joie de vous proposer leurs produits du terroir.
Le Petit temple de Nîmes, n’a rien à voir avec le Grand Temple des Dominicains. On l’appelle Petit temple pour le différencier du Grand temple de la Calade, qui se trouvait à Nîmes jusqu’en 1686, mais qui a été détruit.
Encore un vestige de la période romaine, et pas des moindres ! Après les arènes romaines les mieux conservées au monde, voici le seul temple du monde antique complètement préservé !
Le grand bâtiment qui se trouve sur votre gauche est appelé le Carré d’Art.
Bologne est une ville qui peut se vanter d’avoir derrière elle une histoire bien chargée. C’est en effet dès le IXe siècle av. J.-C. que la présence d’une cité a été confirmée grâce à des fouilles entreprises au cours XIXe siècle.
Bologne, la Rouge, la Grasse, mais surtout, la Savante ! Vous voici devant l’un des symboles d’une ville qui a attiré tout au long de son histoire les plus grands intellectuels de l’époque.
Ce beau bâtiment qui s’étend sur toute la largeur de la place est le Palais d’Accursio, dans lequel se trouve l’hôtel de ville.
Située sur la place du même nom, la fontaine de Neptune a été réalisée au XVIe siècle par deux architectes italiens, Bartolomeo Ammannati et Tommaso Laureti, et la statue qui la surplombe a été conçue au même moment par le sculpteur Jean de Bologne
Sur votre droite se trouvent à la fois le palais du Podestat et le palais Re Enzo. En fait, c’est dans les années 1200 que le palais du Podestat est construit, tout premier palais qui accueille les magistrats de la ville, avant de laisser sa place au palais d’Accursio à partir du XIVe siècle.
C’est à la nomination de la ville de Bologne en tant que capitale européenne de la culture, en 2000, que la conception de ce projet s’est accélérée.
Vous voici arrivé devant la cathédrale de San Pietro, ou Saint-Pierre en français. Avant de commencer la description de cet imposant édifice et son histoire, je vous recommande vivement d’entrer à l’intérieur, c’est sans conteste l’une des plus belles cathédrales d’Italie.
S’il y a bien une chose qu’on ne peut pas louper en se baladant dans Bologne, en dehors de ses monuments, ce sont les nombreuses arcades qui composent les rues du centre-ville.
Saviez-vous qu’une partie de la ville de Bologne était surnommée la Petite Venise ? Car oui, ils sont bien moins visibles qu’à Venise, vous l’avez remarqué, mais les canaux sont bien présents à Bologne !
Approchez-vous du mur qui se trouve sur votre droite : si vous voyez quelques personnes regroupées ici, c’est normal ! Vous avez un bel aperçu sur le canal delle Moline qui, depuis cette petite fenêtre placée dans la Via Piella, est devenu un spot photo très prisé des visiteurs !
Vous voilà arrivé devant une église construite au cours du XIIIe siècle. À l’époque, elle n’affichait pas la même architecture : sa façade a été remaniée dans le style gothique en 1879 par l’architecte Modonesi.
Bologne peut se vanter d’être la ville qui a accueilli la première université du monde occidental et l’une des plus grandes d’Europe ! Avec plus de 100 000 étudiants venus de toute l’Italie et du monde entier, elle mérite bien son importante réputation.
Sur votre gauche se trouve la pinacothèque nationale de Bologne. Une pinacothèque, c’est tout simplement un musée de peintures, et celui-ci est l’un des principaux musées de la ville.
Dans cette rue animée qui fait partie de l’université de Bologne, vous avez sur votre gauche un imposant bâtiment qui longe quasiment toute la voie.
Vous voici sur la place Giuseppe Verdi, qui porte le nom de l’un des plus grands compositeurs d’opéra du monde, et vous avez face à vous le théâtre communal, coloré d’un rose éclatant et soutenu par 13 colonnes.
Cette église, qui traduit en français donne l’église Saint-Jacques-le-Majeur, a été édifiée entre 1267 et 1315 dans un style roman, tout d’abord, comme le témoigne sa façade à pignons.
À quelques mètres seulement des deux tours emblématiques se trouve l’élégante église de Saint Bartolomé et Saint Gaétan. Caractérisée par un beau style Renaissance, elle a été bâtie à partir de 1516 à la place d’une ancienne église qui se trouvait là depuis le Ve siècle.
Aller, encore une place bolonaise qui mérite vraiment le coup d'œil ! Rencontre ici avec les deux tours de Bologne, qui font partie des grands symboles de la ville ! Car oui, Bologne est une ville qui comptait, au Moyen Âge, plus d’une centaine de tours, dont une bonne vingtaine est encore debout aujourd’hui.
Vous voici dans une rue qui a plus de 2 000 ans d’histoire ! La Strada Maggiore existait déjà à la période romaine puisqu'elle faisait partie de la voie Emilienne, ou Via Aemilia de son vrai nom, une voie construite à partir de -187 av. J.-C. pour relier les actuelles villes de Plaisance et de Rimini, en passant par Fidenza, Parme, Modène ou encore Bologne.
Vous voici devant l’entrée du Corte Isolani, marquée par l’une des plus anciennes maisons de Bologne ! Pour la découvrir, il faut lever les yeux et suivre les poutres qui apparaissent devant vous pour remarquer cette petite demeure qui nous vient tout droit du XIIIe siècle.
Une place qui change et qui est tout aussi incontournable que les autres ! Admirez ces beaux bâtiments qui l’entourent : derrière vous, de là où vous venez, c’est le palazzo Isolani qui impose son architecture romano-gothique imposante.
Sur cette place, vous apercevez le flambant palais della Mercanzia. C’est en 1391 qu'il voit le jour, tout de brique et de pietra d’Istria, roche de calcaire qui ressemble fortement au marbre.
Impressionnante, cette place, n’est-ce pas ? Vous voici arrivé au cœur de Bologne, sur la place principale qui peut se vanter d’avoir certains des plus beaux monuments de la ville.
Sur la Plazza Maggiore, on ne sait plus où donner de la tête tellement il y a de choses à découvrir ! Commençons par la basilique de San Petronio, sur votre gauche.
Si vous avez la chance d’avoir un jour visité Florence, vous pouvez trouver aux Jardins du Luxembourg un air familier. Ils ont en effet été créés en s’inspirant du jardin de Boboli pour la reine florentine Marie de Médicis.
Nous vous menons sur la place de l’Estrapade, devenue célèbre avec la série Netlfix à succès d’Emily in Paris. Les fans de la série, vous reconnaîtrez le restaurant fétiche des personnages, nommé Terra Nera dans la vraie vie, ainsi que la boulangerie préférée de l’héroïne, qui ne désemplit plus depuis la sortie de la série.
L’imposant monument qui s’élève fièrement devant vous, c’est bien sûr le Panthéon ! Lorsque Louis XV tombe malade en 1744, il promet, s’il guérit, de reconstruire l’église Sainte-Geneviève, qui est apparemment à l’époque la Sainte préférée des Parisiens.
En longeant la bibliothèque Sainte-Geneviève, vous remarquerez sûrement des noms gravés dans la pierre. Il y en a exactement 810 sans que l’on comprenne bien qui ils sont ou ce qu’ils ont en commun !
À quelques mètres du Panthéon, vous vous trouvez nez à nez avec la belle église Saint-Étienne-du-Mont. L’histoire remonte en 510, quand Clovis fit construire une basilique. Elle deviendra connue non parce qu’elle abrite les dépouilles de Clovis et de sa femme, mais parce qu’y repose également sainte Geneviève, la sainte patronne protectrice de Paris.
Vous voilà passant la place de la Contrescarpe, chantée par Jacques Brel, et descendant la rue Mouffetard. Cette rue est située sur une ancienne voie romaine qui reliait Paris à l’Italie en passant par Lyon.
On vous l’a dit, nous sommes dans le plus vieux quartier de Paris. Les arènes de Lutèce devant vous en sont l’exemple le plus marquant. Imaginez-vous au IIe siècle, vous voulez aller voir un combat ou un spectacle et vous vous rendez avec 17.000 autres personnes aux arènes du centre de Lutèce.
Cet immense bâtiment de verre que vous avez sous les yeux, est l’institut du Monde Arabe. Plus qu’un musée, c’est un espace multiculturel dédié à la civilisation arabe. Si vous voulez le visiter, vous y trouverez des expositions permanentes de grande qualité, mais aussi une grande bibliothèque et de nombreux événements organisés tout au long de l’année, comme des spectacles, des projections ou des débats.
Vous voilà sur le port de la Tournelle, en contrebas des quais du même nom. Le nom Tournelle vient de l’ancienne tour fortifiée de l’enceinte de Philippe Auguste, qui, avec trois autres, verrouillait grâce à de grosses chaînes l’accès au fleuve en cas d’invasion.
Marcher le long de la Seine sublime indubitablement votre visite parisienne. D’ici, vous avez une vue splendide sur l’île de la Cité. Si ce n’est déjà fait, ne manquez pas de suivre notre itinéraire du Louvre, qui traverse l’île, pour vous faire découvrir Notre-Dame de Paris, la Sainte-Chapelle ou encore le pont au Change et la Conciergerie.
Nous passons à présent devant la modeste église de Saint-Julien-le-Pauvre. Vous êtes en présence de l’une des plus anciennes églises de la capitale. Elle a été construite en 1165 sur les ruines d’une église plus vieille encore et détruite par les Normands au IXe siècle.
Cette petite rue piétonne qui vous amène à la place Saint-Michel est aussi étroite qu’exotique ! Elle a longtemps été l’une des plus belles rues de la rive gauche et doit son nom de Huchette au magasin qui se tenait au numéro 1 en 1284 s’il vous plaît : La Huchette d’Or.
Il fut un temps où vous auriez été ici même, à l’extérieur des remparts de la ville. Difficile de vous imaginer entouré de vignes, voyant au loin celle qui allait devenir Paris, lovée sur l’île de la Cité.
Vous empruntez à présent une rue que tant d’autres au fil des siècles ont empruntée avant vous. La rue Saint-André des Arts existait déjà du temps des Romains sous un autre nom.
Un mot sur la cour du commerce Saint-André que vous traversez et son café Procope. Déjà, sachez que ce passage a été construit sur l’ancienne enceinte Louis Philippe. Paris a été entourée de 7 murs d’enceinte différents au cours de sa vie.
Les ruines des thermes de Cluny, que vous voyez là en plein centre-ville, datent du 1er et 2e siècle de notre ère. À l’époque romaine, elles recouvraient environ 6.000 m².
Dès le XIIe siècle, la rive gauche de la Seine accueille en plein air, des enseignements de théologie, de droit, d’arts et de médecine. C’est l’université de Paris. Au début du XIIIe siècle, le roi Philippe Auguste puis le Pape Innocent III lui confèrent des droits et des privilèges et inventent le statut d’université.
Le théâtre de l’Odéon sur lequel vous amène la rue Racine, a été créé en 1782 sous le nom de Théâtre Français, pour accueillir la troupe de la Comédie Française. La salle est inaugurée par Marie-Antoinette le 9 avril et quelques années après, triomphe sur ses planches “Le mariage de Figaro”.
L’immense étendue d’herbe que vous voyez de l’autre côté du canal n’est autre que le Pâquier. Son vrai nom est le champ de Mars, mais les Anneciens l’appelle toujours le Paquier, qui signifie Pâturage et rappelle que l’espace était situé jadis en dehors de la ville
Nous arrivons au Pont des Amours. Autre lieu symbolique de la ville. Le pont offre une vue imprenable sur le lac et l’île aux cygnes. Son nom si romantique a en réalité une double signification.
Il est temps pour vous de vous reconnecter avec la beauté environnante et de savourer votre balade le long des jardins de l’Europe. Ce parc à l’anglaise a bien changé. À l’époque médiévale, il abritait ce qu’on appelait “des cabanes de santé” installées sur des petits îlots perdus au milieu des marécages.
Cet étrange cadran solaire, de son petit nom originel, le Gnomon du Frère Arsène, est une étoile à 7 branches capable de mesurer le temps. C’est un peu technique alors je vous conseille de lire la plaque pour plus de détails.
Avec ces airs de carte postale suisse, le lac d’Annecy est la véritable star de la ville ! Deuxième plus grand lac glaciaire de France, derrière Le Bourget, ce lac, protégé du déversement des eaux usées et surveillé de près, a gagné le surnom du lac le plus pur d’Europe !
Sur la place de l’hôtel de Ville, vous avez comme son nom l’indique d’un côté, l’hôtel de ville et en face, l’église Saint-Maurice. Ça fait un paquet d'églises pour une si petite ville ! Annecy est surnommée ”la ville aux 5 clochers''!
Vous arrivez à présent sur la place de Saint-François-de-Sales, devant l’église du même nom. On l’appelle aussi la paroisse des Italiens, pour la simple et bonne raison, qu’elle est fréquentée principalement par la communauté italienne d’Annecy.
Vous le voyez et vous l’attendiez, alors attaquons tout de suite par le célèbre Palais de l’Ile plus communément nommé l’ancienne prison. C’est le monument le plus photographié de la ville.
Vous avez remarqué que les rues d’Annecy sont restées très typiques moyenâgeuses. Les portes fortifiées en sont un bon exemple.
Vous voilà face au château d’Annecy, surplombant la vieille ville à flanc de montagne. Stratégiquement placé pour surveiller toute la plaine, il permettait d’observer les déplacements sur la route entre Genève et l’Italie.
Les occasions de faire de belles photos à Annecy ne manquent pas ! Ici, pas de canaux fleuris ou de lac scintillant, mais l’esplanade Saint Maurice vous offre tout de même un beau panorama sur les toits savoyards avec les belles montagnes en toile de fond.
Vous voilà sur le premier pont de pierre d’Annecy, construit au XIIIe siècle. Il permettait à la route des Alpes qui reliait Genève à l’Italie de franchir le Thiou.
Depuis le quai de l’évêché, vous pouvez observer un magnifique alignement de maisons anciennes au ras de l’eau. Un décor qui laisse rêveur
Vous voici dans l’une des artères principales de la ville. C’est la première rue qui permettait de traverser entièrement Annecy en chariot !
Nous voilà sur une place beaucoup plus moderne, la place Sainte-Claire. Un petit côté station de ski des années 80, mais qu’importe.
Vous voilà devant l’un des canaux du Thiou. Cette rivière a beau être l’une des plus petites de France, atteignant à peine 4 kilomètres, elle a eu un impact considérable sur la création et l'expansion d’Annecy !
Certains souvenirs sont à marquer d’une pierre blanche, d’autres méritent un Balustre d’Or. Le jour de Pâques de l’année 1728, Jean Jacques Rousseau rencontre Mme de Warens.
Vous arrivez à présent devant l’église Notre-Dame de Liesse. Elle a été fondée au XIVe siècle par les comtes de Genève qui voulaient un endroit digne de ce nom pour accueillir leurs futures sépultures.
Quand la rue Royale devient la Rue du Pâquier, vous pouvez observer une margelle de puits très ancienne. Ce puits date en effet du XVe siècle.
L’Ancien Hôtel de Sales que vous voyez devant vous est l’un des rares hôtels particuliers d’Annecy. Il a été construit par la famille de Sales, descendante donc de Saint François de Sales.
Derrière ces murs se cache plus de quinze siècles d’histoire religieuse. Vous vous trouvez devant l’ancien palais épiscopal de Rodez. Le diocèse fut fondé au Ve siècle avec Saint Amans, premier évêque, sur les terres de l’ancienne cité gallo-romaine des Rutènes.
Devant vous s’élève l’un des plus grands monuments gothiques du sud de la France : la cathédrale Notre-Dame de Rodez. Entièrement construite en grès rose, elle domine la ville depuis plus de sept siècles. Sa silhouette fortifiée, intégrée autrefois aux remparts, rappelle qu’elle servait autant de lieu de culte que de refuge.
Vous êtes ici sur la place de la Cité, au cœur du vieux Rodez. Depuis le Moyen Âge, cet espace jouxtant la cathédrale a toujours été un centre du pouvoir religieux. Entièrement réaménagée entre 2018 et 2020, la place offre aujourd’hui un vaste tapis de granit, un éclairage discret et des bancs intégrés, créant un lieu de rencontre moderne au sein du quartier épiscopal.
La galerie Sainte-Catherine est un lieu où l’histoire et l’art contemporain se rencontrent. Le bâtiment que vous voyez n’était autrefois qu’une partie du grand couvent des Dominicains, fondé à la fin du XIIIe siècle sur les ruines du forum romain de Rodez. De cet immense ensemble, il ne reste que l’aile nord, qui servait de réfectoire aux moines.
Voici la place du Bourg, l’un des cœurs historiques de Rodez. Au Moyen Âge, cette place était le domaine des comtes de Rodez, en opposition à la Cité voisine contrôlée par les évêques. Ici battaient les échanges commerciaux : foires, marchés et boutiques firent la richesse du Bourg, et de belles demeures bourgeoises en sont encore les témoins.
Vous voici sur la place Raynaldy, au cœur du centre ancien de Rodez. Devant vous s’élève le musée Fenaille, installé dans l’hôtel de Jouéry, un remarquable hôtel particulier mêlant architecture médiévale et Renaissance.
Pendant que vous traversez tranquillement l’allée Robert Taussat, voici le moment idéal pour faire une petite place à la gastronomie. Rodez est une ville qui se savoure autant qu’elle se visite. Ici, la cuisine est une véritable fierté, héritée du terroir de l’Aveyron et de ses traditions séculaires.
Sur votre gauche se dresse la chapelle royale de Rodez, l’un des plus beaux vestiges du prestigieux collège des Jésuites. Fondée en 1562 par le cardinal Georges d’Armagnac, cette institution connut très vite un immense succès : on y comptait déjà 800 élèves l’année suivante !
Voici le monument aux morts de Rodez, à l’entrée du jardin du Foirail. Réalisée en 1923 par le sculpteur aveyronnais Denys Puech, cette statue en bronze représente la Victoire, dressée en hommage aux soldats ruthénois tombés pendant la Première Guerre mondiale.
Vous avez là un bâtiment qui ne passe pas inaperçu. Le Musée des Beaux-Arts est né en 1910 de la volonté de son fondateur, le sculpteur ruthénois Denys Puech, qui rêvait d’offrir à sa ville natale un véritable sanctuaire dédié à l’art aveyronnais.
À côté de la chapelle royale, se trouve la Galerie Foch. Ce bâtiment du XVIIe siècle faisait partie du même ensemble, mais il a connu une autre destinée. Longtemps intégré aux bâtiments du collège des Jésuites, puis réutilisé avec le lycée Foch voisin, il a fini par être menacé de démolition au XXe siècle.
Au cœur du jardin du Foirail, laissez-vous séduire par le kiosque à musique de Rodez. Sa silhouette octogonale en fonte, élégante et légère, date de 1894. Il fut conçu par l’architecte Besse et réalisé par le fondeur Barthe de Rodez, dont la signature figure encore au bas d’une colonne. À l’époque, il abritait les orchestres militaires du 122ᵉ régiment d’infanterie tout proche.
Ici, prenez un instant pour regarder cette grande sculpture de pierre, haute de plus de deux mètres. Intitulée L’Enlèvement, elle fut réalisée en 1937 par le sculpteur André Deluol. Originaire de Valence et formé à Paris, Deluol fut l’un des grands défenseurs de la taille directe, une technique consistant à sculpter la pierre sans passer par une maquette préalable.
Bienvenue dans le jardin du Foirail, l’un des plus grands espaces verts de Rodez. Son nom rappelle sa fonction d’origine : dès le XVIIᵉ siècle, on y organisait des foires et des marchés aux bestiaux, au cœur d’un vaste terrain planté d’ormeaux. Jusqu’au début du XXᵉ siècle, ce lieu fut un centre économique essentiel pour la ville et pour toute la région.
Pendant que vous longez la rue Planard, laissez nous vous raconter l’histoire de Rodez. Ce n’est pas pour rien q’on la surnomme la Vieille cité historique. Dès l’Antiquité, la cité était le centre des Rutènes, un peuple gaulois. Les Romains y établirent ensuite Segodunum, une ville prospère reliée par des routes commerciales, dont quelques vestiges subsistent encore.
Devant vous s’élève l’un des lieux culturels les plus emblématiques de Rodez : le musée Soulages. Inauguré en 2014, il est entièrement consacré à Pierre Soulages, enfant du pays devenu une figure majeure de l’art contemporain.
On ne dirait pas comme ça, mais la porte qui se trouve sur votre gauche est l’entrée dans la chapelle des sœurs franciscaines. Nichée dans le quartier du Lucadou, elle est officiellement dédiée à Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus. Elle fut bâtie entre 1927 et 1933 sur les plans de l’architecte André Boyer, qui lui donna un style néo-gothique sobre mais élégant.
Oui, c’est bien un clocher que vous voyez là, au milieu des habitations !
Vous entrez dans la rue Saint-Nicolas, cœur du quartier du même nom et l’un des passages immanquables de la ville.
Non, vous ne rêvez pas, vous êtes toujours à La Rochelle! Bienvenue dans le quartier du Gabut, si particulier qu’on se demanderait presque si l’on n’a pas changé de ville, voire de pays…
Sur votre gauche se trouve le célèbre aquarium de La Rochelle, l’une des attractions phares de la ville. Et pour cause, c’est l’un des plus grands aquariums européens !
Cette vue est à couper le souffle, n’est-ce pas ? Outre l’océan qui s’étend à perte de vue sur votre gauche, ce point de vue vous offre un aperçu des trois tours de la ville, témoignage de son passé de ville fortifiée à partir du XIIe siècle.
Nous sommes ici au pied de la tour Saint-Nicolas, la plus ancienne de La Rochelle. Véritable symbole de la souveraineté de la ville, sa construction fait l’objet d’une légende bien particulière
Quoi de mieux que de flâner sur le Vieux-Port de La Rochelle ? Bars, restaurants, marchands de glace ou de churros selon la saison, le Vieux-Port reste animé en toutes circonstances.
Vous ne pouvez pas la rater… Délimitant le passage du Vieux-Port à la vieille ville, la porte de la Grosse Horloge est un monument emblématique de la ville et certainement l’un des plus anciens.
Du haut de ses 24 mètres, la tour de la Chaîne est la plus petite des trois tours de La Rochelle.
Seul vestige des remparts de la ville, la rue sur les Murs a été épargnée par Richelieu qui a choisi de ne pas détruire cette partie des remparts
D’une couleur blanche surprenante, la tour de la Lanterne est le plus ancien phare de la côte atlantique.
Vous l’avez sans doute remarquée de loin, cette jolie maison n’a rien à voir avec les autres bâtiments de la ville.
Vous passez sous la plus ancienne porte de la ville, la porte des Deux Moulins. Bâtie une première fois en 1200, elle constituait la porte d’entrée dans la vieille ville, au temps du Moyen Âge.
Nous y sommes ! Comment visiter La Rochelle et ne pas profiter de l’air pur de la plage de la Concurrence, située à quelques mètres seulement de l’impressionnante tour de la Lanterne ?
C’est une petite pause nature qui vous attend dans le parc Charruyer, à travers les allées sinueuses qui longent les canaux.
Je profite de ce petit moment au calme du parc Charruyer pour vous raconter un peu plus en détail l’histoire de La Rochelle.
La rue de l’Escale est l’une des rues historiques de La Rochelle. Regardez d’ailleurs ses pavés : c’est la seule de la ville à encore dévoiler des pavés en galets ronds.
Vous voici dans l’incontournable vieille ville de La Rochelle, quartier historique aux arcades singulières qui abritent les commerces de la ville.
La rue du Palais, l’une des plus grandes artères de La Rochelle, relie la place Verdun et la Grosse Horloge au travers de ses commerces et de ses bâtiments historiques.
Bâti en 1760, ce bâtiment est destiné à l’époque à recevoir la Chambre de Commerce et permettre aux négociants d’échanger plus facilement.
Inscrit au titre des Monuments historiques, le Palais de Justice dévoile une belle façade au style corinthien dans la rue du Palais.
Nous voici devant la cathédrale Saint-Louis. Il existe un lieu de culte à cet emplacement depuis le XIIe siècle, mais l’édifice que vous avez là n’est pas aussi ancien.
Entendez-vous le bourdonnement des bavardages, du marchandage et des rires entre commerçants et habitants de la ville ?
Cette jolie rue était utilisée au Moyen-Âge pour le marché alimentaire et pour la vente de draps et de linges.
Vous voici devant le plus vieil Hôtel de Ville de France.
Construite au XIIe siècle par les moines de l’île d’Aix, petite île piétonne au large de La Rochelle, l’histoire de cette église est semée d’embûches
Vous voici arrivé sur la place du Pilori, qui porte bien son nom puisqu’elle a longtemps été l’endroit où l’on attachait les condamnés au pilori, le poteau qui servait à les exposer aux yeux de tous avant qu’ils ne soient pendus sur cette même place.
Je sais que la montée est rude et longue, mais vous serez récompensé par une belle vue sur la ville et les environs une fois arrivé en haut.
Après l’effort, le réconfort ! La montée est rude, c’est vrai, mais le panorama qu’offre la colline de Pipet est plutôt exceptionnel n’est-ce pas ?
Vous êtes au sommet de la colline de Pipet, qui domine la ville de Vienne.
Le temps de redescendre jusqu’au centre-ville, le long du chemin des Amoureux, parlons un peu de l’événement qui anime Vienne chaque année pendant 2 semaines : le Jazz à Vienne.
Vous voici devant l’un des plus grands vestiges de Vienne, et même de France, si l’on en croit la remarquable conservation de ce site historique.
Ce théâtre, appelé le théâtre François Ponsard, se situe à l’emplacement de l’ancien hôtel de ville de Vienne, démoli au XVIIIe siècle car devenu trop abîmé.
Vous arrivez ici dans le jardin archéologique de Cybèle, dont les impressionnants vestiges visibles aujourd’hui sont pour la plupart classés au titre des Monuments historiques.
Vienne est une ville chargée d’histoire et pour la découvrir et la comprendre, rien de tel que de faire un tour dans le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie qui se trouve dans l’élégant bâtiment qui se tient devant vous !
Vous voici dans le cours Romestang, l’une des rues principales de la ville de Vienne.
Au cœur de ce rond-point, qui relie le cours Brillier et le cours Romestang, se trouve le Monument aux morts.
Ce joli jardin situé à quelques mètres seulement du Rhône a été conçu au XIXe siècle, renommé après la Seconde Guerre mondiale en Jardin du 8 mai 1945.
Véritable vestige de la période romaine, cette voie en pierre a traversé les siècles.
Vous voici devant l’église Saint-Pierre. C’est non seulement la plus ancienne de Vienne, mais aussi l’une des plus anciennes de France.
Si Vienne est connue pour avoir été l’une des plus importantes cités gallo-romaines de l’époque, c’est aussi, plus tard, une ville essentielle dans l’histoire du christianisme.
Nous voici le long du Rhône, sur le quai Jean Jaurès, qui nous permet de profiter d’un beau point de vue sur l’autre rive.
Cette grande église, qui est plutôt une abbaye si l’on veut être précis, a été édifiée à l’origine au cours du VIe ou VIIe siècle.
Vous voici devant l’un des seuls temples romains entièrement conservés en France, avec celui de Nîmes. Approchez-vous pour le voir de plus près.
L’Hôtel de Ville de Vienne s’impose sur la place François Mitterrand, au cœur de la ville. C’est dans un ancien hôtel particulier, celui du marquis de Rachais, que la mairie s’est installée en 1771.
Vous voici au cœur du Lugdunum, grand site archéologique de Lyon classé Monument Historique depuis 1905.
La Basilique de Fourvière, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et monument emblématique de la ville, ne manquera pas de vous surprendre.
Attention les yeux… La ville tout entière s’offre à vous ! Depuis le Vieux-Lyon, situé au pied de la colline, jusqu’aux tours de la Part-Dieu, en passant par la Presqu’île, la Saône et le Rhône, vous avez devant vous un panorama complet de la ville et des alentours.
Profitez un instant de cette jolie vue sur la ville! Vous êtes dans le parc des Hauteurs, qui permet de relier la Basilique de Fourvière et le centre du Vieux-Lyon à travers pentes boisées et jardins fleuris.
Vous arrivez devant la place de la Basoche, où vous attend une belle statue de lion.
Place centrale du Vieux-Lyon, la place Saint-Jean est la plus ancienne de la ville.
Vous vous situez à l’entrée de la Longue Traboule, au numéro 54 de la rue Saint-Jean, qui constitue en effet la traboule la plus étendue du Vieux-Lyon!
Devant vous, élégamment installée en plein cœur du Vieux-Lyon, se dresse l’horloge Charvet.
Vous voici dans la rue Juiverie, au cœur de l’ancien quartier juif de la ville, et ici, je vous propose de lever légèrement les yeux et d’observer les différents blasons suspendus qui trônent sur chaque côté de la rue.
Voici la place Saint-Paul, qui fait partie du quartier du même nom, l’un des trois quartiers du Vieux-Lyon.
Cette fresque peinte en 1995 fait partie des lieux incontournables pour tout visiteur qui souhaite connaître l’histoire de Lyon. Ce mur de 800 m² représente 30 personnalités lyonnaises célèbres qui ont marqué la ville par leurs actes ou leur talent.
L'une des places les plus animées de la Presqu’île ! Avec ses grandes terrasses et son cadre exceptionnel, la place des Terreaux attire aussi bien les Lyonnais qui viennent boire un verre que les visiteurs qui aiment l'histoire.
Concerts, opéras, ballets… C’est ici que vous pouvez assister à l’une des représentations culturelles que propose l’Opéra National de Lyon.
Vous êtes sur les quais de Saône. Profitez de cette jolie vue sur le Vieux-Lyon et la Basilique de Fourvière qui domine la colline!
Vous voici dans la rue emblématique de Lyon, la rue Mercière !
Ce magnifique théâtre est le Théâtre des Célestins. Situé à deux pas des quais, dans le 2e arrondissement, ce théâtre à l’italienne est l’un des seuls théâtres à avoir connu plus de deux siècles d’art dramatique.
Déjà à l’époque, cette place était un important lieu de rassemblement des Lyonnais
Vous voici au cœur des rues commerçantes de Lyon et vous entamez notamment ici la fameuse rue de la République, voie principale de la Presqu’île où vous retrouverez toutes les grandes enseignes au pied de beaux immeubles du XIXe siècle.
Vous entrez à présent dans le Grand Hôtel Dieu de Lyon. Les Hôtels-Dieu étaient des institutions charitables, fondées et gérées par des ordres religieux, généralement chrétiens, dans le but de fournir des soins médicaux et des services de charité aux malades et aux nécessiteux.
Lieu incontournable de la ville de Lyon, la place Bellecour est l’une des plus grandes places piétonnes d’Europe, et la troisième plus grande de France, après la place des Quinconces à Bordeaux et la place de la Concorde à Paris.
Peu de gens la remarquent, Lyonnais inclus, mais il y a-là un véritable hommage à Antoine de Saint-Exupéry, assis à plus de 5 mètres de hauteur aux côtés de son personnage le plus célèbre : le Petit Prince.
Sur votre gauche, le bâtiment qui se fond parfaitement dans le décor du quai Tilsitt est la synagogue de Lyon.
Vous voici devant l’une des plus belles vues de la ville ! Devant vous se dresse l’église Saint-Georges, qui marque l’entrée dans le quartier du même nom qui se trouve juste derrière
Vous arrivez dans le Vieux-Lyon, LE quartier emblématique de la ville !
La place de la Trinité est située au cœur du quartier Saint-Georges et constituait à l’époque un lieu très vivant et très important pour les habitants.
La montée du Gourguillon est l’une des plus anciennes voies gallo-romaines lyonnaises. Elle a donc plus de 2 000 ans d’histoire !
C’est à Philippe II que l’on doit la construction, au XVIe siècle, de cette église qui se trouvait, à l’époque, à l’extérieur des murailles de l’enceinte principale de la ville.
En s’inspirant de la Basilique Saint-Pierre de Rome, l’architecte João Antunes a réalisé cet édifice imposant à la fin du XVIIe siècle
Nous entrons ici dans le quartier de l’Alfama, l’un des plus typiques de la ville.
Encore un point de vue digne d’une carte postale ! Le belvédère das Portas do Sol dévoile un panorama sur le quartier de l’Alfama et ses églises, le Panthéon et le Tage.
Plutôt chouette ce belvédère, non ? Bien qu’il soit un peu caché, il est très connu des touristes qui viennent admirer le splendide panorama qu’il offre sur la vieille ville, l’Alfama et le Tage.
C’est le premier roi du Portugal, Afonso Henriques, qui lance la construction de cette cathédrale en 1147, juste après avoir repris la ville aux mains des Maures.
Il paraît que cette église a été construite sur l’emplacement même de la maison de naissance du Saint auquel elle est dédiée, Saint Antoine de Padoue.
Cette magnifique église tient son incroyable façade du style manuélin, art typiquement portugais apparu à la fin du XVe siècle, sous le règne de Manuel Ier.
C’est ici que de nombreux personnages, tels que la Reine Elizabeth II d’Angleterre, ou encore des chefs d’État du monde entier, ont débarqué pour entrer dans la ville.
Place emblématique de la ville, très appréciée des visiteurs, la place du Commerce est la plus importante de Lisbonne.
Si la place du Commerce a été construite au XVIIIe siècle, à la suite du tremblement de terre, ce n’est qu’en 1875 que ce somptueux Arc de Triomphe est achevé, marquant l’entrée dans la rue Augusta.
Vous l’aurez certainement compris en arpentant les premiers mètres de la rue, Augusta est la principale artère commerçante de Lisbonne.
C’est le marquis de Pombal qui a redonné vie au quartier de la Baixa après les destructions catastrophiques du séisme.
Mais à quoi peut bien servir cette surprenante tour située au cœur de la Baixa ?
Quartier branché, intellectuel, bohème… Le quartier du Chiado est une étape incontournable entre celui de la Baixa, centre de la ville, et le Bairro Alto, situé plus haut sur la colline.
L’un des quartiers les plus festifs de la ville, le Bairro Alto attire plutôt en soirée, à l’ouverture des cafés et des bars ambiances qui composent les rues étroites de celui que l’on surnomme la “ville haute”.
Dans cette ville où les collines dominent le Tage, fleuve qui traverse le Portugal, les belvédères ne manquent pas !
Souvent considérée comme les Champs-Élysées de Lisbonne, l’avenue de la Liberté, qui démarre sur votre gauche, est la plus longue rue de la ville.
Vous voici devant la gare ferroviaire du Rossio, qui relie la ville de Lisbonne à celle de Sintra, en passant par le parc national de Queluz.
Tournez-vous un instant sur votre gauche, et appréciez la magnifique architecture de ce théâtre considéré comme l’un des plus importants du pays.
La place sur laquelle vous êtes est l’une des principales de Lisbonne. On l’appelle la place Dom Pedro IV ou place du Rossio, et elle fait partie des lieux les plus animés de Lisbonne.
Sur cette place, appelée Martim Moniz en référence à un chevalier portugais sacrifié du XIIe siècle, on retrouve le départ du très fameux tramway n°28, l’un des emblèmes de Lisbonne.
L’un des quartiers les plus festifs de la ville, le Bairro Alto attire plutôt en soirée, à l’ouverture des cafés et des bars ambiances qui composent les rues étroites de celui que l’on surnomme la “ville haute”.Ce point de vue nous dévoile les toits du centre historique de Lisbonne, dont les couleurs contrastent avec le bleu du Tage qui coule juste derrière.
Fondé au XIIIe siècle, le couvent de la Graça a élu domicile dans une église qui se trouvait déjà à cet emplacement, sur l’une des sept collines de Lisbonne.
Vous vous trouvez maintenant devant le plus grand arc connu du monde romain. On n’aurait pas pensé le trouver dans cette ville, n’est-ce pas ?
Place à la gastronomie ! Ce bâtiment étonnant en forme de demi-cylindre accueille le marché couvert de la ville.
Regardez sur votre gauche : la grille imposante noire qui décore la rue du Temple est l’entrée qui mène au siège de la prestigieuse Maison de Champagne Veuve Clicquot Ponsardin.
L’élégant bâtiment qui se trouve sur votre droite est le pavillon de Muire, l’un des seuls vestiges de la ville à afficher une architecture Renaissance. Il a en effet été bâti en 1565 par Nicolas de Pâris, le seigneur de Muire.
Regardez derrière vous. Ce n’est pas pour rien que les Rémois se targuent d’avoir l’un des plus beaux hôtels de ville de France !
Vous voici arrivés dans la rue de Tambour, l’une des voies historiques de Reims. Elle relie la place de l’Hôtel de Ville à celle du Forum, en une succession de maisons qui nous plongent tout droit dans le passé de la ville.
Vous ne serez pas étonné si je vous dis que cette place s’appelle la Place Royale, n’est-ce pas ?
Nous allons à présent passer sous la porte du Chapitre, reconnaissable grâce à ses deux tourelles et son architecture qui dénote avec les bâtiments adjacents.
Vous êtes sur la place du Forum. C’était le lieu le plus important de la cité pendant l’époque romaine, puisque c’est ici que les habitants se réunissaient pour traiter des affaires politiques, commerciales, économiques ou encore judiciaires.
D’ici, vous avez un superbe point de vue sur la façade ouest de la cathédrale. On voit bien à quel point son architecture est travaillée.
La voilà ! Vous êtes très certainement venus pour ça. La cathédrale de Reims se dévoile enfin à vous, avec son architecture époustouflante.
Le palais du Tau, qui se trouve attenant à la cathédrale, constituait à l’époque la résidence de l’archevêque de la ville ainsi que de toute son administration.
Siège du tribunal de Reims, le palais de justice a été construit à l’emplacement de l’ancien Hôtel-Dieu, et inauguré en 1839.
Oui, c’est bien une bibliothèque que je vous emmène voir-là, mais pas n’importe laquelle !
Vous voici dans la rue Chanzy. Avant de parler de la rue en elle-même, je vous propose de regarder la maison qui se trouve sur votre droite, et de levez les yeux vers son sommet.
L’opéra de Reims a été inauguré en 1873. Avant cette date, la ville ne comptait qu’une petite salle de spectacle, où avaient lieu les représentations théâtrales très appréciées à l’époque.
Vous marchez ici sur l’une des voies les plus anciennes de Reims, établie par les Gallo-Romains pour être leur decumanus maximus.
L’église Saint-Jacques est la deuxième plus vieille église de Reims, puisque sa construction remonte au XIIe siècle. Elle fait partie des 3 églises médiévales encore debout aujourd’hui dans la ville.
Avec ses 400 mètres de longueur, on la considère comme la plus vaste terrasse de France.
Ce petit square porte le nom d’un des principaux ministres de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert, qui a participé au développement économique de la France au XVIIe siècle.
Lieu de détente aménagé au cœur de Reims, cet espace vert appelé Les Promenades de Reims est dédié au loisir, pour le plus grand bonheur des familles.
Grand mais discret, ancien, mais actuel, publique, mais historique, voilà une façon directe de vous présenter l’Hôtel Borg fièrement posté devant vous. Au-delà de toutes ces caractéristiques réunies, cet emblème islandais a surtout l’honneur d’être le premier et le plus célèbre hôtel de luxe de l’île.
Si l’on vous sort des expressions comme “en rang deux par deux”, “sortez vos cahiers” ou encore “la récréation est finie”, cela doit soudainement faire remonter en vous quelques vieux souvenirs. Enfin vieux, tout est subjectif, hein… Mais pas de panique, notre but n’est pas de vous faire revivre vos années scolaires.
Loin d’être le bâtiment le plus démonstratif de Reykjavik, la maison du gouvernement n’a nul besoin d’artifices pour justifier son importance dans la ville. Son premier rôle, elle l’obtient en 1770. À cette époque, le roi Frédéric V du Danemark, dirigeant du pays, lui confère un statut de prison. Chose qu’elle sera jusqu’en 1816. Après ça, gros retournement de situation.
Vous attendiez impatiemment la touche ultra moderne de l’itinéraire ? Et bien là, on peut dire que vous êtes servi ! Tout de verre et d’acier, l’Harpa s’est en quelques années positionné comme l’un des édifices les plus représentatifs de Reykjavik. En le regardant, on admet qu’il conjugue quelques atouts.
Quelques montagnes, énormément d’eau et comme posée au milieu de tout ça, une petite butte bien verte. Petite ? Certainement de loin, car plus on se rapproche de cet élément et plus on ressent ses 8 mètres de hauteur. Soit quasiment un immeuble de 4 étages, mine de rien. On aimerait vous dire que cette colline figure parmi les mystères naturels de l’île, mais cela viendrait à vous mentir.
Vous vous considérez comme “voyageur ou voyageuse” ? Et bien, ça tombe bien, en voilà un autre qui techniquement peut se le permettre. Le Voyageur du Soleil, The Sun Voyager, ou Sólfar en islandais, est la sculpture la plus célèbre de Reykjavik. Tout le monde se déplace pour la contempler, mais surtout pour la photographier.
Aux confins de l’Europe, noyée dans l’Océan Atlantique, l’Islande est bien plus qu’un petit rocher perdu. C’est un enchaînement de paysages si surréalistes qu’on les croirait presque retouchés. Mais, une fois sur place, on constate très vite que la nature a véritablement été généreuse envers l’île.
Pour attirer l’attention, ça se saurait s’il fallait toujours en mettre plein la vue. Regardez un peu la maison Höfði, sa forme est classique, sa couleur est tout ce qu’il y a de plus simple, pourtant elle attise notre intérêt.
Depuis quelques années, Reykjavik bénéficie d’une éruption touristique sans précédent. Beaucoup l’ont compris, la capitale islandaise est une destination pas comme les autres. Dans le bon sens du terme, ça va de soi !
Ça y est, vous y êtes les amis, en pleine traversée de la rue Laugavegur. Retenez bien son nom, car il s’agit de la principale artère commerçante du centre-ville de Reykjavik. Traduction, vous ne trouverez pas meilleur endroit pour plonger dans le rythme de vie des locaux.
Pour rencontrer de la couleur à Reykjavik, c’est simple, on s’en remet aux maisons. Mais, pour trouver ce petit grain de folie, c’est auprès du street art de ses rues que l’on vous emmène. Inspirées de la musique, du folklore islandais ou purement sorties de l’imaginaire des artistes, les œuvres murales se logent un peu partout sur le passage pour le plus grand plaisir des promeneurs.
Des bâtiments publics sobres, aux habitations colorées en passant par les emblèmes culturels à l’architecture folle, Reykjavik aime faire le grand écart. Prenez par exemple son théâtre national, juste ici, face à vous. Combien de fois en avez-vous vu un de la sorte ?
Si sur la couleur, la maison de la culture est diamétralement opposée au théâtre national de Reykjavik, elle le rejoint au moins sur un point : enrichir les connaissances du grand public. Et que dire à part fastoche quand on est le fruit d’une collaboration entre le Musée national, la Galerie nationale et quatre autres institutions.
Peuplée de 130 000 habitants et fréquentée par plus de 2 millions de touristes par an, Reykjavik ne souffre pas de délaissement. Et pour être honnête, c’était déjà le cas à l’époque. On dit que les premiers hommes à avoir débarqué sur la “Terre de Feu et de Glace” ont été un groupe de moines irlandais, autour de 700 apr. J.-C.
On ne l'attendait plus et pourtant elle est bien là, au fond de la rue, comme un mannequin au bord du podium, voici l’emblématique église Hallgrimskirkja. Autant qu’on se le dise, un monument religieux dans ce style, il n’y en a pas deux pareils en Islande. Voire dans le monde, après tout soyons fous !
Comme pour beaucoup de villes nordiques, Reykjavik à une météo qui rime souvent avec grisaille et froid. Les apparitions du soleil, et de facto de la lumière, se comptent sur les doigts d’une main en hiver. Pour ne pas succomber à l’humeur du temps et de la saison, les Islandais ont trouvé un moyen imparable pour redonner de l’éclat à leur paysage urbain.
Une chose est certaine, avec un emplacement en bordure du lac Tjörnin, la galerie nationale d’Islande a trouvé le meilleur écrin pour faire vivre ses collections d’art. Mais, avant de se trouver là, l’institution a comme qui dirait fait son petit bonhomme de chemin.
Plus on la parcourt et plus on a du mal à croire que Reykjavik est une capitale. Non pas qu’elle n’en ait pas l’étoffe ! C’est juste qu’entre sa taille humaine, ses petites maisons coquettes et ses allées bordées d’arbres, la ville ressemblerait presque à un village.
Petit pays, en comparaison à beaucoup d’autres, l’Islande ne manque pourtant pas de grandes figures dans ses chapitres d’histoire. Puisque l’on en parle, en voilà justement une. Dans les grandes lignes, Jón Sigurðsson était un historien et homme politique islandais du XIXe siècle. Or, le rattacher uniquement à ces deux fonctions est vraiment plus qu’insuffisant.
Alors là, autant vous dire que vous êtes devant l’un des poids lourds des bâtiments publics de Reykjavik. Il dénote par sa robe de diabase grise et impressionne par son ancienneté à peine croyable, Mesdames et Messieurs, voici sans tarder le Parlement islandais. Ou à juste titre son siège.
Cette immense halle métallique devant laquelle vous arrivez abrite le centre de culture et de mémoire du Born. L’ancien marché, connu sous le surnom de cathédrale de fer et de verre, abrite aujourd’hui une exposition permanente sur le Barcelone des XVIIe et XVIIIe siècles.
Le clou du spectacle dans ce parc, c’est elle. La belle fontaine-cascade, inspirée de la fontaine de Trévi. Il faut se remettre dans le contexte.
Encore un bâtiment qui dénote et attire notre attention. Sous ses airs de château médiéval, Els Quatre Gats, que vous avez habilement traduit en: “Les quatre chats”, était un cabaret célèbre ouvert en 1897.
Vous passez devant la Basilique Santa Maria del Mar. Elle est l’un des meilleurs exemples de ce qu’est l’architecture gothique. Toute une histoire d’harmonie des proportions.
Ce superbe pont de marbre suspendu de la rue Bisbe est souvent l’image que l’on a en tête du quartier gothique. Il se fond dans le décor à merveille et pourtant il n’a été ajouté qu’au XXe siècle.
En arrivant au coin de la rue, vous serez forcément attiré par ce magnifique édifice en briques rouges, aux piliers et façades recouvertes de mosaïques et à la décoration exubérante.
La voilà ! La Sainte Patronne de Barcelone. Sainte-Eulalie en personne. Dédiée à la fois à la sainte patronne du diocèse de Barcelone et à la Sainte-Croix.
Vous rejoignez l’avenue la plus célèbre de la ville, mais également la plus encombrée: les fameuses Ramblas. Si vous la voyiez du ciel, vous vous rendriez compte que la Rambla est construite sur le lit d’une rivière asséchée.
Sur votre droite, se trouve l’entrée du palais de la Virreina, traduisez, le palais du vice-roi. Il a été construit en 1778, à la demande de Manuel Amat, qui était l’ancien vice-roi du Pérou, c’est-à-dire le représentant officiel de la couronne dans les colonies de la Nouvelle-Espagne en Amérique du Sud.
La petite place qui s’ouvre au coin de la rue, est la plaça de la Veronica. Elle tient son nom de la femme qui, selon les Évangiles, aurait essuyé le visage de Jésus pendant le chemin de croix, et dont le tissu avait été marqué à jamais.
Remontons au temps où Barcelona s’appelait encore Barcino. Vous êtes au croisement de 2 voies romaines principales où se trouvaient le forum romain et le temple d’Auguste.
L’allée que vous remonter, ample et harmonieuse, se nomme le passeig del Born. Son histoire remonte à l’époque médiévale, quand le lieu accueillait des tournois et des joutes de chevaliers.
Vous entrez dans le parc urbain par excellence de Barcelone. Comme New York à son Central Park ou Londres son Hyde Park, Barcelone a son Parc de la Citadelle.
L’Arc de Triomphe de Barcelone fait partie de l’ensemble du parc de la Citadelle construit pour l’exposition universelle, pour servir de porte d’entrée monumentale au parc des expositions.
Nous voilà en plein cœur de Barcelone. La Plaça Catalunya est littéralement le centre de la ville où convergent toutes les grandes rues commerçantes et où l’on se donne rendez-vous !
Cette belle entrée métallique en verre coloré vous invite à pénétrer dans le monde merveilleux du marché de la Boqueria. C’est l’un des plus grands marchés couverts d’Europe, et une véritable institution à Barcelone.
Si vous n’aviez pas pensé ou pas eu le temps d’aller visiter le musée de Miro, c’est Miro qui viendra à vous ! Vous ne pouvez pas manquer cette immense mosaïque caractéristique de l'œuvre du célèbre peintre Eespagnol.
Vous arrivez sur la Plaça del Pi, devant la basilique du même nom. L’édifice actuel, austère avec sa façade massive et son unique rosace, date de 1319, et est de style gothique.
Nous sommes dans la rue “dels Banys nous”, qui longeait l’extérieur de la muraille romaine. Elle tient son nom, que vous pouvez traduire en “Nouveaux Bains”, des anciens thermes publiques, fondés en 1160 à cet endroit où l’eau était abondante.
La place Royale est classe, très classe même, avec ses proportions parfaites, ses portiques, ses palmiers et sa fontaine. On dit qu’on l’a nommée Royale justement en rapport avec sa beauté, mais en réalité, elle aurait dû s’appeler la place des Héros espagnols, en référence à la guerre d’indépendance, menée contre l’empire napoléonien.
Impossible de ne pas tiquer en passant devant la façade du Palais Güell. Oui, voilà une œuvre de Gaudi. Moins connu que les maisons Mila ou Batlló, ce palais est néanmoins le seul qui se visite de fond en comble, donc si jamais vous voulez découvrir l’intérieur c’est possible, mais bien entendu c’est payant.
Vous arrivez devant le célèbre fil de fer de Barcelone. Ce qui de premier abord semble être une oeuvre d’art abstrait peut-être pour certains, sans grand intérêt, est en réalité un hommage aux Castellers.
Vous arrivez sur la petite place Sant Felip Neri, secrète et tranquille au milieu de l’agitation de la ville. Elle tient son nom de l’église qui la préside, rare édifice baroque de la ville, construite au XVIIIe siècle comme dépendance du couvent de la confédération de l’oratoire, une société de prêtres.
À quelques mètres de la cathédrale, méconnue du grand public, se trouve la Casa de l’Ardiaca, littéralement la maison de l’archidiacre. Une classe ecclésiastique aujourd’hui disparue.
Je voulais attirer votre attention sur certaines des gargouilles de la cathédrale. Ensorcelante, elle regorge de sculptures pleines de mystères et vous pourriez passer des heures à la scruter et à y chercher des messages.
Petit bijou médiéval caché, la place du Roi vous propulse au Moyen-Âge à l’époque des comtes de Barcelone. Face au palais royal, elle servait de basse-cour au château et accueillait marchés et tournois.
Sous ses airs de petit château, cette porte, aussi nommée la porte du Palais, a un double emploi. Construite au XVe siècle pour célébrer la victoire du roi Charles VIII, elle est à la fois une porte défensive et un arc de triomphe.
Vous voilà au bord de la Garonne. C’est votre moment pour prendre une belle photo du pont de Pierre. La Garona en occitan, qui passe sous ses arches, est un fleuve principalement français.
À la demande du consulat des États-Unis et sur proposition d’Alain Juppé, la ville a décidé de rendre hommage à Martin Luther King, militant non violent qui a consacré sa vie aux droits civiques des Afro-Américains et qui sera assassiné à Memphis, le 4 avril 1968.
Le Bordeaux historique, vous l’aurez remarqué, est concentré sur la rive gauche de la Garonne. Tout simplement parce que son côté difficilement franchissable lui offrait une sécurité de plus.
La porte de Bourgogne, située sur la place Bir Hakeim, elle-même tout à fait charmante et bordée de beaux immeubles, est l’entrée principale de Bordeaux en arrivant de Paris.
Une fois n’est pas coutume, vous voilà devant un site classé UNESCO ! Cette basilique a été construite entre le XVe et le XVI siècle dans un style parfait de gothique flamboyant.
Vous voilà prêts à passer sous la grosse cloche, le plus vieux beffroi de France et l’un des rares monuments civils conservés du Moyen-Âge à Bordeaux. La porte a été édifiée au XVe siècle sur les fondations de l’ancienne porte de Saint Eloi de la muraille du XIIIe siècle, détruite lors de l’agrandissement des remparts.
Ce parking offre une œuvre d’art original avec sa belle voiture encastrée dans le mur qui prétend menacer de tomber sur la chaussée! C’est une Jaguar MK1 pour les spécialistes. En tout cas, l’effet est surprenant !
En longeant le cours Pasteur, vous verrez sur votre droite l’imposant musée d’Aquitaine, installé sur le site de l’ancien couvent des Feuillants. Détruit pendant la Révolution, il devient un lycée puis une université et enfin le siège du musée d’Aquitaine.
Arrivés à l’arrière de la cathédrale, vous vous trouvez face à son clocher, la fameuse tour Pey Berland, nommée après l’archevêque de Bordeaux en place lors de sa construction. Un clocher séparé de sa cathédrale, c’est vrai que ce n’est pas banal !
Alors, on vous l’accorde, ce coup-ci ce n’est pas la plus belle cathédrale de France, ni la plus grande, ni rien. En même temps, il est difficile de rivaliser, dans un pays où l’on trouve Chartres, Reims ou Amiens sur le podium.
Prenez ici un instant pour admirer l’ancien palais Rohan, construit pour l’archevêque de Bordeaux, prince de Rohan, au XVIIIe siècle. En 1791, pendant la Révolution, le palais devient le siège du nouveau conseil général du département ainsi que du tribunal révolutionnaire.
Vous voyez à présent la porte Dijeaux, qui mène sur la place Gambetta, où était installée à l’époque la terrible guillotine. Si vous allez y faire un tour, vous pourrez y voir la borne du kilomètre zero, d’où étaient calculées toutes les distances par rapport à Bordeaux.
Arrivés au bas de la rue Montesquieu, vous tombez sur l’un des plus beaux cinémas que vous ayez jamais vus ! C’était, à l’origine, un étrange théâtre, construit en pointe en 1801, sur une toute petite place, mais dont la salle pouvait accueillir 1600 spectateurs !
Cette place circulaire tient son nom des rues qui y mènent. Ici, vous êtes entourés de Grands Hommes mettant à l’honneur les esprits libres et les utopies. Vous avez peut-être remarqué être arrivé par la rue Montesquieu, encore lui. Il est accompagné de Voltaire, de Diderot, de Buffon, de Rousseau et de Montaigne !
Vous voilà devant la sublime église baroque de Notre-Dame de Bordeaux. Si vous avez l’impression que vous venez d'atterrir en Italie, c’est normal. L’architecte s’est inspiré de la célèbre église du Gesù de Rome et nous livre ici un véritable chef-d'œuvre, peut-être même encore plus beau que l’original !
Vous êtes à présent au coeur d’une zone que l’on surnomme le Triangle d’or pour sa concentration extraordinaire de belles architectures, de monuments historiques et d’œuvres d’art. Si vous regardez un plan de Bordeaux, vous verrez que les allées de Tourny, avec le Cours George Clémencaux et le cours de l’Intendance, forment un beau triangle équilatéral.
Arrivés sur la place de la Comédie, les choses sérieuses commencent ! Vous voilà face à l’une des plus belles salles de spectacle du XVIIIe siècle au monde !
Vous empruntez à présent les allées de Tourny, qui, avec le cours Georges Clémenceau et le cours de l’Intendance, forment le fameuxTriangle d’or. Ces belles allées emblématiques ont été imaginées à la fin du XVIIIe siècle par le marquis de Tourny, qui était alors l’intendant de Bordeaux , et qui a largement contribué à transformer et embellir sa ville.
Vous voilà devant l'un des monuments les plus importants de Bordeaux. Emblème de la ville, on voit à son sommet l’Ange de la Liberté brisant ses chaînes. Cet imposant ensemble monumental est un hommage aux révolutionnaires Girondins exécutés pendant le régime de la Terreur.
Nous sommes sur la place des Quinconces, la plus grande place d’Europe s’il vous plaît ! Elle a une superficie de 12 hectares, ce qui représente environ une dizaine de terrains de foot !
Vous voyez ici deux magnifiques colonnes rostrales de style néoclassique et ornées de symboles de navigation. Les colonnes dites rostrales sont toujours érigées en hommage à des victoires navales.
Bon, il faut bien admettre que ça en jette. Le miroir d’eau, inscrit désormais au Patrimoine mondial contemporain, est clairement en train de voler la vedette à la place de la Bourse.
Cette place, dont l’architecture harmonieuse et symétrique rappelle les places italiennes classiques, est située au cœur du quartier de Saint Pierre. Créée en 1760 sous le nom de la Place du marché royal, elle sera baptisée place de la Liberté à la Révolution, puis place du Parlement pour l’ancien parlement de Bordeaux détruit fin XVIIIe.
Avis aux fans du shopping, vous voilà dans la rue piétonne commerçante la plus longue d’Europe ! 1 250 mètres de vitrines s’étirent devant vous !
Lieu incontournable de la vie sociale bordelaise, la place Camille Jullian et la rue du Pas Saint-Georges sont très fréquentées par les étudiants et les artistes. Boutiques d’artisans, bars et terrasses de café, c’est un quartier vivant toujours en effervescence et très agréable à découvrir !
Vous vous trouvez à présent, sur le parvis de l’église Saint-Pierre. Située aujourd’hui au cœur du Vieux Bordeaux, elle marque l’emplacement de l’ancien port gallo-romain de la ville.
Vous avez ici, l’entrée au petit passage de la Tour de Gassie. Empruntez le s’il est ouvert, vous pourrez rejoindre le circuit de l’autre côté. Assez méconnu, il est situé à l’emplacement d’une des tours d’enceinte du IIIe siècle, quand Bordeaux s’appelait encore Burdigala.
En traversant la place du Palais, vous remarquerez sûrement d’étranges boules brillantes, comme si de grosses gouttes d’eau étaient tombées du ciel et s’étaient figées en touchant le sol.
Un nom qui nous fait sourire, une apparence qui nous enchante et un parfum de blé noir et de froment mélangé qui nous met en appétit, il n’en faut pas plus à la Place-au-Beurre pour s’attirer les faveurs de ses visiteurs.
Dans la petite ville de Quimper, vos regards vont rapidement s’habituer à balayer des édifices à l’architecture médiévale, gothique et renaissance.
Sur les rives de l’Odet, Quimper rajeunie en nous offrant un voyage dans le temps, lorsque les années folles et la Belle Époque battaient leur plein.
Les Quimpérois et Quimpéroises vous le feront remarquer avec fierté, visiter Quimper consiste à en apprendre un peu plus sur celle que l’on surnomme : la capitale de la Cornouaille.
Faisons sonner fort les cloches, car nous voilà arrivés devant ce qui est le point de repère de la ville : la fameuse cathédrale Saint-Corentin.
Le Steïr, l’Odet et le Frout, voilà les trois cours d’eau sans qui la préfecture du Finistère ne serait pas la même. D’un plan géographique, certes, mais aussi d’un plan identitaire. Et oui, Quimper, du breton kemper, signifie “confluent”.
S’il se disait “né pour la Bretagne”, Quimper est véritablement la ville où son existence a commencé. De qui parle-t-on ?
Pour sa beauté et son cadre de balade agréable, l’Odet fait très souvent bonne impression. À la Belle Époque, le cours d’eau était même la chasse gardée des familles aristocratiques qui implantaient leurs maisons de maître et autres châteaux sur ses berges.
Immense mur boisé, parallèle à l’Odet, le Mont Frugy est indissociable du paysage quimpérois. Les habitants le connaissent tellement par cœur qu’ils ne lui prêtent plus vraiment attention.
Au service du bien manger à Quimper, les halles Saint-François est un nom qui revient presque systématiquement. Avec elles, les locaux sont formels, c’est toute la convivialité et la qualité des produits de la cité, et de ses alentours, qui sont réunis.
Bretonne, chaleureuse, ancestrale et authentique, Quimper n’est pas le genre de ville à se donner des airs. C’est même tout le contraire !
Tout doucement, mais sûrement, vous vous apprêtez à traverser le deuxième cours d’eau de Quimper, soit le Steïr. Ce qui aujourd’hui est une action plutôt banale, l’était beaucoup moins des siècles en arrière.
Brève, mais distinctive, l’ambiance sonore que vous venez tout juste d’écouter vous signale qu’ici se trouve l’un des endroits les plus photogéniques de la ville.
“Encore une maison à colombages !” est certainement la phrase qui traverse votre esprit ou bien vos lèvres au moment même où je vous parle.
Un passage secret ? Dans les faits, c’est presque ça les amis. Redécouverte par hasard il y a tout juste 46 ans, la rue Treuz est à présent l’un des “must” touristiques du vieux centre-ville de Quimper.
Si centre-ville et calme ne font généralement pas bon ménage, à Quimper, le jardin de la Retraite ne se retient pas de prouver le contraire. Et rien que par le nom, il y parvient déjà.
Des paysages à couper le souffle, des traditions ancestrales très ancrées, des villages de caractère, une ouverture sur l’océan, une gastronomie de folie iodée, sucrée, ou bien généreusement beurrée, la Bretagne nous fait voyager.
Accolé à la mairie de Quimper, le Musée des Beaux-Arts occupe ce palais classique, depuis 1872, conçu par le même architecte que celui des flèches de la cathédrale Saint-Corentin.
Proposer un itinéraire de visite de cette charmante ville bretonne, sans faire une halte devant cette statue, et puis quoi encore... Pour le bien de tous les locaux, il est primordial que vous fassiez connaissance avec la figure ici représentée.
Du pan de bois doublé d’une collection d’assiettes en faïence, il faudrait vraiment être inattentif pour ne pas remarquer cette façade emblématique de Quimper.
La place Saint-Corentin, noyau du Quimper historique, est un concentré de beaux édifices. Au centre, il y a sa majesté la cathédrale.
Que l’on se rende à la cathédrale, ou bien que l’on en ressorte, manquer de s’arrêter ici, serait une grossière erreur.
Ici et là, Quimper se donne du mal pour conserver les témoignages précieux de son évolution à travers les siècles.
Sur cette place ô combien pittoresque et souvent considérée comme la plus jolie de la ville, ne se trouvait pas un immense marché aux oignons, mais un donjon, dont le nom latin “dominium” s’est transformé en “dominion” puis finalement en oignons.
L’étroite façade jaune que vous voyez est considérée à tort comme étant la plus petite maison de Lille. C’est en réalité un passage qui permet de se rendre sur la place du Lion d’Or de l’autre côté, et ce depuis le Moyen Âge.
Alors, oui, j’avoue, ce n’est pas le genre de cathédrale que vous avez l’habitude de voir trôner fièrement au centre des villes. Mais il faut savoir qu’elle ne ressemble pas du tout à ce qui avait été prévu !
Avant 1750, Lille avait 2 rivages aménagés sur la Deûle, petits ports pour l'échange de marchandises. L’actuel quai du Wault était appelé Petit Rivage sur la Haute Deûle, et l’autre, Grand Rivage sur la Basse Deûle de l’autre côté de la ville.
Cette belle statue, si blanche d’une femme portant un enfant est un hommage à la chanson du P’tit Quinquin, qui est sans doute le premier tube lillois de l’Histoire. Si le nom vous dit vaguement quelque chose, mais sans plus, sachez qu’il s’agit d’une berceuse écrite en ch’ti en 1853 par le poète lillois Alexandre Desrousseaux.
Cette place, beaucoup plus grande que Grand-Place finalement, a été construite après l’époque médiévale, lors de l’agrandissement de la ville géré par Vauban. Elle est le centre du nouveau périmètre de Lille.
Sur cette place ronde, qui n’était pas ronde à l’origine, se trouvaient au XIIIe siècle, les nouveaux remparts de Lille, conçus après l’agrandissement de la ville. Imaginez qu’à l’époque, à chaque fois que l’on ajoutait un quartier et sa paroisse au centre-ville, il fallait en quelque sorte repousser les remparts.
Le Beffroi, en plein cœur du quartier Saint-Sauveur, est construit début du XXe siècle en cerise sur le gâteau pour l’hôtel de ville terminé juste avant. Il représente l'âge industriel d’une ville en plein essor.
Cette arche, classée monument historique, comme l’hôtel qu’elle cache derrière elle, semble un peu perdue dans cette partie plutôt moderne du centre-ville. C’est un morceau d’histoire qui résiste.
Allez, c’est l’heure de l’anecdote flippante. Cette petite impasse à l’allure médiévale est un ancien passage vers le couvent des Brigittines édifié en 1604. Il a été le théâtre d’événements horribles et franchement bizarres.
L'Église Saint-Maurice aurait complètement pu être la cathédrale de Lille. Sa construction débute au XIVe siècle, mais elle n’est telle que vous la voyez aujourd’hui que depuis le XIXe siècle.
Ce palais Rihour sur cette place du même nom est le seul vestige de l’époque bourguignonne de la ville. Lille est en effet passée par plusieurs dominations, changeant de main grosso modo tous les 2 siècles .
La splendide devanture dorée devant laquelle vous passez à présent est celle de la maison Méert. Bien plus qu’une simple confiserie, cette institution lilloise est l’une des plus vieilles pâtisseries encore en activité au monde.
Grand-Place c’est là où bat le cœur de la ville de Lille. Ça l’était déjà au Moyen Âge quand elle représentait son centre géographique, mais aussi économique, social et administratif.
Je vous laisse admirer en face de vous, l’imposant bâtiment de la “Voix du Nord”, inratable au centre de la place, avec sa belle façade à pignon. Il s’agit du siège social du célèbre journal, né dans la clandestinité en 1941, et moteur d’une vague de résistance dans la France occupée.
Traversons à présent la vieille bourse. Considérée comme l’un des plus beaux ouvrages de Lille, elle fut construite au XVIIe siècle pour l’union des marchands de la ville.
Alors là, prenez votre temps en entrant sur cette place élégante, marquant la frontière entre le vieux Lille et les quartiers du centre. Prenez un café même et installez-vous tranquillement tant il y a de choses à voir et de détails à scruter dans les structures qui vous entourent.
La charmante petite place du Lion d’or est l’endroit idéal pour admirer la belle architecture typique lilloise. Elle abritait un ancien hôtel qui servait aussi de relais de poste et c’est ce qui lui a donné son nom, venu de la déformation de la phrase “au lit on dort”, comme tous les hôtels du lion d’or de France d’ailleurs.
Vous êtes à présent sur la très belle place Louise de Bettignie. Un mot sur Louise d’abord parce qu’on ne parle pas assez des personnages derrière les noms des places. C’était une femme extraordinaire qui a été espionne pendant la guerre, délivrant des informations d’importance capitale aux services secrets anglais.
Seule rue légèrement en pente de cette ville plutôt plate, la rue de Gand est une artère très animée de la ville bordée de nombreux bars et restaurants. Vous y trouverez plusieurs édifices classés monuments historiques.
Ce joli jardin encadré de bâtisses aux briques colorées est nommé îlot Comtesse pour Jeanne, la comtesse de Flandre. En 1237, elle fit construire un hôpital dans son propre palais sans lésiner sur la qualité ni sur la richesse des fournitures. Elle donna même aussi tous ses moulins à l'hôpital.
La rue de la monnaie, que vous remontez à présent, est la plus ancienne de la ville. Au XIe siècle, c’est la voie pavée principale qui relie les deux portes de la cité. Elle prend son nom actuel avec l’arrivée de Louis XIV qui y fait construire l'hôtel de la monnaie.
Profitez d’être sur les hauteurs des anciennes fortifications pour admirer cette belle vue sur le quartier du Grund situé dans la ville basse de Luxembourg.
Vous empruntez à présent le plus beau balcon d’Europe ! Rien que ça ! C’est l’écrivain luxembourgeois Batty Weber qui l’a dit.
La statue d’impression 3D que vous voyez ici est l'œuvre de l’artiste luxembourgeois Serge Ecker. La création de Luxembourg est fortement liée à la légende de Mélusine qui était la compagne du comte Sigefroi.
Ce petit pont de l’ancienne fortification enjambant l’Alzette vous permet de rejoindre le quartier du Grund.
Vous voilà au cœur du quartier du Grund, devant l’abbaye de Neumünster. En 1547, les moines bénédictins transforment l’ancien hôpital Saint-Jean en une nouvelle abbaye, car la leur vient d’être détruite.
La porte monumentale que vous voyez à votre gauche est la tour Jacob, aussi appelée Dinselpuert.
Nous sommes à présent entourés de trois côtés par l’Alzette. C’est le plateau du Rham, désormais accessible au public après 5 années de travaux de restauration.
Empruntez à présent l’ascenseur gratuit du Grund qui vous permettra de monter sans effort sur le plateau du Saint-Esprit.
Vous arrivez à la cité judiciaire de Luxembourg. En 1234, vous seriez arrivés au cœur du couvent du Saint-Esprit, sur la place du même nom.
Un mot sur la statue que vous voyez au centre de la place. Elle représente la Grande Duchesse Charlotte.
Voilà la cathédrale Notre-Dame de Luxembourg ! Elle a été construite début XVIIe siècle, alors que la ville appartenait aux Pays-Bas espagnols, pour servir d’église au collège Jésuites.
Nous arrivons à présent sur la place de la constitution, située sur l’ancien bastion Beck. D’ici vous avez une superbe vue sur la vallée de la Pétrusse et le pont Adolphe.
Le beau bâtiment Renaissance du XVIe siècle, que vous voyez là, est le Palais Grand Ducal. On est en plein cœur de la vieille ville.
Vous voilà sur la place préférée des Luxembourgeois qui la surnomme le “Salon de la Ville”. La place d’armes, bordée de cafés et de restaurants, est certainement la plus agréable de Luxembourg.
Vous passez à présent l’église néo-romane de Saint-Alphonse. Fondée en 1856, l’histoire de sa construction est fortement liée aux contrôles de la ville par les Prussiens qui n’ont pas laissé les architectes suivre les plans d’origine.
Nous prenons à présent le nouveau grand ascenseur de verre du Pfaffenthal. Quelle belle façon d’englober tout le paysage que de voyager dans un ascenseur de verre !
Nous voilà où tout a commencé. En l’an de grâce 963, le comte de Sigefroi, descendant de Charlemagne, acquiert de l’abbaye Saint-Maximin-de-Trèves, ce promontoire rocheux et y établit son château.
Vous voilà à l’entrée des fameuses casemates du bock. Attraction la plus célèbre de Luxembourg-ville, elles attirent plus de 100.000 visiteurs par an !
Vous voilà arrivés aux Halles de Chambéry. Tout cet espace a été rénové dans les années 2000, offrant littéralement un nouveau quartier à la ville.
Vous ne pouvez pas quitter la Savoie sans connaître la légende de la dent du Chat. La dent du chat est cette montagne en forme de dent donc, qui surplombe le lac du Bourget.
Vous passez devant la petite chapelle du lycée Vaugelas situé juste derrière. Cette chapelle est le seul vestige du couvent des visitandines fondé en 1610 par saint François de Sales.
Vous voilà sur la place du palais de justice avec d’un côté le palais des Beaux-Arts et de l’autre l’immense palais d’inspiration néo-classique sarde. En 1848, le gouvernement du royaume de Sardaigne décide d’ériger un bâtiment de justice à Chambéry.
Je vous présente, la Sasson ! Cette statue en bronze, édifiée pour le centenaire du premier rattachement de la Savoie à la France, durant l’époque révolutionnaire, est l’oeuvre du sculpteur Alexandre Falguière.
Vous voilà face à la Fontaine des Éléphants, ces fameux quatre sans culs ou eleph’ pour les intimes. Alors, si les éléphants font peut-être allusion à la traversée des Alpes par Hannibal, exploit légendaire de l’empereur carthaginois, le monument est bien à la gloire du bienfaiteur chambérien par excellence, le comte de Boigne.
Vous empruntez à présent, le passage du Mont-Blanc. Avant le XIXe siècle, vous vous seriez retrouvé ici, les pieds dans l’eau ! Cette rue était en effet un canal de l’Albanne, qui approvisionnait en eau, les auberges du faubourg.
Vous êtes ici à l’intersection entre la rue d’Italie et le Faubourg Montmélian. Autrefois, ces deux rues ne faisaient qu’une et étaient le couloir principal, que les voyageurs en provenance d’Italie devaient emprunter pour entrer dans Chambéry.
Vous arrivez au Théâtre Charles Dullin, nommé après l’acteur et metteur en scène né à Yenne en Savoie. Il est considéré comme possédant l’une des plus belles salles à l’italienne de la région.
Vous voilà au coeur du Carré Curial, situé à l’arrière de la médiathèque Jean Jacques Rousseau. L’espace à été nommé en l’honneur du célèbre philosophe, poète, et musicien franco-suisse, qui s’installa à Chambéry, et y vécut, avec Madame de Warens, ce qu’il nomme “Le court bonheur de sa vie”.
Vous êtes dans la rue Croix d’Or, une rue historique du vieux Chambéry, par laquelle arrivaient les voyageurs en provenance d’Italie.
Vous avez sur votre droite, l’entrée de l’Hôtel de Cordon. La ville compte de nombreux hôtels particuliers, et celui-ci est le seul qui est accessible au public. N’hésitez pas à prendre un moment et à aller y faire un tour.
Vous voilà sur la jolie place de la Cathédrale. Cette place fermée donne un sentiment d’intimité face à la Cathédrale Saint François de Sales.
Vous venez de vous engouffrer dans l’une des allées de Chambéry. On ne les voit pas, mais pourtant, il y en a une quinzaine qui partent de la place Saint-Léger. Celle-ci vous mène à la cour de l’Horloge.
Vous arrivez sur la longue place Saint-Léger, si longue qu’on pourrait la confondre avec une rue. C’est ici qu’est né le cœur de la ville, lorsqu’il y coulait encore en plein milieu, l’Albanne. Comme à Annecy, il y avait de nombreux canaux à Chambéry dû aux bras de la rivière.
Si vous avez déjà visité le Vieux Lyon, vous êtes certainement familier avec le système de traboules, ces passages secrets qui permettent de traverser les cours d’immeubles et de rejoindre deux rues parallèles.
Vous avez à présent, comme les frères Maistres du haut de leur piédestal, une vue plongeante sur la rue des Arcades et les Éléphants en toile de fond. Les frères représentés sur la statue sont deux Chambériens nés au XVIIIe.
Vous voilà là où tout a commencé. Au carrefour qui permettait de contrôler depuis l’Antiquité, l’ancienne voie romaine qui reliait Vienne à l’Italie puis les villes de Lyon, Grenoble, Annecy ou Genève.
Vous voyez ici l’arrière de la Sainte-Chapelle, qui est l’un des éléments phares du château. Pour la voir de face, ou la visiter, il vous faudra participer à une visite organisée payante. Le château sert en effet à la préfecture de Savoie et n’est pas ouvert librement au public.
Vous voilà empruntant la rue basse du Château. C’est la plus vieille rue de Chambéry et était la seule qui menait au château au XIVe siècle. Imaginez alors la quantité de beau monde qui est passé par là avant vous !
Cette statue pensive et accoudée à la fontaine, c’est Lorelai, une nouvelle venue sur le boulevard Saint-Leger. En fait, il y avait eu en 2017 une exposition à ciel ouvert des œuvres de l’artiste italien Livio Benedetti décédé en 2013.
Avec le château derrière vous, et les Élephants en ligne de mire, vous avez devant vous la belle avenue de Boigne connue plus simplement sous le nom des “Arcades”.
Vous arrivez sur la charmante place où se trouve l’Hôtel de Ville, construit en 1863. Remettons-nous dans le contexte.
C’est sans aucun doute la brasserie la plus célèbre de Munich, et l’une des plus célèbres au monde ! La brasserie Hofbrauhaus, pardonnez mon allemand, attire aussi bien les Munichois que les visiteurs du monde entier.
A votre gauche se trouvent les bâtiments qui regroupent le gouvernement de Haute-Bavière. La Bavière est la plus grande région d’Allemagne et se divise en 7 districts.
Vous êtes dans le quartier de Lehel, le quartier bobo de la ville ! Moins fréquenté par les touristes que le centre historique de Munich, il jouit d’une ambiance plutôt bourgeoise et arbore de beaux immeubles et de petites églises qui lui donnent tout son charme.
Non, vous ne rêvez pas, c’est bien une “piste de surf” que vous voyez là ! Ce spot en plein cœur de la ville rassemble de nombreux surfeurs, dont certains très connus, qui viennent affronter les vagues artificielles de la rivière Eisbach.
Nous entrons ici dans le Jardin Anglais, l’un des plus grands parcs urbains au monde ! S’étendant sur plus de 400 hectares, vous imaginez bien que nous n’allons pas faire tout le tour des jardins…
Ce joli palais qui se dresse devant vous est appelé le Palais Prinz-Carl. Il a été édifié entre 1804 et 1806 par le jeune architecte Karl von Fischer pour l’Abbé Pierre de Salabert, qui faisait partie des professeurs du roi Maximilien Ier de Bavière.
Ces jardins ont été réalisés en 1613 sous les ordres de Maximilien Ier, dans le prolongement de l’ancien palais royal qui se trouvait à côté.
Nous sommes au centre de la place de l’Odéon, cœur historique de la ville de Munich.
Vous ne pouvez pas la louper ! À votre droite se dresse l’imposante église des Théatins, qui se démarque des autres bâtiments de la ville grâce à sa façade jaune ocre éclatante.
Vous voici devant le monument emblématique de Munich ! Appelé La Résidence, ce bâtiment est le plus grand château urbain d’Allemagne et comme son nom l’indique, il fut la résidence des ducs, des princes et des rois de la famille Wittelsbach, qui a régné en maître sur la Bavière jusqu’en 1918.
Ce petit espace vert situé au cœur des beaux immeubles du XVIIIe siècle est appelé la Place de la Promenade. Autrefois, on trouvait ici un entrepôt de sel qui sera démoli en 1778.
Cet édifice est certainement l’un des bâtiments les plus imposants de la capitale bavaroise. Construit à la fin du XIXe siècle dans un style néo-baroque, il accueille le ministère de la Justice bavaroise.
Nous voici sur l’une des places les plus célèbres de Munich, la Karlsplatz. Elle est construite au XVIIe siècle, après la démolition de la muraille qui entourait la ville.
Cette rue animée est la plus grande zone piétonne de la vieille ville. Après avoir passé la porte de Karlstor, on se retrouve dans cette rue très vivante où les commerces sont nombreux, installés dans les bâtiments de style baroque qui longent la rue.
Vous voici dans le plus grand marché alimentaire de Munich ! Autrefois installé sur la Marienplatz, il s’étend aujourd’hui dans les rues du centre, proposant près de 140 stands différents.
Devant vous se dresse l’une des portes qui marquent l’entrée dans le centre historique de Munich. Elle faisait partie, au Moyen Âge, de la muraille qui entourait la ville et la protégeait des attaques ennemies.
C’est la plus grande église et certainement la plus célèbre de Munich : la cathédrale peut accueillir jusqu’à 20 000 personnes. C’est sur les vestiges d’une ancienne basilique romaine qu’elle voit le jour entre 1468 et 1525, dévoilant un style gothique tardif du XVe siècle.
C’est sur cette jolie place, la Marienplatz, que l’on découvre à la fois le nouveau et l’ancien hôtel de ville. Devant vous, imposant et d’une architecture magnifique, se trouve le nouvel hôtel de ville, construit au XIXe siècle pour remplacer l’ancien devenu trop petit.
Vous voici devant le fameux ancien hôtel de ville, situé à deux pas seulement du nouveau. Je vous vois venir, vous trouvez certainement qu’il paraît bien plus récent que le nouveau…
Édifiée en 1180, cette église est considérée comme la plus ancienne de Munich. Elle a été remaniée plusieurs fois, ce qui lui vaut d’afficher différents styles architecturaux : gothique, baroque et rococo se mêlent dans les objets et les décorations qui se dévoilent à l’intérieur.
A l’origine, c’est une église gothique qui se tenait ici, construite en 1327 à la suite de l’incendie qui a ravagé l’hospice.
Ici, vous commencez à apercevoir, au-dessus du muret qui se trouve sur votre droite, le sommet d’une ancienne tour en pierre. Continuez à monter et prenez un peu de recul pour la voir plus en détail. Ce n’est pas n’importe quelle tour : c’est le plus ancien vestige des remparts de Liège, construit il y a plus de mille ans, sous l’épiscopat de Notger, le tout premier prince-évêque.
Devant vous s’élève l’un des monuments les plus imposants de Liège : le Palais des Princes-Évêques. Installé sur la place Saint-Lambert, il témoigne de plus de mille ans d’histoire, entre grandeur politique, drames et reconstructions successives. On dit parfois qu’il s’agit de l’un des plus vastes édifices civils gothiques au monde.
Vous vous trouvez à l’entrée de l’Archéoforum, juste sous la place Saint-Lambert, en plein cœur historique de Liège. Derrière ces portes commence un voyage unique à travers le temps, qui vous mènera de la Préhistoire jusqu’au XVIIIe siècle.
Le Mont Saint-Martin, c’est un peu le balcon de Liège. Depuis le Moyen Âge, cette colline domine la cité et attire les regards. Au sommet, la basilique Saint-Martin se dresse fièrement, et tout autour se sont installées de grandes familles liégeoises qui y ont construit de magnifiques hôtels particuliers.
Vous êtes ici devant la fontaine de la Vierge, l’un des plus beaux témoins du baroque liégeois. Réalisée en 1696 par le grand sculpteur Jean Del Cour, elle se compose d’une vaste vasque carrée ornée de quatre lions en bronze qui crachent de l’eau, et d’un pilier central surmonté d’une Vierge à l’Enfant en bronze doré, grandeur nature.
Dominant la cité ardente depuis plus de mille ans, la collégiale Sainte-Croix est l’un des joyaux les plus fascinants du patrimoine liégeois. Fondée à la fin du Xe siècle par l’évêque Notger, elle fut consacrée en 986 et reconnue officiellement par l’empereur Henri II dès 1005, ce qui fit d’elle un lieu spirituel de premier plan dans toute la région.
Vous vous trouvez sur la place Saint-Paul, un espace au charme particulier, situé juste derrière la cathédrale du même nom. Anciennement appelée “place Derrière Saint-Paul”, elle conserve la mémoire du vieux quartier de l’Île, autrefois entouré par les bras de la Meuse.
Vous êtes ici devant les Galeries Saint-Lambert, l’un des lieux de shopping les plus fréquentés de Liège, en plein cœur de la place du même nom. Aujourd’hui, ce centre commercial moderne réunit près de quarante enseignes et attire plus de six millions de visiteurs chaque année. Mais derrière ses façades se cache aussi une longue histoire.
À Liège, on ne vit pas seulement d’histoire et de pierres anciennes… on vit aussi de boulettes, de sirop et de gaufres bien sucrées ! La ville est un véritable festin pour les papilles, et ses spécialités en disent long sur son caractère généreux.
Pendant que vous longez le boulevard d’Avroy, prenons un instant pour évoquer l’histoire de Liège. La ville, qu’on surnomme la cité ardente, possède une identité unique, forgée par plus d’un millénaire de passions, de luttes et de créations.
La Cité Miroir est l’un des lieux culturels les plus emblématiques de Liège. Installée sur la place Xavier Neujean, elle occupe l’ancienne piscine de la Sauvenière, inaugurée en 1942. Conçu dans le style moderniste et Art Déco de l’entre-deux-guerres, le bâtiment se distingue par ses lignes sobres, ses volumes impressionnants et ses grandes verrières qui laissent entrer la lumière naturelle.
La place des Carmes est une petite place vivante du centre de Liège, connue pour ses terrasses et son atmosphère conviviale. Ici, au milieu de la fontaine, se dresse le Saute-mouton, une sculpture en bronze réalisée en 1973 par l’artiste liégeoise Mady Andrien. Elle a choisi de représenter une scène universelle : des enfants jouant au saute-mouton, figés dans l’élan joyeux du mouvement.
Vous voici sur la place de l’Opéra, l’un des hauts lieux culturels de Liège. Cette place élégante de style néoclassique est dominée par un monument incontournable : l’Opéra Royal de Wallonie. Son histoire commence en 1818, lorsque la première pierre est posée sur l’emplacement d’un ancien couvent.
Voici le bâtiment rouge du Vertbois, l’un des édifices les plus reconnaissables de Liège grâce à sa couleur si particulière, ce fameux rouge « sang de bœuf ». Impossible de le manquer ! Mais derrière cette façade colorée se cache une histoire qui remonte au XVe siècle.
Vous êtes ici sur la place Saint-Jacques, devant l’un des plus beaux joyaux religieux de Liège : l’église Saint-Jacques-le-Mineur. Son histoire remonte à plus de mille ans. L’église était à l’origine l’abbatiale d’un grand monastère bénédictin fondé en 1015.
Vous voici sur le boulevard Piercot, l’une des artères les plus élégantes de Liège. Large, arboré, bordé de belles demeures, il a été tracé en 1863 après le comblement d’un bras de la Meuse. Son nom rend hommage à Ferdinand Piercot, bourgmestre de Liège à plusieurs reprises au XIXe siècle, figure importante de la vie politique belge.
Sur votre gauche s’étend le parc d’Avroy, l’un des plus beaux espaces verts du centre de Liège. Difficile d’imaginer qu’ici coulait autrefois un bras de la Meuse : l’étang qui subsiste au cœur du parc en est le dernier témoin. Aujourd’hui, cet écrin de cinq hectares est à la fois un lieu de promenade, de mémoire et de culture pour les Liégeois.
Vous vous trouvez ici même sur le boulevard d’Avroy, là où, chaque automne, le paysage change complètement pour laisser place à l’une des plus anciennes et des plus grandes fêtes foraines d’Europe : la Foire de Liège. Depuis plus de quatre siècles, elle attire des générations entières de Liégeois et de visiteurs.
Face à vous se dresse l’imposant monument dédié à Walthère Frère-Orban, l’un des plus célèbres hommes politiques liégeois du XIXe siècle. Inauguré en 1931, soit plus de trente ans après sa mort, ce monument témoigne de l’importance que les Liégeois attachent encore aujourd’hui à la mémoire de ce grand réformateur.
Devant vous se dresse l’une des grandes dames de Liège : la basilique Saint-Martin. Posée sur le Publémont, ce promontoire qui domine la ville, elle veille sur la cité ardente depuis plus de mille ans. Son histoire commence au Xe siècle, sous l’évêque Éracle.
Vous êtes ici devant l’Hôtel de Donceel, un superbe exemple d’architecture liégeoise du XVIIIe siècle. Situé au numéro 54 du Mont Saint-Martin, dans le quartier historique du Publémont, il témoigne du raffinement et de l’art de vivre de la bourgeoisie éclairée de l’époque des Lumières.
En arrivant sur cette esplanade, on se retrouve nez à nez avec cette grande statue équestre de Charlemagne. Érigée en 1868 par le sculpteur liégeois Louis Jéhotte, elle rappelle combien l’empereur carolingien est lié à l’histoire et à l’identité de la région.
La statue de Pierre le Grand est un monument relativement récent, mais qui rappelle un épisode marquant de l’histoire de Liège. En juin 1717, le tsar de Russie, Pierre Ier, fit étape ici dans le cadre de son grand voyage à travers l’Europe.
Sur votre droite, aux numéros 37 et 39, se dresse l’Hôtel van den Steen, joyau du Mont Saint-Martin et l’un des plus remarquables hôtels particuliers de Liège. Cet édifice raconte plus de quatre siècles d’histoire, entre architecture Renaissance, transformations néoclassiques et reconversions modernes.
Le Musée Siam est installé dans un élégant bâtiment néoclassique du début du XXe siècle, qui fut autrefois le siège du ministère du Commerce. Depuis son ouverture en 2008, il propose un parcours interactif et moderne consacré à l’histoire et à l’identité thaïlandaise.
Au cœur de la frénésie de Bangkok, voici une parenthèse inattendue : huit hectares de calme et de sérénité. Bienvenue au Wat Pho, l’un des plus anciens temples bouddhistes de Thaïlande. Le sanctuaire actuel a été fondé au XVIIIe siècle et agrandi par le roi Rama Ier, puis magnifiquement restauré sous Rama III.
Vedette incontestée de la rive droite du Chao Phraya, le Wat Arun se reconnaît de loin grâce à sa silhouette élancée dominée par cinq tours. L’histoire du temple est intimement liée à celle de la capitale : après la chute d’Ayutthaya au XVIIe siècle, un sanctuaire est érigé ici, mais il perd vite de son importance quand Rama Ier
Derrière ces hautes murailles d’un blanc éclatant se cache l’un des lieux les plus emblématiques de Bangkok : le Palais Royal. Et si vous levez les yeux, vous apercevrez déjà les flèches dorées qui dépassent, promesse des merveilles que renferme cet immense complexe.
Avec sa couleur rouge éclatante et son architecture inspirée du style thaïlandais traditionnel, l’édifice Thawornwatthu attire immédiatement le regard. Construit à la fin du XIXᵉ siècle, il avait été conçu pour accueillir le crématorium royal du prince héritier Vajirunhis, fils aîné du roi Rama V.
Aussi incontournable que les temples de Bangkok, le Musée national est l’un des grands trésors culturels de la ville. Sa fondation remonte à Rama V, qui, tout juste couronné, décide en 1874 d’ouvrir un lieu pour conserver et partager les collections privées de son père.
Avec ses 410 mètres à peine, la Khao San Road est l’une des rues les plus célèbres de Bangkok. Créée en 1892, elle abritait autrefois un grand marché du riz. Son nom, d’ailleurs, en garde la trace : Khao San signifie “riz blanchi”.
Bangkok compte aujourd’hui cinquante quartiers, mais celui où vous vous trouvez est sans doute le plus emblématique : le Phra Nakhon, littéralement “la cité royale”. C’est ici, en 1782, que le roi Rama Ier établit la nouvelle capitale, autour de laquelle la métropole n’a cessé de s’étendre.
Vous voici dans le parc Saranrom, un jardin royal du XIXᵉ siècle transformé aujourd’hui en havre de verdure pour les promeneurs. Ses allées ombragées, ses bassins et ses arbres tropicaux offrent une pause rafraîchissante au cœur du centre historique de Bangkok. Profitons en pour évoquer trois faits étonnants sur Bangkok.
Le Wat Suthat est l’un des six temples bouddhistes royaux de premier rang en Thaïlande, ce qui en fait un lieu prestigieux et assez rare. Sa construction débute en 1807 sous le règne de Rama Ier, mais il faudra attendre près de quarante ans, sous Rama III, pour qu’il soit achevé.
Avec près de 400 temples bouddhistes, Bangkok offre un patrimoine religieux exceptionnel. Mais derrière la profusion de formes et de couleurs, la plupart suivent un plan commun. Un wat, comme on appelle un temple en thaï, se compose généralement de trois bâtiments principaux. D’abord la sala, un pavillon ouvert où les moines et les fidèles se retrouvent
Vous êtes ici devant l’entrée principale du Palais Royal, la porte de Wiset Chai Si, sur la rue Na Phra Lan. C’est par là que passent tous les visiteurs qui souhaitent découvrir l’enceinte du Palais et le temple du Bouddha d’Émeraude. Les autres portes sont réservées à la famille royale et aux cérémonies officielles.
Devant vous se dresse le Wat Ratchabophit, un temple qui attire aussitôt le regard par la richesse de ses ornements. Construit en 1869 sous le règne du roi Rama V, il offre un superbe exemple d’architecture religieuse thaïlandaise, avec ses toits superposés, ses dorures étincelantes et ses mosaïques colorées.
Après avoir croisé tant de temples, c’est le bon moment pour prendre un peu de recul et parler de la religion en Thaïlande. Ici, la spiritualité est partout autour de vous. Plus de 90 % des habitants sont bouddhistes de tradition Theravāda. Près de 64 millions de personnes le pratique, ce qui en fait la 2e plus grande communauté bouddhiste mondiale après la Chine.
Bangkok est souvent surnommée la “Venise de l’Orient”, et ce n’est pas pour rien : la ville vit au rythme de l’eau. Traversée par un réseau de canaux, appelés khlongs, elle s’organise depuis toujours autour du Chao Phraya, la grande artère fluviale qui s’étend devant vous.
Vous voyez de l’autre côté de cette double rue qui parait impossible à traverser, une façade jaune pastel bordée de palmiers. Derrière ses murs se cache l’un des hauts lieux de la création artistique en Thaïlande : la Galerie nationale de Bangkok.
Parmi les nombreux temples de Bangkok, le Wat Mahan mérite un arrêt particulier. Sa construction débute en 1850 sous le règne du roi Rama III, et c’est grâce aux fonds apportés par son successeur, Rama IV, que le sanctuaire est achevé.
Juste à côté de l’ancien crématorium se dresse le Monument de Maha Sura Singhanat. Ce général courageux était le frère cadet du roi Rama I, fondateur de la dynastie Chakri. Nommé vice-roi, il mena l’armée du royaume de Siam (l’ancien nom de la Thaïlande) lors de la guerre des Neuf Armées en 1785.
À côté du Musée se dresse le Théâtre National de Bangkok, inauguré en 1965 pour préserver et transmettre les arts du spectacle thaïlandais. Ce lieu est surtout connu pour accueillir des représentations de khon, un théâtre dansé avec masques, autrefois réservé à la cour royale et inspiré de la grande épopée nationale, le Ramakien.
Vous avez remarqué qu’à Bangkok, il est normal et fréquent de croiser des monuments commémoratifs, des statues royales, des sanctuaires ou de petits autels posés au centre de grands axes, ronds-points ou terre-pleins.
Devant vous s’étend l’une des plus grandes places du centre historique. Difficile de la manquer, elle est dominée par l’imposant bâtiment de l’Hôtel de Ville de Bangkok, ou Bangkok Metropolitan Administration.
Voici le San Chao Pho Ho Klong, un petit sanctuaire sino-thaï dont le nom signifie le « sanctuaire de l’esprit de la tour du tambour ». À l’époque de Rama Ier, un beffroi tout proche abritait trois grands tambours : l’un pour marquer l’heure, un autre pour prévenir des incendies, et un dernier pour annoncer la guerre.
Vous avez ici l’accès à la Colline Saint-Eutrope, via sa promenade botanique. Il vous suffit de suivre la montée Julia Barthet qui s'ouvre devant vous et qui vous mènera à l'entrée des escaliers du parc.
La rue de l’ancien hôpital vous mène sans surprise devant l’entrée de l’ancien Hôtel-Dieu. Cet hospice, dédié à procurer des soins aux plus pauvres a été voulu par Maurice de Nassau, le fils de Guillaume 1er d’Orange.
Cette petite église romane du XIVe siècle est l’ancienne chapelle des Franciscains d’Orange. Elle a servi de sépulture à de nombreux seigneurs des Baux, qui étaient l’une des familles les plus puissantes de la basse Provence médiévale.
La jolie place des frères Mounet étale ses terrasses ensoleillées et vous invite à vous y attarder. Elle est nommée en l’honneur de Jean et Paul Mounet, deux frères nés à Bergerac dans les années 1840, devenus deux éminents comédiens français de leur époque.
Vous arrivez sur la place de la République, une charmante place du centre-ville entourée de cafés et de restaurants. La statue, au centre, est celle de Raimbaud II d’Orange, à ne pas confondre avec Arthur, notre poète national !
Vous voilà au cœur de la ville. La place George Clémenceau a littéralement été créée pour en profiter ! Cela remonte au XIVe siècle. Le prince d’Orange fait concevoir la place neuve, à proximité de l’église, pour que les habitants de sa ville aient un endroit où se réunir et prendre du bon temps.
En remontant la rue Victor Hugo, vous trouvez à votre droite, la petite place de Langes, située à l’arrière de l’hôtel de ville. Elle a été construite sur l’emplacement de l’ancien jardin clos et de l’orangerie de l’hôtel particulier de Lubières, lorsque ce dernier fut transformé en mairie.
Vous voilà devant l’entrée de l’ancienne cathédrale Notre-Dame de Nazareth, classée monument historique. Elle a été le siège épiscopal d’Orange jusqu’en 1801 avant d’être déclassée lorsque l’évêché a été transféré à Avignon.
Nous allons remonter la grande avenue qui s’ouvre devant vous pour rejoindre l’impressionnant Arc de Triomphe. Si vous êtes venus visiter Orange en été, sachez que vous pouvez emprunter les navettes gratuites mises en place par la ville.
Vous voilà, tel un Romain vivant au Ier siècle de notre ère, arrivant par la Via Agrippa, à la porte d’entrée Nord de la ville d’Arausio. Vous êtes bouche bée devant ce monument grandiose fraîchement construit qui symbolise la suprématie de Rome.
La rivière que vous traversez à présent est la Meyne. C’est un affluent du Rhône qui traverse Orange et Caderousse.
Sur votre droite se trouve l’entrée du parc Auguste Gasparin. Cet agréable espace vert a été nommé en l’honneur d’une illustre famille d’Orange qui possédait un manoir doté d’un beau jardin à cet endroit.
Nous traversons la place André Bruey, nommée en l’honneur de l’ancien maire d’Orange. Rien ne laisse présager aujourd’hui, qu’elle ait pu être un jour le théâtre d’un terrible événement.
Vous l’avez compris, au XVIe siècle, avec un prince protestant à sa tête, Orange devient un véritable bastion de la Réforme, au cœur d’une France déchirée par les guerres de Religion.
Alors, Orange n’a pas qu’un théâtre antique, elle a aussi un magnifique théâtre municipal, classé pour sa part monument historique. Il a été construit fin XIXe par André Jean Boudoy, qui était un collaborateur de Charles Garnier.
Vous avez d’ici une vue en contre-plongée sur la colline Saint-Eutrope, sur laquelle se dressait autrefois le château des princes d’Orange-Nassau. Notre circuit d’origine vous menait au plus proche de ces vestiges pour vous raconter leur histoire, mais l’accès à la colline est désormais impossible.
Les ruines que vous voyez devant vous, protégées par un garde-fou et entourées d’une passerelle en bois pour mieux les observer, sont tout ce qu’il reste de l’ancien Forum romain.
Une ville avec un patrimoine historique aussi riche que celui d’Orange vient forcément avec un beau musée d’Art et d’Histoire. Vous l’avez ici, de l’autre côté de la rue, installé dans cet hôtel particulier du XVIe siècle, construit pour Georges Van Cuyl.
Oui, vous l’avez compris, derrière ce mur spectaculaire de 37 mètres de haut, se cache le clou du spectacle, la star internationale de la ville, le fameux Théâtre Antique d’Orange. Comme vous le savez, nous avions prévu de vous mener jusqu’à un point de vue spectaculaire, depuis la colline Saint-Eutrope, malheureusement inaccessible pour l’instant.
La porte médiévale de l’ancien mur d’enceinte que vous voyez s’ouvrir devant vous date du XIIIe siècle. Elle a été construite sur l’emplacement de la première enceinte gallo-romaine.
Vous arrivez dans le plus vieux quartier de Vannes. Là où les Romains décidèrent qu’il faisait bon vivre et posèrent leurs bagages au 1er siècle avant notre ère.
Cet imposant bâtiment, en forme de U, est la préfecture du Morbihan. Elle a été construite sur un ancien couvent et fut inaugurée en 1865. Ici, c’est son fronton qui nous intéresse, car il raconte l’histoire ancestrale de Vannes.
Nous arrivons sur la partie extérieure des remparts bordée par leurs beaux jardins. D’ici, vous avez un excellent point de vue pour faire une belle photo souvenir de la ville de Vannes bien à l’abri derrière ses murs.
Le jardin que vous allez traverser à présent, en plus d’être une belle idée pour mettre en valeur les remparts, est devenu un incontournable d’une visite de Vannes
La tour médiévale, que vous voyez face à vous, est la tour du connétable. Elle date de la première moitié du 15e siècle, et même si elle était aussi une tour défensive, elle servait principalement de logement au connétable Arthur de Richemont.
Autre point d’intérêt au cœur du jardin, les lavoirs de la Garenne. C’est un ancien lavoir public approvisionné par la Marle.
Vous avez devant vous à présent celui que l’on nomme le Château de l’Hermine. Ce bel hôtel particulier du XVIIIe n’a pourtant rien à voir avec le château de l’Hermine d’origine.
Faire un tour sur le port de Plaisance de Vannes, à deux pas du centre historique, est un vrai bonheur. Rive gauche comme rive droite sont pleines de charme et vous proposent des quais bien dégagés, encadrés de petits commerces, bars et restaurants.
Vous voilà sur la place Gambetta. Derrière vous le Port sur la Marle et devant vous, un bel hémicycle de bâtisses du XVIIIe siècle encadrant la porte Saint-Vincent.
Cette place, qui se dégage le long de la rue, est la place des lices. L’une des places publiques principales de Vannes.
À l’angle de la rue du Bienheureux-Pierre-René-Rogue et de la rue de Noé, se trouve cette étrange sculpture de Vannes et sa femme ! Ce sont deux bustes en granit qui représentent un homme et une femme aux visages ronds et joviaux.
La rue des Halles que vous venez de remonter ainsi que la rue Saint-Salomon, dans laquelle vous entrez maintenant, sont deux rues typiques du cœur de la ville médiévale.
Le bel édifice blanc que vous passez à présent est l’hôtel de Limur. C’est en 1685 que débute la construction de celui que l’on appelle alors l’hôtel des Douves.
Si le bâtiment vous dit quelque chose, c’est normal, c’est la copie conforme en plus petit de la mairie de Paris ! L’hôtel de ville de Vannes a été construit entre 1881 et 1886.
La place Henri IV que vous venez de rejoindre est une charmante place aux allures de village et bordée de belles maisons à colombages. La plupart des maisons de la place sont classées monuments historiques.
La cathédrale Saint-Pierre fait partie de ces édifices qui ont traversé les siècles en puisant dans chaque période, un peu du style de l’époque. En 919, les invasions normandes détruisent la première église de bois de Vannes.
Vous arrivez sur la rue Saint-Gwenaël, jolie petite rue pavée longeant la cathédrale. Cette ruelle d’origine médiévale, au tracé irrégulier, s’appelait d’abord la rue de la paix puis la rue du four du duc, qui était installé au numéro 13.
Vous êtes au cœur battant de Ljubljana, là où la ville s’anime chaque matin : sur son marché central. Il s’étend entre les places Vodnikov et Pogačarjev et longe la rivière sous de longues arcades imaginées dans les années 1930 par Jože Plečnik.
Sur votre gauche, vous remarquez ce pont moderne qui enjambe la Ljubljanica : c’est le pont des Bouchers. Son nom, vous l’avez compris, vient tout simplement du fait que les étals de viande du marché se trouvaient autrefois à proximité.
Vous vous en êtes certainement rendu compte, vous empruntez à présent l’une des rues les plus colorées et vivantes de Ljubljana. On l’appelle parfois “la rue la plus diverse de Slovénie”, car elle rassemble des commerces tenus par des communautés venues d’un peu partout, offrant une mosaïque de cuisines et de cultures.
En arrivant sur la place, un bâtiment attire aussitôt le regard avec sa façade élégante et son entrée surmontée d’une marquise en verre et métal, typique de l’Art nouveau : la Galerie Emporium, aussi appelée Urbanc House.
Entièrement piétonne, la place Prešeren est l’un des grands lieux de rendez-vous de la ville. Faisons un petit tour d’horizon de ce qui vous entoure.
Il aurait été dommage de passer à côté de la rue Miklošičeva, l’une des plus belles vitrines de l’architecture du début du XXᵉ siècle à Ljubljana. Après le grand tremblement de terre de 1895, la ville s’est reconstruite avec ambition, et ici vous allez vite vous en rendre compte.
Vous êtes au pied du Nebotičnik, littéralement “le gratte-ciel”. Inauguré en 1933, il fut à l’époque le plus haut édifice de Yougoslavie et l’un des plus hauts d’Europe.
Vous êtes devant l’un des lieux les plus emblématiques de Ljubljana : le Pont des Dragons. Avec ses quatre créatures de cuivre aux allures menaçantes, il est devenu l’image incontournable de la ville. Pourtant, avant lui, il y avait ici un simple pont en bois, connu comme le Pont des Bouchers.
Vous êtes devant l’Opéra de Ljubljana, aussi appelé Théâtre national slovène de l’opéra et du ballet. Avec sa façade blanche ornée de colonnes et de statues allégoriques, c’est l’un des monuments les plus élégants de la capitale. Construit à la fin du XIXe siècle par des architectes tchèques, dans un style néo-Renaissance, il s’appelait d’abord le Théâtre provincial.
Le grand bâtiment vitré que vous voyez derrière cette rangée de drapeaux est le Parlement slovène, cœur de la vie politique du pays. Vous ne le savez peut-être pas, mais la Slovénie est un pays jeune. Après des siècles sous domination des Habsbourg puis de la Yougoslavie, elle a proclamé son indépendance en 1991, à la suite d’un référendum largement favorable et de la guerre des Dix Jours.
Voilà une façade qui n’est pas banale avec ses lignes ondulées. C’est celle de l’église des Ursulines de la Sainte-Trinité construite au début du XVIIIᵉ siècle, peu après l’arrivée des religieuses à Ljubljana. L’ordre, dédié à l’éducation des jeunes filles, a marqué la vie culturelle et spirituelle de la ville, et ce vaste complexe monastique en est le témoin le plus visible.
Vous êtes sur la place du Congrès, l’une des plus vastes de Ljubljana. Elle doit son nom à un grand rassemblement diplomatique qui s’y est tenu en 1821 : le congrès de la Sainte-Alliance.
Devant vous se dresse le « palais universitaire », installé à l’emplacement de l’ancienne résidence du pouvoir provincial. C’est ici même qu’en 1821 s’est tenu le fameux congrès de la Sainte-Alliance, qui a donné son nom à la place.
S’il y a bien quelque chose dont on ne se lasse pas à Ljubljana, ce sont ses ponts ! Celui que vous découvrez à présent est le Pont des Cordonniers. Il a été imaginé par l’architecte Jože Plečnik dans les années 1930, dans le cadre de son grand projet d’aménagement des berges de la Ljubljanica.
Avant de descendre sur les quais pour profiter d’une balade au bord de l’eau, faites la connaissance d’Ivan Hribar, sans doute le maire le plus emblématique de Ljubljana. Il a dirigé la ville de 1896 à 1910, juste après le terrible tremblement de terre. C’est à lui que l’on doit en grande partie le visage moderne de la capitale.
Vous voyez ici une drôle de sculpture qui semble tout droit sortie d’un observatoire : une grande sphère armillaire en métal. Elle rend hommage à un savant de Ljubljana un peu oublié mais pourtant fascinant, Augustin Ferdinand Hallerstein.
Difficile d’imaginer Ljubljana sans sa rivière. La Ljubljanica traverse le centre historique comme une colonne vertébrale, mais son parcours est bien plus mystérieux qu’il n’y paraît.
Vous voilà sur Stari trg, littéralement la “Vieille Rue”. C’est l’une des artères les plus anciennes de Ljubljana, attestée comme rue commerçante dès le XIIIᵉ siècle. Imaginez le va-et-vient des marchands médiévaux, les cris des vendeurs et les étals qui s’alignaient ici : c’était déjà le cœur battant de la ville.
Vous avez remarqué que la ville regorge de terrasses et de restaurants invitants. La gastronomie slovène est un vrai mélange d’influences alpines, méditerranéennes et balkaniques, ce qui en fait une cuisine à la fois variée et réconfortante.
Sous vos pieds s’étire une œuvre insolite : un ruban de bronze incrusté dans le pavé, peuplé de centaines de visages. Certains sourient, d’autres grimacent, d’autres encore semblent hurler en silence.
Vous voilà au coeur du vieux Ljubljana. Devant vous se dresse l’Hôtel de Ville, reconnaissable à à son élégante façade baroque et à sa petite loggia. L’édifice d’origine remonte au XVe siècle, mais il a été transformé au début du XVIIIe siècle par le maître-bâtisseur Gregor Maček, qui s’inspira du style vénitien.
S’il y a un lieu qui incarne Ljubljana, c’est bien celui-ci. Vous êtes au carrefour entre deux villes. D’un côté la vieille Ljubljana médiévale avec ses ruelles étroites, et de l’autre la partie moderne bâtie après le grand tremblement de terre de 1895. Et pour relier ces deux mondes, le fameux Triple Pont.
Vous voilà devant la cathédrale Saint-Nicolas, reconnaissable entre mille avec sa grande coupole verte et ses deux tours jumelles. C’est le cœur religieux de Ljubljana, et aussi l’un de ses repères visuels les plus faciles à identifier depuis les quais de la Ljubljanica. L’histoire de ce lieu est mouvementée.
Vous êtes ici devant l’entrée du funiculaire qui mène au château de Ljubljana. Une idée qui circulait déjà à la Belle Époque, mais il aura fallu attendre le XXIᵉ siècle pour la voir réalisée. En à peine une minute, il vous dépose au sommet de la colline, sans effort et avec déjà une belle vue pendant l’ascension.
Que vous soyez en haut de la colline ou que vous le deviniez à son sommet, parlons un peu du Château de Ljubljana que vous admirez depuis votre arrivée. Cette silhouette domine la ville depuis près de neuf siècles, et bien d’autres avant vous ont levé les yeux vers elle.
Juste un mot sur le beau bâtiment que vous découvrez à gauche du funiculaire. Il s’agit du Lutkovno gledališče, véritable maison de la marionnette slovène. Fondé en 1948 dans l’édifice de l’ancien théâtre de Milan Klemenčič, le “père” de la marionnette slovène, il perpétue depuis plus de 70 ans une tradition vivante.
Nous nous dirigeons, vous l’avez deviné, vers le célèbre colosse de Rome, mais si vous êtes également intéressé par la visite d’églises majeures de Rome, sachez que si vous poursuivez sur la Via Cavour que vous avez sur votre gauche, vous arriverez à la fameuse Basilique Sainte-Marie Majeure
Oui, c’est énorme ! Vous voilà face à celui que l’on nomme le Colosse de Rome! L'amphithéâtre flavien, qui se dresse devant vous, est le plus grand jamais bâti par les Romains ! Cela dit, son nom de Colosse ne vient pas de sa taille, mais de la statue colossale qui ornait son entrée.
Juste à côté du Colisée, nous voici à présent devant l’Arc de Constantin. Il a été commandé par le Sénat pour célébrer les 10 années du règne de l’empereur Constantin, en rappelant sa grande victoire sur Maxence à la bataille du pont de Milvius.
Nous contournons à présent le mont Palatin. Vous pouvez, bien évidemment, prendre une entrée et visiter la colline légendaire de la fondation de Rome.
Vous passez à présent sous une arche de l’ancien aqueduc Aqua Claudia, qui alimentait Rome en eau potable. L’Aqueduc est construit sous le règne de Claude, vous l’auriez deviné, qui est le 4e empereur romain, et a été inauguré en 55.
Si vous n’avez pas coupé à travers le mont Palatin, vous avez alors l’occasion de découvrir le Cirque Maxime. Alors, oui, il va falloir user de votre imagination, car il ne reste pas grand-chose de la grandeur passée du site.
Nous arrivons sur la Piazza della bocca della verita. Pas besoin d’avoir fait Italien LV2 pour comprendre qu’il y a une histoire de bouche de vérité par ici ! Approchez-vous de l’église Santa Maria in Cosmedin.
On ne peut pas faire deux pas à Rome sans tomber sur un vestige de l’antiquité. Traversant la place, vous vous retrouvez sur l’ancien Forum Boarium, littéralement l’ancien marché aux bœufs.
Tous ceux qui ont aimé Rome vous le diront, une visite de cette ville immortelle n’est pas complète sans avoir franchi le Tibre et déambulé dans le pittoresque quartier du Trastevere.
Vous arrivez sur la piazza Mastai, nommée après le Pape Pie IX dont le vrai nom était Giovanni Mastai. La place a pris son nom, car c’est ici que le pape décida de faire construire, en 1860, la manufacture pontificale de tabac que vous voyez en face de vous.
Vous voilà au cœur du quartier de Trastevere face à une basilique plutôt intéressante ! On pense que c’est le premier lieu officiel du culte chrétien.
Juste un mot sur la porte que vous voyez à votre gauche. C’est la porte de Settimiana. Elle fait partie des vestiges des remparts construits par l’empereur Aurélien au IIIe siècle.
Vous repassez de l’autre côté du Tibre grâce au pont Sisto face à la place Trilussa. Ce pont, reconstruit par le Pape Sixte IV au XVe siècle, remplace un premier pont antique probablement détruit lors d’une importante crue du fleuve en 791.
Vous avez certainement remarqué ces plaques portant la mention SPQR et disséminées un peu partout dans Rome. Il s’agit de la devise de la République romaine, puis de l’Empire romain.
Nous arrivons à présent sur une petite place moins connue de Rome, qui abrite cependant l’une des plus belles fontaines de la ville : La Fontaine des Tortues.
Vous voyez sur votre gauche, les vestiges des colonnes qui appartenaient autrefois au temple des Nymphes. Dans le folklore grec ancien, les nymphes sont des personnifications de la nature, représentées comme des jeunes filles et souvent reliées à un lieu en particulier.
Avant de se plonger dans l’Empire romain et de côtoyer César et Auguste, il est peut-être important de saluer le personnage principal de l’Italie réunifiée. Celui que l’on nomme le Père de la Patrie.
Vous avez ici sur votre gauche, des vestiges plutôt intéressants puisqu’il s’agit du seul exemple d’insula romain auquel nous avons accès aujourd’hui. Une insula, qui en latin signifie île, est l’ancêtre de nos immeubles.
Vous voilà au cœur de Rome. Au sommet de la plus petite de ses sept collines. La colline du Capitole. À l’Antiquité, il y avait là une place fortifiée, symbole du pouvoir politique et religieux de la ville, ouverte sur le Forum.
Voilà, du haut de sa colonne, la célèbre Louve de Romulus et Rémus. L’originale, datant du Moyen-Âge, est au musée du Capitole, mais au moins, si vous n’aviez pas l’intention d’y entrer, vous pouvez en admirer la réplique !
Alors là, soyez prêt à faire un vrai bon dans le temps. Essayez déjà de vous imaginer vers le Xe siècle avant notre ère. C’est un terrain marécageux et inhospitalier que vous avez devant vous, il sert de nécropole aux villages des sept collines environnantes.
Vous avez à présent une vue imprenable sur l’Arc de Septime Sévère et ses superbes bas-reliefs. Construit en 203 après Jésus-Christ, il est dédié par le Sénat à l’empereur Septime Sévère et à ses fils, pour commémorer sa victoire militaire sur les Parthes.
Cette petite passerelle, qui apparait devant vous, offre une belle vue dégagée sur le Forum de Trajan. Il s’agit du dernier forum impérial érigé à Rome, au premier siècle après Jésus-Christ.
Cette belle église toute blanche, de style néo-byzantin, est l’église du Sacré-Cœur, située en plein centre du quartier des étrangers.
Cet immense bâtiment jaune, que vous longez à présent, est le lycée Fesch. En 1805, un décret impérial cède cette ancienne maison des jésuites à la ville, qui la transforme alors en collège.
Vous êtes sur l’immense place du Général de Gaulle, délimitant la vieille ville des nouveaux quartiers d’Ajaccio. Celle que l’on nommait Place d’armes au temps où les militaires l’utilisaient pour leurs entraînements se fait aujourd’hui communément appeler la place Diamant.
Ce beau bâtiment néoclassique jaune que vous voyez au milieu de son jardin tropical est le siège de la préfecture de Corse. Sa construction a été autorisée par ordonnance royale en 1822 et terminée en 1830.
Vous êtes sur le cours Napoléon, l’artère principale du centre-ville. Dessinée par Napoléon 1er, cette rue était au coeur de son grand projet d’embellissement de sa ville natale.
Parlons un peu ici du Cardinal Fesch. Vous avez remonté sa rue et êtes arrivés devant sa statue, le musée nommé après lui et la chapelle impériale qu’on lui doit. Mais qui est donc ce fameux Cardinal ?
Communément appelée la place des palmiers, la place du maréchal Foch fut créée début XIXe pour être le départ du faubourg qui menait à la vieille ville génoise. Surplombant la place, le regard fixé sur la mer, se dresse la statue de Napoléon, gardée par une fontaine aux quatre lions couchés.
Vous voyez certainement un peu de monde dans cette rue étroite, c’est normal, vous arrivez devant la maison de Napoléon Bonaparte. Le 15 août 1769, naissait ici même, le futur empereur français.
Vous voilà au vieux port d’Ajaccio, le port Tino Rossi ! Eh oui, la ville n’a pas vu naître que Napoléon ! C’est un endroit idéal pour goûter aux charmes de la Corse.
La jetée de la citadelle, vous met nez à nez avec l’horizon. C’est l’endroit idéal pour immortaliser le vieux port. Situé dans le golfe d’Ajaccio, le port comprend 3 bassins, séparés par un mole de croisière.
Ne vous fiez pas à sa petite taille, cette jolie cathédrale baroque, avec sa façade ocre et son dôme bleu gris est la cathédrale Santa-Maria Assunta.
Vous passez à présent devant la petite église Saint-Erasme. Cette ancienne chapelle des jésuites fut consacrée au saint patron des marins lorsqu’elle reprit le culte après la Révolution.
Vous avez à présent une bonne vue dégagée sur la silhouette de la citadelle d’Ajaccio qui se découpe sur la mer. Sachez que depuis 2021, la citadelle, pour la première fois depuis 5 siècles, est ouverte au public !
Rien de tel qu’une baie pour avoir un bel angle de vue sur une plage. Vous avez devant vous la plage Saint-François, bordée de sa promenade de palmiers.
Vous passez devant le Casino d’Ajaccio paisiblement installé face à la baie. Il mérite qu’on s’y attarde quelques instants, ne serait-ce que parce qu’il est le seul casino de Corse !
Nous retrouvons notre vue sur la mer avec la très populaire place Miot. Cette grande avancée sur la méditerranée est un endroit idéal pour vous essayer aux prises de vue panoramiques et pourquoi pas, aux tournois de pétanque !
L’arrivée sur la place Austerlitz met tout de suite dans l’ambiance. Ici, on est là pour rendre hommage à Napoléon Bonaparte.
La belle façade extravagante que vous admirez à l’angle de la rue, est celle du Cyrnos palace. En 1870, une riche Écossaise, Miss Campbell, voyage dans les îles de la Méditerranée et tombe sous le charme d’Ajaccio.
Vous arrivez devant les fameux Arcos de Lapa. Emblème du quartier devenu un autre symbole de Rio, au même titre que le Corcovado, Copacabana ou l’escalier Selaron.
Le palais rose et blanc que vous voyez devant vous est le palais maçonnique de Lavradio. Il a été classé et protégé en 1972 par l’Inepac, l’Institut d’Etat du Patrimoine Culture, pour l’importance historique de la Franc-Maçonnerie pendant la période impériale au Brésil.
Alors, vous ne vous attendiez certainement pas à trouver une cathédrale en forme de pyramide lors de votre visite du Rio historique. Et pourtant, la Cathédrale de Saint-Sébastien est bien une représentation avant-gardiste rappelant les pyramides précolombiennes.
Cette belle façade, richement sculptée, est celle du cabinet royal de lecture portugais. Cette bibliothèque est répertoriée par l’Institut d’État du Patrimoine culturel et a été élue quatrième plus belle bibliothèque au monde par le Times magazine.
Voyez ce beau café d’époque sur votre droite. Il s’agit de la confiserie Colombo, une véritable institution à Rio. On se croirait dans le Paris de la Belle Époque ! Ce café a été fondé en 1894 par des immigrants portugais.
Ce gros bâtiment, en face de vous sur la gauche, est le centre culturel Banco do Brasil. Avec un nom pareil, vous l’avez compris, cet édifice néoclassique était, à la base, dédié au monde des finances !
Vous voilà face à la belle église baroque Notre-Dame de Candelaria. Son histoire commence avec une légende. Au XVIIe siècle, un bateau nommé Candelaria essuie une tempête sur la mer et évite de justesse un naufrage.
Vous remontez à présent l'avenida Rio Branco, l’avenue de la rivière blanche en français. Anciennement nommée Avenue centrale, elle est la principale réforme urbaine menée par le maire Pereira Passos au début du XXe siècle.
Vous avez ici, l’entrée du monastère de São Bento, ou Saint-Benoît en français. N’hésitez pas à mettre l’audio guide sur pause et à monter le visiter.
Vous arrivez sur la praça Mauá, entièrement remodelée pour les Jeux Olympiques. À la naissance de la ville, l’endroit s’appelait “Largo da prainha”, c'est-à-dire, le patio de la petite plage, en référence à la très belle crique qui s’ouvrait en contrebas.
Mais ce qui attire l'œil sur cette place, c’est bien évidemment cet incroyable musée que vous voyez au bord de la baie. Il s’agit du Museu do Amanhã, le Musée de demain, LA pièce maîtresse du grand projet de redynamisation du quartier Porto Maravilha.
C’est en s'éloignant un peu du musée, et en l’admirant ainsi, se détachant tout blanc sur les eaux turquoise de la baie, que l’on prend conscience de toute la singularité du bâtiment.
Toute cette promenade aménagée qui vous permet de rejoindre la place du XV novembre en longeant la baie de Guanabara, s’inscrit également dans le processus de transformation de la zone urbaine portuaire.
Cette étrange sculpture qui rappelle les jeux d’enfants soufflant sur des moulins à vent, n’est autre que la flamme olympique de Rio 2016. Après la cérémonie d’ouverture qui a eu lieu au stade du Maracana, la flamme a été transportée jusqu’à cette place.
Cette petite rue pavée que vous empruntez à présent s’appelle la Travessa do Comércio et conserve tout le charme du Rio colonial avec ses anciennes maisons de pierres et ses trottoirs étroits.
Vous voilà en plein cœur du quartier historique de Rio de Janeiro, sur la place du 15 novembre. Sachez que le 15 novembre est une date importante au Brésil puisqu’il s’agit de la proclamation de la République.
Le grand bâtiment blanc qui prend tout le côté de la place, sobre et modeste, fut pourtant la résidence des empereurs Dom Pedro I et II. Il a été construit au XVIIIe siècle, initialement prévu pour servir de résidence aux gouverneurs de la capitainerie de Rio de Janeiro.
Juste à côté du Palais impérial, vous avez le Palais Tiradentes. C’est le siège de l’Assemblée législative. Le Brésil est un pays fédéral, comme les États-Unis, l’Australie ou encore l’Allemagne, la Suisse ou l’Inde.
Vous arrivez sur la place Carioca, l’une des plus populaires de la ville pour son importante station de métro desservant plusieurs lignes. Elle a beau être moderne et voir passer des centaines de cadres en costumes, d’employés et de vendeurs ambulants, elle abrite également des éléments de l’époque du Brésil colonial.
Vous arrivez face au beau théâtre municipal de Rio. S’il vous dit vaguement quelque chose, c’est tout simplement parce qu’il a été construit sur le modèle de l’Opéra Garnier à Paris.
Ici, vous avez, sur votre gauche, la bibliothèque nationale de Rio. Son architecture présentant un style éclectique, mêlant des éléments néoclassique et art nouveau, se veut volontairement impressionnante.
Toute cette zone, dans laquelle vous vous trouvez, se nomme aujourd’hui Cinelandia. Tout le monde vous dira d'ailleurs que vous êtes sur la place Cinelândia, alors que son vrai nom est place Floriano Peixoto, en l’honneur du deuxième président de la République du Brésil, dont vous avez vu la statue en face de la bibliothèque.
Il dénote ce théâtre Riachuelo, avec son style arabe au milieu de constructions modernes du centre. Ce style architectural néo-mauresque est plutôt rare dans la ville.
Le voilà enfin, le fameux escalier coloré que vous attendiez tous ! Vous en aviez certainement vu des images avant de venir et pour une fois c’est aussi beau en vrai qu’en photo !
La statue d’Auguste, le bras levé face à la mer, nous permet de vous parler un peu de Naples durant l’Antiquité. Parce qu’on a bien compris qu’elle était passée sous diverses dominations, mais qu’en était-il avant ?
La promenade le long de la mer vous offre de magnifiques vues sur le bleu de l’horizon, mais aussi, évidemment, sur le Vésuve. On ne peut pas vous faire visiter Naples, sans vous parler de son volcan légendaire.
Absolument magnifique, cette arche de marbre sculptée est la Fontaine du Géant, également connue sous le nom de fontaine de l’Immacolatella. Elle a été réalisée par plusieurs artistes, dont Pietro Bernini, le père du Bernin, qui deviendra l’un des plus grands sculpteurs d'Italie.
Vous arrivez au fameux Castel dell’Ovo, au château de l'œuf. C’est le plus vieux des 4 châteaux de Naples. Il est situé sur la presqu'île dite de Mégaride où les colons de Cumes ont fondé le noyau originel de la ville et où la sirène Parthénope qui donna son nom à la première cité grecque échoua sur ses rives.
La via Partenope, bordée de beaux hôtels et de nombreux restaurants, vous offre, une fois de plus, de belles perspectives sur la mer. D’ici, la silhouette du Castel dell’Ovo prend tout son sens de forteresse rocheuse, tel un château de sable géant qu’un enfant aurait déposé au bord de l’eau.
Si vous avez besoin d’une pause verdure, alors le parc de la Villa Communale, avec ses palmiers et ses eucalyptus, tombe à pic. Voulu par les Bourbons au XVIIIe siècle, pour avoir un équivalent napolitain du Jardin des Tuileries à Paris, il sert de promenade royale longeant la mer, dans un quartier peuplé par les bourgeois de la cour du roi.
En sortant du parc de la Villa Communale, vous arrivez sur la Piazza Vittoria, la place de la Victoire. On l’appelle ainsi en raison de la célèbre bataille de Lépante qui opposa les chrétiens aux Turcs en 1571.
La place des Martyrs, sur laquelle vous arrivez à présent, s’est ouverte au XVIIe siècle, lors de l’expansion de la ville, enfin rendue possible grâce à la destruction des remparts. Située dans les quartiers les plus aisés de la cité, elle est aujourd’hui considérée comme l’une des plus élégantes.
Vous remontez la via Chiaia, connue pour son architecture Liberty, qui est la branche italienne de l’art nouveau. Cette rue, dont le nom, dérivé de playa en espagnol, veut dire quartier de la plage, relie le quartier de Chiaia au reste de la ville.
Vous voilà sur la place Trieste e Trento qui jouxte la place du plébiscite. Elle s’appelait à la base la place Saint-Ferdinand, pour l’église baroque que vous voyez en face de vous et qui a été édifiée par les jésuites au XVIIe siècle.
La via Toledo est l’une des plus importantes rues commerçantes de Naples et relie avec son kilomètre deux, le nord au sud de la ville. Elle a été créée à la demande du vice-roi de Tolède, d’où son nom, en 1536. Elle délimite la vieille ville du quartier des Espagnols.
Voilà donc ce fameux quartier des Espagnols. Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, ces quartiers en damiers sur les pentes de la ville, ont été créés au XVIe siècle pour accueillir les garnisons espagnoles, chargés à la fois de défendre et de surveiller la population, à une époque où Naples appartient à la couronne d’Aragon.
Même si vous ne prenez pas le métro, descendez dans la fantastique station Toledo. Inaugurée en 2012, elle est la plus incroyable des 15 stations de métro issues du projet de stations d’art du métro napolitain.
Vous voilà sur la piazza Municipio, la place de la mairie, face à la belle fontaine de Neptune. C’est l’une des plus importantes places de la ville et l’une des plus grandes d’Europe.
Cet étrange et imposant château fort que vous voyez à présent est le Castel Nuovo, l’une des silhouettes emblématiques de la ville de Naples. On l’appelle le château neuf, en réponse aux deux autres châteaux déjà présents lors de sa construction en 1279.
Cette sublime galerie de verre est la Galleria Umberto Primo, du nom du roi d’Italie lors de sa construction. Ceux d'entre vous qui sont allés à Milan ne peuvent que penser à la Galerie Victor Emmanuel II et c’est tout à fait normal.
Vous voilà à présent devant le théâtre le plus important de la ville de Naples. C’est l’un des plus célèbres au monde, mais aussi l’un des plus anciens théâtres lyriques d’Europe fondée une quarantaine d’années avant la Scala de Milan.
Vous voilà à présent sur LA place monumentale de Naples, la place du plébiscite. C’est l'espace public le plus élégant de la ville avec deux monuments imposants qui se font face, la Basilique San Francesco di Paola et le palais royal.
Vous longez à présent la promenade de Langkaia et vous vous demandez forcément ce qu’est cette étrange sculpture de verre qui flotte au large. Il s’agit d’une œuvre réalisée par l’artiste italienne Monica Bonvicini, du nom de She Lies (traduisez « Elle ment »).
La jolie maison typique qui fait l’angle de la rue est le célèbre café Engebret. C’est le plus vieux café de la ville ! Toujours en activité depuis 1857, il garde encore aujourd’hui le nom de son créateur.
Cette main pointant quelque chose du doigt au centre de la fontaine vous indique que vous êtes là où tout a commencé. Ou plutôt là où tout a recommencé. C’est ici même que le roi danois norvégien Christian IV décida de faire reconstruire la ville après le grand incendie de 1624.
Vous arrivez au pied de l’un des endroits les plus importants de la capitale, sa forteresse d’Akershus. L’entrée est gratuite et vous permet de vous balader librement dans l’enceinte de la citadelle, en profitant de belles vues d’ensemble sur le fjord et la ville.
Vous pouvez profiter de la statue de Franklin Roosevelt, bien installé face au port et à la baie d’Oslo, pour admirer un peu la vue. Et si vous vous demandiez pourquoi il y avait là une statue du président américain, sachez qu’elle a été inaugurée en 1950, à la suite de son discours « Look to Norway » dans lequel il saluait le courage des résistants norvégiens pendant la Seconde Guerre mondiale.
Devant l’Hôtel de Ville se trouve le port d’Oslo d’où partent les ferries et les nombreuses excursions marines. Vous voyez les beaux voiliers trois mats et l’originale statue du plongeur qui semble s’apprêter à sauter dans l’eau avec ses bouteilles d’oxygène !
Vous êtes à présent sur la très agréable promenade en bord de quais, du quartier d’Aker Brygge. Il prend son nom des anciens chantiers navals et ateliers mécaniques Aker qui occupèrent l’endroit pendant plus d’un siècle !
Le beau bâtiment qui s’élève à présent devant vous avec son toit de verre en forme de voile est le nouveau musée d’art moderne d’Oslo, le musée Astrup Fearnley.
Vous croisez tant de restaurants depuis que vous êtes dans le quartier d’Aker Brygge qu’il est grand temps de faire un petit point gastronomie. Vous n’avez pas besoin que je vous explique que le saumon est l’ingrédient phare de Norvège !
Vous êtes à présent devant le centre Nobel de la paix. Ce musée fait partie du réseau des institutions Nobel, gérées par la fondation suédoise. Il est installé dans l’ancienne gare d’Oslo remodelée pour l’occasion. Inauguré en 2005, en présence des familles royales de Norvège et de Suède, le centre présente un musée sur le prix Nobel de la Paix et des idéaux qu’il véhicule.
Vous êtes à présent devant l’impressionnant Hôtel de Ville d’Oslo, l’un des monuments les plus emblématiques de la ville ! C’est le siège administratif et politique de la capitale. Son architecture est peut-être sobre, mais elle ne passe pas inaperçue !
Vous voilà à présent, face à la belle façade néoclassique du théâtre national d’Oslo. Édifié à la fin du XIXe siècle par l’architecte Henrik Bull, le théâtre a été la plus importante scène du pays pendant plus d’un siècle.
Vous avez maintenant devant vous, le beau Palais Royal d’Oslo. C’est la résidence officielle de la famille royale de Norvège et l’un des principaux monuments de la capitale.
L’ensemble de bâtiments que vous voyez sur votre gauche est l’université historique d’Oslo. C’est la plus ancienne et la plus grande institution d’éducation supérieure de Norvège.
Vous avez remarqué, certainement légèrement interloqués, que les toilettes publiques du parc formaient le drapeau français. De plus, ils portent les noms de Liberté-Égalité-Fraternité. Eh bien figurez-vous que c’est un cadeau de la France, offert à Oslo pour célébrer le 200e anniversaire de sa constitution.
Cet imposant édifice rond en brique jaune est le Stortinget, c’est-à-dire, le Parlement d’Oslo. Il a été construit en 1866 à la suite de la création du Storting, par la constitution de Norvège de 1814. Au départ ce tout nouveau Parlement siège à l’école de la cathédrale de Christiana et ne souhaite pas forcément faire construire un nouvel édifice.
Voici le fameux Domkirke, la cathédrale d’Oslo, aussi connue sous le nom de l’église de Notre Sauveur. Alors je vous l’accorde, ce n’est pas la cathédrale la plus spectaculaire que vous ayez jamais vue. Il faut dire qu’il y en a deux trois plutôt costaud sur terre.
Vous voilà devant la gare centrale d’Oslo, en plein cœur de la capitale, face à l’un de ses monuments les plus photographiés : son fameux tigre. Cette statue de bronze de 4,5 mètres de long a été offerte à la ville en l’an 2000 par un groupe immobilier, pour célébrer le premier millénaire d’Oslo.
Vous avez devant vous la nouvelle bibliothèque publique d’Oslo, la Deichman bibliotek. Oui, ça se dit pareil en norvégien et figurez-vous que c’est même plus simplement écrit qu’en français.
Semblant surgir de l’eau tel un iceberg au milieu du fjord, voici le célèbre Opéra d’Oslo. Conçu dans l’idée que si vous pouvez gravir une montagne, vous pouvez gravir un édifice, l’Opéra vous propose une ascension sur son toit grâce à des pentes légères au marbre d’un blanc éclatant.
L’ascension jusqu’au sommet de l’Opéra vous a permis d’admirer la ville sous diverses perspectives. En vous déplaçant sur le toit, la vue panoramique changeante semble vouloir vous faire les présentations avec la capitale norvégienne.
Autre monument pour le moins original, vous voilà face au nouveau musée Munch. À la mort du célèbre peintre norvégien Edvard Munch, en 1944, la ville d’Oslo hérite d’un bien beau cadeau : la totalité des œuvres de l’artiste encore en sa possession.
Connue de tous les Namurois, sans exception, la statue Searching for Utopia de Jan Fabre est un arrêt incontournable dans notre progression au sein de la citadelle. En 2015, Namur organise une exposition phare intitulée Facing time Rops/Fabre.
La citadelle, c’est l’attraction à voir dans la découverte de Namur et de la Belgique à plus grande échelle. On y vient pour s’y promener, se restaurer, assister à des événements et pourquoi pas suivre une petite visite guidée. Il n’y a pas a dire, les possibles activités sur site sont variées de nos jours.
Pas une saison ne passe sans que la citadelle offre ses plus beaux panoramas de la capitale wallonne. Du haut de ce site, perché à 190 mètres de hauteur, la vue n’a vraiment plus aucune limite. En contrebas, on distingue toute l’étendue des toits du vieux Namur où se perd la coupole de la cathédrale Saint-Aubain, reconnaissable par sa couleur bleu-vert.
Le moment est venu de mettre un pied dans l’histoire de Namur à l’approche de la Halle al’Chair, placée à droite du pont. Au revoir le XXIe siècle et bonjour le XVIe siècle ! Sous la demande du gouverneur de Bruxelles de l’époque, soit Philippe II d’Espagne, est construite cette grande bâtisse à l’attention des bouchers de la ville.
Namur en spécialités culinaires, à votre avis, ça donne quoi ? On vous voit venir avec l’indémodable combo bière/frite qui, évidemment, est un grand classique dans n’importe quel recoin de la Belgique.
Chers amis, laissez-nous vous présenter l’unique et la véritable église Saint-Loup. Plus que pour son histoire qui débute en 1621, en tant que chapelle pour le collège des jésuites, la bâtisse religieuse fascine par son apparence architecturale noble. Levez le regard et vous verrez tout de suite de quoi l’on parle.
Considéré comme l’un des plus beaux édifices de Wallonie, tant par son architecture que par ses conséquentes dimensions, le palais provincial était le plus important bâtiment de Namur jusqu’au XVIIIe siècle.
De style classique, avec des touches baroque et rococo, la cathédrale Saint-Aubain prouve à quel point elle a su parfaitement traverser l’histoire. Pour en arriver à cet édifice de 78 mètres de long et 17 mètres de large, il aura fallu 16 années de travaux lancées en 1751 et une complète reconstruction après l’abondante crue de la Sambre, survenue autour de 1900.
Tout aussi importantes et symboliques que n’importe quel monument de la ville belge, les joutes sur échasse de Namur sont une parenthèse folklorique immanquable dans notre itinéraire de visite.
C’est à l’intérieur de cet ancien hôtel de maître raffiné et classé du XVIIIe siècle que se cache l’une des adresses culturelles les plus emblématiques de la ville. On fait tout spécialement allusion au musée des arts anciens du Namurois qui présente des trésors patrimoniaux du Moyen Âge et de la Renaissance, issus de la région.
Tiens, tiens, il y a bien du monde aux fenêtres de cette bâtisse. Que se passe-t-il ? Plus vraies que nature, toutes ces silhouettes réunies forment dans leur intégralité la fameuse fresque des Wallons.
C’est dépareillé de tout cet ensemble urbain que le théâtre royal accroche facilement notre regard. Alors que la brique est la grande star du vieux Namur, le site culturel, lui, revêt un habit en pierre de sable très lumineux.
Vous voilà à présent au pied de l’une des images les plus représentatives de la destination belge. Alors qu’elle est désignée comme beffroi de Namur, cette tour en pierre était en réalité un élément de défense dans la troisième enceinte de la cité au XIVe siècle.
Alors que beaucoup optent pour un chat, un chien ou à la rigueur un lapin en tant qu’animal de compagnie, Djoseph et Francwès ont eux préféré les escargots. Jamais l’un sans l’autre, ces deux namurois sont des personnages tout droit sortis de l’imaginaire de Jean Legrand, un écrivain et artiste peintre local du XXe siècle.
Perle de la place d’Armes, le palais des Congrès de Namur a ouvert ses portes à cette adresse au début des années 2000. Mais bien avant que les séminaires, les congrès, les conférences ou bien les assemblées générales s’emparent des lieux, on trouvait à cet emplacement l’ancienne Bourse du Commerce.
Tout comme son copain le Beffroi, la Tour Marie Spilar est un vestige de la troisième enceinte qui entourait Namur fin XIVe siècle. Si son imposante apparence en pierre calcaire taillée nous met instantanément sur cette voie, un autre détail nous rappelle tout autant ce passé de site fortifié.
Alors que l’on vous balade le long des façades, à la recherche des belles pépites de Namur, surgit à votre portée une profonde ouverture laissant apparaître un agréable point de vue.
Si l’on a cherché à vous amener à la toute pointe du confluent, c’est qu’on avait forcément une bonne idée en tête. Et nous sommes sûres qu'au moment où vous commencerez à regarder autour de vous, vous allez vite comprendre là où l’on veut en venir.
Qui dit grande bâtisse dit bien souvent grandes fonctions. Devant vous se trouve précisement un très bel exemple de ce genre. Anciennement réservé à l’hospice Saint-Gilles, cet imposant édifice a été reconverti en tant que siège du Parlement wallon dès 1985.
En effet, Vichy est une ville majoritairement orientée sur l’eau, et ce n’est plus un scoop pour personne. Cependant, peu savent que Vichy est aussi une ville verte maintes fois récompensée à ce sujet.
Il est clair qu’à Vichy, ce n’est clairement pas l’eau qui manque quand on recense les quelques sources qui ont fait connaître la ville.
De haut en bas, de droite à gauche, balayer cette interminable façade revient à prendre une épatante leçon en architecture de haut standing. Et celui qui en est le sujet, c’est l’ancien Hôtel des Ambassadeurs.
Villas d’exception et anciens palaces à l’architecture remarquable et éclectique, la rue de Belgique est en quelque sorte la mecque du “Triangle d’or” de Vichy.
Si son style néoclassique très académique ne permet pas à la villa Strauss d’être l’œuvre architecturale la plus exceptionnelle de la rue de Belgique, son importance patrimoniale, elle, est en revanche majeure dans l’histoire de Vichy.
Une stature imposante, une couleur rouge repérable dans toute la rue et une ornementation de façade travaillée, bien qu’asymétrique, voilà les signes que vous êtes sur le point de connaître l’histoire d’une grande maison de Vichy.
Si les visiteurs sont légèrement stupéfaits à la vue de ces adorables habitations en bordure du lac d’Allier, apprendre qu’elles ont été construites en tant que résidence pour Napoléon III et sa suite fait toujours son petit effet.
Vous pensiez avoir vu tous les membres de la série des chalets impériaux ? Laissez-nous vous rappeler que c’est lorsqu’il n’y en a plus, qu’il y en a encore !
Parmi toutes les rues vichyssoises qui composent notre itinéraire de visite, celle-ci est de loin l’une de nos favorites. Et si vous attachez de l’importance à l’esthétique en général, il se peut que d’ici quelques secondes, elle devienne l’une des vôtres aussi.
Pour décrire cet imposant bâtiment devant lequel vous vous trouvez, quelques maîtres-mots suffisent : soins, diététique et activités physiques.
Témoin indiscutable de l’identité vichyssoise, le hall des Sources est l’endroit idéal pour trouver un concentré de ce qui fait la réputation de la ville.
À Vichy, vous allez vite vous en rendre compte, partout où vous mettrez les pieds, Napoléon III ne sera jamais bien loin. Lui, ou probablement quelqu’un de sa famille.
Symboles de notre enfance et de souvenirs impérissables, les bonbons sont ce genre de plaisirs coupables qui font du bien au moral, mais un peu moins à la santé.
Alors qu’est-ce que ça fait de se retrouver en face du monument le plus emblématique de la destination ? Avouez que ça ne vous laisse pas de marbre... En plein centre-ville, dans un écrin de verdure de 6 hectares, le palais des Congrès-Opéra de Vichy est une visite incontournable.
Dans la rue du Président Wilson, axe emblématique du cœur de la ville, le parc des Sources nous fait respirer, les anciens grands hôtels nous font rêver et plusieurs petits passages couverts éveillent notre curiosité.
Là, au bout de cette confortable esplanade, nous vous donnons à présent rendez-vous avec la charmante église Saint-Louis. Hormis le fait que ce soit le principal édifice religieux de la ville, il est intéressant d’apprendre comment son apparition a eu lieu.
Si bien mêlé à l’architecture de la ville, qu’on n’y ferait à peine attention, le kiosque du parc des Sources est pourtant intimement lié à l’histoire de la cité.
Célestins, Chomel, Lucas, Grande Grille, elles sont neuf au total, neuf sources précieuses encore exploitées dans le bassin de Vichy. Et parmi les rares qui sont consommées par les curistes dans les buvettes thermales, il y a celle de l’Hôpital.
Désuets, démodés, vieux, les éléments du passé ont la vie dure lorsqu’il s’agit de se faire une place dans notre société toujours plus avant-gardiste.
Si Vichy concentre ses plus grandes fiertés patrimoniales dans le sol, elle arrive très bien à satisfaire ses visiteurs en surface grâce à une liste de constructions remarquables longue comme le bras.
Aux abords de la rue Hubert Colombier, que vous êtes sur le point de parcourir, notre meilleur conseil est de lever les yeux sur les façades et de scruter les moindres détails apparents.
Plus récente que le quartier dans lequel elle se trouve, l’église Notre-Dame-des-Malades est un monument un peu à part dans la cité thermale.
Vous êtes quelque peu surpris à la vue de cette étrange demeure ? Surtout, ne le soyez pas trop, car dans la vieille ville de Vichy et plus encore, les folles architectures ne manquent pas.
Aux portes du parc avec qui elle partage le même nom, la source Lardy est de loin la première chose que nous remarquons dans le paysage.
Il y a ceux qui l’ont déjà bu au moins une fois et qui depuis ne s’en lassent pas. Puis, il y a ceux qui n’en connaissent que la pub diffusée à la télévision, avec ce slogan mémorable : Vichy Célestins, elle me va bien !
Perle médiévale du Vieux Vichy, la maison du Bailliage a la particularité d’avoir été construite sur les anciens remparts de la ville en 1482.
Précieusement gardé derrière une grille, le pavillon Sévigné est cette timide, mais élégante bâtisse, jouxtée d’une petite tourelle sur la gauche.
Voilà donc la cathédrale de Berne ! Ou plus exactement la collégiale Saint-Vincent de Berne. Elle est le plus grand édifice religieux de la fin du Moyen-Âge en Suisse. Au XVe siècle, Berne est la plus importante cité au nord des Alpes et n’a pas de cathédrale.
Vous allez très vite vous rendre compte que l’eau est omniprésente à Berne et que la ville est parsemée de belles fontaines. Déjà au XIIIe siècle, la ville comptait de nombreux points d’eau. L’approvisionnement se faisait par le ruisseau souterrain qui alimentait des puits et des citernes.
Voici l’une des plus célèbres fontaines de Berne, connue en français sous le nom de la fontaine de l’Ogre. Impossible pour moi de vous dire son nom complet en allemand, mais sa traduction veut dire litteralement la fontaine du dévoreur de petits enfants. Charmant.
Juste à côté de la Halle aux grains, vous avez le théâtre municipal de la ville de Berne. Cet opéra-théâtre de style néo-baroque a ouvert ses portes en 1903, construit par l’architecte René Von Wurstemberger et financé par une société privée.
L’imposant bâtiment, que vous voyez devant vous, est l’ancienne Halle aux Grains, construite dans les années 1710. On y entreposait les céréales pour avoir une réserve en cas de guerre ou de famine.
La voilà, la magnifique tour de l’horloge de Berne ! La Zytglogge, en patois bernois. À chaque heure pleine, la tour nous livre un spectacle merveilleux, celui du carrousel de ses figurines du Moyen-Âge. 3 minutes avant l’heure, le carillon démarre, grâce à un mécanisme du XVIe siècle activé à la main !
Ah la la, il y en a un paquet de fontaines à Berne. Celle-ci est celle de Zähringen, nommée ainsi en hommage à l’homme du même nom qui fonda la ville de Berne en 1191. Elle a été construite en 1535. Le bassin original était octogonal.
La nouvelle fontaine que vous voyez là est celle de Samson et le lion. Elle a été construite en 1544 par Hans Gieng et représente l’histoire biblique de Samson tuant un lion. Cette histoire est issue du livre des Juges, un des livres de la Torah, la Bible hébraïque, ou l’Ancien Testament pour les chrétiens.
Nous passons une nouvelle fois une fontaine portant une statue colorée. Il s’agit cette fois-ci de Moïse. Elle a été construite en 1544, mais a été endommagée par une tempête.
Les terrasses de la Collégiale, ancien cimetière de l’église, sont aujourd’hui très appréciées des locaux comme des touristes. C’est un véritable lieu de rencontre intergénérationnelle entre pétanque et ping-pong.
Vous l’avez deviné, la nouvelle statue qui se présente devant vous n’est autre que la fontaine de la Justice. D'ailleurs, pour ceux qui n’ont pas pris allemand LV2, sachez que la rue sur laquelle vous vous promenez se traduit également par la rue de la justice.
Vous le savez, Berne est une ville d’ours. Et cet animal emblématique est étroitement lié à l'histoire de la ville. La légende raconte qu’en 1191, le duc Berthold V de Zähringen décide de créer une cité pour abriter les paysans des environs.
Vous voilà au point de vue traditionnel de la vieille ville de Berne. Vous voyez sur votre droite, le pont de Nydegg qui traverse l’Aare. Voyez sur le pont les quatre maisonnettes situées à chaque extrémité.
Vous voilà sur l’Helvetiaplatz, bordée par plusieurs musées. Celui qui ressemble à un château est le musée d’Histoire de Berne qui retrace l’histoire de la ville du Moyen-Âge à nos jours. Vous y trouverez également une exposition permanente passionnante sur Einstein au 2e étage.
Ce qui est merveilleux à Berne c’est que vous avez régulièrement des accès à des lieux qui vous offrent des vues panoramiques de la ville. Vous voilà sur les terrasses du palais fédéral qui contournent tout le bâtiment et vous permettent d’admirer la nature qui entoure la ville.
Vous avez, sur votre droite, le casino de Berne. Ouvert dans les années 1900, il a été récemment rénové avec l’idée de créer une maison sociale et de combiner sous un même toit, plusieurs facettes de la vie culturelle, événementielle et culinaire de Berne.
Vous voilà sur la Bundesplatz, face au Palais Fédéral du Gouvernement. Car oui, Berne est bien la capitale de la Suisse, et c’est ici que siège le Conseil Fédéral ainsi que l’Assemblée fédérale et en gros, c’est ici que tout se décide.
Cette fontaine est appelée la fontaine d’Anna Seiler. Elle a été construite en 1545 pour remplacer une ancienne fontaine du XIVe siècle. La statue qui la décore représente une femme remplissant un bol d’eau avec une cruche et symbolise la vertu cardinale de la Tempérance.
Vous voilà devant l’une des images emblématiques de Berne, sa tour des prisons. Celle que vous voyez devant vous est plus récente, mais l’originale avait été bâtie entre 1256 et 1344 pour servir de porte de la ville et de tour de garde.
Vous le savez peut-être, Albert Einstein est né en Allemagne, mais il est venu en Suisse à l’âge de 16 ans. L’année suivante, il intègre l’école polytechnique fédérale de Zurich où il rencontre Mileva Maric qu’il épouse en 1903.
Voilà l’église Saint-Pierre et Saint-Paul de Berne. Elle est le premier édifice catholique de la ville et le siège épiscopal de l’Église catholique-chrétienne de Suisse. Elle a été construite à la fin du XIXe siècle, grâce à un concours international d’architecture.
Juste à côté de l’église, vous avez remarqué la belle façade de l’hôtel de ville. Si vous voyez le drapeau de Berne hissé sur le toit, ça signifie que les politiques siègent à l’intérieur. C’est en effet ici, dans l’hôtel du gouvernement, surnommé le petit frère du Palais Fédéral, que les sept membres du Conseil se réunissent chaque semaine.
Cette agréable promenade ombragée longe l’Aare jusqu’au grand pont métallique de Kirchenfeld. L’Aare est la principale rivière de Suisse. Elle prend sa source dans les Alpes bernoises et se jette dans le Rhin à Coblence.
En venant à Rouen, vous étiez peut-être loin d’imaginer que vous auriez droit à autant d’églises en une seule visite. Or, croyez-nous, chacune d’entre elles a quelque chose à nous apprendre sur la ville.
Chers amateurs de culture, à Rouen, vous serez traités avec soin. Et si l’on vous dit ça, c’est parce qu’un large choix de musées vous attend et qu’une poignée d’entre eux ont même le mérite de vous accueillir gratuitement. Tel est le cas du Musée des Beaux-Arts, devant lequel vous venez de vous arrêter.
Un Gros Horloge scintillant, une cathédrale en dentelle de pierre, quelque 2000 maisons à colombage aux couleurs et aux styles variés, Rouen, c’est un ensemble patrimonial tellement hétéroclite et démonstratif, que l’on est sans cesse émerveiller.
Si on a l’habitude de dire que “tous les chemins mènent à Rome”, eh bien, dans le même style, sachez que tous les océans mènent à Rouen.
À côté de l’abbatiale Saint-Ouen qui s’étire en hauteur, vous trouvez un édifice qui lui préfère s’étaler dans la longueur. À quoi avons-nous affaire ? Eh bien à l’actuel Hôtel de Ville de Rouen.
Régulièrement prise à tort pour une cathédrale, avec ses mesures hors normes de plus de 130 mètres de long et 33 mètres de hauteur, l’abbatiale Saint-Ouen fut fondée vers l’an 750, à la place d’une grande église romane détruite par un incendie.
Si à Rouen, il y a le fameux Gros-Horloge qu’à peu près tout le monde connaît, sachez qu’une version plus mini et plus passe-partout peut être approchée.
Très agréable à explorer à pied, Rouen comptabilise pas moins de 1200 rues où vous pouvez très vite perdre votre chemin. Mais si la majorité d’entre elles se présente comme la rue Eau de Robec, dans laquelle nous vous avons amené, ne plus être capable de se situer paraît être un lointain problème.
Arpenter le quartier Saint-Maclou, voilà le genre d’incontournable qui s’impose dans notre itinéraire de visite de la capitale normande. Tout bon Rouennais qui se respecte vous encouragera même à le faire.
Étrange, secret, insolite, intimidant, avec autant de mots mystérieux et suprêmes pour le définir, il n’est pas étonnant que l’aître Saint-Maclou soit le deuxième monument le plus visité de Rouen, derrière la cathédrale Notre-Dame.
Ça alors, de toutes les maisons à colombage que recense Rouen, on est prêt à parier que vous n’en avez vu aucune semblable à celle-ci. Je vous présente la fameuse maison qui penche.
Dans un décor essentiellement façonné par des maisons à pans de bois, l’église Saint-Maclou fait régner de plus belle sa singularité, ou mieux, sa grâce inimitable
À Rouen, la rue des Chanoines est l’un de ces petits passages discrets et charmants qui rendent la découverte des lieux encore plus pittoresque.
Pour honorer l’épopée de Jeanne d’Arc, Rouen aurait pu jouer la carte du musée traditionnel avec des œuvres classiques et quelques objets de collection. Mais avouez qu’avec un personnage aussi passionnant que la Pucelle, il aurait été dommage de se contenter de si peu.
Dans la rue Saint-Romain, comme partout ailleurs dans le cœur historique de Rouen, l’unique conseil que l’on a à vous donner est de sans cesse lever les yeux pour admirer ce qui vous entoure.
Qu’il est difficile de détacher le regard de la flamboyante cathédrale de Rouen sur cette place qui lui est à juste titre consacrée.
Notre-Dame de Chartres, de Paris, de Reims, d’Amiens, de Strasbourg sont des noms de cathédrales bien connues en France. Mais avez-vous déjà entendu parler de Notre-Dame de Rouen ?
Le calme plat ? Ne cherchez pas, ce n’est pas ici que vous le trouverez. Pour la simple et bonne raison que vous êtes actuellement dans l’artère la plus passante de Rouen.
Alors même que l’on entame la traversée de la rue, on arrive plus ou moins à deviner à distance ce qui sera le prochain centre d’attention de la visite. À la fois immanquable et symbolique, le Gros-Horloge est plus que rattaché au passé médiéval de Rouen.
“Amis ! C’est donc Rouen, la ville aux vieilles rues, aux vieilles tours, débris des races disparues, la ville aux cent clochers carillonnant dans l’air”. Tels sont les mots de Victor Hugo dans son recueil de poèmes Les feuilles d’automne, publié en 1831.
Trônant sur la charmante place de la Pucelle, l’hôtel de Bourgtheroulde est l’une des nombreuses pépites architecturales du centre historique rouennais.
Élevée sur le lieu du martyre de Jeanne d’Arc depuis 1979, cette église ne ressemble nullement aux autres de la ville.
Comme vous, une multitude de passants afflue de toute part et marque l’arrêt à cet endroit. Surtout, ne soyez pas surpris. C’est l’effet que ça donne lorsque l’on débarque dans le noyau central et historique de Rouen.
“À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire”, qui parmi vous à la ref ? Nos passionnés de théâtre classique français, peut-être. Ceux qui ont gardé quelques restes de leurs cours de lycée, sans doute. Quoi qu’il en soit, Le Cid est certainement l’œuvre la plus connue de Pierre Corneille.
S’il y a une date que Rouen n’est pas prête d’oublier, c’est sûrement le 30 mai 1431. Et s’il y a un lieu, auquel Rouen ne voudra jamais être séparé, c’est très certainement celui-ci.
Vous me trouvez sur la partie saillante des gouttières, généralement sculptée dans la pierre, sous l’apparence d’une figure animale ou humaine. Avez-vous deviné qui je suis ? Si c’est le cas, bravo, je suis effectivement une gargouille.
Cette très belle réalisation architecturale de style gothique flamboyant, caractérisé par cette ornementation en “dentelles”, est le grand palais de justice de Rouen.
Si Laon ne fait plus partie des grandes villes de France, sachez pourtant qu’elle fût une cité royale, résidence favorite des Carolingiens. Cette porte, qui vous ouvre l’entrée de la cité, s’appelle la porte d’Ardon.
Vous avez, sur votre droite, l’accès au musée archéologique de Laon. Entrez dans son jardin pour découvrir la mystérieuse chapelle des Templiers. Les Templiers, rien que leur nom est rempli de mystères.
La porte ancienne que vous voyez à présent devant vous est la porte de la citadelle. Elle a été construite en 1595 et donnait à l’époque, d’un côté sur la ville et de l’autre sur cette fameuse citadelle voulue par Henri IV.
Vous passez un instant de l’autre côté des remparts pour suivre la promenade Yitzhak Rabin. D’ici, vous pouvez facilement imaginer les fondements de Laon durant l’Antiquité, lorsque la petite forteresse gauloise, juchée sur la plus haute colline, surplombait les plaines environnantes.
Vous voilà sur la petite place Aubry, avec une sublime vue sur l’imposante cathédrale d’une part et sur les plaines picardes d'autre part. Avant de vous parler en détail de Notre-Dame de Laon, laissez-moi vous dire deux mots sur le bâtiment qui se trouve sur votre droite.
Vous voici devant la belle Notre-Dame de Laon. Commandée par l’évêque Gauthier de Mortagne, elle est l’un des premiers édifices majeurs du Gothique en France, avant Notre-Dame de Paris ! La cathédrale actuelle, que vous avez sous les yeux, a été bâtie entre la fin du XIIe et le début du XIIIe siècle.
Vous remarquerez au cours de votre balade laonnoise que la ville est pleine de petites touches de street art représentant des personnages célèbres. Ici, vous faites connaissance avec Abélard, que vous ne connaissez certainement pas, mais en même temps il est mort depuis neuf siècles, faut pas vous en vouloir.
J’attire rapidement votre attention sur le porche ancien que vous voyez sur votre droite. C’est tout ce qu’il reste de l’ancien hôtel de ville de Laon. Le bâtiment avait été construit en 1736 pour accueillir les services municipaux.
Vous êtes à présent sur la place du Général Leclerc. Vous avez en face de vous le nouvel hôtel de ville, enfin, “nouveau”, en comparaison avec l’ancien parce que sinon, il est quand même là depuis 1831.
Le bâtiment que vous voyez sur votre gauche avec ses deux tourelles qui donnent sur la rue date du XVe siècle. Il s’agit de l’hôtel du Petit Saint-Vincent.
Vous voilà face à un nouveau témoin de l’époque médiévale de Laon, son abbaye Saint-Martin. Et elle est plutôt imposante !
Vous venez de traverser la porte de Soissons, qui fermait l’un des principaux accès à l’ouest de la ville médiévale. Elle a été construite au début du XIIIe siècle et surmontée d’un corps de garde en 1562.
Pendant que vous remontez la rue de la République pour retrouver le centre-ville, j’en profite pour vous parler un peu d'une spécialité locale. Eh oui, l’un des points forts lorsque l’on visite une ville, c’est de goûter aux spécialités de sa région et de découvrir les merveilles de son terroir.
Cette petite plateforme aménagée vous permet d’avoir une jolie vue dégagée sur la ville et les environs. Au loin, se dessinent dans les plaines picardes, le tristement célèbre chemin des Dames.
Vous avez pu remarquer que la ville de Laon aime décorer et égayer ses rues. Si vous êtes venus en été, vous avez peut être eu la chance d’admirer des rues couvertes de parapluies multicolores ou des rubans argentés flottant dans les airs, ou quelques autre installation à laquelle ils auront pensé pour mettre un peu de couleur et de gaité dans le ciel peut être trop souvent gris au nord de la France.
Vous voici dans l’une des artères commerçantes principales de la ville. Cette rue porte le nom d’un avocat français du XXe siècle, né en Corse et ministre de la Marine, de la Justice et héros de la Première Guerre mondiale. La rue César Campinchi affiche des façades typiques de Bastia et offre quelques magasins pour flâner, mais aussi quelques bars et restaurants qui attirent aussi bien les habitants que les visiteurs.
Cette rue typiquement bastiaise marque l’entrée dans le quartier de Terra Vecchia, le quartier le plus ancien de Bastia. C’est la rue Napoléon. Si ce grand empereur français est partout ici, c’est tout simplement parce qu’il est né en Corse, à Ajaccio précisément ! Il passe les 9 premières années de sa vie en Corse, avant de partir à Brienne.
Ce petit édifice situé au cœur de la rue Napoléon est l’oratoire Saint-Roch, dédié à la prière. Si un premier édifice a été construit au cours du XVIe siècle, c’est en 1604 que celui-ci est bâti par Francesco Marengo. Sa façade, elle, a été remaniée au XIXe siècle dans le style néo-classique, de même que le portail de marbre blanc, qui est surmonté de la coquille des pèlerins.
La place du marché, anciennement appelée place de l’Hôtel de Ville, accueille les nombreux étals du marché depuis 1880 ! Chaque week-end, c’est ici que vous retrouverez les producteurs et les habitants en train de marchander, discuter et s’échanger les produits locaux dans une ambiance chaleureuse et animée.
Vous voici devant la plus grande église de Corse, l’église Saint-Jean-Baptiste. Elle est visible aussi sur le Vieux-Port, notamment ses deux tours qui se dressent au-dessus des bateaux et des maisons. Elle a été édifiée au XVIIe siècle dans un style baroque, à la place d’une ancienne église qui se trouvait déjà là.
Vous êtes devant la vue emblématique de Bastia ! Bateaux au premier plan, maisons typiques de la ville et montagnes en toile de fond, le quai Premier Bataillon de Choc permet de prendre LA photo représentative de Bastia.
Installé dans une petite crique dominée par la montagne, le Vieux-Port de Bastia est un lieu incontournable dans la découverte de l'Île de Beauté. S’il n’est maintenant utilisé que pour les bateaux de plaisance, il a façonné l’histoire de la ville depuis le XIe siècle !
Avant de nous concentrer sur l’escalier qui se trouve devant vous, retournez-vous et profitez du paysage qui s’offre à vous. D’ici, vous avez une autre perspective du Vieux-Port, avec notamment les clochers de l'église Saint-Jean-Baptiste qui se déploient derrière les mâts des nombreux bateaux.
Avec son phare à droite et le Vieux-Port de Bastia à gauche, dominé par les montagnes, ce point de vue vous donne un véritable aperçu de la ville dans son entièreté ! Vous êtes ici au pied de la Citadelle.
Nouvelle infrastructure de Bastia, inaugurée en 2020, l'Aldilonda fait aussi bien le bonheur des habitants que celui des visiteurs ! Véritable promenade au bord de la Méditerranée, cette plateforme permet de relier le Vieux-Port à la plage de l’Arinella, à moins de 3 km de là.
Allez, je profite de cet instant où vous longez l’agréable Aldilonda pour vous parler de son incontournable Citadelle, l’une des parties les plus historiques de la ville, qui se trouve juste au-dessus de vous. Composée de petites ruelles étroites, de maisons aux façades colorées et de certains des monuments emblématiques de Bastia, la Citadelle constitue la Terra Nova, ou la ville haute, en opposition à la ville basse, appelée la Terra Vecchia, qui regroupe le Vieux-Port et les rues du centre-ville.
Vous voici devant l’un des monuments de la Citadelle à ne pas manquer : la cathédrale Sainte-Marie. La première église construite sur le rocher de la ville haute a été édifiée en 1488 et est devenue une véritable cathédrale un siècle plus tard. Mais la cathédrale qui se tient devant vous, elle, a été achevée en 1625 pour remplacer l’ancienne, qui ne comporte aucun vestige après les guerres avec la France.
Cette petite esplanade cachée est la place Guasco. Si elle dévoile un charme typiquement corse, elle a récemment fait parler d’elle, car on a retrouvé, en 2019, des vestiges ensevelis sous terre. Le mur central d’une maison du XVIe siècle a été découvert, nous permettant d’affirmer qu’il n’y avait pas là une place à cette époque-là, mais bien des habitations.
La rue Notre-Dame est une rue historique. Depuis la construction de la citadelle, elle est la principale rue de ce promontoire rocheux, et relie deux des plus importants monuments : la cathédrale Sainte-Marie et le palais des Gouverneurs. Elle dévoile de belles maisons typiques aux volets persiennes et aux façades colorées, qui constituent la véritable identité de cette ancienne cité fortifiée.
Vous voilà sur la place principale de la citadelle : la place du Donjon. Ici, vous avez les façades des deux maisons dont je vous parlais juste avant, derrière vous, mais surtout un palais fortifié unique en son genre : le palais des Gouverneurs. Et comme son nom l’indique, il était bien la résidence officielle des gouverneurs.
Retournez-vous et admirez la porte qui se trouve devant vous. Elle marque l’entrée nord dans la Citadelle. À l’époque où les Génois dirigeaient la ville, c’était la seule porte qui permettait d’entrer dans la cité fortifiée. Devant elle se trouvait une vaste place publique où avaient lieu les rassemblements de la population et les exécutions.
Sur votre droite se trouve l’entrée du jardin Romieu, du même nom que l’escalier qui se trouve plus bas et qui mène jusqu’à lui. Conçu au XIXe siècle par l’architecte Paul-Augustin Viale, au même titre que l’escalier, ce jardin constitue une belle promenade dans la nature sur les hauteurs de Bastia, au travers de la végétation composée de pins et de palmiers et des statues, fontaines et vases qui le décorent.
Vous arrivez sur la place Vattalapesca. Situé entre la citadelle et le Vieux-Port, ce quartier a récemment été rénové par la ville de Bastia, en 2015, pour lui redonner un nouveau souffle et recréer un espace de vie pour ses habitants. À droite, descendant jusqu’au port, c’est le quartier U Puntettu, un quartier historique qui se serait développé en même temps que Terra Vechja, le quartier du Vieux-Port, après l’établissement des Génois dans la citadelle.
Cachée au cœur des maisons bastiaises, l’église Saint-Charles a été édifiée en 1635 par les Jésuites. Elle était donc dédiée à Saint Ignace de Loyola, mais lorsque les jésuites sont chassés en 1769, elle est dédiée à Saint Charles Borromée, archevêque de Milan et cardinal de l’Eglise catholique au XVIe siècle.
Au bout de la rue, sur votre gauche, se dresse le palais de justice. La première pierre du bâtiment est posée en 1852 sous l’impulsion des magistrats de la ville, qui demandent un endroit à la hauteur de leur métier pour exercer. Après 6 années de construction, le palais de justice est inauguré en 1858, en présence de nombreuses personnalités de la ville.
À gauche, le long de la rue Campinchi, se trouve le théâtre municipal. Vous pouvez monter les escaliers pour voir sa façade, sur la place du théâtre. Il a été construit en 1879, occupant une surface de 8000 m² en plein centre-ville de Bastia. Il possède d’ailleurs la plus grande salle à l’italienne de Corse, permettant d’accueillir 800 spectateurs lors des diverses représentations qui y ont lieu.
Vous voici sur la place principale de Bastia ! Lieu de rencontre privilégié des habitants, cette place est animée en toute saison : concerts en plein air l’été, patinoire et grande roue l’hiver, marché aux puces chaque dimanche matin, et même le Salon du Chocolat chaque année en octobre. Cette vaste esplanade, aux dimensions plutôt surprenantes, est bordée d'arbres sur toute sa longueur et dévoile de grands palmiers à son extrémité, qui nous mettent tout de suite dans l’ambiance du Sud.
Vous voilà face à l’un des édifices emblématiques du Touquet-Paris-Plage : l’église Sainte-Jeanne-d’Arc. Son allure sobre, presque discrète, contraste avec l’élégance fantaisiste des villas de la ville. Et pourtant, elle raconte à elle seule un pan entier de l’histoire du
Le Jardin d’Ypres est un havre de paix en plein cœur du Touquet, à deux pas de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc. Ce petit jardin public, discret mais soigné, porte un nom chargé d’histoire : Ypres, la ville belge martyrisée durant la Première Guerre mondiale, à laquelle Le Touquet est
Vous voici arrivé devant le charmant Petit Château, posé non loin de l’avenue de la Reine-Maïté. Imaginez-vous transporté au début du XXᵉ siècle : ce bâtiment élégamment cossu, d’inspiration anglo-normande, traduisait alors le prestige des riches estivants qui venaient profiter
Inauguré en 1974, le Palais des Congrès est un bâtiment emblématique de l’architecture moderne dans la station. Construit à l’emplacement de l’ancien palais détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été imaginé par l’architecte Pierre Dufau dans un style
Vous vous trouvez devant l’un des témoins emblématiques de l’âge d’or du Touquet : l’Hermitage-Hôtel, construit en 1904 sur la place qui porte encore son nom. À l’époque, la station balnéaire est en plein essor, et cet hôtel de prestige accueille une clientèle fortunée venue
Vous voici sur l’avenue du Verger, l’une des plus élégantes promenades du Touquet-Paris-Plage. Bordée de pins, d’hôtels de charme et de villas au style anglo-normand, cette large allée vous plonge dans l’atmosphère feutrée et raffinée de la station balnéaire. C’est ici que bat le
Vous vous trouvez ici devant un lieu à la fois charmant et chargé de souvenirs : le kiosque à musique Serge Gainsbourg, l’un des symboles de la vie culturelle du Touquet. Depuis des décennies, ce kiosque accueille concerts, spectacles et animations en plein air, notamment
Sur votre gauche se trouve l’un des joyaux du Touquet : l’Hôtel Westminster. Impossible de le manquer avec sa majestueuse façade en briques rouges, ses lignes symétriques et son élégance toute Art déco. Inauguré en 1924, il incarne à lui seul le raffinement de la station
Vous voici devant l’un des repères les plus emblématiques du Touquet : le phare de la Canche. Avec une hauteur de 57 mètres, il veille depuis 1951 sur l’estuaire de la Canche et les rivages de la Côte d’Opale. Ce n’est pas le tout premier phare de la ville : son prédécesseur,
Vous marchez maintenant dans ce qui se trouve être la Rue Saint-Jean. C’est l’artère principale et la plus emblématique de la station balnéaire du Touquet-Paris-Plage. Elle traverse le cœur de la ville du front de mer jusqu’au rond-point de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc,
Ce petit jardin public, baptisé square Robert-Lassus, rend hommage à une figure locale attachante, célèbre pour ses talents de dessinateur et de chroniqueur, qui racontait avec humour et finesse la vie au Touquet. Une plaque discrète vous rappelle son nom, mais l’endroit, lui, parle
Pendant que vous déambulez dans la rue Saint-Jean, laissez-nous vous raconter l’histoire étonnante de la ville qui vous entoure. Car Le Touquet-Paris-Plage n’est pas né d’un port, ni d’un vieux village de pêcheurs… mais d’un rêve. Celui d’inventer une station balnéaire au
Le Touquet, c’est un peu un musée à ciel ouvert… mais version balnéaire chic ! Ici, l’architecture est un véritable terrain de jeu, un mélange unique de styles venus d’Angleterre, de Belgique et du nord de la France. En vous baladant, ouvrez bien les yeux : chaque villa
Bienvenue sur la Place du Centenaire. Ici, en plein cœur du Touquet, vous êtes sur l’un des lieux les plus récents mais aussi les plus symboliques de la ville. Cette esplanade a été inaugurée en 2012 pour célébrer les cent ans de la commune, fondée officiellement en 1912.
Impossible de les manquer : ces petites cabines colorées, bien alignées le long de la digue, sont devenues l’un des symboles du Touquet. Elles font partie du paysage depuis les années 60, quand la station modernise son front de mer. À l’époque, on y venait en famille, souvent
Vous êtes devant l’un des lieux les plus emblématiques du Touquet : le marché couvert. Regardez cette façade de briques rouges, ces colombages, cette toiture en tuiles, et surtout cette arche monumentale qui vous invite à entrer… Le bâtiment date de 1932, et il est
Derrière cette façade de briques et cette fine tourelle élancée, on croirait presque deviner une histoire de chevaliers et de princesses… Bienvenue devant la Villa Le Castel, l’une des toutes premières grandes demeures du Touquet, construite en 1904. À l’époque, elle portait un
Pour s’immiscer à l’intérieur des remparts de Dubrovnik, trois imposantes portes sont là pour vous faciliter l’accès. Si l’on a tendance à entendre parler davantage de Pile et de Ploče, la porte Buže n’est pour autant pas moins utilisée.
Étiré sur 300 mètres, soit sur toute la largeur approximative de Dubrovnik, le Stradun peut difficilement être évité dans la découverte des lieux. Et en même temps, pourquoi on chercherait à le faire quand on sait que cette artère animée est la principale de la vieille ville.
Loin du brouhaha du Stradun, le monastère Franciscain prêche davantage la paix pour une retraite paisible, historique et végétale. Au milieu du XIVe siècle, la République de Raguse profite d’une prospérité très avantageuse et cela se fait vite savoir.
Perché sur son rocher, à plus de 37 mètres au-dessus de l’eau, le fort Lovrijenac est le point le plus élevé de la vieille ville à l’extérieur des remparts. D’après la légende, il aura fallu seulement trois petits mois aux habitants de Dubrovnik pour le construire en 1018.
Traverser la porte Pile, c’est automatiquement faire une entrée majestueuse dans la vieille ville. Construite en 1537, sur le côté ouest des remparts, cette importante structure défensive rappelle l’époque où Dubrovnik était fermée la nuit, afin d’empêcher les envahisseurs d’entrer.
Non loin de l’entrée de la vieille ville, la grande fontaine d’Onofrio est un vrai symbole de Dubrovnik. Malgré une économie florissante, alimentée par l’un des ports les plus commerciaux de la Méditerranée au XVe siècle, la ville croate manquait cruellement d’un système d’eau potable.
Après avoir grimpé le monumental escalier, vous voilà arrivée en face de l’attraction convoitée. Inspirée des plans de la célèbre Chiesa del Gesù à Rome, elle fut construite entre 1699 et 1725, avant d’être inaugurée en 1729.
Véritable symbole du pouvoir de l’ancienne République de Raguse, le Palais des Recteurs est comme une machine à remonter le temps. Construit au XIIIᵉ siècle pour accueillir le siège du gouvernement, il était la résidence officielle du recteur,
Bâtiment majeur du centre historique de Dubrovnik, la cathédrale de l’Assomption est à elle seule un mille-feuille de site religieux. La version que nous en avons aujourd’hui n’a pas été la première à occuper l’emplacement.
Sur la droite de la jetée où vous vous situez, doit surgir une solide bâtisse couronnée d’un drapeau en son sommet. L'avez-vous repéré ? Construit entre le XIVe et le XVIe siècle, le fort Saint-Jean est l’un des points de défense les plus importants de Dubrovnik.
En arrivant sur la place Luža, il est vrai que l’on a droit à quelques monuments symboliques de Dubrovnik, dont un qui lui est très cher. Reconnaissable à sa galerie d’arcades, le Palais Sponza est le seul édifice à être resté debout suite au dévastateur séisme de 1667.
Tout comme les franciscains, les moines dominicains ont, eux aussi, choisi de s’installer dans l’enceinte de la ville, et même bien avant leurs camarades. La construction de leur monastère, lancée autour de 1300, ne s’achèvera que deux siècles plus tard.
En raison de son ouverture sur la mer Adriatique, ce ne sont pas les points de vue qui manquent à Dubrovnik pour faire chavirer votre âme de vacanciers. La preuve en direct avec celui devant vous que l’on trouve particulièrement joli.
Si l’ouest de la ville a la porte Pile, l’est est aussi bien servi avec la porte Ploče. Partie intégrante des remparts de Dubrovnik, cette entrée relie toujours l’extérieur au centre historique. Sa version extérieure actuelle fut construite en 1628
Dans le passé, le quartier de Ploče était sur la route de plusieurs marchands et voyageurs qui faisaient escale à Dubrovnik. Dans le but de protéger la ville et ses habitants des risques épidémiologiques, amenés de l’extérieur, toute une zone de quarantaine a été construite ici au XIVe siècle.
Emblème incontesté de Dubrovnik, vous vous doutez bien que l’on allait forcément vous parler de ces magnifiques remparts dans notre itinéraire de visite.
Cela fait plus de six siècles qu’Orlando veille sur la place Luža. Sculptée dans un seul bloc de pierre en 1417 par un architecte milanais, cette colonne apparemment modeste cache en réalité une symbolique puissante.
Relativement discrète, mais comptée parmi les plus importantes de Dubrovnik, l’église Saint-Blaise est un petit bijou baroque dédié au saint patron de la ville. Initialement construit au XIVe siècle, l’édifice actuel n’est pourtant pas celui qu’il était autrefois.
Vous êtes dans LE quartier à la mode de San Sebastian ! Impossible de manquer le centre historique, ça c’est sûr, mais il faut aussi venir dans ce quartier pour se rendre compte de la grande diversité de la ville !
Nous voyons ici le pont Maria Cristina, le pont le plus connu de la ville. Traversant l’Urumea pour relier les deux parties de San Sebastian, il porte le nom de la reine Marie-Christine d’Autriche qui a régné en Espagne à la fin du XIXe siècle et a participé à faire la réputation de la ville de San Sebastian en venant y passer tous ses étés.
Ce petit port au charme incomparable, situé au pied du mont Urgull, se compose de deux bassins, l’un réservé aux bateaux de plaisance, l’autre aux bateaux de pêche.
Voici une attraction à ne pas manquer ! L’aquarium de San Sebastian, construit en 1928, est l’un des symboles de la commune, ville tournée vers la mer dès la création de son port au XIe siècle.
Impossible de visiter San Sebastian sans passer par son incontournable Paseo Nuevo, le “chemin nouveau”, qui a été créé en 1916.
Cette sculpture située au pied du mont Urgull, dont le nom signifie en français “la construction vide”, a été conçue par Jorge Oteiza, grand maître basque à qui l’on doit plusieurs sculptures et édifices espagnols.
Il faut monter un peu pour pouvoir profiter au maximum du mont Urgull, l’un des deux monts visibles à San Sebastian. Inutile de vous préciser qu’au sommet, vous profiterez d’une superbe vue sur la ville, la baie et le mont Igueldo.
Vous connaissez peut-être San Sebastian pour son rendez-vous immanquable du mois de septembre, le Festival International du Cinéma.
Vous voici devant le monument phare de la ville : le château de la Mota. Véritable symbole de San Sebastian, il a été construit au début du XIIe siècle sous les ordres du roi de Navarre Sanche VII.
Sans aucun doute l’une des vues les plus impressionnantes que vous puissiez avoir sur San Sebastian ! D’ici, vous avez un superbe panorama sur la baie de la Concha, considérée comme l’une des plus belles baies du monde.
La basilique Sainte-Marie du Chœur a été édifiée au XVIe siècle à la place d’une ancienne église romane qui se trouvait là depuis le XIIe siècle.
Le nom de cette rue est un véritable symbole pour la ville de San Sebastian : c’est le jour où elle disparaît sous les flammes, bombardée par les armées portugaises et britanniques.
L’église Saint-Vincent est un vrai monument à San Sebastian et pour cause, c’est la plus ancienne église de la ville ! Bâtie entre le XVe et le XVIe siècle, elle arbore un style gothique tardif imaginé par les architectes Miguel de Santa Celay et Juan de Urrutia.
Sur la place Saint-Jean, c’est le musée San Telmo qui vous ouvre ses portes pour vous permettre de retracer l’histoire mouvementée de ce petit hameau de pêche devenu l’une des stations balnéaires les plus réputées d’Espagne.
Vous êtes au cœur de la ville ! La place de la Constitution, située non loin de la basilique Sainte-Marie du Chœur et de l’église Saint-Vincent, est le véritable lieu de vie des habitants : c’est ici qu’ont lieu les festivités et animations de la ville.
San Sebastian fait partie des villes que l’on peut qualifier de “capitale de la gastronomie”. Déjà, on le sait, l’Espagne en général est réputée pour ses fameuses tapas, la base des apéritifs espagnols !
Sur votre droite, postée au tout début de la place Sarriegi, se trouve une statue qui fait référence à ce qu’on appelle, ici, la Tamborrada.
Ce beau théâtre est inauguré en 1912. Situé au bord de la rivière Urumea, fleuve qui se jette quelques mètres plus loin dans la mer Cantabrique, c’est un véritable symbole pour la ville de San Sebastian, qui peut se vanter d’accueillir chaque année le Festival International du Cinéma.
Vous avez ici une jolie vue sur l’Urumea, le fleuve qui traverse San Sebastian et les immeubles qui bordent son autre rive.
Le grand bâtiment qui se démarque des autres sur votre droite est le centre des congrès de la ville. Alors certes, quand on le voit comme ça, on ne le trouve pas forcément attirant, mais c’est en fait un bâtiment avant-gardiste qui a même reçu le titre de plus beau bâtiment européen en 2001.
Bienvenue au paradis des surfeurs ! La plage Zurriola est reconnue mondialement comme étant un spot incroyable pour le surf.
Cœur du quartier de Gros, cette église a été inaugurée en 1897, au moment où cette partie de San Sebastian se développe et commence à accueillir de plus en plus d’habitants.
Vous voici devant la cathédrale de San Sebastian, dédiée au Bon Pasteur, l’un des vocables de Jésus.
Vous avez devant vous un superbe panorama sur la baie de la Concha, qui fait la réputation de la ville, considérée comme l’une des plus belles baies du monde.
Ce joli carrousel, qui marque l’entrée dans le centre historique de San Sebastian, a été installé ici en 1998 et constitue un bel ensemble qui reprend les caractéristiques des carrousels des années 1900, affichant le style de la Belle Époque.
Ornant l’extrémité des jardins Alderdi Eder, l’hôtel de ville est certainement l’un des édifices les plus imposants de celle que l’on surnomme la perle du Cantabrique.
Vivante, animée et mouvementée, la rue Stroget est la plus grande rue commerciale de Copenhague !
Voici, sur votre gauche, la plus ancienne place de la ville. C’est ici que se trouvait autrefois un marché, où l’on vendait du porc, de la volaille et des œufs.
Voici la plus ancienne église de la ville, construite au XIIIe siècle ! Autrefois intégrée à l’ancien monastère catholique, cette église a subi les ravages de l’incendie de 1728, qui a détruit plusieurs édifices de la capitale danoise.
C’est l’une des places centrales de Copenhague. Aménagée après l’incendie de 1795, elle est construite pour servir de coupe-feu et éviter ainsi que de nouveaux incendies se déclenchent.
Vous êtes actuellement dans la Kobmagergade. Cette rue commerçante dévoile de nombreux beaux bâtiments, comme celui qui se trouve à ce niveau-là, sur votre droite, au numéro 42.
Vous voici sur la belle place de Grabrodretorv, caractérisée par ses bâtiments aux couleurs éclatantes. Elle prend son nom en 1841, mais elle est bien plus ancienne que cela.
Cette cathédrale, dont la façade évoque l’architecture des temples antiques, est l’église la plus importante de Copenhague.
Surnommée la Tour Ronde, cette tour fait la particularité du bâtiment voisin auquel elle est rattachée, qui est appelé l’Ouvrage de la Trinité, construit pour abriter une église, une bibliothèque universitaire et un observatoire astronomique, qui se trouve toujours au sommet de la tour.
Vous voilà encore sur une très belle place de la ville ! Appelée Kultorvet, qui signifie “le marché au charbon”, en référence au commerce qui y avait lieu, elle a été conçue après l’incendie de 1728.
Sur votre gauche se trouve le Jardin botanique de Copenhague. N’hésitez pas à entrer et y faire un tour s’il est ouvert à votre arrivée !
Ce magnifique château a servi de résidence royale entre 1633 et 1710. C’est le roi Christian IV, roi du Danemark et de la Norvège, qui décide de sa construction : il souhaitait au départ bâtir une maison d’été.
Vous voici maintenant dans le jardin royal, qui entoure l’imposant château de Rosenborg.
Vous arrivez ici dans le quartier Nyboder, un lieu bien spécifique comme vous l’avez déjà remarqué. De part et d’autre de cette rue se dressent des maisons d’une couleur ocre qui ne passe pas inaperçue.
Le bâtiment que vous avez devant vous est le Nyboders Mindestuer, et c’est sans aucun doute un incontournable du quartier.
Vous voici devant celle que l’on surnomme “l’église de marbre” : je vous rassure, elle n’a pas été entièrement construite en marbre, bien que son concepteur d’origine en avait pourtant l’intention au début de sa construction en 1749 !
Place emblématique de Copenhague, Amalienborg se compose de quatre édifices imposants et élégants qui ne sont autres que la résidence de la famille royale du Danemark.
Ce petit parc situé à deux pas du château d’Amalienborg constitue une belle promenade le long de la rade de Copenhague.
C’est le moment de prendre LA photo emblématique de Copenhague !
Vous voici dans le quartier pittoresque de Copenhague !
Cette grande place est l’une des principales de la ville. Reliant chacun des monuments et des sites les plus touristiques, impossible de ne pas passer par cette place lorsque l’on visite Copenhague !
Face à vous se dresse une grande statue qui représente Niels Juel, un amiral danois qui a vécu au XVIIe siècle.
Vous voici sur le Holmensbro, l’un des nombreux ponts de la ville. Il passe au-dessus d’un canal qui donne une belle vue sur certains des monuments.
Ce sont plus de 9 siècles d’histoire qui façonnent ce grand château, situé dans le centre de Copenhague.
Voici deux des plus anciennes rues de Copenhague ! Datant du XVIe siècle, elles n’ont pas perdu leur éclat au fil du temps, bien au contraire…
Cette façade impressionnante appartient au bâtiment qui abrite le musée national du Danemark, qui retrace l’histoire et la culture danoise au travers de collections qui datent de la Préhistoire jusqu’à aujourd’hui.
Etrange statue, n’est-ce pas ? Postée au cœur de la Dantes Plads, l’une des places publiques de Copenhague, elle a une vraie valeur pour les habitants de la capitale.
Vous arrivez ici devant un bâtiment imposant et surprenant par son architecture.
Sur votre gauche se trouve un étonnant jardin, plutôt unique en son genre : vous l’aurez certainement compris en entendant les cris qui en ressortent, ce jardin n’est autre qu’un véritable parc d’attractions en plein cœur de la ville !
Situé en face des jardins de Tivoli, l’un des plus anciens parcs d’attractions du monde, l’Hôtel de Ville a été bâti en 1905 sur les plans de Martin Nyrop, architecte danois.
Vous voilà sur la place du marché, face à la célèbre Halle aux Draps, ce grand monument qui prend toute la place au centre. C’est grand, c’est beau, c’est un véritable joyau de la Renaissance et l’un des monuments les plus emblématiques de Cracovie.
Vous êtes sur la place Rynek Glowny, au cœur de la vieille ville de Cracovie. Rynek veut dire marché et glowny principal, vous voilà donc sur la place du marché !
Vous empruntez à présent la rue Florianska qui est l’une des plus connues de la ville. C’est une partie de la voie royale qui relie le château de Wawel à la porte Saint-Florian.
Vous arrivez devant un beau théâtre baroque. C’est le théâtre Juliusz-Słowacki, probablement le théâtre le plus connu de Pologne.
Vous voilà face à la porte Florianska. C’est par cette porte que passaient les rois en revenant de leurs batailles victorieuses ainsi que par où arrivaient toutes les personnalités et les diplomates en visite à Cracovie.
Une fois passé sous la porte de Saint-Florian, vous arrivez à la Barbacane de Cracovie.
Vous le voyez assis tranquillement dans son cadre, voici le célèbre peintre polonais Jan Matejko. Même si vous ne le connaissiez pas avant de venir à Cracovie, sachez que c’est le peintre le plus connu de Pologne.
La rue Pijarska, où vous vous trouvez actuellement, longeait autrefois les remparts de la ville. Elle vous amène face au beau musée de l’Arsenal des princes Czartoryski.
Cette petite église baroque est l’église des Piaristes aussi connue sous le nom de l’église de la Transfiguration de Jésus.
Vous voilà sur la jolie et tranquille place du palais des arts. Le bâtiment principal, que vous avez en face de vous, a été construit au début du XXe siècle, dans un style Sécession viennois, pour l’association des amis des Beaux-Arts fondée un demi-siècle plus tôt.
Vous voilà face à la belle église Saint-Anne. Cette église catholique romaine est considérée comme l’un des plus beaux exemples d’architecture baroque de Pologne.
Vous arrivez à présent dans la célèbre université Jagellonne de Cracovie. Vous êtes entourés des bâtiments néo-gothiques du Collegium Novum, du Nouveau Collège donc, en opposition au Collegium Maius, qui est la partie la plus ancienne de l’Université.
Le bâtiment qui fait l’angle en face de vous, est celui de la Philharmonie de Cracovie. Je sais, vous aviez deviné, c’est marqué dessus !
Cette agréable promenade le long de la Vistule, vous permet d’avoir une jolie vue d’ensemble sur le fleuve et le château.
Vous ne rêvez pas, c’est bien un dragon cracheur de feu qui se dresse devant vous. S’il y a un regroupement de personnes devant lui, c’est parce que toutes les cinq minutes, il se met à cracher de véritables flammes.
Voilà donc le château des rois de Pologne, le fameux château de Wawel. Vous pouvez visiter les extérieurs du château ainsi que ses cours et ses remparts sans payer, mais les musées et les intérieurs des appartements et de la cathédrale sont payants et se visitent séparément.
Vous êtes à présent dans la rue Grodzka, qui est la deuxième partie de la voie royale qui mène de la place du marché au château du Wawel, la suite étant la rue Florianska, partant de la place et se terminant à la Barbacane.
Vous arrivez devant la belle église baroque de Saint-Pierre et Saint-Paul. Elle a été construite à la fin du XVIe siècle, par les Jésuites, arrivés à Cracovie pour lancer la contre-réforme.
Vous passez à présent dans le parc Planty. Comme vous l’avez sûrement remarqué, la ville historique de Cracovie est entièrement entourée d’un espace vert.
Vous arrivez devant la basilique de Saint-François d’Assise. Elle a été édifiée au XIIIe siècle par les franciscains qui arrivaient de Prague.
La plaza del Colegio del Patriarca est une place généralement paisible entourée de beaux bâtiments. Comme son nom l’indique, on trouve ici le colegio del Patriarca, le bâtiment qui se trouve derrière vous. Véritable joyau de l’architecture Renaissance, il a été fondé par l’archevêque de Valence, Juan de Ribera, à la fin du XVIe siècle.
Point central de la Vieille Ville, la place de la reine est un élément incontournable de l’espace public de Valencia. Dès notre arrivée sur les lieux, nous sommes conquis par cette parfaite combinaison entre les espaces paysagers, très bien entretenus, et cette architecture citadine historique qui embellit l’arrière-plan.
Ici, vous tombez nez à nez avec l’église de la Compagnie de Jésus. Elle a en effet été construite par les Jésuites en 1595. La Compagnie de Jésus, c’est une congrégation catholique masculine qui a été fondée en 1540 par Saint Ignace de Loyola, Saint François Xavier et Saint Pierre Favre.
Dépareillée du reste des bâtiments environnants, la maison des Dragons est tellement singulière que sa façade est devenue l’une des plus photographiées de Valencia. Construite en 1901, la demeure expose un style moderniste caractérisée ici par des éléments de décoration naturaliste.
Autant prisé par les amateurs de photo que par les gastronomes, le marché de Colón a plus que sa place dans les attractions de Valencia. Réalisé en 1914, par l’architecte local Francisco Mora, l’édifice s’inscrit comme l’un des plus représentatifs du modernisme valenciano, rappelant même, sous certains angles, les constructions de Gaudi à Barcelone.
À Valencia s’il y a bien une rue qui ne dort pas, c’est sûrement la rue Colón. Définie sur l’ancien tracé de l’enceinte médiévale qui protégeait la ville des invasions ennemies, cette artère a marqué l’expansion de la cité à la fin du XIXe siècle.
Pour toutes celles et ceux qui arriveraient sur Valencia en train, les arènes, situées à proximité immédiate, proposent une entrée en matière tout ce qu’il y a de plus espagnole. Construites entre 1850 et 1860, sur le site d’une place restée inachevée, elles apparaissent sur 4 niveaux de style néo-classique, où se répartissent pas moins de 384 arcades.
Dans un style assez différent de celui affiché par ses voisines, les arènes, la gare nord de Valencia montre un visage plus moderne de la destination. Inauguré en 1917, le bâtiment a toujours présenté une couleur jaune bien plus gaie que ce que l’on a l’habitude de voir sur les immeubles civils.
Construite en 1928, la Casa del Chavo recevait le siège de l’Institut national du bien-être de Valencia, autour du système de santé et de la couverture vieillesse et invalidité.
Distinctive de toutes les autres places par sa forme triangulaire originale, la Plaza del Ayuntamiento est l’un des points centraux de Valencia. Élevée sur l’emplacement d’un ancien couvent, détruit en 1881, cette esplanade affiche un décor architectural impressionnant, que ce soit par la façade moderne de l’Hôtel de Ville, à votre gauche, ou bien celle plus gothique du bureau de poste principal, implanté à votre droite.
Posté sur la plus grande place de Valencia, l’Hôtel de Ville nous surprend par son imposante dimension horizontale de plus de 6 000m², elle-même surmontée par deux petits dômes recouverts de faïence.
Au vu du style apparent très riche et détaillé de la bâtisse sur votre gauche, on a du mal à croire que vous ne seriez pas un poil curieux de connaître à quelle attraction valenciana, nous avons affaire.
Unique en son genre, la place ronde se distingue par la forme circulaire que lui a donnée son architecte en 1840. Initialement située au centre géographique et commercial de la ville, cette petite esplanade a longtemps reçu des boutiques et des étals similaires à ceux que l’on peut trouver sur un marché.
Qu’importe la destination espagnole où vous vous rendrez, votre appétit de moineau ou bien d’ogre sera toujours bien servi ! À Valencia, la qualité de la cuisine peut se savourer aussi bien assis dans un restaurant qu’en déambulant dans l’un de ses marchés publics.
Vous êtes ici sur la plaça del Mercat, la place du marché. Le bâtiment rouge qui se trouve derrière vous en fait d’ailleurs partie. Juste à côté, c’est l’église des Saints Jeans de Valence qui dévoile l’une de ses belles façades.
On ne dirait pas comme ça, mais l'église San Nicolás de Bari et San Pedro est l’un des joyaux les plus fascinants de la Communauté valencienne. Et s’il y a bien une chose pour laquelle Valencia est connue, c’est pour ses bâtiments à couper le souffle, offrant de jolis points de vue, et décorés dans les moindres détails, du sol au plafond.
Pour saisir toute l’âme de la Vieille Ville, on n’a pas plus efficace que de vous faire traverser le quartier El Carmen. À la fois emblématique et millénaire, cette zone est concrètement le véritable centre historique de Valencia.
Si en Chine la Grande Muraille fait tourner bon nombre de têtes, alors à Valencia, ce sont sans doute les Tours de Serranos qui attireront votre attention. Remarquable exemple de l’architecture gothique et défensive du XIVe siècle, les tours de Serranos font partie des 12 portes qui autrefois s’élevaient parmi les remparts de la ville.
Arrêtez-vous un instant, et jetez un œil sur votre droite : vous avez à quelques mètres d’ici une porte qui faisait partie de l’ancienne muraille musulmane. Elle date de 1440. Il faut donc imaginer qu’à cette époque-là, les fortifications passaient par ici pour délimiter l’ancien quartier arabe de la Valence chrétienne.
Ici, nous arrivons sur la plaza del Carmen. N’hésitez pas à faire un petit détour sur votre gauche pour la découvrir et voir l’impressionnante façade de l’ensemble religieux qui s’y trouve. Il s’agit d’un ancien couvent, portant le même nom que la place. Dédié à l’ordre des Carmes, il a été construit au XIIIe siècle et constitue ainsi un véritable lieu historique.
Vous l’avez aperçu depuis que vous êtes entré dans la rue : vous voici devant la tour de Saint-Barthélémy. Pour comprendre son origine, il faut remonter au XIIIe siècle, au moment où Valencia, dominée par les musulmans depuis bon nombre de siècles déjà, est reprise par le roi d’Aragon Jacques 1er.
Devant vous se dresse un bâtiment de forme rectangulaire de style gothique et Renaissance, qui n’est autre que le palais de la Généralité valencienne. Cet édifice a été construit dès 1421, pour d’abord percevoir les impôts de la couronne, puis pour abriter le siège du gouvernement autonome régional.
Vous arrivez maintenant sur une nouvelle place, depuis laquelle on peut encore apprécier un peu la belle architecture de la cathédrale, sur votre droite. Devant vous, on voit ici également un beau bâtiment rose.
En contournant la cathédrale de Valencia, on tombe maintenant sur le palais de l’Archevêché. Coloré de ses belles briques rouges, il a été bâti à partir du XIIIe siècle, et connaîtra des modifications au fil des années. D’abord construit dans un style roman et gothique, il deviendra principalement baroque au XVIIIe siècle,
Devant vous, vous avez une superbe maison qui se démarque des autres bâtiments. Appelée la Casa del Punt de Gantxo, elle dévoile un magnifique style architectural qui s’inscrit parfaitement dans le modernisme valencien. Ce mouvement, le modernisme, a débuté à la fin du XIXe siècle partout en Europe :
Construite dès le XIIIe siècle, à la suite de la Reconquista ou de la reconquête chrétienne de Valencia, la cathédrale Sainte-Marie se tient à l’exact emplacement où s’élevait autrefois une ancienne mosquée. Les nombreuses retouches, apportées jusqu’au XVIIe siècle,
Et voici la reine de la place, la Basilique Notre-Dame, édifiée à partir de 1824 dans ce style néo-gothique parfait. Visitée par plus d’un million de personnes chaque année, elle est l’église mère de Montréal, et la plus vaste de l’archidiocèse.
Vous arrivez à présent là où tout a commencé. La place Royale atteste de présence humaine depuis plus de 1000 ans. Faisons un rapide saut dans le temps et dans l’Histoire.
Vous longez à présent l’agréable promenade du Vieux-Port de Montréal. Cette balade au bord de l’eau vous offre une pause nature bien méritée.
Vous empruntez à présent la rue Saint-Paul. La plus ancienne et la plus riche en histoire de Montréal. En 1645, peu de temps après la fondation de Ville-Marie, le tracé de cette rue existait déjà.
Vous êtes à présent sur la place Jacques Cartier. Avant d’être une petite place piétonne au cœur du Vieux-Montréal, c’est ici, en 1723, qu’était installé le château de Vaudreuil, ancienne résidence du gouverneur de la Nouvelle France.
Vous voilà sur la place Vauquelin, encadré de deux énormes bâtisses administratives de la ville. À gauche, l’ancien palais de justice et à droite, l’hôtel de ville.
Vous voilà à un emplacement de choix pour admirer un peu les environs. La grande roue derrière vous peut bien évidemment être une solution pour prendre de la hauteur et découvrir la ville de Montréal dans son ensemble.
Vous voyez tout au bout du quai, la silhouette de la Tour de l’Horloge qui se dessine dans le ciel montréalais. Cette tour, édifiée en 1922, fait partie du patrimoine historique de la ville.
Avec son beau dôme argenté, le marché de Bonsecours est un autre emblème de la ville. Il est impressionnant et fait même partie du top 10 des plus beaux bâtiments du Canada recensés par le gouvernement.
Vous trouvez certainement étrange de vous retrouver nez à nez avec la tour d’un clocher, perdue comme ça, toute seule, accolée aux bâtiments ultras modernes du CHU de Montréal !
Au croisement entre la rue Sainte-Catherine et la rue Saint-Denis, commence le Quartier latin de Montréal. Cette visite de l’ultra centre ne permet pas d’aller le visiter, mais je vous conseille d’y revenir et de poursuivre la rue Saint-Denis jusqu’à Sherbrooke.
Vous voilà sur la rue Sainte-Catherine, la plus importante rue commerciale de Montréal. Et c’est peu dire ! La rue Sainte-Catherine représente la plus grande concentration de boutiques de mode et de prêt-à-porter du pays !
Pas besoin d’avoir un Bac +5 pour comprendre que vous arrivez à Chinatown ! Le magnifique mur peint et l’arche nord, marquent l’entrée nord du quartier Chinois de Montréal.
Vous voilà sur la place des Arts, au cœur du quartier des spectacles de Montréal. Cette place, vouée à la diffusion des arts de la scène, a été créée sous l’impulsion du maire de Montréal Jean Drapeau en 1955 pour doter la ville d’infrastructures modernes et de niveau international.
Vous voilà à présent devant la belle église unie Saint-James.C’est la deuxième église protestante du Québec.
Voici à présent l’église Christ Church, qui, comme son nom l'indique, est dédiée à Jésus Christ. C’est une église anglicane.
Voyez ce beau bâtiment qui fait l’angle devant vous. Il s'agit du Dominion square Building, un immeuble emblématique du centre de Montréal.
Faisant face à la place Dorchester, voilà l’un des monuments les plus imposants de Montréal et peut-être le plus impressionnant !!
Vous arrivez, après avoir traversé la place du Canada, face à l’impressionnante Cathédrale Marie Reine du Monde. Vous lui trouvez un petit air familier et c’est normal !
Vous traversez l’espace Ville-Marie. Entouré de gratte-ciel qui se reflètent dans leurs vitres mutuelles, on se sent tout petit au milieu de ce campus d’affaires.
Voici la Basilique Saint Patrick’s, qui, vous vous doutez, possède des liens historiques avec la communauté irlandaise de la ville. Dans les années 1830, le Canada connaît une forte immigration irlandaise.
Vous ne rêvez pas, vous passez bien ici, une bouche de métro tout droit venue du métro parisien. Cette entrée en fer forgé, si emblématique de la capitale française, a été conçue par le génie de l’art nouveau Hector Guimard, au début du XXe siècle.
Vous pénétrez dans le monde parallèle de Montréal, sa ville souterraine. Ici, vous êtes au centre commercial du monde, aussi appelé le World Trade Center qui est un des nombreux accès au RESO, le nom officiel du fameux réseau souterrain de Montréal.
Vous voilà au cœur de l’arrondissement Ville-Marie, sur la place d’armes. Lieu incontournable de Montréal, la place d’armes a été aménagée à la fin du XVIIe siècle et raconte à elle seule, trois siècles d’architecture.
Vous vous trouvez en ce moment sur l'île de Genève. Île avec un grand I, parce qu’en fait cette île n’a pas vraiment de nom, alors c’est comme ça que tout le monde l’appelle.
Impossible de visiter Genève sans parler du fameux lac Léman, qui participe à en faire l’une des plus belles villes de la région.
Bien qu’il accueille moins de spectateurs que le Victoria Hall, le Grand Théâtre est la principale salle de spectacle de Genève.
Le parc des Bastions, une petite bulle de nature au cœur de Genève !
Plutôt surprenant, ce mur, non ? Ce monument emblématique de la ville de Genève est inauguré en 1917 dans le but de rendre hommage aux grandes figures de la Réforme.
Vous êtes sur la plus ancienne promenade de Genève, qui donne une jolie vue sur le parc des Bastions en contrebas.
Siège du gouvernement du Canton de Genève, l’Hôtel de Ville est un véritable chef-d'œuvre du XVe siècle.
Vous voici devant l’ancien arsenal de Genève. Le bâtiment existe depuis le XVe siècle, et fut construit dans le but de couvrir le marché qui avait lieu ici depuis l’époque romaine.
À quelques mètres seulement de l’Ancien Arsenal et de l’Hôtel de Ville, la Maison Tavel se distingue des autres bâtiments par son style si singulier, typique de l’architecture médiévale civile de Suisse.
Vous voici devant la belle cathédrale de Genève ! Plutôt atypique comme façade, non ?
Construite en hommage à l’écrivain, poète, historien et véritable acteur du protestantisme Théodore Agrippa d’Aubigné, cette terrasse offre une vue imprenable sur les toits de la ville.
C’est la place la plus célèbre de Genève et pour cause, c’est aussi la plus ancienne !
L’un des plus grands musées de Suisse vous donne rendez-vous pour une immersion totale dans l’art genevois !
Encore une véritable curiosité de la ville ! Voici l’église russe, destinée au culte orthodoxe.
Anciennement appelé le Collège de Genève, ce bâtiment est construit au XVIe siècle au moment où la ville adopte la Réforme.
Vous voici dans la prestigieuse rue du Rhône ! Vous trouverez ici les marques les plus luxueuses et les grands noms de la mode, de la bijouterie et de l’horlogerie.
Impossible de ne pas le remarquer lors de votre visite à Genève : du haut de ses 140 mètres, il est visible partout !
C’est l’un des parcs les plus appréciés de Genève ! Propice à la balade, au bord du lac Léman, le jardin anglais offre un véritable moment de paix à deux pas de la ville !
Voici l’une des horloges les plus célèbres du monde ! C’est le deuxième symbole de la ville avec le jet d’eau et pour cause, c’est une véritable prouesse technique que vous voyez-là !
C’est une jolie vue que vous avez-là sur le pont du Mont-Blanc ! D’abord construit en tôle en 1862, le pont du Mont-Blanc est l’un des principaux ponts de Genève.
Ce petit ponton construit au-dessous du quai des Bergues permet d’apprécier une jolie vue sur Genève ! Vous avez devant vous la petite île Rousseau, petit îlot de verdure situé au cœur de la ville.
Encore un pont ! Grâce à l’emblématique pont des Machines, vous rejoignez ici l’autre rive du Rhône - car nous sommes maintenant au-dessus du Rhône, rappelez-vous, le lac Léman s’arrête au niveau du pont du Mont-Blanc.
Vous voici sur la plaine de Plainpalais, l’une des plus grandes esplanades de Suisse.
C’est à la fin du XIXe siècle que ce théâtre est édifié en hommage à la reine Victoria d'Angleterre.
Cette maison, bon nombre de Montalbanais la connaissent. Pour les plus âgés, c’est un ancien hôtel-restaurant qui était très en vue dans les années 50. Mais pour les nouvelles générations, c’est celle du crieur !
En plein cœur de la cité, mais surtout de la vie culturelle de Montauban, le théâtre Olympe de Gouges se présente tel qu’il est depuis 1930. Avant lui, une première salle, aménagée en 1792 par la ville, réunissait les habitants autour de parties de jeux de paume, dont les règles s'apparentent à celles du tennis.
Est-ce que tous les ponts de la commune de Montauban se trouvent au-dessus du Tarn ? Pas tout à fait ! Si six d’entre eux enjambent effectivement le fleuve, il a aussi fallu en construire aux portes du centre-ville pour vraiment assurer la circulation montoise dans son intégralité.
Un rond-point ? Oui, dit comme ça, ce n’est pas vraiment le genre d’attraction touristique qui vend du rêve. Pourtant, vous devez savoir que ce carrefour giratoire, en apparence plutôt sobre, entretient l’image d’appel la plus loufoque que Montauban peut avoir auprès des touristes.
Se promener dans les rues de Montauban, c’est l’occasion exceptionnelle de rencontrer l'œuvre d’Antoine Bourdelle, hors des murs d’un musée.
C’est dans le respect de la tradition architecturale locale que l’ancien collège des Jésuites plante son imposante silhouette de brique, dans le décor environnant.
Pour certains, c’est le nom d’une rue, pour d’autres, c’est celui d’un théâtre. Mais avant d’être rattachés à des lieux publics, ces hommes et ces femmes sont des personnalités qui ont marqué l’histoire de la France, et façonné à jamais celle de Montauban.
Atypique avec sa robe blanche, dans ce paysage architectural essentiellement fait de brique rouge, la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption est le point culminant du centre ancien de Montauban.
Au cours du XIIIe siècle, Montauban voit se développer un réseau de couvents en dehors des murs de la ville qui, peu à peu, s’étendent et gagnent du terrain.
Une fois passé les grilles, attendez-vous à plonger dans LA zone verte de Montauban. Étendu sur une surface de 3 hectares, le jardin des plantes présente de remarquables spécimens végétaux, d’ici ou d’ailleurs, dont la plupart ont été plantés lors de la création de ce site, au XIXe siècle.
Si l’on vous disait que dans le jardin des plantes, une parcelle est détenue par des Indiens d’Amérique, seriez-vous prêt à nous croire ? Tous ceux qui ont répondu non, c’est mal nous connaître, puisqu’on n’est pas du genre à raconter des salades.
Fidèle au poste, aux portes de la ville, le pont Vieux, c'est 700 ans d’histoire qui enjambent élégamment le Tarn. Et pour savoir comment toute cette aventure a commencé, écoutez attentivement.
Peu importe notre position sur les quais du Tarn, on est comme attiré, intrigué, par cet écrasant édifice de briques que tous les Montalbanais connaissent. Il s’agit là du musée Ingres Bourdelle.
Traversez le pont Vieux, là où les galets noir et blanc, venus du Tarn et de la Garonne, vous mènent vers le quartier de Villebourbon. Une fois l’eau sous vos pieds, levez les yeux à gauche : vous apercevrez une belle enfilade de maisons en bord de fleuve. C’est la première image qu’on garde en arrivant ici.
Logé dans l’ancien palais de la Cour des aides, le musée d’histoire naturelle Victor Brun est né en 1852, sous l’initiative des membres de la Société des Sciences. De par ce projet culturel, leur souhait premier était de mettre leurs collections privées à disposition des Montalbanais.
Si l’église Saint-Jacques est si bien ancrée dans le centre historique de Montauban, c’est parce qu’elle est le plus ancien monument de la ville. Sa construction qui remonte au XIIIe siècle, fait d’elle, au même titre que le pont Vieux, un vestige du Moyen Âge encore employé de nos jours.
Bien plus dissimulés que les églises et les monuments publics, les hôtels particuliers de Montauban sont eux aussi de belles perles du patrimoine local. S’ils se protègent derrière leurs grilles et leurs grandes portes, il est parfois possible d’en apprendre un peu plus à leur égard, et sur l’histoire qu’ils renferment.
Vous décelez un peu plus d’agitation dans le coin ? Il n’y a aucune inquiétude à avoir, puisque vous venez tout juste de faire votre entrée sur la place Nationale. Depuis la création de la ville en 1144, cet espace public est le cœur palpitant de Montauban.
La côte Sylvante, dans laquelle vous vous trouvez, fait partie intégrante de l’histoire de Valence.
Sur votre gauche, marquant l’entrée dans le parc Saint-Ruf, se dresse le portail d’une ancienne abbaye du même nom qui date du XVIIIe siècle.
Observez la façade de cette maison bien particulière : inutile de vous préciser pourquoi elle s’appelle ainsi, n’est-ce pas ? Les nombreuses sculptures qui la décorent ne sont autres que des têtes qui représentent la Fortune, le Temps, le Droit, la Médecine et j’en passe…
Véritable monument de Valence, le Pendentif s’inscrit dans le patrimoine architectural de la ville depuis plus de cinq siècles.
La Grande Rue est l’une des rues les plus animées de Valence. En plus de renfermer l’authentique maison des Têtes, elle est bordée de petites boutiques idéales pour faire du shopping.
Cette rue charmante et typique du centre-ville valentinois vous offre un joli spot photo pour ramener en souvenir un cliché d’une rue authentique, représentative des ruelles médiévales de Valence !
Vous voici devant le temple Saint-Ruf de Valence, dédié au culte protestant. A l’origine, ce bâtiment était l’église Saint-James.
La maison qui se trouve devant vous surprend par son architecture et son aspect bien différents de ceux des autres bâtiments de la ville.
Cœur de la place Saint-Jean, cette église catholique est située sur le point le plus haut de la ville. Son emplacement stratégique laisse à penser que depuis des siècles déjà, peut être même depuis la période romaine ou le Haut Moyen Âge, se trouvait ici un édifice religieux.
Vous voici devant l’Hôtel de Ville de Valence, inauguré en 1894 par le maire de l’époque, Jean-François Malizard. Il permet aux assemblées municipales de se réunir enfin dans un bâtiment dédié à cela.
Vous voici devant le Centre du Patrimoine Arménien, un centre culturel ouvert en 2005 dans l’ancienne faculté de droit. Il dévoile une exposition qui retrace l’histoire du génocide arménien, qui a eu lieu entre 1915 et 1916.
Vous voici devant deux étranges statues, qui se dressent ici au bord de la route. Elles se trouvent en fait devant le Musée d’Art et d’Archéologie, qui prend place dans le bâtiment qui se trouve devant vous.
Nous voici arrivés dans le boulevard Maurice Clerc, l’un des principaux axes de Valence. Bordé par de belles maisons valentinoises, il est animé plusieurs fois par semaine par différents marchés, et propose des boutiques et restaurants en tout genre qui en font un lieu idéal pour se balader.
Ici, se fondant dans le décor de la place Porte Neuve, se trouve une statue en bronze représentant un homme assis, en train de lire un livre.
L’esplanade du Champ de Mars, située en plein cœur de Valence, est la place principale de la ville. Elle est très fréquentée par les Valentinois, mais aussi par les touristes puisqu’elle offre, sur votre droite, un panorama exceptionnel sur les montagnes ardéchoises.
C’est l’une des plus anciennes places de la ville : elle est mentionnée comme la place des Clercs dans les textes dès le XIIIe siècle.
C’est au XIe siècle que la cathédrale Saint-Apollinaire sera consacrée par le pape Urbain II : c’est donc l’un des monuments les plus anciens de Valence.
Vous êtes dans l’avenue Victor Hugo ! Ce qui fait la particularité de cette rue, ce sont les maisons au style Art Déco qui surplombent les nombreuses boutiques installées ici.
Ce joli kiosque qui orne l’esplanade du Champ de Mars date de 1890 et a été construit par Eugène Poitoux, à qui l’on doit également la fontaine monumentale de Valence.
Voici le parc Jouvet, parc de style composite qui affiche à la fois un jardin paysager et un jardin à la française.
Le pont qui enjambe l'Alster fleet vous fait passer de la vieille ville à la ville nouvelle. Vous avez, de chaque côté du canal, deux rues, l'Alter Wall et la Neuer Wall, qui signifient l’ancien et le nouveau mur et qui correspondent aux anciens et aux nouveaux remparts de la ville médiévale d’Hambourg.
Le pont des arcades sur lequel vous vous trouvez vous propose de visiter le site commémoratif Stadthaus. Le bâtiment dans lequel il est installé a été construit en 1814, pour être le siège de l’administration de la ville et de la police de Hambourg.
Vous voilà sur les fameux quais du Jungfernstieg. Si, comme moi, vous ne comprenez rien à l’allemand, vous ne comprenez pas la signification de ce mot qui a pourtant toute son importance. Jungfern signifie jeune fille non mariée et stieg peut vouloir dire plusieurs choses, mais ici c’est son sens de sentier, ou de remonter qui nous intéresse.
Vous êtes ici devant l’entrée du passage Mellin, ouvert en 1864. Il s’agit de la plus ancienne galerie commerciale d’Hambourg, reliant la rue commerçante de Neuer Wall aux Arcades de l’Alster. Levez les yeux et admirez les fresques de style art nouveau peintes sur le plafond.
Vous passez à présent devant le théâtre Thalia, nommé en hommage à la muse Thalie, qui préside à la comédie. Inauguré en 1843, ce théâtre était tout d’abord une scène privée, très fréquentée par toute la bourgeoisie intellectuelle d’Hambourg.
Levez les yeux et admirez un instant cette belle maison de style Renaissance néerlandais. C’est la Hulbe Haus, la maison de Hulbe. Elle a été construite en 1911 pour George Hulbe donc, qui était relieur et maroquinier et qui voulait construire sa propre maison d’art et d’artisanat.
Cette belle église en brique rouge est l'église évangélique Saint-Pierre. Vous avez devant vous, l’église la plus ancienne de la ville. Du moins au niveau de ses fondations. Remontons au Moyen-Âge.
Alors oui, on se sent tout petit face à ce géant de pierre. L’hôtel de ville d’Hambourg impressionne et nous jette aux yeux toute la prestance de son style néo-Renaissance. Voilà son histoire.
Cette sublissime statue que vous voyez au centre de la cour d’honneur de l’hôtel de ville se nomme Hygieia. Elle est, dans la mythologie grecque, la déesse de la propreté et de la santé.
Vous voilà à l’intérieur de l’église Saint-Nicolas. Oui, à l’intérieur, même s’il ne reste autour de vous que des ruines. Ce choix d’avoir conservé les murs est une volonté de mémoire.
Vous voilà à l'endroit rêvé pour immortaliser la beauté du canal Nikolai. Le Nikolaifleet, de son nom complet, nous offre un tableau typique d’Hambourg avec les anciens entrepôts qui se reflètent dans l’eau.
Vous avez à présent devant vous, la belle église gothique de Sainte-Catherine. Elle est l’un des plus anciens bâtiments du centre de Hambourg. Elle a été fondée sur l’île de Grimm vers 1250 pour servir de paroisse aux constructeurs de navires, aux brasseurs et aux marchands qui y étaient installés et dont Sainte-Catherine est la patronne.
Vous pénétrez à présent dans l’incroyable quartier de la Speicherstadt, entièrement classé UNESCO. Vous venez d'arriver dans le plus grand complexe intégré d’entrepôts au monde.
D’ici, vous avez une vue superbe sur les entrepôts et pouvez apprécier plus en détail la richesse de leurs façades. La maison que vous voyez sur votre droite et qui s’avance sur l’eau ne vous dit trop rien, mais si vous étiez un jeune allemand, vous seriez ravi de voir le centre d’investigation des Peppercorns !
Voilà, vous y êtes. C’est d’ici que l’on a cette fameuse vue emblématique de la Speicherstadt. Le bâtiment qui rend le tout terriblement séduisant, c’est le château à douves de Hambourg.
Vous arrivez à présent devant un nouveau bâtiment impressionnant, le musée maritime international ! Ce musée retrace, sur 9 niveaux, toute l’histoire de la marine militaire, marchande et civile. Si vous allez le visiter, vous deviendrez incollable sur une multitude de sujets !
Vous êtes maintenant au cœur de ce que l’on appelle la HafenCity, grand projet de réaménagement urbain d’une partie du port de Hambourg, qui a agrandi le centre-ville d’Hambourg de 40% !
Regardez autour de vous. Ici, tout a bien changé. Au départ, vous aviez une ancienne porte de la ville qui reliait le centre médiéval d’Hambourg à l’île de Grasbrook sur l’Elbe.
Vous ne voyez que de l’eau et encore de l’eau depuis que vous êtes à Hambourg. C’est vrai que vous saviez que vous alliez visiter une importante ville portuaire. Mais savez-vous quel est ce fleuve qui la traverse et quelles sont ses particularités ?
Vous arrivez enfin devant l’incroyable nouvelle Philharmonie de l’Elbe. Vous la voyez depuis un moment et êtes certainement intrigué par ce bâtiment futuriste aux allures de proue de bateau recouverte d’un toit de vagues.
Vous êtes devant l’entrée du Tube un escalator unique au monde, de 80 mètres de long, traversant la philharmonie dans son ensemble. Il relie l’entrée située au niveau du sol, aux terrasses panoramiques, où nous vous emmenons admirer la vue.
Vous voilà arrivés au Plaza. Installée à 37 mètres de haut, sur le toit de l’ancien entrepôt, cette plate-forme ouverte au public vous permet de profiter d’une vue à 360° sur Hambourg. Cette sublime balade suspendue met Hambourg à vos pieds et vous offre une vue époustouflante sur tous ses quartiers.
Tous les entrepôts que vous voyez sur votre droite depuis cette passerelle ont été transformés en musées. Vous avez, au fond à droite devant vous, le célèbre musée de Miniatur World, qui comme son nom l’indique représente le monde en miniatures.
Vous arrivez à présent sur la Deichstrasse. Traduisez la rue de la digue. Cette rue historique est très importante à Hambourg, car elle est l’unique témoin de ce à quoi ressemblait la ville aux XVe et XVIe siècles.
Vous voilà devant une autre image emblématique de la ville de Séville et l’un des endroits les plus visités, sa Plaza de Toros. C’est la plus grande et la plus importante arène d’Espagne pour les corridas.
Vous rejoignez à présent la rue Sierpes, l’une des artères marchandes principales de Séville. Cette étroite rue piétonne est toujours très animée et est l’une des plus fréquentées de la ville.
Si vous n’aviez pas entendu parler des champignons de Séville avant d’arriver, il y a des chances que vous soyez surpris ! Voici le parc metropol parasol, plus communément appelé las Setas de Sevilla, c'est-à-dire, les champignons de Séville.
Le bel édifice qui fait l’angle de la rue est le Palais du Marquis de la Motilla. Séville est remplie de somptueuses maisons-palais, qui sont autant de trésors cachés à découvrir !
Nous rejoignons la Plaza Nueva, de l’autre côté de l’Hôtel de Ville. Comme son nom l’indique, c’est la nouvelle place publique de la ville.
Séville lui doit tout. Voilà celui que l’on nomme le grand fleuve en arabe : Le Guadalquivir. Ce fleuve, qui est le seul fleuve navigable d'Espagne, lui a apporté gloire et richesse.
Vous voilà donc sur l’autre rive, le long de la rue Betis, qui était le nom donné par les Romains au Guadalquivir. Vous êtes dans le quartier bohème et flamenco de Triana.
Le pont de San Telmo qui vous ramène rive gauche vous permet d’avoir une vue dégagée sur l’emblématique Torre de oro.
Voici un autre bâtiment imposant, voire même le plus élégant de Séville : le palais de San Telmo. C’est un grand rectangle flanqué de quatre tours et possédant un grand patio central.
Autre bâtiment notoire de Séville, vous voilà devant la fabrique royale des tabacs. Le Nouveau Monde n’a pas apporté que de l’or en Europe, il a aussi fait découvrir à une population fascinée, une plante miraculeuse : le tabac.
Vous voilà devant le beau théâtre Lope de Vega. Il a été construit à la base pour l’exposition universelle ibéro-américaine de 1929 et s’appelait à l’époque le théâtre de l’exposition.
Voyez sur votre gauche, la tour ancienne qui fait l’angle. Elle passerait presque inaperçue ! Pourtant, elle est l’un des vestiges de la forteresse édifiée par les Almohades autour du vieux centre-ville au milieu du XIIe siècle.
Vous êtes sur la petite place de l’église Santa Ana, la plus célèbre du quartier. On l’appelle même la cathédrale de Triana !
Vous entrez dans les jardins de Murillo, qui longent l’Alcazar et séparent la vieille ville du quartier sud de Séville. S’ils sont si beaux et possèdent une telle variété botanique, c’est parce qu’ils ont appartenu à l'Alcazar jusqu’en 1862.
Vous arrivez maintenant au cœur du sujet, et ce n’est pas l’effervescence ambiante autour de vous qui va dire le contraire. La porte rouge que vous voyez, d’où part une longue file d’attente, est la porte des Lions, l’entrée de l’Alcazar.
À votre droite se trouve l’entrée de l’église du Couvent de San José del Carmen, dit des petites Thérèse. C’est un couvent catholique cloîtré qui a été fondé en 1586 par Santa Teresa pour l’ordre des Carmélites déchaussées.
Vous êtes au cœur du quartier Santa Cruz, sans doute le plus beau quartier de la ville. C’est en tout cas le plus pittoresque avec ses ruelles pavées aux maisons blanche et jaune.
Vous arrivez sur l’étroite et magnifique place San Francisco, considérée comme le cœur de la ville au XVIe siècle. On y célébrait les grandes fêtes et c’est là que se trouvaient les principaux pouvoirs civils.
Le beau bâtiment baroque que vous voyez sur cette place est l’hôpital des vénérables. Il a été construit à la fin du XVIIe siècle pour accueillir les hommes d’Église affaiblis par leur âge.
Vous traversez à présent une partie du parc de Maria Luisa qui vous conduit à la place d’Espagne. Ces jardins, qui appartenaient autrefois au Palais de San Telmo, ont été légués à la municipalité par la princesse Marie-Louise dont il tient le nom.
Ce grand monument carré est le bâtiment des archives générales des Indes. Vous vous en doutez, nous parlons ici des Indes de Christophe Colomb, c'est-à-dire des Amériques.
Alors, vous l’avez remarqué, ici, la quantité de choses à voir au mètre carré est impressionnante ! Mais voilà celle que vous attendiez tous, la splendide Cathédrale de Séville.
Voilà donc ce fameux minaret dont on parle tant. À l’emplacement de la cathédrale de Séville, il y avait, du temps des Wisigoths, une petite église qui fut détruite lorsque les Omeyyades ont pris le contrôle de la péninsule ibérique.
À défaut de le visiter, vous pouvez voir ici à quoi ressemble le patio des Orangers. La porte par laquelle vous pouvez admirer le patio est la Puerta del Perdón.
Changement de décor avec la belle église baroque du Divin Sauveur. C’est la plus grande église de Séville après la cathédrale bien sûr.
En plein cœur de la grandiose place d’Espagne, vous vous doutez bien qu’il y a quelque chose de spécial derrière ce lieu. Aucune ville du monde ne crée ce genre de place sans raison !
Vous êtes dans le jardin Prado de San Sebastian, littéralement, le Pré de Saint-Sébastien. Il est situé à l’emplacement de l’ancien ermitage de San Sebastian, construit au XIIIe siècle, et qui lui donna son nom.
Séville est bien connue en France depuis fort longtemps. Pas de vols low-cost pour venir découvrir les merveilles de l’Andalousie, mais la plume de Beaumarchais pour imaginer la vie romantique de ses habitants.
Ce beau bâtiment Art déco que vous avez devant vous est l’aquarium de Biarritz, anciennement appelé le musée de la mer. Sa belle façade blanche cache l’un des plus grands aquariums de France pour la découverte de la faune aquatique.
Toute cette partie autour de vous s’appelle le plateau de l’Atalaye. Atalaye signifie promontoire en basque.
Vous vous en doutez, vous voilà arrivés sur le vieux port des pêcheurs. Voyez ces jolies maisons typiques, blanche et rouge, on les appelle des crampottes.
Rien de tel que de petites avancées sur la mer pour prendre un bain d’horizon bleuté. Vous avez, de la pointe du Rocher du Basta, une superbe vue sur le port des pêcheurs et l‘église Sainte-Eugénie d’une part et sur la grande plage et le phare d’autre part.
Autre monument emblématique de Biarritz, voilà son célèbre casino Art Déco !! Essayez de vous remettre dans l’ambiance de l'époque. On est dans les années 20.
Lorsque Napoléon, troisième du nom, comprit que son épouse Eugénie avait jeté son dévolu sur cette petite cité balnéaire, il dut se rendre à l’évidence qu’il allait devoir faire quelque chose au niveau de leur hébergement.
Vous ne le savez peut-être pas, mais la ville de Biarritz est parsemée de quelques touches russes ici et là. L’église orthodoxe que vous avez devant vous est un beau témoin du passage de l’aristocratie russe, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle.
La jolie chapelle que vous apercevez est la chapelle impériale qui servait de lieu de culte à Napoléon III et à l’impératrice Eugénie. Très pieuse, elle se rend régulièrement à l’église et souhaite désormais se recueillir dans une chapelle privée.
Avis aux amateurs de saveurs basques, sachez qu’à 150m de là, dans l’avenue Victor Hugo qui s’ouvre sur votre gauche, se trouvent les Halles de Biarritz. On ne va pas se mentir, aucune visite d’aucune ville de France n’est complète sans une halte dans son antre gastronomique !
Vous voilà donc sur la place Bellevue. Avec un nom pareil, vous vous attendez à une vue plutôt pas mal et vous êtes servis ! Cette place, tel un belvédère sur l’océan, surplombe la grande plage.
Vous empruntez à présent la rue Mazagran, la rue la plus typique de Biarritz ! Si les locaux et les visiteurs l’apprécient autant, c’est pour son ambiance toujours animée et son charme aux accents basques.
Voilà la magnifique église gothique de Sainte-Eugénie, surplombant majestueusement l'océan. Avant sa construction, il y avait là la chapelle Notre-Dame-de-Pitié.
Désolée de vous avoir fait monter la rue de Dalbarade comme ça, c’est promis maintenant vous n’aurez que de la descente ! Mais il faut bien admettre que la vue qui s’ouvre devant vous en valait la peine.
Voilà donc cette fameuse Villa Belza dont le profil mystérieux perché à flanc de falaise est devenu l’emblème de la ville. Son nom Belza qui signifie noire en basque, sa proximité avec le trou du diable et son allure rocambolesque avec son donjon moyenâgeux et sa tourelle en poivrière, alimentent depuis toujours les légendes de la région.
Nous surplombons à présent la jolie crique de Port Vieux. Avec ses faux airs de méditerranée, cette plage est une piscine naturelle très appréciée des familles.
Vous voilà enfin face à cette image si emblématique de Biarritz !! Le rocher de la vierge est indissociable de l’image de la ville et son histoire est intimement liée à son passé maritime et impérial !
Nul doute que cet emblème du renouveau national, appelé aussi “la chapelle dorée", soit si facile à trouver. De style néo-renaissance, avec son fameux toit doré, le charmant édifice est la scène officielle de la République tchèque.
Séparant avec élégance la capitale tchèque, la Vltava est bien plus que la plus longue rivière du pays.
Trait d’union entre la Vieille ville et le quartier de Malá Strana, le pont Charles est unanimement la star de Prague. Sans prétention particulière bien sûr !
Avec ses faux airs de mur de Berlin, le mur de John Lennon, encore debout, lui, est un incontournable de Prague. Ni monument officiel, ni lieu de mémoire particulier, ses origines ne sont pour autant pas dénuées de sens.
Vous en êtes convaincus, cette tour avec arche a déjà eu son moment de gloire dans notre itinéraire de visite. Eh bien, laissez-nous vous dire que vous n’avez pas complètement tort.
L’église Saint-Nicolas, à ne pas confondre avec celle du même nom située dans la Vieille ville, est un incontournable chef-d'œuvre artistique que vous voyez en partie dépasser en hauteur.
À Prague, la folie des grandeurs est une caractéristique répandue. Et le bâti en est le meilleur exemple.
Silhouette rondouillette, costume trois pièces, chapeau melon, cigare à la bouche, et même doigts écartés en forme de V en signe de victoire, voilà approximativement le portrait que nous nous faisons tous de Winston Churchill.
Pour se rendre au château de Prague, installé sur les hauteurs du quartier de Malá Strana, ça ne vous a pas échappé, il faut marcher. Ou à plus juste titre, grimper.
À la simple évocation du mot château, vous imaginez une demeure féodale, défendue par des remparts, très souvent installée en hauteur pour mieux voir arriver l’ennemi. Eh bien ça, comment dire, c’était avant votre venue dans la capitale tchèque.
Symbole spirituel de l'État tchèque, la cathédrale Saint-Guy vous reçoit avec prestance. Connue à ce jour comme le plus grand monument religieux du pays, sa réalisation a fait l’objet d’un chantier faramineux interminable.
Avouez que des édifices religieux aussi colorés, ça ne court pas les rues. Il faut savoir que la basilique Saint-Georges, fondée en 920, est l’un des plus anciens lieux de culte pragois sauvegardés.
Visiter Prague en se rendant à la mythique ruelle d’or, c’est concrètement s’assurer un sans-faute touristique.
Une cathédrale, une basilique, quelques habitations, faites le compte, vous n’avez pas l’impression que la visite du château de Prague est incomplète. Je vous confirme, il manque quelque chose. Quelque chose de très important même.
Si par hasard, vous êtes confrontés à des visiteurs, le nez en l’air et appareil photo en main, un conseil, tenter de suivre leurs regards. Sans le savoir, ils vous indiquent l’une des attractions à connaître de notre itinéraire de visite.
Situé tout proche de l’indétrônable château de Prague, le Palais Schwarzenberg n’en est pas moins intéressant. Au premier coup d'œil, on distingue rapidement cette robuste et imposante silhouette.
Vous l’avez peut-être déjà remarqué ou non, mais la ville de Prague est une énorme concentration de palais, tous plus élégants les uns que les autres.
Haut lieu de pèlerinage en République tchèque, le sanctuaire de Notre-Dame-de-Lorette est ce bel édifice blanc de facture baroque.
Aux abords du palais Černin, l'effet de surprise est instantané. Depuis sa construction, entre la fin du XVIIe siècle et l’époque baroque, c'est à lui que revient le titre de la façade la plus monumentale de Prague.
Comme posé sur cette petite place, le monastère de Strahov occupe le même emplacement depuis 1140. Il a été fondé par les Prémontrés, un ordre catholique de chanoines formé il y a plus de 900 ans.
Lorsque l’on part en vacances, on cherche globalement tous la même chose. Moins de stress, moins de fatigue et plus de temps pour se ressourcer et faire des activités qui nous plaisent.
Après ces bonnes enjambées, vous voilà au pied de la tour Petřín. Non les amis, vous n'êtes pas en train d'halluciner.
Pas très élevée avec ces 327 mètres d’altitude, la colline Petřín parvient tout de même à dominer le paysage.
Plus qu’un simple moyen de locomotion pragois, le funiculaire de Petřín a le mérite de nous réserver une vraie page d’histoire.
Prenant place dans les anciens moulins hydrauliques Sova, le musée Kampa reflète une élégance et une sobriété contemporaines.
Vous ne le saviez peut-être pas, mais dans sa configuration, la capitale tchèque concentre une petite dizaine d’îles. Et c’est au cœur de son centre-ville que flotte la plus grande et la plus connue d’entre elles.
Se tenir sur cette place, c’est être en plein cœur du Malá Strana. Fondé en 1257, il est l’un des quartiers les plus anciens de Prague.
Historique, légendaire, romantique, Prague a cette faculté d’être mille et une choses à la fois pour transporter comme il se doit celles et ceux qui la découvrent.
Traversé en son cœur par la Loire, fleuve libre et royal, Blois est une ville qui sait facilement se mettre au vert, en proposant des espaces aménagés autour de ce riche écosystème naturel.
Bienvenue sur la place Louis XII, l'une des places les plus animées de Blois ! Vous voici au cœur du centre historique, dans une zone largement piétonne où se mêlent harmonieusement patrimoine et art de vivre français. Cette place, créée entre 1819 et 1823, fait le lien entre le château royal qui vous surplombe et les quartiers anciens de la ville basse.
Sur votre gauche, vous apercevez l’escalier Denis Papin, l’un des symboles de la ville. N’hésitez pas à vous en approcher si vous souhaitez le voir plus en détails. Impressionnant vu d’en bas, vertigineux quand on se trouve à son sommet, l’escalier Denis Papin est une attraction immanquable à Blois.
Vous voici devant l’un des symboles de Blois : le pont Jacques-Gabriel. Depuis près de trois siècles, il relie le centre-ville historique au quartier de Vienne, en enjambant majestueusement la Loire.
Ancré dans le cœur historique de la ville, le quartier Puits-Châtel a traversé les siècles et c’est en s’y rendant que l’on en prend pleinement conscience. Correspondant aujourd’hui à ce que l’on appelle la partie orientale de la ville, il représente un vif témoignage de l’époque médiévale, préservée par le biais d’opérations d’urbanisme au XIXe siècle.
Comme bien souvent, il est recommandé de se perdre dans les rues d’une ville pour tomber nez à nez avec ses belles découvertes. Une suggestion qui peut parfaitement s’appliquer à Blois, au vu de ce nouvel arrêt tout en style gothique.
Sur la place Saint-Louis, s’il y a bien une maison qui a su se démarquer des autres, c’est celle qui se trouve sur votre gauche. Vous êtes devant l’une des plus belles demeures de Blois : la Maison des Acrobates.
Vous êtes devant la cathédrale qui domine la ville et la Loire. À l’origine, se trouvait ici l’église Saint-Solenne, mais dans la nuit du 6 au 7 juin 1678, un ouragan la détruisit presque entièrement.
On le sait, avec ces drapeaux français, et la devise de la République inscrite sur la façade, plus moyen de vous cacher en face de quelle attraction vous vous trouvez en ce moment même. Situé juste derrière la cathédrale Saint-Louis, il s’agit bien de l’Hôtel de Ville de Blois. Mais cela n’a pas toujours été le cas.
Depuis le jardin de l’évêché, le regard plonge directement vers la Loire. Large, majestueux, ce fleuve royal a façonné l’histoire et l’identité de Blois. À vos pieds s’étendent les toits d’ardoise serrés de la vieille ville, témoins du temps où la cité s’organisait autour de son château et de son port fluvial.
Lieu très accueillant et prisé des Blésois et Blésoises, les jardins de l'Évêché rassemblent une petite collection d’espèces végétales, pour une sympathique parenthèse de tranquillité sur les hauteurs de la ville et de la Loire.
Bâtie par les premiers ducs d’Orléans et les comtes de Blois, au XVe siècle, la halle aux grains était autrefois divisée en deux espaces distincts, avec au rez-de-chaussée, la halle, à proprement parler, et à l’étage, le palais de justice.
Considérée comme l’un des plus anciens monuments de Blois, voire de France, la Tour de Beauvoir a fièrement résisté à toutes les attaques du temps, pour se tenir devant vous aujourd’hui. Elle a été construite entre le XIe et le XIIe siècle par les Seigneurs de Beauvoir, vassaux des comtes de Blois, dont le fief s’étendait de votre emplacement, jusqu’à la Loire.
Capitale du royaume sous Louis XII, du XVe au XVIe siècle, Blois voit pousser un peu partout des hôtels particuliers destinés à loger la Cour. Tel est le cas de l’hôtel d’Alluye, déployé face à vous.
Loin d’être aussi grande et adulée que son voisin, le château de Blois, l’église Saint-Vincent-de-Paul vaut pourtant le détour. Ses premières origines remontent en 1634, avec la volonté de construire une chapelle pour le collège Jésuite fondé quelques dizaines d’années plus tôt.
Sans conteste le monument par excellence de la ville, le château royal de Blois est l’exemple parfait de l’art et de l’histoire des joyaux du Val de Loire. Résidence favorite royale et seigneuriale de France à la Renaissance, ce sont au total 7 rois et 10 reines qui ont habité les lieux, avec autant de drames, manigances et jeux de pouvoir possibles et inimaginables.
Face au château royal de Blois, vous ne pouvez pas manquer cette grande bâtisse du XIXe siècle. Et si vous la trouvez déjà impressionnante au premier regard, attendez donc de voir ce qui s’y cache… Bienvenue à la Maison de la Magie Robert-Houdin, un lieu unique en Europe, entièrement consacré à l’art de l’illusion.
Bienvenue dans la rue Saint-Lubin, véritable joyau du centre historique de Blois et authentique voyage dans le temps entre le XVe et le XVIe siècle ! Cette rue porte le nom de saint Lubin, évêque de Chartres au VIe siècle, perpétuant la mémoire de l'ancienne église Saint-Lubin qui fut le principal lieu de culte des Blésois jusqu'à sa destruction par un incendie en 1114.
L’église Saint-Nicolas est le plus ancien édifice religieux de Blois et l'un des joyaux du Val de Loire ! Levez les yeux vers cette silhouette majestueuse qui domine les bords de Loire depuis près de neuf siècles. Vous admirez ici un témoignage exceptionnel de la transition entre l'art roman et gothique, construit entre 1138 et le début du XIIIe siècle.
Silhouette imposante des bords de Loire, l'Hôtel-Dieu de Blois est un ensemble monumental de première importance. Bien monastique de l'ordre des Bénédictins, depuis le Moyen-Âge, l'édifice va profondément se transformer au XIXe siècle, pour devenir un hôpital de grande envergure.
Pendant que vous avancez dans la rue Porte Côté, laissez-nous vous parler un peu des différentes gourmandises que vous pourrez trouver à Blois.La ville a su préserver et inventer des spécialités culinaires qui racontent autant son histoire que son terroir.
À Blois, la bande dessinée a trouvé sa maison. Installée dans une ancienne poste du XIXe siècle, la Maison de la BD est un lieu unique entièrement dédié au neuvième art. On y découvre des expositions temporaires, une grande bibliothèque spécialisée et même des ateliers pour apprendre à créer ses propres planches.
Place centrale de la ville de Toulon, la place de la Liberté a été construite en 1852 par deux frères, André-Joseph et Gaudensi Allar. Elle devient rapidement un lieu de balade très prisé des habitants : encore aujourd'hui, c’est sans aucun doute la place la plus fréquentée de la ville.
Ce magnifique édifice n’est autre que l’opéra de Toulon. Érigé en 1862, il pouvait accueillir près de 1800 spectateurs à cette époque, seulement 100 de moins que l’Opéra Garnier à Paris.
Typique des places provençales, accueillante et chaleureuse, la place Puget est un véritable lieu de vie de Toulon. Proposant de nombreuses terrasses de bars et de restaurants, elle est ornée d’une grande fontaine feuillue à son extrémité, appelée la fontaine des Trois Dauphins.
Voici le plus ancien édifice de la ville : la cathédrale Sainte-Marie-de-la-Seds. C’est au Ve siècle que le premier édifice est construit, mais la cathédrale que vous voyez-là a été débutée au XIe siècle, puis agrandie et modifiée au fil des siècles pour accueillir le nombre de fidèles toujours plus grandissant dans la cité.
Le cours Lafayette, situé à deux pas de la mer, est l’un des lieux les plus animés de la ville ! En plus d’offrir des boutiques en tout genre de chaque côté de la rue, il se pare des étals du marché, qui rassemble toutes les bonnes saveurs provençales !
Au niveau du 89 cours Lafayette, sur votre gauche, je vous invite à vous approcher de la maison et lever les yeux vers le deuxième étage… Véritable curiosité de la ville, ce boulet suscite nombre de questions !
Vous voici devant la monumentale porte d’Italie. Érigée à partir du XVIIIe siècle sur les plans du célèbre architecte Vauban, elle fait partie des derniers vestiges des fortifications qui entouraient la ville, Toulon étant, à ce moment-là, très proche de la frontière du royaume de Piémont-Sardaigne : il était donc impératif de pouvoir défendre la ville !
Avis aux grands amateurs de rugby ! Vous voici devant le mythique stade Mayol, véritable symbole de la ville. C’est en 1919 qu’il est construit, grâce à Félix Mayol, chanteur toulonnais passionné par ce sport qui a offert le terrain au Rugby club toulonnais, club historique qui fait partie de l’élite du rugby français.
Cette belle église qui se dresse sur la place Saint-Louis a été édifiée au cours du XVIIIe siècle, remplaçant une chapelle qui se trouvait-là depuis un siècle déjà.
Avant de partir à la découverte de la rade, il faut savoir que le port de Toulon est le premier port militaire de France, et l’une des principales bases navales françaises.
Voici une statue symbolique pour la ville de Toulon, la statue du Génie de la Navigation. Cette sculpture fait face au port, le doigt pointé vers la mer : elle représente l’esprit de conquête, l’exploration des grands marins.
Cette belle statue grandeur nature, appelée la sculpture de la “partie de cartes”, représente César et Panisse, deux célèbres personnages qui font partie de la trilogie de Marcel Pagnol, appelée aussi la Trilogie marseillaise, qui représente l’ensemble des trois pièces de théâtre imaginées par ce cinéaste et dramaturge du XXe siècle.
Cette rue est un véritable paradis pour les plus férus d’art d’entre vous ! Galeries, ateliers, boutiques… cette rue est un véritable lieu d’expression artistique !
Arborant une architecture néo-classique d’inspiration gréco-romaine, l’église Saint-Louis n’a pas toujours servi au culte durant son histoire.
Vous voici sur la place Vatel, et malgré les nombreux palmiers qui ornent cette petite place du centre historique, la grande sculpture de bateau qui décore l’un des murs de la place ne vous aura sûrement pas échappé.
Impossible de louper ce bâtiment qui, avec ses couleurs éclatantes, ne manque pas d’attirer les touristes qui viennent visiter la ville ! Situé au bord du boulevard Général Leclerc, cet édifice multicolore n’est autre que l’Hôtel des Arts, ancien siège de la sous-préfecture construit au début du XXe siècle.
Cet imposant bâtiment, édifié en U, est le musée d’Art de Toulon, véritable refuge des œuvres toulonnaises depuis sa construction en 1888.
Autrefois appelé le “Jardin du Roy”, ce petit parc d’un hectare attire chaque jour de nombreux Toulonnais qui viennent s’y détendre. Il était tenu, au XVIIIe siècle, par la Marine nationale, qui y créa à la fin de ce même siècle un jardin botanique grâce aux plantes ramenées par les équipages après leurs virées en mer.
Cœur du quartier commerçant de Toulon, la place de l’Équerre dévoile les belles architectures typiques de cette ville du Sud !
Toute visite d’une ville n’est complète que lorsque l’on a découvert sa gastronomie et les produits de son terroir. Vous avez ici, le covered market d’Oxford, son marché couvert permanent.
Voici une nouvelle tour emblématique d’Oxford, et vous devinez aisément qu’elle est bien plus ancienne que tout ce que vous avez vu jusque-là. Elle date en effet du XIe siècle et aurait été construite vers l’an 1050.
La charmante rue Saint-Michel vous amène droit sur l’église commémorative Wesley. Pas sûr que vous connaissiez les frères Wesley, mais ce sont eux qui ont créé l’Église méthodiste.
La ville d’Oxford a beau être principalement connue pour son incroyable université, elle a bien d’autres trésors d’histoire à vous révéler. Le plus important étant sans doute ce château roman qui raconte toute une page de l’histoire de la ville.
Vous longez un instant le Castle Mill Stream, traduisez, le canal du moulin du château. C’est un bras de la Tamise et plus exactement un backwater, un marigot en français. C’est une partie de la rivière dans laquelle il y a peu ou pas de courant.
Si vous avez la chance d’être à Oxford entre un mercredi et un samedi, la place Saint George doit alors être en effervescence. Désolée pour ceux qui sont venus un dimanche, lundi ou un mardi, il va falloir repasser plus tard si vous souhaitez connaître le Gloucester Green Market.
L’imposant monument néoclassique que vous avez en face de vous, avec ses 4 grandes colonnes soutenant le fronton, est le célèbre Ashmolean Museum. C’est le tout premier musée public de Grande-Bretagne !
Vous rejoignez à présent High Street, la rue passante la plus animée de la ville, bordée de beaux monuments. Vous avez la magnifique façade de Queen’s College, édifié en l’honneur de la reine Philippa de Hainaut, épouse du roi Henri III.
Cet élégant monument de pierre, qui pourrait aisément faire partie d’un édifice religieux, commémore les 3 martyrs d’Oxford : les évêques de Londres et de Worcester et l’archevêque de Canterbury. Le monument a été édifié 300 ans après les événements de la Réforme anglaise.
Levez les yeux ici en direction du clocher de l’Exeter College sur votre droite. On dirait qu’un homme, nu de surcroît, est posté sur le toit. C’est une sensation étrange et une statue pour le moins originale.
Vous avez ici, sur votre gauche, le Trinity College. Contrairement à de nombreux collèges d’Oxford, celui-là n’est pas entièrement caché et vous pouvez, de là où vous êtes, admirer ses jardins et l’architecture extérieure de ses bâtiments.
Sur votre droite, derrière ses bustes grimaçants ressemblant à des empereurs romains, se trouve le célèbre Sheldonian Theatre, l’un des monuments historiques les plus emblématiques d’Oxford. Sa construction date des années 1660.
Le bâtiment néoclassique qui se dresse à côté du théâtre est le Clarendon Building. Au départ, le théâtre avait deux fonctions. Il servait aux cérémonies des diplômes, mais il accueillait également l’imprimerie de la presse universitaire de l’université d’Oxford.
Oui, je sais ce que vous pensez, on se croirait tout d’un coup en Italie. À Venise, même plus précisément. Le pont que vous voyez devant vous, alors qu’il ressemble comme deux gouttes d’eau au Rialto, est surnommé le Pont des Soupirs.
Vous êtes à présent au cœur de la Bodleian Library. Un point fort de votre visite d’Oxford. On sent tout de suite la présence du lieu et la force de son passé. Il s’agit de l’une des plus anciennes librairies d’Europe et avec plus de 13 millions d’articles imprimés, c’est la deuxième plus importante bibliothèque d’Angleterre.
Autre emblème d’Oxford, voici la Radcliffe Camera. Ou la Rad Cam pour les intimes, du latin "camera" qui veut dire chambre.
Le centre historique d’Oxford est un tel condensé d’histoire que vous ne pouvez pas faire deux pas sans être face à un nouveau monument important. Ici, il s’agit de l’Église universitaire de Sainte-Marie-la-Vierge.
L’imposante façade que vous voyez appartient au collège de Brasenose, autrefois nommé Brazen Nose College. Il est l’un des 38 collèges qui constituent l’université d’Oxford. Il a été fondé en 1509 par un avocat et un évêque, et construit sur l’emplacement du Brasenose Hall, une salle universitaire médiévale d’Oxford.
Les rues pavées d’Oxford vous révèlent des trésors de patrimoine à tout bout de champ. Vous avez croisé précédemment le magnifique collège Oriel, fondé en 1324 par le roi Eduard II d’Angleterre, en faisant le premier collège de la ville avec une fondation royale.
La ruelle étroite que vous empruntez à présent se nomme Logic Lane. Elle s’appelait auparavant Horseman Lane car elle menait à un ancien moulin actionné par des chevaux. Mais cette Logic Lane longe avant tout le college University, connu pour être le plus ancien d’Oxford et pour avoir éduqué entre autres Bill Clinton et Stephen Hawking !
Before branching off into Rose Lane, I'd like to draw your attention to Magdalen College. First of all, although it's spelt Magdalen, it's actually Maudlyn. That's how the name was pronounced centuries ago when it was founded.
Vous longez à présent une partie du mur défensif du XIIIe siècle qui entourait à l’époque la cité médiévale. En montant sur votre gauche, vous verrez ce qu'on appelle un bastion. Il a été construit en saillie du mur pour que ceux qui se trouvaient à l'intérieur puissent tirer sur les attaquants venant de toutes directions.
Vous rejoignez à présent la rue Saint Aldate’s, anciennement Fish Street et renommée en l’honneur de l’évêque de Gloucester considéré comme un saint. Voyez la boutique avec la porte rouge au numéro 83. Elle porte le nom d’Alice’s Shop et est bien plus intéressante qu’une simple boutique de souvenirs.
Vous voilà finalement devant la star incontestée d’Oxford, son plus grand et plus célèbre collège, d’où sont sortis pas moins de 13 Premiers ministres anglais : le fameux Christchurch College. Si vous ne devez en visiter qu’un, c’est celui-ci.
Voici l’Hôtel de Ville d’Oxford. La belle façade de pierre que vous observez actuellement révèle le troisième bâtiment conçu pour accueillir la municipalité d’Oxford. Le tout premier, déjà installé à cet endroit, remonte à aussi loin que 1290.
Vous voilà à présent devant la tour Carfax, tout ce qui reste de l'église Saint-Martin qui était la principale paroisse de la ville depuis 1122. Sept siècles plus tard, la ville a évolué et a des besoins différents. En 1896, il faut de la place pour circuler. On décide alors de démolir la partie principale de l'église, mais de garder le clocher.
Voici la jolie place de Verdun. On entre ici dans un autre quartier de la ville, conçu avant celui de Mazarin. Il a en effet été aménagé à partir de 1583, dans le but d’étendre la ville, qui a connu un essor considérable lors des siècles précédents.
Avant de parler de l’église de la Madeleine, attardons-nous un moment sur la place sur laquelle elle se trouve, la place des Prêcheurs. Elle doit son nom à l’ancien couvent qui se trouvait non loin de là.
Cette petite place située non loin de l’Hôtel de Ville abrite deux fois par semaine le marché provençal d’Aix où fruits, légumes, fromages et autres produits typiques du terroir ornent les étals qui s’y déploient.
Vous arrivez ici sur la place de l’Hôtel de Ville, où se dresse déjà devant vous la tour de l’Horloge.
Sur votre gauche se trouve le forum des Cardeurs, l’une des places principales de la ville. N’hésitez pas à faire un petit détour pour aller la découvrir.
Sur votre gauche se situe un bâtiment qui renferme le musée du Vieil-Aix. Il est situé dans l’ancien hôtel particulier Estienne de Saint-Jean, construit au XVIIe siècle, certainement par Pierre Puget.
Regardons à droite maintenant : au bout de la place, on aperçoit un bâtiment classé aux Monuments Historiques, l’ancien palais des Archevêques. Approchez-vous pour l’observer.
Vous voici devant l’étonnante cathédrale Saint-Sauveur. Elle est construite à l’emplacement de l’ancien forum romain, place principale de l’ancienne cité, appelée Aquae Sextiae.
Jetez un œil sur votre droite. Vous voilà devant un monument funéraire réalisé par Joseph Sec, bourgeois aixois du XVIIIe siècle, qui était jacobin, pénitent gris, marchand de bois et maître menuisier.
Véritable témoignage du passé médiéval de la ville, cette tour est le seul vestige du rempart qui entourait Aix-en-Provence au Moyen Âge.
Sur votre droite se trouve une petite rue qui n’a rien d’exceptionnel au premier abord, mais qui est l’un des lieux où le célébrissime Emile Zola a habité au cours de sa vie.
Derrière vous se dresse l’imposant pavillon de Vendôme. On doit ce superbe édifice au duc de Vendôme, Louis de Mercoeur, gouverneur de Provence qui désire, en 1664, construire un bâtiment pour la femme dont il est éperdument amoureux, Lucrèce de Forbin Solliès.
S’il y a bien une chose qui caractérise la ville d’Aix-en-Provence, c’est l’eau ! La ville est en effet réputée pour ses eaux chaudes, et ce, depuis l’Antiquité.
Vous voici sur la jolie petite place des Tanneurs. En son centre, on y trouve une fontaine, bien sûr. Approchez-vous un peu pour l’observer.
Vous voici sur la place du Général de Gaulle, sur laquelle on voit la fontaine la plus célèbre d’Aix : la fontaine de la Rotonde.
Le cours Mirabeau est l’un des lieux les plus fréquentés d’Aix-en-Provence. Il a été construit au XVIIe siècle, à la place des remparts. On aménage alors une esplanade destinée à être un lieu de promenade pour la noblesse aixoise.
Vous êtes devant l’Hôtel de Caumont, l’un des plus beaux hôtels particuliers de la ville. Il a été construit entre 1715 et 1742 par George Vallon, à la demande de François de Rolland, président de la Cour des comptes.
Voici la place des Quatre Dauphins, où se trouve une fontaine du même nom, réalisée par Jean-Claude Rambot et Pierre Pavillon au XVIIe siècle.
Le quartier Mazarin est apparu au cours du XVIIe siècle. Il est né de la volonté de Michel Mazarin, archevêque de la ville, et frère du premier ministre de Louis XIV, d’étendre la ville vers le sud pour l’agrandir.
L’église Saint-Jean-de-Malte existait déjà avant la formation du quartier Mazarin. C’est en effet la toute première église gothique de Provence.
La place Forbin marque l’extrémité du cours Mirabeau. Elle a été aménagée en même temps que celui-ci pour devenir l’une des places centrales de la ville.
Cette fontaine bien particulière est appelée la Fontaine d’Eau Chaude, ou plus communément la Fontaine Moussue. Vous voyez pourquoi ?
Vous voici sur la place d’Albertas. C’est encore une fontaine que nous voyons ici, et celle-ci mérite bien qu’on s’y attarde un peu plus que les autres.
C’est encore un hôtel particulier que vous avez devant vous, l’hôtel Boyer d’Eguilles.
Sur votre gauche, d’une couleur rose clair éclatante, se dresse le palais primatial de Bratislava.
Voici la place principale de la ville, centre animé au cœur du quartier historique bratislavien !
Bratislava est une ville pleine de surprises, affichant de grands et beaux monuments, des édifices surprenants issus de l’Art Nouveau
Cette tour de 51 mètres est la seule porte conservée des quatre tours qui ornaient les remparts de la ville. C’est la porte Nord, et elle date du XIVe siècle.
La rue Obchodna est certainement la rue la plus commerçante de Bratislava.
C’est au comte Anton Grassalkovich que l’on doit la construction de ce somptueux palais qui date de 1760.
La Slovaquie, petit pays de l’Est coincé entre l’Autriche, la Hongrie et la République Tchèque, a une histoire bien chargée.
C’est à partir de 1646 que ce palais voit le jour, construit dans l’objectif de devenir la résidence du comte Paul IV Palffy, président de la Chambre royale hongroise.
Cette statue plutôt surprenante située à quelques mètres seulement du château de Bratislava est un véritable hommage à de nombreuses femmes slovaques brûlées ou jetées dans le Danube, car elles étaient considérées comme des sorcières.
Vous voici devant le monument phare de Bratislava. Le château est situé sur une colline qui est habitée depuis des millénaires déjà et qui était occupée par les Celtes au IIe siècle av. J.-C., qui y avait construit un oppidum, une petite cité fortifiée.
Situé en haut de la colline, le château de Bratislava permet de remonter le temps et de comprendre une grande partie de l’histoire, mais aussi de profiter de magnifiques panoramas sur celle que l’on surnomme la Belle sur le Danube.
Voici la plus grande et la plus importante église de Bratislava. C’est en effet le siège de l’archevêque de la ville.
Cette place, que je ne vous ferai pas l’honneur de prononcer, est l’une des places les plus importantes de la ville. C’est certainement l’une, si ce n’est la plus célèbre des places.
Le majestueux bâtiment qui se trouve devant vous est le théâtre national slovaque, structure qui renferme une salle de spectacle où représentations théâtrales, ballets et opéras ont lieu entre les mois de septembre et de juin.
Bratislava est connu pour ses nombreuses statues réparties partout dans la ville, qui parfois font sourire ou surprennent.
Réputées à l’international, les représentations données à l’opéra de Bratislava sont reconnues pour être de grande qualité et à des prix très compétitifs.
Je profite de ce petit instant dans la rue Medena pour vous parler des spécialités culinaires de la Slovaquie, ce petit pays de l’Est qui vous allez le voir ne manque pas de saveurs gourmandes !
Vous voici sur l’une des plus belles places de la capitale, la place Safarikovo.
Voici un bel exemple d’architecture Art nouveau qui s’est répandu au début du XXe siècle à Bratislava et dans toute l’Europe.
Continuellement en suspension au-dessus de l’eau, La Plongeuse est probablement la statue la plus connue de Mont-de-Marsan. Et dans cette discipline artistique, croyez-nous, la ville en connaît un rayon !
Concerts classiques ou spectacles dramatiques, le Théâtre municipal Le Molière est la scène de Mont-de-Marsan en toute circonstance.
Sans égal dans son domaine, l’église de la Madeleine est le plus grand édifice religieux que l’on peut croiser dans la cité landaise. Lorsque Mont-de-Marsan est fondée autour du XIIe siècle, Sainte Marie-Madeleine, importante figure du christianisme, est choisie comme patronne de la ville.
En bordure de rivière, l’ancien temps est omniprésent. Mais si nous faisons le choix de nous éloigner un petit peu, les visages plus récents de Mont-de-Marsan pointent le bout de leur nez. Prenez par exemple la rue Victor Hugo, que vous traversez depuis quelques secondes déjà.
Fleurons de l’époque médiévale, ajoutés au donjon Lacataye et aux remparts, les maisons romanes de Mont-de-Marsan sont de vraies pépites patrimoniales conservées. À la vue de celle dressée devant vous, on est bien d’accord qu’il est difficile de prétendre le contraire, non ?
Installé dans un cadre architectural remarquable, le musée Despiau-Wlérick fait figure d’exception en France, car il s’agit de la seule adresse culturelle consacrée à la sculpture figurative. On parle entre autres de ce style artistique qui s’exprime par la représentation de modèles visibles, et ce, dans leurs moindres détails.
Même si Mont-de-Marsan compte plusieurs merveilles patrimoniales à son actif, vous devez savoir qu’il y en a une qui fait plus de bruit que toutes les autres réunies. Image forte de la ville, le donjon Lacataye est en réalité une maison forte, née de la fusion de deux maisons romanes.
Grâce aux remparts face à vous, revenir sur les traces de celle qu’a pu être Mont-de-Marsan autrefois s’apparente à un vrai jeu d’enfant. Lors de sa fondation en 1133, par le vicomte Pierre de Marsan, la ville occupe le statut de siège de la seigneurie. De ce fait, sa vocation défensive majeure en découle.
En traversant ce petit coin de verdure, où prône la tranquillité, on en oublierait presque la portée historique qui se cache derrière la promenade du 21 août 1944. Ouvrons ensemble quelques pages d’histoire.
À Mont-de-Marsan, on met les petits plats dans les grands, on a le sens de la fête, on se la coule douce au bord des trois rivières et on s’octroie des visites culturelles sans même franchir les portes d’un musée. Preuve à l’appui avec ce qui se tient à vos côtés.
Les eaux de la Midouze, les pierres du donjon Lacataye, les sculptures du musée Despiau-Wlérick, le sable battu des arènes du Plumaçon, prenez tous ces ingrédients, mélangez-les et vous obtiendrez à quelque chose près ce qui compose l’identité de Mont-de-Marsan.
Forteresse médiévale, territoire anglais, plateforme majeure du trafic fluvial, l’histoire de Mont-de-Marsan évolue et avec elle, le statut de la ville se renouvelle continuellement.
Débarquer sur une place, c'est instantanément saisir la vie et la ferveur d’une ville ou d’un village. Que l’on y passe rapidement, ou que l’on prenne le temps de s’y arrêter quelques minutes, la place Saint-Roch renvoie un esprit populaire et familial.
L’ouïe, le goût, l’odorat et le toucher, ne cherchez plus, l’éveil des sens à Mont-de-Marsan s’opère ici, sous cette spacieuse structure boisée. À condition, bien sûr, d’être au rendez-vous les mardis et encore plus les samedis, jours tant attendus du traditionnel marché de la ville.
S’il y a bien un événement à ne surtout pas manquer à Mont-de-Marsan, c’est par-dessus tout les fêtes de la Madeleine, dont la fervente agitation transforme les rues de la destination à l’image de la rue Léon Gambetta dans laquelle vous êtes.
C’est au bout de la rue du Général Lasserre, qui normalement doit se présenter quelques mètres devant vous, que vous trouverez l’un des plus importants édifices de Mont-de-Marsan. Les seules et uniques arènes du Plumaçon.
Si la carte postale se veut paisible et naturelle au confluent des Trois rivières de la capitale des Landes, une touche d’élégance et de charme historique se mêle à son décor, dès lors que notre regard croise cette majestueuse villa d’époque.
Alors que chaque monument ou site a son histoire et sa fonction à Mont-de-Marsan, il y en a encore un pour qui cela reste une zone d’interrogation. Et c’est notamment l’édifice qui se trouve en ce moment même face à vous.
Que dire à part que Mont-de-Marsan est une ville bien arrosée. Mais avant que tous nos amateurs de vins rappliquent à l’écoute de cette première phrase, laissez-nous vous préciser qu’ici, il est simplement question d’eau et rien d'autre.
Érigée le long de trois rivières, Mont-de-Marsan compte encore aujourd’hui sept lavoirs publics, dont six en ville. Le plus visible et le plus connu d’entre eux reste celui qui se tient justement à côté de vous.
Ça ne vous aura pas échappé, marquer l’arrêt à cet endroit vous donne une vue privilégiée sur le confluent du Midou et de la Douze, qui ensemble forme la 3e rivière emblématique de Mont-de-Marsan : la Midouze.
Celui qui dit qu’il faut parfois se perdre pour trouver l’introuvable n’a pas totalement tort. Cachée au milieu d’habitations et tout juste signalée sur le plan de la ville, la rue des Arceaux est une attraction insoupçonnée sur notre chemin.
Face au Bassin d’Arcachon, la Place Thiers s’impose comme un point de passage incontournable. Lieu d’arrivée, de rendez-vous ou de simple flânerie, elle marque la frontière entre la ville et l’océan, entre l’agitation des terrasses et le calme des horizons marins. Tout ici
Vous voici sur la magnifique promenade du front de mer d'Arcachon ! Vous marchez actuellement sur l'une des plus belles avenues maritimes de France, qui s'étend sur plusieurs kilomètres le long du célèbre Bassin d'Arcachon. Cette promenade, aménagée au début
Vous voici devant l'ancien Grand Hôtel d'Arcachon, aujourd'hui Résidence Carnot. Cette majestueuse façade haussmannienne cache une histoire extraordinaire. Construit par les frères Pereire et inauguré le 12 juin 1866, ce palace était révolutionnaire pour l'époque : 150
Vous êtes dans la ville aux quatre saisons ! Avez-vous remarqué que les quartiers d’Arcachon s’appellent Ville d’Été, Ville d’Hiver, Ville de Printemps et Ville d’Automne ? Cette particularité unique en France trouve son origine dans une histoire fascinante. Tout
Vous voici à un carrefour stratégique d'Arcachon ! Sachez que si vous prenez à droite, et que vous parcourez quelques centaines de mètres le long du cours Lamarque de Plaisance, vous tomberez sur un bel édifice : la Basilique Notre-Dame d'Arcachon. Cette
Cette Place du 8 mai 1945, inaugurée en 1980, commémore la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette date résonne particulièrement à Arcachon, occupée par les Allemands de 1940 à 1944. La création de cette place dans les années d'après-guerre s'inscrivait dans un vaste
Cette villa que vous admirez se dresse dans le quartier de la Ville d'Hiver, l'un des ensembles architecturaux les plus remarquables du XIXe siècle. La Villa Alexandre Dumas compte parmi les plus belles demeures de ce quartier d'exception. Construite en 1895 par
Cette charmante villa que vous découvrez incarne parfaitement l'éclectisme architectural de la Ville d'Hiver. La Villa Brémontier, construite en 1863 par Paul Régnauld pour la Compagnie des Chemins de Fer du Midi, s'inspire du style "chalet suisse", alors très en
Vous vous trouvez actuellement dans l'allée Faust, l'une des promenades les plus remarquables de la Ville d'Hiver d'Arcachon. Cette allée porte le nom du héros de l'opéra de Charles Gounod, créé en 1859 et devenu l'un des chefs-d'œuvre du répertoire lyrique français.
Bienvenue dans le Parc Mauresque, l'un des lieux les plus emblématiques d'Arcachon. Ce parc tire son nom du fastueux Casino Mauresque qui s'élevait ici même de 1863 à 1977. Imaginez ce joyau architectural d'inspiration arabo-andalouse, véritable merveille de
Vous voici sur la place Turenne, l'une des places les plus charmantes de la Ville d'Hiver. Elle porte le nom du célèbre maréchal Henri de La Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne, l'un des plus grands stratèges militaires de Louis XIV au XVIIe siècle. Autour de vous se
Difficile de l’imaginer aujourd’hui, mais jusqu’au XIXe siècle, Arcachon n’était qu’un hameau isolé, cerné de dunes et de pins, peuplé de pêcheurs et de résiniers. Pas de front de mer animé, pas de villas colorées… juste un petit port de pêche à l’ombre de la grande forêt des
La Place Lucien de Gracia est le cœur administratif et historique d'Arcachon. Vous vous trouvez devant l'un des plus beaux témoignages de l'architecture du Second Empire en Gironde. Cet élégant Hôtel de Ville fut conçu en 1858 par l'architecte Julien Dmokowski, à peine
Cette place emblématique, qui fait face à l'Hôtel de Ville, tire son nom des épouses des marquis de Civrac qui possédaient autrefois des terres dans la région. Elle constitue depuis plus d'un siècle le centre névralgique des échanges commerciaux de la station balnéaire.
Vous voilà sur la Place Roger Expert, au cœur d'Arcachon, entre les halles du marché et la plage. Cette place rend hommage à l'un des plus grands architectes français du vingtième siècle, Roger-Henri Expert, né ici même à Arcachon en 1882. Enfant du pays, Roger-Henri
Pendant que vous marchez le long du boulevard de la Plage, laissez moi vous parler de l’un des trésors naturels de la région : la Dune du Pilat, la plus haute dune de sable d'Europe ! Cette montagne de sable de 101 mètres de haut - soit l'équivalent d'un immeuble de 30
Vous vous trouvez devant le majestueux Château Deganne, qui abrite aujourd'hui le casino d'Arcachon. Cette remarquable construction de style néo-Renaissance fut édifiée en 1853 par Adalbert Deganne, futur maire de la ville et figure emblématique du développement
Vous voilà sur la plage Thiers, au cœur d'Arcachon, qui s'étend sur huit cents mètres de sable fin entre deux jetées emblématiques. Cette plage du centre-ville offre un cadre privilégié, avec ses aménagements adaptés et sa surveillance en saison. La jetée qui se dresse
C’est dans un ancien collège que cette bibliothèque emblématique a été installée. Emblématique, parce qu’elle est considérée comme la première bibliothèque publique d’Amérique.
Vous êtes arrivés devant l’immense et magnifique cathédrale de Puebla. Je vous l’annonce tout de suite, elle est classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Au Mexique, le Zócalo désigne la place principale d’une ville. Pour Puebla, c’est celle-ci la plus importante, et ce, depuis la fondation de la ville au XVIe siècle.
Ce magnifique bâtiment est le Théâtre municipal de Puebla. Il a été construit entre 1862 et 1868 grâce à l’homme d’affaires Ignacio Guerrero y Manzano, pour permettre aux habitants d’aller voir des pièces de théâtre et des opéras dans un lieu bien spécifique, qui reflète en plus la grandeur et la richesse de la ville.
Sur votre droite, le joli bâtiment qui fait l’angle du Zocalo est un musée universitaire appelé Casa de los Muñecos, qui signifie Maison des poupées en français. C’est l’un des plus beaux exemples d’architecture baroque de la ville, édifiée au XVIIIe siècle.
La façade ocre qui longe la rue dans laquelle vous êtes appartient à l’église San Pedro Apostol, l’un des nombreux édifices religieux de la ville.
Vous arrivez devant le temple San Cristobal. Au début, à sa construction en 1604, ce n’était qu’une simple chapelle qui était rattachée à l’hôpital qui se trouvait juste à côté.
Voici un musée qui retrace l’un des événements majeurs de l’histoire mexicaine : la Révolution. C’est entre 1910 et 1920 que se sont déroulés ces nombreux soulèvements et conflits militaires destinés à renverser la dictature de Porfirio Diaz, qui gouverne le pays depuis 1876.
Vous le savez peut-être déjà, mais Puebla est la reine de la gastronomie mexicaine, notamment de sucreries en tout genre très appréciées des habitants – et des visiteurs, par la même occasion.
Après les Franciscains, ce sont les Dominicains qui arrivent dans la ville et qui décident de construire leur église ici à partir de 1571. Elle sera achevée en 1611.
Vous êtes ici dans l’avenue 5 de Mayo, une rue dont le nom rend hommage à l’un des événements historiques de Puebla.
Difficile de louper ce magnifique bâtiment tant sa couleur ocre est éclatante dans les rues de Puebla ! C’est le temple San Juan de Dios, qui se trouvait autrefois à côté d’un ancien hôpital.
Cette façade faite de briques rouges appartient à l’église San José, dédiée à saint Joseph, dont le culte a été choisi pour lutter contre la foudre, qui a causé de nombreux dégâts dans la ville.
Vous voici arrivés au cœur du quartier Xanenetla, réputé dans toute la ville pour ses magnifiques peintures murales. Très différent des autres, ce quartier était autrefois un lieu où les indigènes vendaient des briques et des poteries aux colons.
Puebla, c’est une jolie ville colorée à l’histoire chargée, mais c’est aussi une destination de choix pour tous ceux qui souhaitent découvrir la gastronomie mexicaine.
Cette fontaine est un incontournable de Puebla ! Non pas pour sa beauté, bien qu’elle soit assez originale, mais parce qu’elle inspire l’une des légendes les plus célèbres de Puebla.
Le quartier de l’Alto est un ancien quartier indigène, où les Mixtèques vivaient avant l’arrivée massive des Espagnols. C’est ici que la ville a été fondée en 1531.
Si le quartier de l’Alto est aussi populaire aujourd’hui, c’est en partie grâce à ces fresques murales réparties un peu partout dans ses rues.
Derrière vous se dessine la magnifique façade de la paroisse Sainte-Croix, encore une église qui mérite le détour ! C’est l’évêque Manuel Fernandez de Santa Cruz qui ordonne sa construction et qui pose la première pierre de cet édifice en 1693.
C’est un bâtiment qu’on ne peut pas louper à Puebla ! Ce n’est rien d’autre que le marché couvert du quartier de l’Alto, installé ici depuis 1930.
Vous voici devant le premier couvent construit dans la ville de Puebla, le couvent de San Francisco. C’est en 1535 que débute la construction de ce bâtiment, alors que la ville vient tout juste d’être fondée.
Cette chapelle a une histoire qui se rattache à son nom. Lorsque la ville de Puebla est fondée, on construit un pont juste en face du couvent de San Francisco.
Sur votre droite se dresse la Casa del Alfeñique : n’hésitez pas à avancer un peu et entrer dans la rue de droite, vous en aurez un meilleur aperçu.
Vous voici dans une rue très fréquentée de Puebla. Animée par son marché quotidien, qu’on appelle ici El Parian, cette ruelle est le meilleur endroit pour dénicher tous les objets traditionnels de la région.
El callejón de los Sapos, ou en français “allée des Crapauds”, porte bien son nom, car il paraît que pendant l’époque coloniale, elle était fréquemment envahie par les crapauds, du fait des nombreuses crues de la rivière qui coulait juste à côté.
Le bâtiment qui se trouve sur votre droite est l’un des musées les plus connus de Puebla. Il est nommé en référence à Amparo Rugarcia, l’épouse de l’homme d’affaires et philanthrope mexicain Manuel Espinosa Yglesias, qui souhaitait lui rendre hommage après sa mort.
Vous marchez ici sur les traces de la période romaine, pendant laquelle un premier pont a été construit pour relier les deux rives du Guadalquivir.
Vous passez ici sous la porte la plus célèbre de Cordoue, qui marque l’entrée dans la cité andalouse, qui a joué un rôle prépondérant dans la défense de la ville face aux invasions des ennemis.
Vous voici devant l’Alcazar de Cordoue, situé en plein centre-ville.
Appartenant autrefois à l’alcazar, au moment où les dynasties musulmanes gouvernaient la ville, ces bains ont été construits au Xe siècle dans le même style que les anciens thermes romains, comme pour la plupart des bains arabes construits à cette époque-là.
Véritable monument de la ville, et de l’Andalousie en général, cette mosquée a une longue histoire derrière elle.
La calleja de las Flores, en français, la rue des fleurs, est l’un des passages les plus touristiques de la ville andalouse.
Sur votre droite se trouve la chapelle de San Bartolomé, un bel exemple de l’architecture mudéjare construite entre les XIVe et XVe siècles.
Cette petite place pleine de charme fait partie intégrante du quartier juif de Cordoue, qui lui-même fait partie du centre historique de la ville, classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Cœur du quartier juif de Cordoue, la synagogue est l’une des seules encore conservées en Espagne dont la construction date d’avant l’arrivée des Rois Catholiques.
Face à la synagogue, la casa de Sefarad est un musée ouvert en 2006 qui retrace la vie quotidienne, les coutumes et la culture des communautés juives sépharades, c’est-à-dire issues de la péninsule Ibérique, qui vivaient à Cordoue et dans sa région.
Cette porte qui marque l’entrée dans le quartier juif date du XIVe siècle, mais déjà avant cette date, une porte trônait là au temps où les musulmans régnaient sur la ville, et même au temps des Romains.
Pins et platanes façonnent ces jardins qui longent le centre historique de Cordoue et mènent tout droit aux jardins de l’Agriculture.
Sur votre droite se dresse le palais de la Merced, édifié au XVIIIe siècle.
Les jardins de la Merced ont été aménagés en 1905 à l’emplacement des anciennes arènes de la ville. Ils ont d’ailleurs été conçus sous une forme circulaire qui rappelle celle des arènes.
Cette place entourée de façades blanches porte le nom de Capuchinos depuis le début du XVIIe siècle.
Devant vous se trouve le palais de Viana, l’une des visites touristiques à ne pas manquer à Cordoue.
Place emblématique de la ville espagnole, cet espace situé au cœur de Cordoue dévoile une forme quadrangulaire unique en Andalousie, qui rappelle celle des places de Castille.
Ces vestiges impressionnants sont ceux d’un temple qui date du Ier siècle apr. J.-C., construit en deux temps entre l’an 41 et l’an 96 sous le règne de l’empereur Claude puis de l’empereur Domitien.
Cette jolie place située au cœur de la ville a commencé, ces dernières années, à voler la vedette à la place de la Corredera, place principale de la ville.
Nous sommes dans le quartier San Francisco-Ribera, au centre de la place du Potro, l’une des plus célèbres de Cordoue.
Vous avez ici une jolie vue sur le pont romain de Cordoue, véritable trésor du patrimoine historique de la ville !
À deux pas du fleuve Guadalquivir, qui traverse l’Andalousie, le parc de Miraflores a été inauguré en 2003 et conçu pour permettre aux cordouans de profiter de belles balades à deux pas du centre-ville
Vous voici devant l’un des plus grands vestiges médiévaux de Cordoue. Cette tour classée aux Monuments historiques a été édifiée au XIIe siècle pour protéger le pont romain.
Vous arrivez à présent devant la belle façade de la basilique de Santa Maria. Il s’agit de la plus ancienne église d’Alicante !
Cet impressionnant édifice, si symbolique de l’explanada España, est connu sous le nom de Casa Carbonell. C’est un hôtel particulier construit dans les années 20, par Juan Vidal Ramos, à qui l’on doit une grande partie du patrimoine architectural de la région d’Alicante.
Cette nouvelle passerelle surélevée, vous permet de profiter d’une balade agréable en bord de mer tout en admirant la vue à 360°C. Vous voyez derrière vous, la marina d’Alicante et ses beaux bateaux accostés.
Alors, vous avez ici l’entrée pour l’ascenseur qui vous amène sur le site du château, au sommet du mont Benacantil. Après réflexion, nous avons décidé de vous proposer d’y accéder par l’ascenseur, et ce, bien que ce soit un service payant, ce que nous ne faisons jamais.
Voilà, nous sommes arrivés au sommet du mont Benacantil. S’il y en a parmi vous qui sont montés à pied, félicitations ! Vous avez fait un itinéraire de plus de 3 kilomètres et avez atteint 169 mètres de haut.
Emprunter le parc de la Ereta pour redescendre dans la vieille ville vous permet d’avoir de belles vues d’ensemble sur la baie scintillante d’Alicante. Les balcons et les points de vue sont nombreux sur le chemin, alors prenez votre temps et de belles photos évidemment !
Au pied du château de Santa Barbara, sur les flancs du mont Benancatil, se trouve le pittoresque quartier de Santa Cruz, que l’on surnomme la Cuna de Alicante, c’est à dire, le berceau de la ville.
Vous voilà devant une véritable institution à Alicante, son marché central. La visite d’une ville n’est pas complète, sans avoir pénétré dans son antre gastronomique, ces halles.
Vous avez à présent sur votre gauche, le théâtre d’Alicante. Comme son nom l’indique, il s’agit du théâtre principal de la ville. Sa construction remonte à 1845, à une époque où Alicante prospère de son commerce qui va jusqu’en Amérique.
Juste un mot sur la porte d’entrée que vous voyez sur votre droite. Elle mène au palais du Portalet et vous permet de découvrir gratuitement les lieux.
Voilà une petite place, pleine de charme comme on les aime. Est-ce que c’est pour son kiosque du XIXe siècle, pour ses petites tables qui invitent à s’y installer et à prendre son temps, ou pour ses immenses ficus centenaires qui nous offrent une ombre bien méritée.
Vous voilà dans la rue San Francisco, plus connue sous son surnom de Calle de las Setas, rue donc des champignons. À peine un pas dans cette rue, que vous voilà propulsé au beau milieu d’un conte pour enfants où se côtoient insectes géants, et champignons de 4 mètres de haut, sur un sol aux pavés colorés.
Vous arrivez à présent sur la très jolie petite place de Gabriel Miro, nommée en l’honneur de l’écrivain natif de la ville. Vous entendrez peut-être des locaux l’appeler la plaza de Correos, pour l’ancien bâtiment des postes et télégraphes que vous avez sur votre gauche.
Au bout de l’esplanade, vous voyez une place qui marque l’entrée d’un parc. La place, le monument et le parc sont nommés en l’honneur de José Canalejas.
Rio à son esplanade de Copacabana, Nice, sa promenade des Anglais, et bien Alicante a son Explanada d’Espagne. Une allée bordée de palmiers, longeant la mer, et dont le sol en mosaïque, fait de plus de 6 millions de tesselles de marbre tricolore, dessine les vagues emblématiques de la ville.
Vous voilà en plein centre-ville d’Alicante, sur la plaza del ayuntamiento, la place de l’hôtel de ville pour ceux qui ne parlent pas espagnol. La mairie est installée dans un beau palais baroque du XVIIIe siècle, construit entre 1699 et 1780.
Vous voilà face à la Cathédrale San Nicola de Bari, l’une des églises les plus importantes d’Alicante, nommée en l’honneur de saint Nicolas, le saint Patron de la ville.
Sydney est sans aucun doute la ville la plus connue d’Australie, bien plus que sa capitale Canberra.
Monument emblématique de Sydney, connu dans le monde entier pour son architecture unique, l’opéra est un véritable chef-d'œuvre que l’on doit à l’architecte danois Jorn Utzon.
Vous avez ici un très beau point de vue sur le Harbour Bridge, deuxième monument incontournable de Sydney après l’opéra.
Vous voici dans l’un des quartiers les plus touristiques de Sydney, un lieu vibrant et animé en toutes circonstances !
Sur votre droite se dresse le musée d’Art Contemporain de Sydney, principal musée d’Australie dédié à l’art contemporain australien et international.
The Rocks est le quartier le plus ancien de Sydney : c’est ici qu’au XIXe siècle, les premiers colons se sont établis, à deux pas de la baie de Sydney.
Vous l’avez compris, c’est le moment de sortir vos appareils photo pour rapporter un souvenir indispensable de l’un des monuments les plus connus au monde : l’opéra de Sydney.
Face à vous se dresse l’observatoire de Sydney, l’un des sites les plus importants de l’histoire scientifique d’Australie.
Du haut de la colline de l’observatoire, vous avez une vue ici sur l’une des tours emblématiques de la skyline de Sydney et l’un des tout nouveaux quartiers de la ville : le quartier Barangaroo.
Le centre-ville de Sydney, appelé la City ou Central Business District, est le centre d’affaires de cette métropole australienne.
Le long de l’Angel Place, levez la tête et tendez l’oreille pour apprécier cette œuvre d’art signée Michael Thomas Hill.
Vous voici devant l’un des bâtiments phares du centre économique de Sydney, le General Post Office.
Cette superbe galerie marchande située au cœur du centre d'affaires de Sydney ravira les plus férus de shopping d’entre vous !
Retournez-vous et levez les yeux : vous avez ici un très bel aperçu de la Sydney Tower, la plus haute tour de Sydney et la deuxième plus haute d’Australie.
Vous êtes ici dans le plus vieux parc public d’Australie qui fait référence au célèbre Hyde Park de Londres. Il est construit à partir de 1827 sur le modèle des parcs anglais et c’est aujourd’hui le plus grand parc de Sydney.
C’est en 1821 que débute la construction de cette grande cathédrale qui dévoile un style néo-gothique choisi par le gouverneur Lachlan Macquarie.
Voici l’un des principaux musées de Sydney et d’Australie. C’est un ensemble de collections d’art australien, européen et asiatique qui composent ce musée, plus grande galerie d’art publique de Sydney.
Conçu en 1816, ce magnifique Jardin botanique fait partie des incontournables à Sydney.
Alors ici, il n’y a rien de spécial à regarder, mais pour la petite histoire, la rue que vous avez à votre droite, la rue Maletache a été le point déclencheur du grand incendie de 1463 qui dévora les 3/4 de la ville.
On s’habitue tellement à ce que toute la ville soit rose que ça surprend vraiment quand on voit une façade blanche ! L’hôtel de Bagis, appelé aussi de Clary ou Daguin, est en effet le seul monument tout en pierre de la ville.
Tout le monde aime la place Saint-Georges ! Toujours en effervescence avec ses terrasses bien remplies en été. Mais on ne dirait pas comme ça, elle a longtemps été la terrible place de l’échafaud et de ses exécutions publiques.
Vous arrivez devant la Cathédrale Saint-Étienne, monument emblématique de Toulouse ! Emblématique oui, mais aussi Atypique !!
Attardons-nous un instant sur la jolie place de la Trinité avec au centre sa belle fontaine. Construite à l’emplacement de l’ancien couvent des Trinitaires aujourd’hui disparu, la place est bordée de terrasses de café et est l’une des plus agréables de la ville.
Pour votre information, si vous voulez une vue surplombant Toulouse, sachez que vous pouvez monter au dernier étage des Galeries Lafayette !
Ce lieu est peut-être le plus animé de Toulouse pour son métro, ses boutiques, cinémas, restaurants et rues commerçantes qui l’entourent. C’est la place du président Wilson.
À l’arrière du Capitole, vous tombez nez à nez avec une tour semblé sortie de nulle part, et jurant un peu avec le reste de l’architecture de la place. Surplombée d’un beffroi de style flamand, elle fut construite en 1525, pour abriter la poudre à canon et les archives municipales.
Vous êtes sur la plus grande place de Toulouse qui est aussi l’une des plus grandes places événementielles de France ! On la dégagea des constructions qui l’occupaient lorsque l’on édifia la façade actuelle du capitole au milieu du XVIII.
Arrivés sur la place Saint-Pierre, vous voilà au cœur festif de la vie étudiante toulousaine! Sachez que la ville compte plus de 130000 étudiants! Nombreux sont les bars et les cafés ouverts tard le soir dont les terrasses bien remplies débordent de convivialité.
Aux siècles passés, si vous veniez de ce côté de la Garonne, vous étiez du mauvais côté de l’Histoire. Ce quartier accueillait en effet les malades, les exilés, les pestiférés. Comme toujours, le temps a fait son œuvre et vous êtes à présent du côté du quartier cosmopolite de Saint-Cyprien.
L’hôtel-Dieu Saint-Jacques que vous voyez à gauche représente le patrimoine le plus prestigieux de la ville ! Son histoire commence avec celle du Prieuré de la Daurade, qui, en 1130, fait ériger une fondation hospitalière sur le faubourg Saint-Cyprien, rive gauche, et relié au monastère par le pont de la Daurade, aujourd’hui disparu.
Vous êtes à présent sur le Pont-Neuf, qui paradoxalement est le plus vieux pont construit sur la Garonne ! L’arche unique que vous voyez en face de vous, accolée à l’hôtel-Dieu, est tout ce qu’il reste du vieux pont dont on se différencie ici.
En passant devant le centre occitan des danses et des musiques traditionnelles de Toulouse, vous apercevez un magnifique mur peint, représentant une jeune femme masquée, à la longue chevelure rousse, assise au milieu d’autres masques très expressif, choisissant celui qui lui correspondra le mieux.
Vous vous en doutez, ce que nous sommes venus voir ici, est le tympan coloré de Notre-Dame de la Dalbade. Cette fresque de céramique date de 1878. Elle est l'œuvre de l’artiste Gaston Virebent qui s’est inspiré du couronnement de la vierge du peintre italien: Fra Angelico.
C’est l’heure de marcher le nez en l’air et de revivre toute l’histoire de Toulouse ! La galerie des arcades, créée en 1997 lors des travaux sur la place du capitole, vous offre 29 tableaux et autant de scènes retraçant l’histoire de la ville.
Vous voici devant l’église Notre-Dame du Taur. Elle a été construite à l’emplacement exact où l’on a retrouvé le corps du Martyr Saint Sernin. Il faut remonter au IIIe siècle.
Vous arrivez devant la fameuse Basilique Saint-Sernin. Elle en impose et pour cause ! Elle est ni plus ni moins que la plus grande église romane de France ! Pour vous faire une idée, la nef s’étire sur la longueur d’un terrain de foot et on pourrait aisément caler un immeuble de 7 étages sous la voûte !
Vous pénétrez au cœur d’un ensemble monumental littéralement spectaculaire ! Le couvent des Jacobins se compose d’une église, d’un cloître, d’une salle capitulaire, d’un réfectoire et de la chapelle Saint-Antonin.
Vous avez sans doute entendu parler du pastel, cette plante bleue qui, une fois broyée, permet de teindre les textiles d’une belle couleur bleu-pastel. Véritable or bleu, le pastel s’impose à la Renaissance et habille les rois de France.
La belle façade opulente que vous voyez ici est celle de l’École des Beaux-Arts de Toulouse. Il s’agit de l’un des premiers établissements artistiques de la région Occitanie. L’École succède à l’Académie Royale de peinture, sculpture et architecture, fondée par Louis XV en 1750 et dissoute après la Révolution comme toutes les académies royales de France.
Vous êtes devant la basilique de la Daurade avec un beau panorama sur la rive gauche de Toulouse. La proximité des quais vous fait sûrement penser que le nom Daurade a forcément un rapport avec le poisson !
Depuis les quais, vous profitez d’un beau panorama sur le quartier Saint-Cyprien sur la rive gauche de Toulouse. C'est l'occasion parfaite, pour immortaliser la vue.
Vous êtes sur une allée qui sépare en deux l’étang Shinobazu, principal point d’eau du parc d’Ueno.
Construit en 1631 par Tenkai, le fondateur de la secte Tendai, le temple Kannon-do est l’un des plus anciens bâtiments de la ville. Contrairement à de nombreux autres monuments, il a survécu au temps et a seulement subi des restaurations pour le remettre dans son état d’origine.
Voilà le temple Bentendo, installé au cœur de l’étang de Shinobazu. Le choix de son emplacement n’a d’ailleurs pas été laissé au hasard. Construit au début du XVIIe siècle, au commencement de la période Edo, il est dédié à Benzaiten, la déesse de la richesse, du bonheur, de la sagesse et de la musique.
Vous l’avez vu, ce parc regorge de merveilles à découvrir, qui retracent les événements passés et les traditions de la ville ! Mais reprenons ensemble son histoire, pour comprendre son importance et l’engouement qu’il suscite chez les visiteurs du monde entier.
Voici un monument qui rend hommage au Docteur Wani, un érudit qui serait venu de Corée pour introduire le confucianisme au Japon. Mais ça, ce n’est qu’une version de l’histoire. Car on ne sait pas vraiment si c’est vrai, et même si ce personnage, le fameux Docteur Wani, a réellement existé.
S’il y a bien une statue qu’on ne peut pas louper dans le parc d’Ueno, c’est celle-ci ! Fièrement assis sur son fidèle destrier, cet homme a joué un rôle si important pour le pays qu’il s’est retrouvé là, dans l’un des parcs les plus connus de Tokyo, trônant à plusieurs mètres de hauteur.
Vous avez devant vous un sanctuaire shinto, appelé Ueno Tosho-gu. Il faut savoir que Tosho était le nom posthume de Tokugawa Ieyasu, le tout premier shogun du shogunat Tokugawa, la grande dynastie qui a gouverné le Japon entre 1603 et 1868.
Le zoo d’Ueno est le plus vieux zoo du pays. Il renferme des centaines d’espèces animales différentes, venus des quatre coins du monde, mais les vraies stars de ce parc zoologique sont sans conteste les deux pandas qui y résident depuis 2011, appelés Ri Ri et Shin Shin, et leur petit bébé né en 2017 qui attire les foules du monde entier.
Bien plus moderne que les autres monuments que l’on peut voir dans le parc d’Ueno, ce bâtiment n’est autre que le musée d’art métropolitain de Tokyo. C’est le premier musée d’art public du pays.
C’est un beau style occidental qui caractérise le bâtiment qui se trouve sur votre gauche. C’est le Sogakudo Concert Hall, la plus ancienne salle de ce style au Japon. À son inauguration en 1890, il appartenait à l’École de Musique de Tokyo, puis il a servi pour l’Université des Arts de la ville jusque dans les années 70.
Vous voici en plein cœur du campus de l’université des Arts de Tokyo, la plus prestigieuse école d’art du pays ! Et aussi la plus ancienne... L’université des Arts, officiellement, a été fondée en 1949, mais elle regroupe en fait l’École des Beaux-Arts, qui date de 1885 et l’École de musique créée en 1879.
Cette visite est assez particulière, puisqu’il s’agit d’un cimetière, mais ce n’est pas n’importe lequel : c’est certainement l’un des plus beaux cimetières de Tokyo.
Il faut savoir que le parc Ueno a été aménagé sur un ancien complexe religieux, en l’occurrence, le plus grand et le plus important temple bouddhiste de la capitale.
Bienvenu devant le bâtiment qui renferme la plus grande collection d’art et d’objets archéologiques du pays ! Fondé en 1872, c’est aussi le plus ancien musée japonais.
Si le parc d’Ueno permet de faire une petite pause nature en plein cœur de l’une des villes les plus peuplées du monde, il propose aussi une excellente offre culturelle grâce aux nombreux musées qu’il possède.
Pour ceux qui n’auraient pas réussi à nouer avec l’art japonais, voici un musée qui dévoile des œuvres que nous, en tant que Français, connaissons tous ! Monet, Renoir, Van Gogh ou encore Picasso décorent les murs de ce bâtiment hors norme qui a été construit par Le Corbusier.
C’est le musée le plus récent que vous puissiez trouver dans le parc Ueno, puisqu’il a ouvert ses portes en 1972. C’en est aussi le seul musée privé, il est géré par la Japan Art Association, la plus ancienne association d’art au Japon.
Le bâtiment qui se trouve devant vous est le musée Shitamachi, musée d’arts et de traditions populaires de Tokyo. C’est un site très intéressant pour connaître l’histoire de la ville, notamment celle que l’on appelle la période d’Edo, pendant laquelle Tokyo s’est rapidement développée entre 1603 et 1868.
Vous voici ici devant l’étang Shinobazu et plus précisément dans l’une des parties les plus intéressantes : c’est ici que les lotus viennent fleurir et étendre leurs énormes feuilles chaque été !
Vous arrivez sur la belle place Sainte-Croix. Retournez-vous : vous avez ici une magnifique maison, certainement la plus célèbre d’Angers ! Il faut dire que c’est l’une des plus belles maisons à pans de bois de la ville, et qu’elle nous vient tout droit du XVe siècle.
Cachée derrière les bâtiments historiques, la place Saint Eloi dévoile certains monuments incontournables de la ville. Devant vous se dresse l’imposante tour Saint Aubin, qui fait partie de l’abbaye du même nom qui se trouvait là entre le XIIe et le XIXe siècle.
C’est après 20 ans de fouilles que les archéologues ont pu découvrir l’un des monuments carolingiens les mieux conservés en France : la collégiale Saint-Martin !
Impossible de ne pas la voir depuis le début de la rue, voici la belle église Saint-Joseph !
Vous voilà au cœur du jardin du Mail, l’un des nombreux parcs qui composent la ville ! Saviez-vous d’ailleurs, qu’Angers est considérée comme l’une des villes les plus vertes de France ?
Vous voici dans le boulevard Foch, l’une des plus grandes artères du centre-ville angevin. Ici, vous retrouverez des restaurants, des pubs et des boutiques, qui attirent chaque jour de nombreux Angevins et étudiants venus profiter de l’animation sans fin.
Je vous propose ici de lever les yeux vers le haut de l’immeuble qui se trouve à votre droite qui, vous le verrez, se colore d’un joli bleu à son sommet.
Ce sont des milliers d’Angevins qui passent chaque jour sur cette place centrale qui regroupe bars, restaurants et boutiques ! À l'origine, on trouvait ici trois églises.
Ce joli monument au cœur de la rue commerçante d’Angers est le musée Pincé. Édifié entre 1528 et 1535, il affiche un style Renaissance que l’on doit à l’architecte angevin Jean Delespine.
La place du Pilori est une petite place centrale d’Angers. Piétonne et pittoresque, elle est très fréquentée, située au cœur des boutiques et des restaurants.
La rue Saint-Laud est l’une des rues préférées des étudiants, et pour cause, elle regorge de bars et de restaurants en tout genre !
Nous voici devant le marché couvert de la ville, appelé les halles de Biltoki, ou halles Cœur de Maine. C’est le groupe basque Biltoki qui s’est chargé du projet, qui a été inauguré en 2023.
L’espace vert qui se trouve sur votre droite est appelé l’esplanade Cœur de Maine.
Vous traversez actuellement le plus ancien pont qui permettait de franchir la Maine. Il a été mentionné au VIe siècle, mais on pense qu’il était déjà là depuis l’époque gallo-romaine, même si aucun élément ne permet de l’affirmer vraiment.
Situé à l’écart de l’animation du centre-ville, le quartier de la Doutre a des airs de petit village.
Vous avez devant vous un superbe panorama sur la rive gauche de la ville d’Angers !
La traversée de ce pont vous offre un très beau point de vue sur le château d’Angers, qui se dresse fièrement sur la rive gauche de la ville.
C’est depuis le Néolithique, il y a 4 000 ans environ, que cet éperon rocheux est habité par l’homme !
Vous êtes devant la vue emblématique d’Angers, sur la Promenade du bout du monde qui longe le château.
Vous marchez à présent dans le centre médiéval d’Angers, caractérisé par ses petites rues sinueuses à deux pas du château.
Devant vous se dressent les imposantes tours de la cathédrale d’Angers, la cathédrale Saint-Maurice. Remarquable exemple de l’art gothique angevin, elle a été édifiée entre le XIe et le XIIIe siècle et est bien évidemment classée aux Monuments Historiques.
Voici l’imposant palais épiscopal d’Angers, situé juste derrière la cathédrale Saint-Maurice.
Devant vous s’élève la Sjeverna Vrata, la Porte Nord, construite en 1656, à l’époque où la ville était sous domination vénitienne. C’était l’entrée principale de la cité fortifiée, le passage obligé de tous ceux qui venaient du continent. On y contrôlait les marchandises, on y
Devant vous se trouve l’entrée du Musée municipal de Trogir. Il est installé dans le splendide palais baroque Garagnin-Fanfogna. Ce palais du XVIIIe siècle, avec sa cour intérieure et son grand escalier, appartenait à l’une des familles nobles les plus influentes de Dalmatie. Les
Voici la cathédrale Saint-Laurent, le monument le plus emblématique de Trogir. Sa construction a commencé au tout début du XIIIe siècle, sur les ruines d’une ancienne église détruite par les Sarrasins. Elle ne s’est achevée qu’au XVIIe siècle, après plus de 400 ans de
Vous êtes sur la place Jean-Paul II, le cœur de Trogir depuis le Moyen Âge. C’est ici que se concentrait la vie publique, entre pouvoir religieux, justice, commerce et politique. Devanr vous, la loggia municipale, ouverte par ses arcades, servait autrefois de tribunal. On y
L’église Saint-Jean-Baptiste est un petit édifice qui passe parfois inaperçu au milieu des grands monuments de Trogir, mais qui mérite qu’on s’y arrête. Construite au XIIIe siècle, elle appartenait autrefois à un monastère bénédictin masculin aujourd’hui disparu. Les
Face au pont qui mène à l’île de Čiovo se dresse le tribunal municipal de Trogir. Ce bâtiment, à l’architecture sobre et élégante, abrite aujourd’hui une antenne du tribunal de Split. On y traite des affaires civiles locales, de l’état civil ou encore du cadastre. C’est un lieu de
Voici la Porte Sud de Trogir, ou Južna vrata. Édifiée au XVIe siècle sous la domination vénitienne, elle servait d’accès principal à la ville depuis la mer. C’est par ici que passaient les marins, les pêcheurs et les marchands venus débarquer leurs cargaisons. La porte avait aussi
Ici se trouve l’entrée dans le monastère bénédictin Saint-Nicolas. Fondé en 1064 par saint Ivan, un moine devenu évêque, il est aujourd’hui le seul monastère féminin encore actif de la ville. Initialement dédié à saint Domnius, il a pris le nom de saint Nicolas, protecteur des
Vous voici dans Gradska Ulica, l’artère principale de Trogir. En apparence, ce n’est qu’une jolie rue pavée bordée de palais et de boutiques, mais son histoire est exceptionnelle : elle suit exactement le tracé du decumanus maximus romain, l’une des deux grandes artères de la ville
Profitons de ce moment où vous êtes en plein cœur de la ville pour retourner un peu en arrière et découvrir l’histoire de celle que l’on surnomme aujourd’hui la Ville-musée. Si vous observez Trogir aujourd’hui, vous voyez une petite ville dalmate, lovée sur son îlot de
Vous voici sur la Riva, la promenade maritime de Trogir. C’est l’un des lieux les plus vivants de la ville : une longue allée bordée de palmiers, de cafés et de terrasses, qui longe la mer Adriatique. Jadis, c’était le quai où accostaient les marchands et les pêcheurs, au cœur des échanges
En longeant la promenade maritime de Trogir, vos yeux se poseront sans doute sur ce grand bâtiment aux fenêtres d’inspiration vénitienne : c’est l’école primaire Petar Berislavić. Elle porte le nom d’un enfant de Trogir devenu l’un des plus grands héros de la Croatie. Petar
Le grand clocher gothique qui domine le rivage appartient à l’église et monastère Saint-Dominique. Les dominicains s’installent ici en 1265 et construisent peu après cette église gothique, achevée au XIVe siècle. Sa façade est sobre mais élégante, percée d’une immense rosace, et
Avec ses murailles de pierre calcaire et sa haute tour polygonale, le château Kamerlengo domine encore aujourd’hui le port et la promenade. Cette forteresse a été construite au XVe siècle par les Vénitiens, peu après leur conquête de Trogir. La ville avait résisté, et
Près du château Kamerlengo se cache un petit pavillon discret : la gloriette du maréchal Marmont. Elle date de l’époque où Trogir fut brièvement française, entre 1806 et 1814. À cette époque, la ville faisait partie des Provinces Illyriennes, gouvernées par Auguste de
Devant vous s’élève la Tour Saint-Marc, massive et circulaire. Son allure n’a rien d’un hasard : elle fut construite au XVe siècle, à l’époque où la République de Venise dominait Trogir et devait adapter ses défenses aux nouvelles armes à feu. Regardez sa base évasée : cette forme
Pendant que nous marchons vers le prochain point d’intérêt, laissez-moi vous parler de ce qui fait aussi la richesse de Trogir : sa cuisine. Ici, les saveurs sont celles de la Méditerranée, simples, fraîches et généreuses. Les poissons et fruits de mer sont
Ce pont piétonnier, inauguré en décembre 2024, relie la vieille ville classée à l’UNESCO au parc Fortin, en enjambant un canal qui fut autrefois un fossé défensif. Pendant des siècles, la Foša séparait la cité insulaire du continent ; aujourd’hui, elle unit au lieu de diviser.
Voici l’Église Notre-Dame de Royan, joyau de l’architecture moderne du XXe siècle. Elle symbolise la renaissance de la ville après les bombardements du 5 janvier 1945, qui détruisirent l’ancien sanctuaire néo-gothique de 1874.
Vous êtes ici devant le Centre Protestant de Royan, un bâtiment discret mais chargé de sens. Construit entre 1953 et 1957, il incarne la reconstruction de la ville après les bombardements de 1945, mais aussi une histoire religieuse bien plus ancienne.
La place Charles de Gaulle porte en elle toute l'histoire tragique et renaissance de la ville. Ici même se dressait autrefois la première église Notre-Dame de Royan, édifice gothique du 12ème siècle.
Ce boulevard incarne parfaitement la vision urbanistique révolutionnaire de la reconstruction : créer une ville à double visage. Si le Front de Mer représente le "côté mer" dédié aux touristes et aux loisirs balnéaires, ce boulevard constitue le "côté ville", le cœur battant de la vie quotidienne des Royannais.
Vous voilà arrivé dans le boulevard Aristide Briand, l’un des axes principaux de la ville, conçu lors de la toute première phase de la reconstruction d’après guerre.
A Royan, vous êtes face au plus grand estuaire d'Europe occidentale : l’estuaire de la Gironde. Cette immensité s'étire sur 75 kilomètres, née de la rencontre entre la Garonne et la Dordogne au bec d'Ambès.
Vous voici sur la place Foch, l'un des lieux les plus émouvants de Royan car il constitue un rare témoin de l'histoire d'avant la destruction. Cette place porte un secret dans son nom : elle s'appelait autrefois place des Acacias avant d'être rebaptisée en hommage au Maréchal Foch après la Grande Guerre.
Le boulevard qui se trouve sur votre gauche, c’est le boulevard Frédéric-Garnier, l’une des plus belles promenades de Royan. Il longe la plage de la Grande Conche et traverse le quartier du Parc, un secteur miraculeusement épargné par les bombardements de 1945.
Vous vous trouvez dans une ville qui a révolutionné la relation des Français à l'océan. L'histoire de la thalassothérapie à Royan commence bien avant que ce terme ne soit inventé en 1865 par le docteur Joseph La Bonnardière, qui associa les mots grecs thalassa, la mer, et therapeia, le traitement.
Vous voici sur la place de l'auditorium, l'un des espaces les plus emblématiques du front de mer royannais. Sur votre gauche, cette forme courbe si particulière, qui évoque un immense coquillage, est l'auditorium de Marcel Canellas, achevé en 1961.
Face à l’auditorium se trouvent les galeries Botton, l'une des réalisations les plus originales de la reconstruction royannaise. Les premières galeries Botton, construites en 1926 dans un style Art Nouveau, se trouvaient square Botton, au nord du front de mer.
L’Esplanade Félix Marie de Kérimel de Kerveno, sur votre gauche, rend hommage à un héros de la Seconde Guerre mondiale, tombé ici-même, à quelques jours seulement de la libération de Royan.
Vous vous trouvez sur un site chargé d'histoire. Là où vous admirez aujourd'hui ces jardins fleuris se dressait autrefois le casino de Royan des années 1960, l'une des œuvres les plus audacieuses de l'architecte Claude Ferret.
Vous longez ici l'un des ports les plus emblématiques de la côte atlantique française. L'histoire de ce lieu remonte au Moyen Âge, lorsque les premiers marins découvrirent ce havre naturel protégé, idéalement situé sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde.
Vous vous trouvez au bord de la plage de Foncillon. Elle fut la première de Royan à accueillir les baigneurs : dès 1819, le maire Labarthe en réservait l'accès exclusivement aux femmes, tandis que les hommes se rendaient à la Grande Conche.
Vous voici devant le Palais des Congrès de Royan, l'un des joyaux de l'architecture moderniste française. Inauguré en 1957, cet édifice fut l'un des premiers palais des congrès construits en France.
C’est là l’une des attractions les plus emblématiques de Londres, le London Eye !
Au risque que vous n’en ayez pas encore pris plein la vue, voici un joli panorama donnant sur la Tamise et quelques-uns des monuments les plus emblématiques de la capitale !
Vous voici devant l’imposant Palais de Westminster, qui surplombe la Tamise sur son autre rive.
C’est en 1859 que Big Ben sonnait pour la première fois… Cette cloche emblématique est connue dans le monde entier.
Haute de presque 4 mètres, la statue que vous avez devant vous est difficile à ignorer. Personnage symbolique de l’Angleterre, héros de la Seconde Guerre mondiale, cet homme d’État connu dans le monde entier a une histoire extrêmement chargée.
Attention, vous voici devant le centre du pouvoir politique britannique !
Ce sont plus de 1 000 ans d’histoire qui constituent l’église la plus célèbre de Londres ! Au Xe siècle se trouvait déjà ici un monastère construit par les moines bénédictins.
Nous sommes actuellement dans le Parc Saint-James, et celui-ci est loin d’être anodin. Déjà, il va nous mener tout droit jusqu’au Buckingham Palace, l’un des palais les plus connus du monde, mais il fait aussi partie du Diana Princess of Wales Memorial Walk.
Impossible de passer à Londres sans parler de la célèbre famille royale britannique, qui suscite, depuis bien longtemps, l’admiration et le respect des Anglais qui se tiennent à l’affût des nouvelles ou des scandales qui font régulièrement les gros titres la concernant.
Construit en 1703 en tant qu’hôtel particulier, ce palais reconnu dans le monde entier était à l’origine la propriété du duc de Buckingham.
Ce palais est l’un des plus anciens de Londres. C’est Henri VIII qui le fait construire en 1532 en y intégrant le style bien particulier des Tudor
Les anecdotes sur la famille royale sont nombreuses, mais voici un petit résumé de quelques-unes d’entre elles qui, pour certaines, font sourire !
Elle est à Londres ce que Times Square est à New York ! Bien plus petite, je vous l’accorde, mais en même temps, difficile de faire plus grand que Times Square!
Cette jolie place est, comme Trafalgar Square, l’une des places les plus animées de la ville.
Vous voici arrivé dans le quartier chinois de Londres ! Très réputé pour ses nombreux restaurants asiatiques, ce quartier est plutôt récent puisqu’il a été aménagé en 1970
Le quartier de Soho… ou l’un des quartiers les plus emblématiques de la Ville-monde ! Ici, le divertissement est roi !
Vous voici devant l’un des nombreux théâtres qui composent le quartier de Soho, et plus particulièrement l’avenue Shaftesbury, l’une des plus grandes artères de Londres.
Covent Garden est à la fois le nom du quartier dans lequel nous sommes, mais également de l’un des marchés couverts les plus connus de Londres.
Face à Trafalgar Square se dresse cette jolie église au style plutôt atypique. Édifiée en 1726 dans le style rococo, son nom fait référence aux champs autour desquels elle a été construite.
C’est à l’architecte John Nash, qui a également conçu le Regent’s Park, que l’on doit la construction de Trafalgar Square, en hommage à la victoire de l’amiral Nelson lors de la sanglante bataille de Trafalgar.
Bianco, Rosso et Doria-Tursi, ni une, ni deux, voilà le trio de choc des Palazzi Rolli réuni !
1 palais, 2 palais, 3 palais et ça ne s’arrête pas... Plus de doutes, Gênes a bien un ADN aristocratique.
Découvrir Gênes sans faire une halte par son port, c’est un peu comme sauter le premier chapitre d’un roman. Celui sans qui ils nous manquent rapidement les bases pour vraiment comprendre et apprécier le récit qui nous attend
Dans la traversée du port de Gênes, il y a bien un monument que l’on ne peut pas rater : le Palazzo San Giorgio. Et ce, pour 3 raisons évidentes : sa taille, son histoire et son allure.
Dire que Gênes est la capitale régionale de la Ligurie et le premier port d’Italie, sont deux strictes vérités à part entière. Mais ce sont aussi deux attributs réducteurs sur celle qu’est vraiment la Superba dall’Italia.
Mais que serait le centro storico de Gênes sans ce site d’intérêt emblématique ? La réponse, on vous la donne : pas aussi spécial.
Avec plus de 120 palais à son actif, Gênes aurait pu tomber dans cette drôle d’impression de déjà-vu permanent. Mais il est inutile de préciser que sur leur taille, leur couleur, leur apparence ou bien leur orientation, ces adresses de prestige se détachent les unes des autres.
Vous connaissez Gênes, la maritime. Gênes, l’aristocrate. Gênes, la gastronome. Mais qu’en est-il de Gênes, la défensive ? Il est vrai que jusqu’à présent, on ne l’a pas beaucoup vue.
En chemin entre la Porta Soprana et la maison de Christophe Colomb, une silhouette de pierre se détache timidement de la végétation. Vous la voyez ? Il s’agit du cloître de Sant’Andrea.
Christophe Colomb, évidemment que ce nom vous parle. Mais certainement pas autant qu’à Gênes. De lui, on connait tout particulièrement sa profonde passion pour l’exploration avec un grand E.
Après tant de marche, qui se refuserait une courte séance photo ? Ici, le modèle posant devant vous est la Via XX Settembre. Une autre des artères favorites des Génois et Génoises.
Pour accompagner la cathédrale di San Lorenzo, Gênes détient une collection d’églises au patrimoine architectural incroyable. Prenons par exemple l’église Santo Stefano à vos côtés.
Les grands adeptes de cette pratique vous le confirmeront, faire ses courses au marché procure un ensemble de bienfaits incalculables. Pour l’esprit comme pour le corps.
On vous le dit, on vous le répète, Gênes est un livre d’histoire qui, sans son activité portuaire de toujours, n’aurait jamais été aussi divertissant.
Quelques notes de chants lyriques, voilà l’univers de l’attraction génoise juste en face. En 1828, après 2 ans de travaux menés par l’architecte Carlo Barabino, le théâtre Carlo Felice est inauguré. Sans même être achevé.
Alors que la plupart des Génois emprunte la bouillonnante Via Roma sur leur trajet, certains préfèrent au contraire se faufiler discrètement dans les axes parallèles.
Une chose est sûre, lorsque l’on parle de l’Italie, Gênes n’est pas la première ville qui nous vient en tête. Pourtant, son côté méconnu et discret pousse de plus en plus de curieux à braver les a priori de cette ville sévèrement jugée de sale et industrielle.
Via Garibaldi, te voilà enfin. Pourquoi les Génois, doublés des visiteurs, n’ont-ils que ces deux petits mots à la bouche ? Sans doute à cause de la splendeur et de l’élégance toute particulière de cette avenue.
Parfois, la meilleure façon d’apprécier une ville, c’est encore de la contempler. À Gênes, il existe un site parfait pour s’adonner à cette mission : le belvédère du Castelletto.
Dans la Via Garibaldi, regardez en l’air un coup à droite, regardez en l’air un coup à gauche est le réflexe à prendre et à répéter plus d’une fois.
“Le premier palais que j’ai vu a été le palais Brignole; façade rouge, escalier de marbre tout droit.”, écrivait Gustave Flaubert dans ses Notes de voyages en 1845. Aujourd’hui, presque 200 ans plus tard, c’est à votre tour d’apprécier cette même scénographie.
Sur cette petite place appelée autrefois la place de la Poterne, la Fontaine d’Amboise révèle une statue sculptée en pierre de Volvic, roche volcanique très utilisée dans le département du Puy-de-Dôme qui provient des coulées de lave de la Nugère, volcan qui fait partie de la chaîne des Puys.
Affichant un beau style roman auvergnat, la basilique Notre-Dame-du-Port est appelée ainsi en raison de sa localisation, au cœur du quartier du Port. Inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO parce qu’elle fait partie des chemins de Compostelle, elle est construite au XIIe siècle, mais ne deviendra une basilique qu’à la fin du XIXe, sur ordre du pape Léon XIII.
Vous voici sur l’une des plus anciennes places de la ville, la place Delille. Centre de la vie clermontoise depuis près d’un millénaire, cette place s’appelait à l’époque la place Champet et contenait la porte Royale, appelée ainsi car c’est par là que rentraient les rois.
C’est à Antoine de Montrosier que l’on doit ce magnifique hôtel particulier. Enfin, ce n’est pas lui qui l’a bâti, vous vous en doutez, mais c’est pour lui que ce projet de construction voit le jour.
Cet imposant bâtiment n’est autre que l’Hôtel de Ville de Clermont-Ferrand. Construit au XVIIIe siècle en pierre de Volvic, il se trouve à l’emplacement d’un autre bâtiment qui était historique à l’époque
Inscrite aux Monuments historiques depuis 1987, la fontaine du Terrail date de la fin du XVIIe siècle. Située sur la place du même nom, elle ornait l’une des portes d’entrée de la ville au Moyen Âge. Une première version avait été édifiée au début du même siècle,
Pour ceux qui ont l’œil, vous avez peut-être remarqué que la ville de Clermont-Ferrand est parsemée de petites mosaïques installées un peu partout sur les murs. Ici, retournez-vous, et regardez la façade du bâtiment qui se trouve là.
Place emblématique de la ville, notamment parce qu’elle révèle la magnifique architecture de la cathédrale, la place de la Victoire est l’une des places les plus importantes de Clermont-Ferrand.
À deux pas de la place de la Victoire et de la cathédrale de Clermont-Ferrand, la place Royale est ornée d’une belle fontaine inspirée de la Renaissance italienne : la fontaine Saint-Genès.
Cette belle église, construite par les Carmes à partir du XIVe siècle, s’impose dans le quartier médiéval de Clermont-Ferrand de sa pierre sombre issue des carrières de Volvic.
Il porte le nom de celui qui lui a permis de voir le jour : le muséum Henri-Lecoq est installé au cœur de Clermont-Ferrand depuis 1873.
C’est grâce au botaniste Henri Lecoq que ce jardin sera construit à partir de 1863, autour d’un jardin botanique qui se situait déjà à cet emplacement. Aménagé tout d’abord comme le Jardin des Plantes de Clermont, il deviendra le jardin à l’anglaise qu’il est aujourd’hui en 1915.
Avec sa superbe façade de style néo-classique, le musée Bargoin attire l'œil : on retrouve à l’intérieur des collections liées à la fois à l’archéologie, issues de fouilles menées à Clermont-Ferrand et ses alentours, et à l’art du textile.
Vous voici dans le square d’Assas, à quelques pas seulement de la place de Jaude. Approchez-vous de l’étrange arche blanche qui se trouve devant vous. Il s’agit d’une fontaine, dans laquelle vous découvrirez une belle statue dorée représentant Neptune, personnage de la mythologie romaine, Dieu des eaux et des sources.
Imaginez… il y a 2 000 ans, la place de Jaude était déjà un véritable lieu de vie ! A l’époque romaine, elle représentait une place marchande, un lieu de passage presque aussi important que le forum qui se trouvait place de la Victoire.
C’est parti pour un peu d’histoire sur l’époque gallo-romaine ! Passage obligé dans la visite de la place de Jaude, puisque c’est sur celle-ci que trône l’impressionnante statue équestre de Vercingétorix, signée Auguste Bartholdi, à qui l’on doit la mythique Statue de la Liberté de New York.
Regardez sur votre droite : vous avez face à vous l’opéra-théâtre ! Édifié dans les années 1890 sur la place de Jaude, qui était très peu urbanisée à cette époque-là, l’opéra-théâtre a permis à cette place emblématique de Clermont-Ferrand de retrouver son statut de lieu de passage et de balade privilégié pour les habitants.
La rue des Gras, dans laquelle vous vous trouvez, est certainement la rue la plus représentative du centre historique clermontois.
Véritable emblème de la ville, il aura fallu plus de 7 siècles pour construire cette cathédrale qui sera rapidement surnommée la “Cathédrale des charbonniers”.
Le square que vous traversez porte son nom, et vous avez même une statue le représentant sur votre droite : Blaise Pascal est définitivement le personnage symbolique de la ville. L’occasion pour moi de vous raconter quelques détails sur sa vie afin de mieux le connaître.
Vous êtes au cœur de l’un des deux quartiers historiques de Clermont-Ferrand, qui s’étend autour de la butte sur laquelle est installée la cathédrale.
Impossible de passer à Séoul sans prendre le moment de goûter ses nombreuses spécialités culinaires ! Riche de saveurs et de textures, vous verrez que la cuisine coréenne est bien différente de la nôtre.
L’imposant bâtiment qui se trouve sur votre droite est la cour constitutionnelle de Corée, mise en place en 1988 dans le cadre de la Sixième République de Corée du Sud qui survient suite au mouvement de la population coréenne qui demande plus de démocratie.
Il est souvent considéré comme le plus beau temple de Séoul : le temple Jogyesa, qui se trouve sur votre droite.
Face à vous, vous avez l’un des principaux centres commerciaux de la ville.
Nous sommes actuellement dans le quartier d’Insadong, l’un des quartiers incontournables de Séoul.
Vous arrivez ici dans un autre quartier traditionnel, similaire au Bukchon Village situé un peu plus haut sur la colline, bien que bien moins ancien.
Nous voici devant la porte du sanctuaire Jongmyo. On ne peut malheureusement pas le voir d’ici, mais son histoire mérite d’être racontée.
Ce jardin qui se situe face au sanctuaire Jongmyo est le parc Wolnam, petit havre de verdure dans le centre-ville de Séoul, agréable pour se balader ou pique-niquer dans la nature.
Vous voici dans le Tapgol Park, petit espace vert situé au cœur du centre-ville séoulien.
Vous voici sur l’une des balades les plus agréables de Séoul, le long d’une rivière qui a façonné l’histoire de la ville.
Vous êtes sur l’une des places principales de la ville, qui mène tout droit au palais Gyeongbokgung et donne une vue imprenable sur la montagne Bukhansan, considéré comme le mont protecteur de la ville.
Cette grande statue en bronze est le véritable symbole de la place centrale, installée dans l’alignement du palais royal et de la montagne sacrée.
Séoul est une ville qui compte pas moins de 5 palais, mais s’il y en a bien un qu’il ne faut pas manquer c’est celui-ci ! Le palais Gyeongbokgung est le principal de la ville et aussi le plus grand.
Ce petit monument situé au cœur de la route est une ancienne tour de guet qui faisait autrefois partie du palais royal.
Vous passez ici devant le musée d’art contemporain et moderne de Corée.
Nous entrons ici dans le quartier traditionnel de Séoul, l’occasion pour moi de vous raconter l’histoire de cette capitale aujourd’hui devenue très touristique.
Vous voici devant un panorama de la partie ouest de la ville de Séoul, surplombée par les montagnes du parc national de Bukhansan situé à quelques kilomètres de Séoul.
Vous êtes dans la partie la plus authentique de Séoul, le Bukchon Hanok Village. Maintenant vieux de plus de 600 ans, ce quartier présente des maisons typiquement coréennes appelées les Hanok.
C’est ici l’un des points de vue les plus emblématiques sur la capitale coréenne, puisqu’il donne un bel aperçu d’une rue typique du village Hanok
Vous longez à présent, les berges sauvages de la Loire. Ce fleuve, qui est le plus long de France avec ses 1006 kilomètres, est aussi peut-être le plus beau.
Alors, oui, en pleine vallée de la Loire, avec tous ces châteaux plus somptueux les uns que les autres, le château de Tours n’est pas le plus fou que vous ayez jamais vu.
Ce petit passage que nous empruntons à présent s’appelle le passage du cœur navré. Sorte de pont des Soupirs qui, comme à Venise, évoque la tristesse des condamnés qui empruntaient ce passage pour aller à l’échafaud dressé sur la place de Foire-Le-Roi.
Vous voilà face au Grand Théâtre, le seul Opéra de la région Centre ! À la base, comme pour le célèbre théâtre de la Scalla de Milan, il y avait là une église, l’église des Cordeliers.
Avis aux fans du gothique flamboyant, la cathédrale Saint-Gatien est faite pour vous ! Sa construction débute au XIIIe siècle et va durer environ 400 ans !
Vous voilà dans le beau jardin du Musée des Beaux-Arts de Tours, installé dans l’ancien palais épiscopal de la ville. Les évêques étaient en effet installés à proximité de la cathédrale, dans un ancien palais du IVe siècle.
En pénétrant dans l’enceinte du Musée des Beaux-Arts, vous êtes immédiatement intrigué par l’éléphant empaillé dans sa vitrine. Je vous présente Fritz, une vedette du début du XIXe siècle, du cirque nord-américain Barnum et Bailey.
Peu de gares peuvent se vanter d’avoir un quelconque intérêt touristique autre que de vous avoir mené à destination. Alors que la gare de Tours, elle, est carrément belle !
Face à vous, sur la petite place Jean Jaurès, se dresse, imposant, l’hôtel de ville de Tours. Construit fin XIXe siècle et inauguré en 1904, il ressemble plus à un palais, qu’autre chose.
Vous voilà au cœur de l’artère principale de la ville. La rue nationale, longue de 700 mètres, relie la place Jean Jaurès au pont Wilson enjambant la Loire.
Vous voyez tout de suite qu’on entre dans une autre époque avec la tour Charlemagne qui se dresse devant vous. Elle est, avec la tour de l’Horloge et le cloître Saint-Martin, l’un des seuls vestiges de l’ancienne basilique Saint-Martin détruite en 1797.
La Basilique Saint-Martin que vous voyez à présent a été construite de 1887 à 1902 par l'architecte Victor Laloux, oui, le même que pour l’hôtel de ville et la gare. Il n’a pas chômé dans sa vie lui !
Vous êtes à présent devant la tour de l’horloge. C’est là qu’on se rend vraiment compte de la taille que faisait l’ancienne basilique Saint-Martin du XIe siècle.
Cette porte sculptée de style gothique flamboyant est un nouveau témoin du passé de Tours. Elle est tout ce qui reste d’un hôtel particulier appartenant au trésorier des chanoines.
Petit anachronisme en plein quartier historique. Vous voilà nez à nez avec le Monstre de la place du marché !
Voilà. Voilà ce que vous vouliez voir à Tours. Un ensemble remarquable de maisons à colombages autour d’une place chaleureuse remplie de cafés et de restaurants.
Vous êtes ici en présence d’un grand mélange de passés face à des vestiges romains et médiévaux. Dans les années 500, à la mort de son mari Clovis, la reine Clothilde est venue s’installer à Tours.
Nous sommes toujours dans le quartier Plumereau de Tours, la zone historique la plus importante de la ville. Vous avez là, l’hôtel Goüin, magnifique exemple d’architecture de la Renaissance.
Voilà l’église Saint-Julien de Tours. Au VIe siècle, ce serait Clovis qui aurait décidé de faire ériger une église pour célébrer sa victoire sur les Wisigoths.
Nous arrivons sur le pont Wilson qui nous offre un très joli point de vue sur les berges de la Loire et une perspective intéressante sur la Rue Nationale derrière vous.
Le beau bâtiment art nouveau que vous voyez-là, confortablement installé face à la Loire, est la bibliothèque municipale de Tours. Son architecture remarquable et son histoire lui valent d’être classé monument historique.
Passeport s’il vous plait, vous entrez en territoire américain. Eh oui, figurez-vous que la parcelle de terre sur laquelle se trouve cette belle fontaine appartient aux États-Unis !
Tant de personnalités connues qui ont marqué chacune l’histoire de France, dans cet endroit niché au cœur du 20ème arrondissement de Paris, douce capitale du pays. Oui, c’est bien au Père-Lachaise que nous faisons référence, le seul
C’est rempli d’un profond sentiment de respect, que nous vous menons de ce pas vers différents Monuments Aux Morts. Là, aux alentours, se trouvent plusieurs plaques, dédiées aux soldats belges, arméniens, polonais, tchécoslovaques
Ici, avancez quelques mètres dans l’allée qui se trouve sur votre droite avant de continuer le parcours. Vous arriverez au niveau de la tombe de Marcel Proust. Voici un écrivain, critique et essayiste français qui a aidé de nombreux lecteurs à se plonger dans
Il est grand temps de passer maintenant à la tombe de Guillaume Apollinaire. Oui, Apollinaire. Voici un nom que l’on n’a eu de cesse de répéter au cours du début du 20ème siècle, et qui reste aujourd’hui un grand classique dans la
Vous longez l’avenue Eugène Delacroix quand soudain, votre regard se tourne légèrement vers la droite. Vous découvrez la tombe de ce célèbre peintre français, dont les œuvres ont inspiré beaucoup d’autres artistes et dont le nom
Sur votre droite, dans le chemin Casimir Delavigne, se trouve la tombe d’Honoré de Balzac. Faites un petit détour si vous souhaitez la découvrir. On ne peut le nier, la littérature française est l’une des plus belles au monde.
Si vous êtes un fin connaisseur en matière d’histoire, vous devez sûrement savoir que le monument aux défenseurs de Belfort, qui se trouve sur votre gauche, fait référence à la guerre franco-prussienne, survenue de 1870 à 1871.
Nous sommes maintenant devant la Chapelle de l’Est, qui représente un mémorial en rapport aux victimes de la Répression de Paris en 1871. La Chapelle n’est pas particulièrement imposante. Avec ses 14 mètres de long et ses 12 mètres
Voici un nom qui ne cesse de résonner parmi ceux passionnés par la politique. Félix Faure est un homme d’état français ayant vu le jour à Paris en 1841, et décédé dans la même ville, en 1899. Il est notamment connu pour avoir été élu
« Rien de nous rend si grand qu’une grande douleur ». Ces simples paroles devraient suffire pour vous donner la puce à l’oreille concernant la personne sur laquelle nous souhaiterions vous parler. Et oui, c’est maintenant au tour du
Voici l’endroit où est inhumé Jean-François Champollion. Connaissez-vous ce nom ? Il s’agit de l’égyptologue qui a réussi, en 1822, à déchiffrer les hiéroglyphes. Un véritable exploit ! Reprenons tout ça. Jean-François Champollion, né en 1790
Tournez à droite, avancez de quelques pas et regardez la tombe qui se trouve sur votre droite. Parmi les femmes ayant marqué la France, le nom de Colette résonne encore. Le 28 janvier 1873 dans l’Yonne naît une petite fille aux yeux
De nos jours, lorsque l’on veut dégager cette aura « classe et posée », il nous suffit de jouer du Chopin. Ou bien même d’allumer la radio ! Frédéric Chopin, d’origine polonaise et ayant passé sa vie surtout à Paris, est considéré même encore
On augmente le son, car c’est au cours d’un petit détour que nous vous proposons d’aller à la rencontre de Jim Morrison, membre du groupe de rock américain, The Doors. Voici une véritable icône du rock dont les nombreux hits et
Devant vous, vous avez maintenant deux immenses noms de la littérature française. Si l’on vous dit : « le corbeau et le renard », que cela peut-il bien évoquer en vous ? Le nom de Jean de la Fontaine vient doucement effleurer votre
Juste à gauche, vous vous trouvez maintenant face au monument aux victimes de l'Opéra-Comique. Cette sépulture fondée en 1888 cache derrière elle une bien triste histoire. C’est le 25 mai 1887 que le drame a eu lieu. Plus exactement,
Si les territoires et départements d’outre-mer français représentent à eux seuls près de 80% de la biodiversité française, sachez que ces îles merveilleuses cachent aussi de nombreux artistes, philosophes, et sportifs, qui contribuent aussi à
Tournez votre regard vers la gauche : vous apercevrez ici le lieu où repose l’un des grands auteurs-compositeurs français : Michel Delpech. Né en 1946, il se passionne dès son adolescence aux grands artistes classiques tels que Gilbert
A droite se trouve la tombe d’Édith Piaf. Parmi les visages les plus marquants en termes de chanson française qui n’a pas vieilli malgré les années, on peut bien citer celui d’Édith Piaf, surnommée "La Môme Piaf". Son corps mince, ses
Le cinéma est né en France, à l’initiative des frères Lumière, et cela en 1895. Un peu à la même époque, en 1883, un jeune et talentueux acteur et humoriste du nom de Félix Galipaux, voit le jour. Né d’un milieu modeste et de parents
Vous êtes maintenant face à la tombe d'Oscar Wilde, qui ne fait pas seulement partie des plus grands écrivains d’Irlande, mais plus amplement des plus grands artistes littéraires que le monde ait connus. Et si vous ne nous croyez pas, voilà
Georges Courteline, plus communément appelé de son vrai nom, Georges Moinaux, et originaire de la ville de Tours, est un écrivain et dramaturge français, ayant entre le 19ème et le 20ème siècle, publié plusieurs comédies satiriques.
Aller, je vous propose ici de partir à la découverte de l’histoire de celle que l’on appelle aujourd’hui la “Saint-Tropez du Portugal” ! Et pour avoir ce surnom, c’est qu’elle a fait pas mal de chemin, parce qu’il n’y a pas si longtemps que ça, Albufeira était encore un simple village de pêcheurs.
Qui dit ville côtière dit pêche, et qui dit pêche dit poisson dans son assiette ! Avis aux amateurs de coquillages et de poissons, ici, à Albufeira, vous allez être servis !
Ici, vous l’avez bien vu, on change complètement de décor en entrant dans la marina d’Albufeira. Port de plaisance fraîchement installé dans la ville, elle dévoile de belles maisons très colorées qui donnent du peps à ce quartier un peu excentré du centre historique.
Vous voici devant un magnifique point de vue sur la marina ! Les bâtiments colorés de ce gigantesque complexe illuminent les quais du port de plaisance d’Albufeira.
Je profite de cet instant pendant lequel vous marchez le long du port d’Albufeira, pour vous donner quelques anecdotes sur l’Algarve. Après ça, vous saurez tout sur cette belle région portugaise qui attire chaque année de nombreux visiteurs.
La mer, la plage, le soleil... C’est ça qui fait toute la splendeur et l’attractivité d’Albufeira ! L’océan qui s’étend à perte de vue, les bateaux qui entrent et qui sortent du port, les gens qui se dirigent tranquillement vers la plage, serviettes à la main...
Ici, vous vous trouvez sur ce qu’on appelle l’Observation Deck d’Albufeira, l’un des points de vue les plus connus. Devant vous s’étend la mer à perte de vue, qui vient s’écraser sur les plages et les falaises de la ville algarvienne.
28 mètres : c’est ce qui vous sépare de la plage de Peneco qui se trouve juste en dessous de vos pieds. C’est l’architecte Joao Castro Ferreira qui réalise, en 2008, cet ascenseur en béton qui relie la partie haute de la ville à l’une des plages les plus fréquentées d’Albufeira.
Avec ses falaises de grès jaune qui l’entourent et son sable doré, la plage de Peneco est l’une des plus célèbres d’Albufeira et de l’Algarve en général. Ici, tout le monde y trouve son compte : déjà, sa longue lignée de sable permet d’accueillir tout le monde !
Jetez un œil sur votre droite ! Avant de nous engouffrer dans cette rue typiquement algarvienne, admirez la tour qui se trouve devant vous.
C’est l’un des vestiges les plus notables de la ville : la porta do Norte. Il n’en reste pas grand-chose, je vous l’accorde, mais les dernières pierres qui restent et qui ornent la jonction entre les rues Joaquim Pedro Samora et Henrique Calado ont traversé les siècles !
La place de la République est l’une des principales places d’Albufeira !
Avis aux grands amateurs d’histoire, et à ceux qui souhaitent découvrir le passé et l’identité de la ville !
C’est l’une des plus grandes places d’Albufeira ! Point de départ privilégié par les habitants pour se retrouver avant de sortir dans les bars, la place Engenheiro Duarte Pacheco est une jolie esplanade entourée de maisons blanches aux moulures colorées et ombragée par les quelques arbres qui se tiennent en son centre.
Aaah la Rua 5 de Outubro ! Festive, animée, dynamique, voici les mots qui caractérisent cette rue pleine de vie, dans laquelle vous allez découvrir toute l’âme d’Albufeira !
Devant vous se trouve un étonnant tunnel qui mène tout droit à la plage de Peneco, l’une des plages du centre-ville d’Albufeira.
Vous voici devant une église bien typique de l’Algarve : l’église Saint-Sébastien. Elle est aussi blanche que les autres façades de la ville, et pour cause, elle a été entièrement blanchie à la chaux comme la plupart des autres bâtiments d’Albufeira.
Cette église, comme celle de Saint-Sébastien, date du XVIIIe siècle. Et comme sa voisine, elle mêle des éléments de style traditionnel, avec des murs blanchis à la chaux, et des éléments baroques, bien reconnaissables à la forme de sa façade.
Plage familiale, pratique et très fréquentée à la fois par les habitants d’Albufeira et les visiteurs, la Praia dos Pescadores est l’une des plus connues de la ville.
Le Miradouro do Pau da Bandeira est parfait pour prendre une belle photo de la plage et des maisons blanches d’Albufeira ! Reconnu comme étant un spot très appréciable pour admirer les couchers de soleil, il marque la fin du centre historique.
Changement d’ambiance et de décors radical, vous êtes devant l’une des 4 portes romaines de la cité d’Augusta Taurinorum : la majestueuse porte Palatine !
Vous voilà devant la cathédrale de Turin et son beau campanile de briques rouges. Si on remonte à l’époque où Turin s’appelait encore Taurinorum, vous auriez ici un théâtre.
Vous voilà face au palais royal de Turin. Les ducs de Savoie, qui vivaient au château de Chambéry depuis 1416, décidèrent en 1562 de déplacer leur capitale de l’autre côté des Alpes et de venir s’installer à Turin.
Elle ne se fait pas trop remarquer, tranquillement installée sur l’effervescente place royale, mais l’église San Lorenzo est aussi discrète qu’incontournable.
Vous le voyez pratiquement tout le temps, et vous voilà enfin au pied du célèbre Mole Antonelliana. Construit en 1863 pour accueillir la synagogue de Turin, les ambitieux travaux suivant les plans imaginés par Alessandro Antonelli, vont finalement prendre tellement de temps et coûter tellement cher, que la ville finira par racheter l’édifice en construction et y installera le musée de l’unification italienne.
L’étrange statue en bronze que vous voyez là est l'œuvre du sculpteur français Marc Didou. Il s’est inspiré de la statue inversée en pierre Médusa, qui vous est peut-être familière si vous avez déjà visité la mystérieuse citerne basilique d'Istanbul.
Vous êtes sur l’immense place Vittorio Veneto, qui servit de place d’armes pendant des siècles. Grâce à sa superficie de 31000m², elle accueille régulièrement de grands évènements culturels divers, et fut d’ailleurs le lieu officiel des rassemblements lors de la libération de l’Italie en avril 1945.
Les ponts joignent généralement l’utile à l’agréable, nous permettant de traverser fleuves et rivières en profitant d’une vue dégagée sur la ville. Vous avez ici un beau panorama sur le Pô, qui est le plus long fleuve d’Italie.
La traversée du pont Victor Emmanuel vous a offert une vue de plus en belle sur l’église della Gran Madre di Dio jusqu’à vous mener sur son parvis.
Son nom est omniprésent en Italie et tout particulièrement à Turin, sa ville natale. Vous avez traversé son jardin, êtes passé près de sa station de métro et croisé sans les voir rues, places et passages.
Qu’elle est belle la piazza San Carlo avec ses deux églises jumelles, son clocher, ses élégantes façades et sa statue ! Cette place piétonne est l’une des plus agréables et harmonieuses de Turin.
D’ici, vous avez une belle perspective pour bien saisir l’ampleur de la Via Roma. Voyez devant vous, cette interminable allée d’arcades bordées de grandes enseignes de mode, et derrière vous, d’où vous arrivez, la place San Carlo, avec la Via Roma qui continue entre les églises et se poursuit jusqu’à la gare.
Il est très classe, et en impose sérieusement : voici le Palais Carignan. S’il est si beau, c’est parce qu’il a été la résidence des princes de Carignan, branche cadette de la maison royale de Savoie.
Vous êtes à présent en plein cœur de ce que l'on appelle le quadrilatère romain. C’est donc ici que tout a commencé.
Vous voilà sur la place della Consolata, face à l’impressionnante église éponyme. Il y avait là, à la base, une petite église romane du Xe siècle dédiée à Saint André
Rien de tel pour prendre le pouls d’une ville et découvrir sa véritable essence, qu’en allant arpenter son marché. Sur la place de Porta Palazzo, s’étale devant vous, le plus grand marché de Turin.
Vous entrez à présent dans une parenthèse enchantée. La galerie subalpine est une galerie commerçante historique turinoise.
De retour sur la piazza Castello, vous voilà face au magnifique palais Madame. Voici comment le poète italien Guido Gozzano décrivait l’édifice : “Aucun bâtiment ne contient autant de temps, d'histoire, de poésie.
Arrêtez-vous un instant et observez attentivement l’angle de l'immeuble face à la belle église baroque. Vous ne rêvez pas, il est bien doté d’un piercing !
Vous êtes devant le palais Città, construit au XVIIIe siècle et qui abrite aujourd’hui l’hôtel de ville de Turin. Mais la place du même nom n’a pas attendu l’arrivée de la mairie pour devenir le centre du pouvoir municipal : elle accueille les institutions administratives de la ville depuis 1472.
La petite église que vous voyez sur votre gauche est la seule église moyenâgeuse gothique en briques rouges de la ville. Construite entre 1227 et 1280, elle est considérée, avec l’église de la Consolata, comme le plus ancien lieu de culte de la ville.
Si l’on devait faire une skyline de Porto, nul doute que ce site incontournable en ferait partie. Implanté dans le paysage, le Pont Dom Luís est cette structure métallique qui relie les trésors de Porto, aux célèbres caves à vins de Vila Nova de Gaia.
Que ceux qui n’ont jamais succombé à un petit verre de Porto, lèvent la main. Ah oui, ne bougez pas, on vous voit ! Bien sûr que non, on plaisante !
Qui dit un peu d’escalade, dit bien souvent une vue dégagée à la clé. Et oui, on ne vous a pas fait monter pour une histoire d’exercice. Regardez plutôt un peu le spot photo que l’on vous a déniché.
Toute en longueur doit normalement se dresser devant vous, celle que l’on appelle la muraille Fernandina. Bien qu’on soit loin des mesures interminables de celle de Chine, cette portion de fortification gothique est une belle trace du passé de Porto.
C’est dans cette ruelle discrète que se cache l’un des trésors les plus précieux de Porto. L'église Santa Clara, à l’inverse de beaucoup de ses "semblables", révèle son potentiel bien plus par ce qu’elle renferme, que par son esthétique extérieure.
Inauguré en 1798, le théâtre national São João visait principalement à doter la 2e plus grande ville du pays d’un opéra.
Peut-être pas l’attraction la plus célèbre de Porto, l'église de Saint Ildefonso est assurément un agréable élément de décor sur le trajet. Construit entre 1709 et 1739, cet édifice religieux met à l’honneur l’art de l’azulejo.
En vous amenant aux abords de cette grande adresse de Porto, c’est un voyage dans le temps que nous vous proposons de vivre, alors accrochez-vous !
Bien connue des adeptes du shopping, la rue Sainte-Catherine est l’artère la plus commerciale du centre de Porto. Ses premières origines remontent en 1662, et sa longueur de 1500 mètres n’est seulement atteinte qu’en 1784, après un dernier prolongement en direction de la place Marquês de Pombal.
Perdue au milieu de l’agitation et des enseignes en tout genre, c’est l’une des plus ravissantes églises de Porto qui percute notre regard. Installée à cet endroit depuis le début du XVIIIe siècle, la chapelle des Âmes nous laisse béats par ses façades si artistiques.
Vous voilà aux abords du marché Bolhão, l’une des adresses incontournables de Porto, classé monument historique en 2006.
À votre avis, à quel bâtiment emblématique de toute ville avons-nous à faire ? Pour vous aider, il ne s’agit ni d’un palais de justice, ni d’un théâtre, ni d’un musée. Alors, une petite idée ?
Ce n’est pas parce que l’on vous emmène voir une gare, qu’on souhaite vous envoyer vers une autre destination. Bien au contraire, on vous garde avec nous ! Toute visite à Porto ne peut se faire sans un arrêt à la gare de São Bento, qui use déjà de son charme par son aspect extérieur.
À toute ville sa place et Porto ne fait pas exception. Reliant l’ancien Porto à sa partie la plus récente, la Place de la liberté est un point de passage incontournable dans la découverte des lieux.
Serré entre deux bâtisses, ce petit bout de façade néo-gothique de couleur blanche n’est pas une église, mais bel et bien une librairie, ou plutôt LA librairie Lello & Irmão.
Pour éviter toute confusion, l’église que l’on cherche à vous faire connaître est celle de droite, et non pas celle de gauche collée au clocher.
C’est au détour de cette place, et de ces jardins paisibles, qu'apparaît cette intimidante bâtisse, dont la couleur jaune solaire trompe les apparences.
Implantée dans le paysage de Porto, cette tour de 76 mètres, soit la plus haute du pays, est un immanquable dans notre visite.
C’est dans ce type d’endroits cachés que Porto prend des aires de carte postale. Depuis ce belvédère, c’est l’ensemble de la vieille ville, et plus encore, qui se trouve sous vos pieds.
Quelle belle structure en fer rouge avons-nous là. Construit en 1885, sous la demande de la mairie, le Marché Ferreira Borges a été pensé dans le but de remplacer l’ancien marché de Ribeira.
Vous voilà aux portes d’un autre édifice religieux réputé de Porto. Construite courant XIVe siècle, sous l’ordre religieux des Franciscains, l’église Saint-François est un combiné de 3 styles architecturaux : le roman et le gothique, dans ce qui s’apparente à sa structure et le baroque pour sa décoration intérieure.
C’est comme poser sur les eaux du Douro que ce point de vue imprenable vous reçoit. Ici, tout se joue en deux étapes. Dans un premier temps, on s’imprègne tranquillement du lieu.
Vous les sentez ces vibrations qui viennent jusqu'à vous, ce sont celles du quartier Ribeira, le cœur historique de Porto. Que ce soit les locaux ou les visiteurs d’un jour, tout le monde aime ce quartier pour son côté authentique.
En face à face avec la Sé de Porto, autrement dit la cathédrale de la ville, vous devez normalement croiser une colonne de pierre torsadée, appelée “pelourinho” en portugais.
Posée sur les hauteurs de la ville, la Sé, ou cathédrale de Porto, se fait désirer. Édifiée au XIIe siècle, et plusieurs fois reconstruite au cours de son histoire, elle présente un ensemble architectural harmonieux, et pourtant très hétérogène.
La petite place sur laquelle vous arrivez vous met nez à nez avec une nouvelle église, plus sobre que celles que vous avez pu voir jusque-là. Il s’agit de l’église de Saint-Laurent, aussi connu sous le nom de l’église des Grillons.
Vous passez sur votre droite le palais de la Bourse de Porto. Ce grand bâtiment néoclassique fut construit au XIXe siècle sur le site de l’ancien couvent des Franciscains, détruit par un incendie. Le nouveau bâtiment est aussi immense qu’imposant.
De ce côté du bâtiment, vous avez l’entrée de la célèbre Walker Art Gallery. Ce Musée des Beaux-Arts incroyable, inauguré en 1877, abrite la deuxième plus importante collection d’œuvres d’art en dehors des musées de Londres.
Arriver devant le Saint George’s Hall est quelque chose de plutôt impressionnant. Il est un peu la cerise sur le gâteau de ce quartier, considéré comme l’âme de la ville tant il est rempli de musées, de galeries d’art, de salles de concert et de théâtre, et de magnifiques jardins.
Les imposants monuments néoclassiques continuent avec cette fois-ci, l’ensemble accueillant le World Museum de Liverpool et la Central Library. Ce musée du monde est le plus grand de la ville.
Vous l’avez remarqué, nous sommes dans une zone dédiée à la culture. Vous avez ici, le légendaire Empire Theatre, qui a vu défiler sur ses planches, les plus grands noms de la musique. C’est le deuxième construit à cet emplacement succédant à un premier opéra ouvert en 1866 et qui était alors la plus grande scène de Liverpool.
Vous empruntez à présent l’agréable rue de Mount Pleasant, bordée de belles bâtisses victoriennes. Si vous remontiez le temps quelques siècles en arrière, vous seriez sur l’une des collines qui entouraient la ville.
Liverpool, forgée d’un fort caractère religieux, possède non pas une, mais deux cathédrales aussi surprenantes et spectaculaires l’une que l’autre. La cathédrale catholique romaine que vous voyez là et la cathédrale anglicane située à moins d’un kilomètre en bas de Hope Street.
Vous descendez à présent Hope street qui est la rue principale du joli quartier résidentiel de Canning. Et ce n’est pas n’importe qui cette rue de l’espoir ! Elle a été élue meilleure rue de Liverpool puis de tout le Royaume-Uni et l’Irlande par l’Académie d’Urbanisme.
Vous ne pouvez pas la ratez, elle se dresse, gigantesque, devant vous, voici la cathédrale anglicane de Liverpool. C’est tout simplement la plus grande cathédrale du Royaume-Uni !
Pas besoin de vous faire un dessin, pour vous expliquer que sur votre gauche, se trouve l’entrée de Chinatown. Les quartiers chinois, ces petits condensés de Chine hors de leur pays d’origine, existent un peu partout dans le monde.
L’église que vous avez sur votre droite est l’église Saint-Luc, mais les locaux la surnomment familièrement l’église bombardée. Cette ancienne église paroissiale anglicane a été construite au début du XIXe siècle.
Voilà la rue que l’on doit absolument découvrir lorsque l’on vient à Liverpool : Bold street. C’est tout ce qu’on aime ! Une ambiance bohème, des musiciens, des vrais, à chaque coin de rue, une succession de restaurants à faire pâlir les instagrameurs, des boutiques design ou vintage, des disquaires et une bonne ambiance palpable.
Vous passez sur votre gauche un bâtiment riche de 300 ans d’histoire. Il s’agit du Bluecoat. On appelait Manteaux bleus ou simplement les écoles bleues, les centres d’éducation caritatifs anglais nés au XVIe siècle.
Ce beau monument de style Beaux-Arts que vous voyez au centre de la place est dédié à la reine Victoria, l’un des monarques britanniques les plus emblématiques. Son règne de 63 ans et 7 mois est le deuxième plus long de toute l’histoire du Royaume-Uni après celui d’Elizabeth II.
Vous voilà devant le fameux Cavern Club. Vous le savez certainement, c’est ici que les Beatles firent leurs débuts officiels, après s'être échauffés sur les scènes de Hambourg. C’est dans cette petite salle que leur producteur Brian Epstein les a découverts.
Vous voilà au cœur de Liverpool, devant le Chavasse Park, et ses grands escaliers au centre de la zone commerciale populaire de Liverpool One. Le grand signe que vous voyez, en toutes lettres hollywoodiennes, est assez récent.
Vous pénétrez à présent sur la marina de Liverpool et son célèbre Albert Dock. C’est le site le plus visité de la ville, et même d’Angleterre, Londres excepté.
Vous avez devant vous le Merseyside Maritime Museum. Il fait partie des musées nationaux de Liverpool et a été inauguré dans les années 80. Son entrée est gratuite alors n’hésitez pas à aller y faire un tour même rapide.
Parmi les nombreux musées de l’Albert Dock, il y en a un qui fait fureur, c’est celui que vous avez devant vous : The Beatles’ Story Museum. Celui-ci n’est malheureusement pas gratuit, mais il s’agit d’un must pour les fans du groupe.
La sculpture d’Ugo Rondinone représentant une pile de pierres colorées vous indique que vous êtes devant le Tate Museum de Liverpool. Moins impressionnant que celui de Londres, il est néanmoins un passage obligé pour les amateurs d’Art contemporain, regroupant d’excellentes collections, dont une exposition permanente gratuite.
D’ici vous avez un point de vue intéressant sur l’architecture contrastée du port de Liverpool. Le mariage entre les bâtiments protégés du patrimoine et les constructions ultramodernes du XXIe siècle forment une carte postale originale et emblématique de la ville.
Vous avez face à vous l’ensemble de bâtiments le plus emblématique de Liverpool : The Three Graces, soit les trois Grâces en français. Il est composé du Royal Liver Building à gauche, du Cunard Building au centre et du Port of Liverpool Building à droite.
Vous l’aviez compris, Liverpool c’est la ville des Beatles. Vous allez entendre leurs chansons, voir leur musée, croiser de multiples allusions à leur passé, alors pendant que vous les admirez tous les quatre immortalisés dans le bronze, faisons un petit point biographique rapide pour revenir sur cet événement planétaire incroyable qu’a été la période Beatles.
Cet édifice majestueux, avec son fronton à colonnades et sa belle coupole, est l’Hôtel de Ville de Liverpool. On le doit à John Wood, célèbre architecte de la ville de Bath, qui dessina les plans de ce sublime édifice géorgien.
Vous voyez, assise sur son banc, Eleanor Rigby, qui vous attend. Cette statue de pierre est l’œuvre de l’artiste Tommy Steele. Aujourd’hui, vous le découvrez sous sa casquette de sculpteur, mais il est également une idole des jeunes des années 50.
La plupart des grandes mégalopoles du monde possèdent une tour plus haute que les autres et au sommet de laquelle on vous conseille de monter si vous voulez englober la vue de la ville d’un seul coup d’œil. Eh bien, à Liverpool, vous l’avez compris, c’est ici que ça se passe.
Obligé de traverser la Gran Via pour s’éloigner un peu et essayer de faire rentrer le gigantisme de l’édifice Telefónica dans votre champ de vision.
Nous voilà sur la place la plus célèbre de la ville, la Puerta del Sol. Alors pourquoi “Porte” et pourquoi “Soleil” ?
Toutes ces faïences peintes qui vous ont agréablement surpris dans la rue appartiennent au tablao Villa Rosa que vous avez à présent devant vous.
La place Santa Ana sur laquelle vous arrivez à présent est au cœur du Barrio de las Letras, le quartier des Lettres.
Vous êtes devant l’entrée du Couvent de las Trinitarias descalzas, autrement dit, des trinités déchaussées !
Vous arrivez sur la calle de las Huertas, traduisez par la rue des jardins potagers, en rapport à ceux qui se trouvaient sur le cours du Prado.
La statue rendant hommage à Velasquez sur votre droite vous annonce que vous arrivez devant le célèbre musée du Prado.
Le palais aux tons roses que vous passez à présent est le salon des Royaumes.
La magnifique allée promenade de l’Argentine, surnommée la promenade des statues, vous offre une entrée en haie d’honneur dans le magnifique parc du Retiro.
Vous voilà face au splendide palais de cristal du Retiro. Il n’y a pas à dire, cette immense serre tropicale est un joyau de l’architecture du fer et du verre en Espagne.
Le palais Vélasquez que vous voyez à présent, a également été construit pour un événement, cette fois-ci en 1883, pour l’exposition nationale minière.
Vous voilà à présent face au majestueux monument à Alfonso XII qui domine l’étang et donne au parc son emblème.
Tiens, un arc de triomphe. Voici la Puerta de Alcala, l’une des cinq anciennes portes d’accès à la vieille ville.
Arrivés sur la place de Cibeles vous vous rendez tout de suite compte que vous êtes sur l’une des places les plus importantes et certainement l’une des plus célèbres de la ville.
Vous voilà sur la fameuse Gran Via, l’artère principale de la ville et face à l’un de ses plus célèbres clichés : L’édifice de Métropolis.
Changement de décors et d’ambiance avec le quartier si vivant de Chueca. Considéré comme le quartier gay de la ville, Chueca est l’une des destinations préférées à l’échelle mondiale du tourisme LGBTQ.
Vous arrivez à présent devant le marché de San Ildefonso qui est devenu l’endroit idéal pour faire une pause “cuisine du monde” lors d’une visite dans les quartiers de Chueca, Malasaña ou Tribunal.
Vous arrivez sur la jolie place San Ildefonso, animée de nombreuses terrasses et dominée par l’église éponyme.
Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi est-ce qu’on s’arrête devant cette église qui est loin d’être la plus belle de la ville, alors faites nous confiance et si vous le pouvez, car il y a maintenant une participation demandée à l’entrée, faites un tour à l’intérieur.
Avant de devenir cette ville cosmopolite influencée par diverses cultures, Dubaï était un village de pêcheurs qui reposait sur son commerce de perles et son élevage de bétail.
Vous voici devant le premier établissement scolaire de l’émirat de Dubaï, construit en 1912, bien avant les nombreux gratte-ciel de la ville qui, eux, datent de la fin du XXe siècle.
Voici un véritable témoignage du passé historique de Dubaï.
Place au marchandage ! Le souk de Deira propose un grand nombre de produits en tout genre, à des prix qui peuvent être très attractifs si vous avez le sens des négociations.
Le souk des épices a de quoi solliciter plusieurs de vos sens !
Pour rejoindre le quartier de Deira, deux choix s’offrent aux visiteurs : prendre le métro ou monter dans l’un de ces petits bateaux traditionnels, appelés les abras.
Khor Dubaï signifie en français la “rivière de Dubaï”.
Je profite de ce petit temps de marche pour vous raconter l’histoire de Dubaï.
Plus grande ville des Emirats Arabes Unis, Dubaï est une ville cosmopolite qui a accueilli, et continue d’accueillir encore aujourd’hui, des expatriés du monde entier
À Dubaï, on retrouve un grand nombre de souks, notamment dans le quartier de Deira, où vous êtes actuellement, et le quartier de Bur Dubaï de l’autre côté de la crique.
Vous l’avez certainement déjà compris, les mosquées font partie intégrante du paysage de Dubaï.
Cet édifice construit en 1939 en argile est un musée dédié à l’histoire et le développement des forces de police de Dubaï, leurs uniformes et leurs équipements ainsi que le système judiciaire de la ville.
Cette rue est l’une des rues les plus commerçantes du quartier Deira, et aussi l’une des plus longues.
Loin des grands gratte-ciel qui composent les autres quartiers de Dubaï, Deira est un incontournable puisque c’est l’un des quartiers les plus anciens de la ville, avec celui de Bur Dubaï de l’autre côté de la crique.
Véritable trésor de Dubaï, le marché de l’or a de quoi impressionner. Avec plus de 300 détaillants qui vendent de l’or, de l’argent, des pierres précieuses, les allées de ce marché si particulier scintillent de mille feux.
Vous voyez sur votre gauche, un petit rassemblement de food trucks, d’où émanent des odeurs qui vous ouvrent peut-être l'appétit.
Vous traversez à présent le Wisla, la Vistule en français, qui est le fleuve principal de Pologne. Historiquement, la Vistule est la frontière naturelle entre les peuples slaves et les peuples baltes.
L’étrange bâtiment que vous voyez sur votre gauche est la Cricoteka, l’un des pôles culturels principaux de la ville.
Vous êtes immédiatement intrigué par cette grande place remplie de chaises vides. Il s’agit de la place des héros.
De ce côté de la Vistule, vous êtes dans le quartier de Stare Podgorze. L’ambiance est plus traditionnelle et moins touristique que Kazimierz.
Vous voilà face à la magnifique église néo-gothique Saint-Joseph. Vous ne vous attendiez peut-être pas à tomber sur une église Chrétienne dans le quartier juif et encore moins à une si importante, mais avant la création du ghetto, les juifs et les catholiques vivaient ici ensemble.
Vous voilà sur le génial pont passerelle du Père Bernatek. Édifié en 2010 pour relier les quartiers de Kazimierz et de Podgorze, il tient son nom du moine Laetus Bernatek, célèbre pour son dévouement et son implication notamment dans la construction d’hôpitaux.
L'immense bâtiment en brique rouge que vous passez sur votre gauche est l’hôpital de l’Ordre des frères de la miséricorde. Les Bonifraters.
La place Wolnica, sur laquelle vous arrivez à présent, fait partie de l’ancienne place du marché de la ville de Kazimierz.
Cette imposante église en brique a été fondée en 1340 par Casimir le Grand. Vous n’arrêtez pas d’en entendre parler de Casimir le Grand depuis que vous êtes arrivés à Cracovie.
Empruntez la porte que vous voyez devant vous, pour rejoindre le passage où a été tournée l’une des scènes fortes du film “La liste de Schindler”.
Vous arrivez à présent sur la place Neuve, facilement reconnaissable avec son marché couvert octogonal au centre.
Voici à présent la synagogue Izaaka. Vous avez remarqué comme toutes les synagogues que vous avez vues à Cracovie sont différentes les unes des autres.
Vous voilà au cœur de l’histoire juive de Cracovie. On raconte que c’est ici, sur la rue Szeroka, que Casimir le grand a élevé les murs de la première université.
Voilà donc l’une des synagogues encore debout aujourd’hui. Il s’agit de la Synagogue Remuh avec son cimetière attenant. Remuh est un acronyme des premières lettres de Rabbin Moïse Isserles.
Ce n’est pas pour vous plomber le moral que l’on vous mène de tombeau en tombeau, mais le nouveau cimetière juif de Cracovie, en plus d’avoir le mérite d’être gratuit, est un incontournable de la découverte du quartier de Kazimierz.
Vous voilà devant la Vieille Synagogue, qui, comme son nom l’indique, est la plus ancienne synagogue, non pas de Cracovie, mais de la Pologne toute entière.
Parce que derrière chaque statue se cache une histoire, celle-ci va très certainement vous intriguer.
Nombreux sont ceux qui n'arrivent pas à trancher entre le côté ravissant et le côté menaçant de ce monument.
Question beauté artistique, je doute que l’on puisse se plaindre à la vue de cette immense œuvre d’art.
Sombre, austère et intimidante, la Tour poudrière attire moins facilement les regards à côté de sa voisine, la flamboyante Maison municipale.
Avec ses 65.7 mètres de hauteur, vous voilà à présent non pas au pied du mur, mais au pied du plus haut clocher indépendant de Prague.
Située en dehors des limites du ghetto, où sont concentrées toutes les autres structures juives, la synagogue Jérusalem, ou la synagogue du Jubilée, de son deuxième nom, est le seul endroit du culte israélite encore en activité sur Prague.
C’est dans une allure extérieure néo-classique que vous salue l’opéra d'État de Prague, soit l'une des scènes les plus importantes et les plus connues d'Europe.
Avant de commencer les présentations avec notre nouvelle attraction, on vous met au défi de la faire tenir en entier sur une photo. Vous verrez, ce n'est pas gagné !
Au premier abord, c’est tout le côté ordinaire d’un boulevard de grande agglomération qui s’étale à perte de vue.
Au cas où vous n’auriez pas encore trouvé où loger ce soir, voilà une adresse légendaire à Prague.
Avouez, sans nous, jamais vous n'auriez pensé à venir vous perdre dans ce passage. C’est pour ça que l’on est là !
Ce que les Champs Élysées sont à Paris, la place Venceslas l’est à Prague.
Dans l’univers de la gastronomie, certaines nations ont une réputation à défendre. Mais parmi la crème de la crème, l’élite des fourneaux, la cuisine tchèque n’est visiblement pas des plus louangées.
C’est parfois à l’angle d’une rue que se trouve l’objet de toutes les attentions. Pour autant, ne vous fatiguez pas à chercher l’extraordinaire dans les minuscules détails.
Vous aussi ça vous est déjà arrivé des centaines de fois de revoir des films et de continuellement relever des détails que vous n’aviez jamais remarqués lors des visionnages précédents.
Figure centrale à Prague, vous n’aurez pas fini d’entendre parler de Jan Hus lors de votre séjour.
S’écouter un audioguide sur l’arrière-plan de la place de la Vieille-Ville, plutôt deux fois qu’une.
C’est probablement à cet endroit que le cœur de Prague bat le plus fort. Pour la décrire, beaucoup d’habitants et de visiteurs qualifient cette place d’ancienne et accueillante.
En visitant Prague, vous verrez que les tours ne manquent pas, mais quitte à en retenir une autant se souvenir de celle-ci.
Loin de l’image que l’on se fait d’un Hôtel de ville, celui de Prague reflète tout le passé et la puissance de la Vieille ville.
Cette belle demeure recouverte de sgraffite, soit ces décorations murales comme griffées sur la façade, a vu passer comme propriétaires la famille Kafka, de 1889 à 1896.
Dans le centre historique de Prague, il y a de la place pour deux Hôtels de Ville.
Fantôme errant, trésors cachés, histoires d’épouvantes sans fin, Prague, la millénaire, nous plonge dans un univers débordant de mystère à chaque coin de rue.
Particulièrement remarquable par sa façade blanche et ses toitures vertes, l'église Saint-Nicolas, à ne pas confondre avec celle du quartier Malá Strana, s’élève au centre de la Vieille ville depuis 800 ans.
“Détruis-toi pour te connaître. Construis-toi pour te surprendre. L’important n’est pas d’être. Mais de devenir.” Combien d’entre vous seraient capables de dire qui se cache derrière ces paroles profondes ?
Comptée parmi les 7 célèbres synagogues de la ville, la synagogue Maisel était autrefois l’édifice le plus grand et le plus somptueux du ghetto juif.
Dans ce qu’on pourrait appeler le vieux Prague, il existe une zone un peu à part, mais tellement ancrée dans l’histoire de la capitale.
Dans son allure gothique/Renaissance très épurée, la synagogue Pinkas a été construite par l’un des chefs de la cité juive pragoise, en 1535.
Non loin de la rivière Vltava, c’est peut-être une mélodie plus surjouée que vous entendrez à l’approche de ce bâtiment.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire et en dépit de l’ancien cimetière juif situé juste à côté, le point d’intérêt face à vous est bien plus qu’une bâtisse aux faux airs de maisons hantées.
S’il vous plaît, avant toute chose, ne sous-estimez pas la bâtisse plutôt austère droit devant vous, car il s’agit de la plus vieille synagogue encore en activité en Europe centrale.
C’est sans aucune connaissance en architecture que nous nous permettons de dire que l’édifice se dévoilant sous vos yeux est une construction remarquable, pleine d’éclat.
Figure d’un autre temps, la Tricana de Coimbra est l’image féminine emblématique de la ville.
Nous y voilà, juste devant l’un des témoignages les plus expressifs et les plus anciens de l’art roman au Portugal.
On le regarde à peine sur notre passage, et pourtant, le musée national Machado de Castro est l’une des institutions artistiques les plus importantes dans tout le pays.
Que ce soit bien clair entre nous, ce n’est pas parce qu’on la désigne de nova, ou “nouvelle” en français, que cette bâtisse religieuse n’a pas grand chose à nous apprendre.
Sans même aller plus loin, on aperçoit déjà entre les feuillages et les voitures qui passent, l’imposante silhouette de l’aqueduc de São Sebastião.
Souvent cité dans la famille des plus beaux jardins du monde, le Jardim Botânico a été fondé en 1774, à la demande du Marquis de Pombal.
Accrochée à une colline, surplombant le Rio Mondego, Coimbra c’est l’humeur festive et populaire de sa Baixa, le tempérament érudit et ancestral de sa Alta, mais aussi la romance et la sainteté de son quartier de Santa Clara.
Quiconque visite Coimbra, ne peut manquer un arrêt à cet endroit tout spécial. Témoignage vivant de ce que le Portugal a de meilleur à offrir, en matière de science, d’arts et de culture, l’Université de Coimbra incarne à elle seule sept siècles d’histoire portugaise.
Si l’Université de Coimbra détient une réputation sans frontière, c’est bien évidemment dû à son image de citadelle du savoir, mais pas uniquement.
Quasiment en fin de parcours sur Coimbra, depuis la Serra da Estrela où il prend naissance, le Rio Mondego est le plus long fleuve 100% portugais.
Si la plupart des abbayes ont été abandonnées, après la disparition des divers ordres religieux, le monastère de Santa Clara-a-Velha est lui toujours en place.
Par définition dédié aux enfants, le Portugal dos Pequenitos, ou le “Portugal des tout petits”, placé sur votre gauche, est le plus ancien parc à thème du pays.
Perché sur les hauteurs du quartier de Santa Clara, le monastère de Santa Clara-a-Nova a été construit entre 1648 et 1696, afin de suppléer celui de Santa Clara-a-Velha, plusieurs fois frappé par les inondations du Rio Mondego.
Oh là là, mais quel endroit magique ! C’est parfaitement situé sur les pentes du quartier de Santa Clara, que ce miradouro, ou belvédère, si l’on traduit dans la langue de Molière, se dévoile tout en grâce et en perspective.
Quand on cherche à rattacher la musique au Portugal, 4 lettres se bousculent dans notre tête, avant d’être prononcées sur le bout de nos lèvres. Ensemble, elles donnent le mot Fado.
Vous voilà aux portes de la Rua Ferreira Borges ! Fidèle au même tracé depuis l’époque médiévale, cette artère est l’une des plus animées du quartier.
Glissée, voire cachée entre deux bâtisses sur votre droite, la Porta da Barbacã est un précieux témoin de la deuxième enceinte fortifiée de Coimbra.
Il ne nous faut pas plus qu’un rapide regard, sur la Praça do Comércio, pour s’apercevoir que l’église de São Tiago est la référence historique des alentours.
Bien que le centre historique s'étende sur presque toute la ville, Coimbra est composée de deux zones géographiques limitrophes, à la morphologie et à l’histoire distinctes.
Ajouté au Café Majestic de Porto, et au Café Brasileira de Lisbonne, le Café Santa Cruz de Coimbra clôture avec brio le trio des plus beaux cafés du pays.
Parfaitement intégré dans le patchwork chromatique et architectural de la place, sur laquelle il se trouve, le Mosteiro de Santa Cruz est l’un des plus anciens et des plus importants monuments de Coimbra.
C’est ici qu’on s’arrête les amis, aux abords du Jardim da Manga, qui émerge sur notre chemin comme une sorte de lieu enchanté.
Perchée en position favorable à 160 mètres d’altitude, l’Alta de Coimbra est le deuxième visage de la ville.
Avec son allure à la fois trapue et ancienne, il est facile de croire que la Torre de Anto comptait initialement parmi les points les plus élevés de l’enceinte médiévale de Coimbra.
À peine l’arche traversée, que nous voilà agréablement surpris par ce portail à la riche décoration naturaliste, tant rattaché au style architectural manuélin.
Aussi belle au naturel en journée qu'éclairée la nuit, l’église Saint-Michel figure sur plus d’une carte postale de la ville. Cependant, derrière cette apparence photogénique indiscutable, on en oublierait presque que le monument a connu une histoire mouvementée.
Pour découvrir Gand dans une ambiance des plus détendues, vous verrez qu’il n’y a rien de mieux que de se donner rendez-vous aux bords de ses canaux. Jugés comme l’un des endroits les plus beaux de la ville, le quai Korenlei et son pendant sur la rive opposée, le quai Graslei, formaient à eux deux le port de Gand au Moyen Âge.
Le grand bâtiment construit tout en long que vous avez devant vous, est l’ancienne Grande Boucherie de Gand. Elle a été conçue par l’architecte de la ville, pour remplacer l’ancienne halle aux viandes en bois, qui était en très mauvais état.
Si Bruxelles peut être fière d’avoir un Manneken Pis bien connu, Gand l’est encore plus puisqu’elle en compte pas moins de quatre. Au-dessus de la porte d’entrée qui se tient devant vous, vous pouvez remarquer trois petites statuettes dans leur plus simple appareil.
Il est plus qu’évident que votre visite à Gand ne pourrait être complète sans un passage obligé par le château des Comtes. Fière et un peu rebelle, cette forteresse a été construite en 1180, par le comte Philippe d’Alsace, sur les ruines d’une ancienne fortification en bois du IXe siècle, bâties à l’époque des invasions normandes.
C’est ici, aux portes du château, que toute l’âme médiévale de Gand est si bien concentrée. En quelque sorte ville dans la ville, le quartier de Patershol nous procure l’effet d’un voyage dans le temps avec ses ruelles étroites, couvertes de pavés, où se déclinent de charmantes habitations dessinées au Moyen Âge.
Ville posée sur l’eau, Gand se dresse au confluent de deux fleuves que sont l’Escaut et la Lys. Résultat, la ville flamande est traversée en tout point par plusieurs canaux, comme l’est aussi sa grande sœur Bruges.
Reconnaissable par sa tourelle cylindrique qui occupe l’angle, le Toreken est le bâtiment le plus ancien de cette place qui s’appelle la Vrijdagmarkt. Son nom est issu du néerlandais “toren”, signifiant “tour”. Il a fait son apparition au XVe siècle en tant que Maison de la Corporation des Tanneurs, pour la vente des cuirs.
Chaque ville possède ses bâtiments religieux qui lui sont propres et qui content à travers leurs murs robustes leur histoire. Ici, c’est sur l’église Saint-jacques que nous souhaiterions que se porte votre attention.
Si à l’approche de ce bâtiment tellement impressionnant, vous trouvez au sol quelques grains de riz ou quelques pétales de roses écrasées, c’est normal. C’est l’Hôtel de Ville qui se déploie sur votre droite. Les grains de riz et pétales de roses sont bien souvent associés aux événements importants et joyeux, tels que les mariages par exemple.
De loin l’un des symboles incontestés de Gand, la cathédrale Saint-Bavon a fière allure et ne passe pas inaperçue. Au Moyen Âge, la ville flamande, relativement florissante et influente, s’est engagée dans la construction d’édifices religieux toujours plus grands et plus coûteux.
Pris entre deux grands points d’intérêts de la ville, le théâtre Royal de Gand nous fait de l'œil avec sa belle façade colorée où trône Apollon, dieu des arts, du chant et de la musique, accompagné de ses muses. Il a été construit au XIXe siècle, et fut inauguré au cours de l’année 1827, à l’endroit même où serait née la ville.
Dépassant les 90 mètres, il est évident que le Beffroi apparaît dans l’horizon du centre historique de Gand. Il s’impose et est défini par de nombreux habitants comme LE bâtiment le plus imposant de la ville. À vous de voir. Construite en deux temps au XIVe siècle, cette tour gothique était à la fois le symbole de liberté, de prospérité, de pouvoir, mais aussi d’indépendance communale.
Le Stadshal est sans doute l’un des endroits les plus intrigants que l’on puisse connaître dans la ville de Gand. Et pourquoi nous demanderiez-vous ? Il s’agit d’une sorte de halle contemporaine, où l’on y trouve exclusivement, caché dans son sous-sol, un parc pouvant contenir jusqu’à au moins 200 vélos, ainsi qu’une brasserie.
Que ce soit pour son vieil âge ou pour son imposante allure en pierre bleu-gris de Tournai, l’église Saint-Nicolas impose le respect. Jadis, il est raconté qu’une chapelle en bois était présente à cet endroit, au cours du XIIème siècle. De style roman, elle a vite été considérée comme trop petite.
Construit à l’occasion de l’Exposition universelle de 1913, l’ancien bâtiment des postes est un vrai bijou gantois sur lequel on ne pouvait pas faire l’impasse. Jadis, il servait de terminus aux tous premiers tramways à chevaux et aux postillons.
Affectueusement surnommée “le cœur vibrant de Gand”, cette place est le point de rencontre des deux rues commerçantes les plus fréquentées. Appelé Korenmarkt, c’est un site touristique très célèbre dans la ville.
Petit favori des romantiques dans l’âme, le pont Saint-Michel est connu pour offrir un moment de pleine conscience. Si son histoire est très vite résumée en un pont tournant plat, remplacé par un autre en pierre au début du XXe siècle, ses panoramas sur les paysages gantois peuvent, eux, s’apprécier pendant des heures.
Lors de votre visite de Gand, il y a de grandes chances que le street art vous apparaisse omniprésent. Et s’il y a bien une chose pour laquelle le street art impressionne, c’est par sa capacité à transformer un lieu tout à fait banal, en véritable œuvre d’art, dont le spectateur est acteur, et fait partie donc intégrante du paysage.
Bien sûr, Cannes ne serait pas Cannes sans son Vieux-Port, son palais des Festivals et des Congrès, son Suquet et sa Croisette. Mais elle ne serait pas non plus la même sans ses mythiques palaces, classés 5 étoiles, que l’on vient admirer et photographier, faute de pouvoir y séjourner.
Indissociable de l'identité cannoise, la Croisette est ce boulevard chic français réputé pour incarner l'esprit strass et paillettes.
Entre les Cannois et les visiteurs, la Croisette ne fait aucun jaloux. Elle offre un peu de sa féérie méditerranéenne à qui veut bien la foulée. Mais dans le cadre d’un palace, sa disponibilité est plus limitée.
S’il y a bien un endroit intimement lié à l’identité de la ville, c’est sans hésitation celui-ci. Terre de cinéma depuis 1946, Cannes a plusieurs fois revu ses infrastructures pour continuer à accueillir les éditions successives de son célèbre festival international.
Si Los Angeles a son indétrônable “Walk of fame”, Cannes a son prestigieux Chemin des étoiles. Derrière cette appellation pleine de glamour, se cache en réalité l’un des parvis les plus visités de la Côte d’Azur.
Point central de la ville, le Vieux-Port est une invitation aux plaisirs de la mer et aux joies du farniente. Classé parmi les plus anciens de sa catégorie sur la Côte d'Azur, ce point de liaison entre l’ancienne Cannes et la Cannes du showbiz doit son existence à la persévérance de Lord Brougham.
Réduire entièrement l’histoire de la ville au cinéma est un grand classique, mais en prenant le temps de chercher un peu plus loin, on se rend compte qu’il y a bien plus que ça. Loin des projecteurs et de l’animation du centre de Cannes se dessine le Suquet, ou bien le “sommet” si on le traduit du provençal.
C’est en pleine ascension, vers le point le plus haut du Suquet, que vous croisez la route de ce site d’intérêt plutôt discret. Construite au XIIe siècle, dans le but d’offrir un site d’observation et de surveillance contre les attaques ennemies dans la citadelle, la tour a son nom et son histoire rattachée à l’un des personnages français les plus légendaires.
Quand on constate la vue imprenable que cette église a sur la baie de Cannes, on est obligé de penser que tous les édifices religieux ne peuvent se vanter d’avoir un tel privilège. Située tout en haut du quartier historique du Suquet, l'église Notre-Dame-d’Espérance a mis plus d’une centaine d'années à voir le jour.
Entre deux points d’intérêts, on ne peut pas résister à l’envie de vous faire connaître le plus beau point de vue de la ville. C’est ici, sur la place de la Castre, que la baie de Cannes joue de son plus bel effet
Niché dans les vestiges du château médiéval des abbés de Lérins depuis 1919, le musée des explorations du monde est un réel emblème culturel cannois. Celui qui autrefois s’appelait musée de la Castre est le fruit d’importantes donations, dont la première remonte au XIXe siècle.
Vestige des fortifications de la ville, la tour du Suquet a été construite entre le XIe et le XIIe siècle sous l’initiative des abbés de Lérins. Grâce à ses 22 mètres de hauteur, elle permettait autrefois de surveiller la baie de Cannes en proie à de nombreuses attaques ennemies, aussi bien terrestres que maritimes.
À la fois éloigné sur son éperon rocheux, mais proche par ses surprenantes dimensions, le château Vallombrosa fait largement partie des plus belles propriétés de Cannes.
Géré par le Pôle d'art moderne et contemporain de Cannes, le Suquet des artistes est l’endroit de la ville où l’art parle le plus. Autrefois utilisés comme morgue, ces locaux rénovés et inaugurés en 2016 sont devenus le QG des artistes cannois.
Si vos oreilles entendent un certain brouhaha lointain et que vos narines flairent de bonnes odeurs méditerranéennes, il y a de grandes chances que vous soyez arrivés à bonne destination. Lieu de rencontre et de découverte, le marché Forville est une ancienne institution bien gourmande à Cannes.
Concilier shopping et histoire dans une visite, est-ce possible ? Oui, ça l’est et vous êtes justement en train de le prouver en déambulant dans l’une des plus anciennes rues de la ville. Son nom : la rue Meynadier.
Avec la Croisette et le Palais des Festivals et des Congrès tout proches, il est vrai que l’église Notre-Dame-de-Bon-Voyage peut difficilement occuper les devants de la scène cannoise. Pour autant, en sa présence, c’est l’occasion de connaître le plaisir inhabituel d’une Cannes au naturel, et rien qu’au naturel.
Parallèle à la Croisette, la rue d’Antibes est l’incontestable fleuron du “shopping” cannois. Bâtie en 1914, et nommée en l’hommage de l’ancienne route qui menait à Antibes, cette artère est aujourd’hui l’une des plus animées du centre-ville.
En perpétuel échange avec la Croisette et la mer en arrière-fond, cette petite bâtisse est l’unique morceau restant de ce qui était autrefois le Grand Hôtel. Construit en 1863, cet établissement de vaste amplitude accueillait plusieurs salons de jeux et de thé en plus de ses 150 chambres.
Le palazzo Bacarela, magnifique, qui se dresse à l’angle de la rue, est le nouvel hôtel de ville de Cagliari. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la municipalité est installée dans un palais sur la Piazza Palazzo.
La via Roma, bordée de belles façades Liberty en arcades remplies de terrasses et de boutiques, longe la marina de Cagliari. Cette rue, l’une des principales de la ville, est très appréciée des locaux et est parfaite pour cette fameuse passegiata, la promenade à l’italienne, véritable rituel durant lequel les habitants, tous élégamment vêtus, se promènent en fin de journée.
Vous arrivez sur la rue Garibaldi, artère vivante du quartier Villanova. Comme son nom l’indique, vous êtes ici dans la ville nouvelle et l’architecture autour de vous n’a plus rien à voir avec le cœur médiéval du Castello.
Vous voilà sur la place San Giacomo face à l’église du même nom. À sa droite se trouvent les oratoires des âmes ainsi que celui du Santissimo Crocifisso. Ce dernier est le siège de l’Archiconfrérie du Saint Crucifix, protagoniste de nombreux rites qui ont lieu à Cagliari pendant la semaine sainte.
Cet escalier monumental, surmonté d’un arc de triomphe, est l’un des monuments les plus beaux et les plus importants de Cagliari. Le bastion tient son nom du baron de San Remy qui a été deux fois vice-roi piémontais du Royaume de Sardaigne.
Arrivés au sommet du bastion, l’immense terrasse vous permet de profiter d’une vue panoramique sur la ville. Vous voyez l’avenue Regina Margherita qui descend vers le port ainsi que les toits du quartier de Villanova, avec les étangs et la montagne Urpinu en toile de fond.
Vous voyez ce petit éléphant, joliment sculpté sur la façade devant vous ? Il a donné son nom à la tour médiévale qu’il décore.
Les murs de l’ancienne cité fortifiée, construite par les Pisans au XIIIe siècle, entourent ce qui était alors le centre administratif de Cagliari. De nos jours, les remparts nous offrent de belles terrasses et des vues imprenables sur les environs.
Arrivés sur la place de l’indépendance, vous voyez, à droite de la porte, la Torre di San Pancrazio. Il s’agit de la plus haute tour de Cagliari et l’un des symboles de la ville.
La belle porte que vous avez en face de vous se nomme la Porta Cristina. Elle a été édifiée en 1825 par Carlos Boyle qui s’inspire largement de la porte Angelica à Rome. On la nomme Cristina en l’honneur de la reine Marie Christine de Bourbon qui était l’épouse du roi Charles Félix de Savoie, alors roi de Sardaigne.
S’il y a bien une chose que l’on ne peut pas enlever à Cagliari, c’est bien ces magnifiques points de vue éparpillés dans la ville. C’est ça d’être installé sur une colline ! Ici, depuis la Piazza Palacio, vous avez une belle vue dégagée sur Villanova, l'un des quatre anciens quartiers de la ville datant du XIIe siècle.
Vous voilà à présent devant le Palais Royal, aussi appelé Palazzo Regio. Cet édifice date du XIVe siècle. À cette époque, Cagliari est aux mains de la Couronne d’Aragon qui a bien trop de territoires et qui ne peut pas être partout à la fois.
Elle est drôlement belle la cathédrale de Cagliari que vous avez à présent sous les yeux. Elle tient son style si particulier des nombreuses modifications qu’elle connut à travers les siècles.
Sur le côté droit de la place, vous voyez la façade rose d’un petit bâtiment carré. Il s’agit de l'ancien Palazzo di Città, le siège municipal de la ville, du Moyen Âge au début du XXe siècle. En 1896, le maire de l’époque décide la construction d’un nouvel hôtel de ville, sur la via Roma face au port et la municipalité y déménage en 1907.
Le bâtiment rose que vous avez sur votre gauche est le théâtre civique de Cagliari. Il a été construit pour remplacer un ancien théâtre en bois, bâti à l’initiative du marquis Zapata de las Plassas, qui voulait construire un théâtre annexé à son palais.
Juste un mot rapide sur l’Auditorium municipal. Oui, il s’agit bien d’une église, celle de Santa Teresa, construite au XVIIe siècle par les Jésuites. En 1848, l'église et le collège deviennent la propriété de l'État.
La belle église que vous avez à présent devant vous est la collégiale de Santa Anna. Il s’agit de la principale église paroissiale du quartier de Stampace.
Faites un coucou à notre prochaine attraction située juste sur la rive opposée. Deux petits indices : elle est grande et prend une apparence humaine. Alors, vous avez mis le regard dessus ?
Peu mentionné et à tort dans les grands monuments touristiques de La Havane, El Templete s’avère être l’un des lieux les plus importants de l’histoire de la capitale cubaine.
Point de passage central dans le vieux centre historique, la Plaza de Armas est la plus ancienne place de La Havane.
Meilleur exemple d’architecture baroque cubaine que l’on peut apprécier à La Havane, le Palacio de Los Capitanes Generales s’accorde harmonieusement avec la place sur laquelle il se trouve.
Aérée au sens propre comme au sens figuré, la place de San Francisco de Asís fait figure de porte d’entrée sur la Vieille ville. Et ce depuis ses premières origines au XVIe siècle.
Quand on vous parle de La Havane, à quoi pensez-vous ? Bien sûr qu’il y a ces belles façades colorées et ses anciennes voitures de collection, mais comment ne pas citer au moins une fois le rhum.
À La Havane, en termes de place où déambuler, se reposer, voire grignoter un petit quelque chose, il y a du choix. Mais attention, ce n’est pas une raison pour toutes les mettre dans le même sac.
Classiques ou au contraire totalement insolites, les nombreux musées de La Havane abordent une pluralité de thématiques qui nous laisse admiratifs.
Petit diamant en partie poli, en partie resté brut, le quartier de la Vieille Havane conserve un lien avec un passé désormais révolu.
Reconnaissable par son phare, indiquant l’entrée du port de la cité, le fort El Morro est certainement l’édifice militaire le plus connu de la ville.
Reproduction assez fidèle et frappante de celui que l’on peut croiser à Washington, El Capitolio est l’un des emblèmes phares de La Havane.
Reconnaissable par son phare, indiquant l’entrée du port de la cité, le fort El Morro est certainement l’édifice militaire le plus connu de la ville. Par “morro”, on désigne le museau d’un animal. Mais par extension, cela peut aussi faire référence à une élévation ou une pointe rocheuse. Ce sur quoi est d’ailleurs implantée notre attraction.
Parmi les références architecturales que compte la ville, le Grand théâtre de La Havane se positionne en bonne place.
On vous l’assure, vous ne trouverez pas meilleur endroit que le Paseo de Marti pour reconnaître la ville de La Havane entre mille.
Bacardí, voilà un nom qui devrait vous parler. Mais sauriez-vous dire pourquoi ? Originaires de Catalogne en Espagne, les Bacardí sont l’illustre famille à l’origine de l’une des marques de rhum les plus connues du monde. Tout a commencé au début du XIXe siècle lorsque Facundo Bacardí, négociant en vin, profite
En manque d’art pur et dur ? Le Musée National des Beaux-Arts ne pouvait alors pas mieux tomber sur notre chemin. C’est à travers les deux constructions modernistes qui le constituent que ce musée conserve et valorise la plus grande collection d’art cubain au monde.
À Cuba, le Floridita attire tout particulièrement l’attention des touristes. Considéré comme le berceau du daïquiri, ce bar est devenu l’un des lieux les plus emblématiques de la ville. Laissez-nous vous dire pourquoi.
Si vous ne deviez visiter qu’un seul musée lors de votre passage à La Havane, alors il serait bon de vous réserver pour celui-ci.
Puisque vous passez devant le Centro de la Danza de La Habana, installé dans l’ancien Club de Cantineros, c’est l’occasion parfaite de parler de la place unique qu’occupe la danse à Cuba. Ici, on organise ateliers, classes, expositions et répétitions, en accompagnant des compagnies majeures comme Rosario Cárdenas, DanzAbierta,
Nous y voilà, bienvenus sur le Malecón, aussi connu sous le nom de l’avenue Maceo.
Lieu chargé d’histoire à La Havane, la cathédrale de San Cristobal est l’un des plus anciens édifices de sa catégorie dans toute l’Amérique Latine. Bâti au XVIIIe siècle, sous l’ordre de l’évêque de Salamanque, ce monument d’architecture baroque
Probablement la plus uniforme des quatre places coloniales que compte la ville, la place de la cathédrale est un peu le cœur du quartier historique. Sa création, opérée au début des années 1700, a joué un rôle primordial dans la revalorisation du secteur.
Construit entre 1770 et 1791, le Palacio del Segundo Cabo compte parmi les exemples les plus achevés d’architecture coloniale.
Si distinctif avec sa forme d’étoile, encore plus spectaculaire vue du ciel, le Castillo de la Real Fuerza a la spécificité d’être la plus vieille forteresse en pierre du continent américain.
Attention, vous arrivez devant un édifice rare et précieux. Le Baptistère Saint-Jean est l’un des premiers monuments religieux en Europe.
La Statue Notre-Dame des Dunes, que vous voyez sur votre gauche, est loin d’être anodine. Elle bénit la ville, certes, mais le pourquoi de sa construction est plutôt controversé.
Vous arrivez sur le chemin de la promenade Pasteur qui relie le pont Neuf au pont Saint-Cyprien. Cette jolie balade aménagée vous permet de retourner vers le centre-ville en profitant d’un peu de nature au bord du Clain.
Poitiers a cette particularité de pouvoir vous offrir de véritables pauses nature en pleine ville. Deux rivières la coupent en 3. Le Clain et la Boivre.
Juste à côté de la mairie se trouve le bel hôtel particulier de Beauce. Son architecture délicate attise tout de suite notre curiosité et donne envie d’en apprendre un peu plus à son sujet.
Vous voilà sur la place du Maréchal Leclerc, place principale du centre de Poitiers ! Encore appelée Place d’armes par certains Poitevins, elle a aussi été place Nationale à la Révolution, place Royale à la Renaissance et Place du Marché au Moyen-Âge quand elle était le centre économique de la ville.
Vous arrivez sur la partie arrière du Palais des comtes de Poitiers, avec la tour Maubergeon et le petit square Jeanne d’Arc. La statue a été édifiée à l’occasion des 500 ans de son passage à Poitiers.
Alors, je vous l’accorde, on pouvait s’attendre à plus impressionnant pour l’entrée du Palais des comtes de Poitiers ! Surtout, au vu du reste du bâtiment que vous avez pu apercevoir !
La rue des vieilles boucheries est un bel exemple de mélange d’architecture moderne et ancienne propre au centre historique de Poitiers. Vous trouverez ici quelques belles maisons à pans de bois.
Arrêtez-vous un instant et admirez la belle façade de style gothique flamboyant de cet hôtel particulier. Il a été construit entre le XVe et le XVIe siècle et offre un merveilleux exemple de ce qui se faisait de mieux à la Renaissance.
Savez-vous combien de répliques il existe de la statue de la Liberté ? Le nombre exact est incertain, mais il y en a plus que vous ne l'imaginez !
Je profite que l’on passe devant les Halles de Notre-Dame, pour vous parler un peu des spécialités de la région. Si vous êtes venus un samedi, vous avez certainement devant vous un grand marché de producteurs locaux.
Vous voilà sur le parvis de l’église Notre-Dame de la Grande ! C’est LE véritable joyau de Poitiers (non, ce n’est pas le Futuroscope).
Vous voilà devant le monument le plus imposant de Poitiers. La cathédrale Saint-Pierre et Saint Paul a été construite sur les vestiges d’un premier édifice religieux du XIe siècle.
L’église Sainte-Radégonde, que vous voyez à présent avec son beau clocher-porche gothique, s'appelait auparavant Sainte-Marie-Hors-Des-Murs.
Vous le saviez, ces quelques escaliers vous ont menés à un point de vue englobant l’essentiel de la vieille ville. Vous pouvez apercevoir les principaux monuments dépassant des toits d’ardoises et de tuiles rousses.
Pour connaître l’origine du nom de cette rue, il faut remonter le temps et faire un bond en 1653, date à laquelle New York n’était qu’une petite colonie hollandaise, vivement convoitée par les Anglais.
On connaît tous Broadway comme étant le berceau de la comédie musicale, du théâtre et des spectacles en tout genre, mais saviez-vous que Broadway est en fait le nom de la plus ancienne et la plus longue avenue de toute la commune ?
Située à quelques pas de la One World Trade Center et sur la mythique avenue de Broadway, la chapelle Saint Paul est l’une des plus anciennes églises de Manhattan.
Siège du gouvernement new-yorkais, c’est l’Hôtel de Ville, ou le City Hall en anglais, qui se trouve devant vous !
Ici, vous êtes dans ce que l’on pourrait appeler le cœur juridique de New York !
Vous l’aurez compris grâce aux couleurs, aux odeurs et aux petites inscriptions qui décorent les boutiques, ici, vous entrez dans le quartier chinois !
Aux portes du surprenant quartier chinois, vous voici maintenant arrivé en Europe, en Italie plus précisément !
Incontournable dans la visite du Lower Manhattan, le quartier de SoHo est le quartier branché de l’île ! Ici, vous trouverez des boutiques, des restaurants et des cafés qui valent vraiment le détour.
Lower Manhattan est l’une des parties qui composent Manhattan, qui elle-même représente l’un des arrondissements de New York.
Devant vous, c’est l’État du New Jersey que vous voyez ! Séparé de l’État de New York par l’Hudson, fleuve qui longe l’ouest de Manhattan, Jersey City vous dévoile ici ses quelques gratte-ciel.
L’Hudson River Park est un parc assez particulier, puisqu’il s’étend en fait le long de la rivière depuis l’Upper East Side jusqu’à Battery Park, à la pointe sud de Manhattan.
Plutôt incroyable, ce parc, non ? Impossible de ne pas lever les yeux vers le sommet des immeubles qui bordent Teardrop Park, le parc des Larmes.
Pas de doute, vous voici bien arrivé dans le quartier financier, appelé ici le Financial District !
De l’autre côté de la rue, face à la One World Trade Center, se trouve l’entrée du Brookfield Place, grand centre commercial qui marque quasiment le point de départ de l’impressionnant quartier financier.
Vous voici devant l’un des deux carrés qui composent le Mémorial du 11 Septembre
Surprenante, déroutante, impressionnante… Ce bâtiment complètement loufoque n’est autre que la gare qui dessert le quartier financier de Manhattan depuis le New Jersey.
Avant d’arriver à la pointe de Manhattan, quelques mots sur le quartier financier dans lequel nous sommes actuellement.
Nous sommes ici dans Battery Park, à la pointe de Manhattan. C’est d’ici que vous apprécierez un joli point de vue sur la Statue de la Liberté, ainsi que sur Ellis Island et son impressionnant Musée de l’Immigration.
Le Taureau de Wall Street, appelé le Charging Bull en anglais, est le symbole du quartier financier.
Au milieu des impressionnants gratte-ciel du quartier financier se dresse cette belle église, qui, avec son style néo-gothique du XIXe siècle, contraste fortement avec les immeubles alentour.
Vous êtes ici à deux pas de l’école Nationale de Ski et d’Alpinisme, ou l’ENSA pour les intimes. C’est bien d’une école nationale qu’il s’agit, car en France, devenir guide de
Arrêtez-vous un instant au bord de l’Arve pour profiter de la vue qui s’offre à vous. Ici, la ville s’ouvre telle une carte postale prête à prendre vie. Sur la gauche, vous voyez l'ancien Chamonix Palace, construit au début du XXe siècle pour accueillir la clientèle mondaine.
Les rues de Chamonix débordent de restaurants, tous plus alléchants les uns que les autres. Que vous soyez team les pieds sous la table ou que vous préférez cuisiner, voici quelques spécialités du coin à ne pas rater. Hiver comme été, en montagne, fromage rime avec partage.
Les rues principales de la ville sont éminemment touristiques et vous entendez certainement une multitude de langues étrangères résonner autour de vous . Face à cet afflux de voyageurs venus des quatre coins du monde, la ville s’est peu à peu remplie de nombreuses boutiques de
Parlons à présent de la petite église Saint-Michel que vous voyez sur la place. Classée monument historique, elle est d’un style que l’on appelle l’art baroque savoyard qui s’est développé dans l’ancien duché de Savoie à partir du milieu du XVIe siècle. Mais l’histoire de l’église de
Les noms des héros de Chamonix sont partout, même au coin des rues. Après avoir longé la rue du Docteur Paccard, pionnier de l’ascension du Mont-Blanc, vous voilà face à l’avenue Ravanel le rouge, baptisée en l’honneur d’un autre grand nom de l’alpinisme, actif plus d’un siècle plus
Si vous continuez tout droit dans cette rue sur environ 200 mètres, vous arriverez à la place de l’Aiguille du Midi, d’où part le célèbre téléphérique. Vous apercevez l’antenne depuis votre arrivée à Chamonix, il est grand temps d’aller la voir de plus près ! Alors oui, le tarif peut
En passant dans cette rue, vous longez un bâtiment bien connu des amateurs de montagne et qui fait, pour ainsi dire, partie du décor. Il s’agit de l’UCPA de Chamonix, où des générations de jeunes passionnés sont venues assouvir leur soif d’aventure depuis des décennies ! L’UCPA, c’est
Je voulais juste attirer votre attention sur le nom de ce grand restaurant qui fait l’angle: “Le Monchu”. Au risque de vous décevoir, sachez qu’ici, ce nom ne désigne pas un bon plat savoyard ni une tradition ancienne. Les Monchus, pour les montagnards, c’est un peu comme les Moldus.
Vous ne pouvez pas le rater au beau milieu de la place, voilà le casino de Chamonix. L’histoire des “cercles de jeu” à Chamonix, remonte au XIXe siècle, à une époque où jouer de l’argent n’était pas encore tout à fait légal. Il faut savoir qu’en France, les jeux de hasard étaient au
Voici la statue la plus représentative du centre-ville de Chamonix. Le fameux bronze de deux explorateurs pointant du doigt le Mont-Blanc. Mais savez-vous seulement qui ils sont ? On pense souvent qu’il s’agit des deux premiers hommes à avoir gravi la célèbre montagne, mais pas
Il n’était pas aux côtés de Balmat regardant vers le Mont-Blanc, mais la ville ne pouvait pas ne pas rendre hommage au Docteur Paccard ! Michel-Gabriel Paccard est né en 1757 à Chamonix, alors duché de Savoie du Royaume de Sardaigne. Pas étonnant alors qu’il fît ses études à
Vous emprunter la rue des moulins dont l’histoire est intimement liée à celle de l’Arve, la rivière qui traverse avec force Chamonix. Comme vous pouvez l’imaginer, les villages de montagne ont très tôt su mettre à profit la puissance de l’eau, arrivant par torrents et cascades depuis les
Ici, sur la place du Mont-Blanc et face au Musée Alpin, j’aimerais vous parler d’un événement majeur de Chamonix : Les Premiers Jeux olympiques d’hiver. Eh oui, il y a maintenant plus de 100 ans, en 1924, la ville accueillait la toute première édition des Jeux olympiques
Ce monument aux morts, sobrement installé sur la place du poilu, pleure les Chamoniards morts pour la France. Inauguré en 1921 pour les soldats disparus lors de la Première Guerre mondiale, le monument commémore aujourd’hui également ceux de la Deuxième Guerre
Que fait cette petite église de style typiquement anglican avec son toit pointu en ardoise au cœur de Chamonix ? Ce n’est un secret pour personne, la communauté britannique est très présente dans la région. Et ce, depuis bien longtemps. En 1741, les explorateurs britanniques
La passerelle métallique surélevée que vous voyez sur votre droite vous permet de rejoindre facilement la gare de Montenvers. C'est de là que part le traditionnel train à crémaillère rouge vif, qui vous mènera tout droit à la mer de Glace, à 1913 mètres d'altitude ! Traversant un décor
Si vous avez emprunté le train à crémaillère, vous êtes à présent face à l’une des merveilles les plus emblématiques du massif du Mont-Blanc : la Mer de Glace. Le glacier a beau avoir dramatiquement reculé, la carte postale reste saisissante ! En plus de ce décor spectaculaire où l’on
Vous voilà de retour sur la place du Mont-Blanc, face au massif. Un décor majestueux… mais qui, parfois, rappelle aussi la part plus sombre de la montagne. J’aimerais vous parler ici de deux tragédies qui ont profondément marqué la vallée, toutes deux liées, d’une certaine manière
Le joli trompe-l’œil sur la façade arrière du bâtiment, représentant une équipe de tournage, vous confirme que Chamonix est non seulement équipé d’un cinéma, mais aussi que la ville a plusieurs fois inspiré le grand écran ! Ouvert en 1957, le cinéma Vox propose aujourd’hui trois
Attardez-vous ici un instant pour regarder de plus près la façade en trompe-l’œil qui occupe tout le pan du bâtiment. Cette fresque de 180m², réalisée en 2010 par l’artiste muraliste “A-Fresco” rend hommage à ceux qui ont façonné l’histoire de l’alpinisme à Chamonix.
Vous êtes à présent devant la Maison de la Montagne, un lieu emblématique qui regroupe plusieurs organisations dédiées aux activités alpines. Si le bâtiment vous semble ancien et qu’il est si proche de l’église, ce n’est pas un hasard : il s’agit en fait de l’ancien presbytère de
Vous arrivez ici à l’ensemble monumental d’Antequera, qui occupe tout le sommet de la colline. Vous avez l’entrée de l’Alcazaba sur votre droite, et devant vous, se dresse la Collégiale royale de Santa Maria la Mayor.
OK, ça montait un peu, mais honnêtement est-ce que la vue n’en valait pas la peine !? Vous êtes au Mirador de las Almenillas, certainement le plus beau point de vue de la ville.
La porte d’entrée à la citadelle se nomme l’Arche des Géants. Cette construction a été voulue en 1585 par la municipalité pour donner un accès typique du monde classique à la forteresse musulmane. Haute de 7 mètres, elle s’ouvre sur un mur de 2 mètres d’épaisseur.
L’église que vous avez sous les yeux est donc la Collégiale royale de Santa Maria la Mayor. La collégiale a été fondée grâce à l’évêque Diego Ramirez de Villaescusa, qui était en charge du diocèse de Malaga.
La place du Portichuelo est une belle image typique des villages andalous. Elle vous offre une très jolie vue d’ensemble sur l’église Sainte-Marie-de-Jésus et la chapelle de la Vierge-du-Secours. Cette église, terminée au début du XVIIe siècle, appartenait à la base au couvent des frères du Tiers-Ordre Franciscain.
Un mot rapide sur l’église que vous passez à présent. Il s’agit de la Iglesia de la Paz, appartenant à l’ancien couvent de Santo Domingo. Les dominicains se sont installés à Antequera en 1586, mais les travaux du couvent n’ont commencé qu’au début du XVIIe siècle.
Vous êtes sur la Plaza San Sebastian, l’une des plus jolies de la ville. Elle a été créée par un décret de la reine Juana la Loca, oui, traduisez Jeanne la folle, en 1508. Aujourd’hui, elle donne l’un des plus beaux ensembles urbanistiques d’Antequera.
Vous avez ici l’hôtel de ville d’Antequera. Si on s’arrête devant alors que de premier abord il ne paye pas de mine, c’est pour vous inciter à faire les curieux et à aller voir ce qui se cache derrière ses murs.
Arrivés sur la place de Castille, vous voyez au centre une étrange statue représentant un couple enlacé prêt à tomber dans le vide ! Ils surplombent la fontaine des amoureux et rappellent la légende de la Peña de los Enamorados, le mont qui domine la vallée d’Antequera.
Vous voilà face à la plaza de toros d’Antequera. Toutes les villes d’Espagne ont une arène comme celle-là. La corrida, née sur les terres andalouses, est depuis toujours un symbole du pays. Les arènes d’Antequera comptent parmi les plus pittoresques d’Andalousie.
Vous avez ici le “Convento Madre de Dios”, soit le couvent “Mère de Dieu”. Les Augustines fondèrent leur premier couvent à Antequera en 1520. Elles sont les premières religieuses à s’installer en ville après la capitulation de Grenade en 1492.
Vous arrivez à présent sur la place San Francisco, devant l’abasto, c’est à dire, le marché couvert de la ville. Que serait la visite d’une ville sans la découverte gustative de ses spécialités régionales ! En Espagne, en général on se fait plaisir.
Vous passez sur votre gauche, le monastère royal de San Zoilo. La bibliothèque municipale occupe aujourd’hui les dépendances de l’ancien couvent et de son cloître, alors n’hésitez pas à aller voir ce qu’il se passe derrière ces murs.
Vous voilà sur la très belle Plaza Santiago, encadrée par l’église du même nom et le couvent de Sainte-Euphémie. L’église est plutôt petite, car elle a été construite comme simple ermitage en 1519.
Dans le parc Juan Carlos Ier, à côté de la porte de Grenade, édifiée en 1748, vous trouvez un petit mirador du même nom. D’ici, vous avez une vue panoramique de la vieille ville d’Antequera.
Cette belle façade Renaissance, qui domine la place, est celle du palais des marquis de Peña de los Enamorados. C’est un palais construit à la fin du XVIe siècle, mêlant le savoir-faire mudéjar typique de l’Espagne, au style Renaissance de l’époque.
Vous voilà au cœur de la vieille ville d’Antequera, sur la place Coso Viejo, traduisez non pas le vieux truc, les vieilles arènes. Elle est née au XVIe siècle de la nécessité d’agrandir l’espace autour de la Plaza de San Sebastian.
Petit point de passage sur votre parcours, la Plaza del Siglo, pouvant se traduire par “Place du Siècle”, est l’une des places les plus traversées de Malaga. Oui, il y en a beaucoup des places importantes dans la ville, mais c’est ce qui fait tout son charme et apporte son brin de convivialité. Le lieu se trouvant à l’intersection de nombreuses rues passantes
Si vous vous intéressés de près à l’artiste, vous devriez savoir que c’est dans la ville de Malaga que celui-ci a vu le jour. Connu pour être l’un des pères fondateurs du cubisme, et si la ville présente à son compteur pas moins de 30 musées aux thèmes variés, ne pas vous présenter celui qui lui est dédié est juste impensable.
Juste sur votre gauche, située dans une rue où la structure malaguène se fait encore bien ressentir, l’église San Agustín, datant du XVIe siècle, s’intègre parfaitement dans le cadre. Très coloré et agréablement précédé d’une lumineuse cour extérieure, le petit édifice renferme une école et une résidence pour le personnel ecclésiastique.
Peut-être l’avez-vous déjà entendue appeler “l’abbaye cistercienne”, mais ici à Málaga, on parle plutôt avec tendresse de l’abbaye de Santa Ana, un petit bijou niché au cœur de la ville. Pas besoin de dorures ou de flèches vertigineuses : sa simplicité, sa lumière, sa juste mesure… suffisent à captiver le regard.
Découvert par hasard en 1951, lors de travaux de construction de l’ancienne Maison de la Culture, le théâtre romain de Malaga fait partie des trésors archéologiques les plus fascinants de la ville. Resté enfoui pendant des siècles sous les constructions successives, il a ressurgi comme un témoin précieux du passé romain de la cité.
Il n’y a pas à dire, Malaga est une ville pleine de surprise. Et parmi elles, on peut compter le mirador d’Alcazaba, que vous pouvez apercevoir à quelques mètres, juste sur votre droite. Il s’agit d’une grande forteresse, très bien conservée, et faisant partie des plus imposantes et précieuses d’Espagne.
Difficile d’imaginer meilleure porte d’entrée dans l’histoire de Malaga que cette majestueuse Alcazaba, l’un des joyaux les plus emblématiques de la ville. Érigée entre 1057 et 1063 sur les ruines d’une ancienne fortification romaine, cette citadelle (c’est le sens du mot alcazaba, d’origine arabe) fut à la fois résidence princière et bastion militaire.
Il fallait bien un bâtiment aussi majestueux que celui-ci pour accueillir l’Hôtel de Ville de Malaga. Inaugurée en 1919, cette imposante mairie trône fièrement à l’entrée du parc, à deux pas du centre historique. Elle a été construite sur d’anciens terrains gagnés sur la mer, dans une zone pensée au début du XXe siècle
De la verdure, encore de la verdure, et toujours de la verdure. Les jardins de Pedro Luis Alonso sont conçus selon les modèles des jardins latins et furent construits en 1947. Par conséquent, ceux-ci se marient harmonieusement avec l’environnement urbain et historique dans lequel ils évoluent.
Situées dans la zone qui leur a donné leur nom, les arènes de Malagueta ont été inaugurées le 11 juin 1876, via une toute première corrida menée par le mythique matador Rafael Molina, surnommé “Lagartijo”.
On n’imagine pas toujours un port comme une destination de promenade, encore moins comme un lieu vibrant de culture et de gastronomie. Et pourtant, à Malaga, le Muelle Uno bouscule les idées reçues. Inauguré en 2011 sur les vestiges d’un ancien quai, ce port réinventé s’impose aujourd’hui comme l’un des lieux les plus branchés de la ville.
Dotée de lignes bien plus anciennes que celles du Muelle Uno sur lequel elle se trouve, la chapelle du port de Malaga devient presque une drôle de curiosité sur notre chemin. Achevé en 1732, ce minuscule lieu de culte était autrefois essentiellement fréquenté par les personnes issues du milieu marin, grâce à sa position stratégique pas loin de la mer
Un voyage à Malaga ne serait rien sans prendre le temps de se baigner dans l’une de ses perles à l’eau turquoise. Nous parlons bien entendu de la plage Malagueta. En raison de sa proximité à 10 minutes tout au plus du centre de Malaga, la Malagueta est l’une des plages les plus fréquentées par les touristes et les résidents.
Qu’on y passe pour la première fois ou qu’on le parcourt quotidiennement, le Paseo del Parque dégage un certain charme à part entière. D’ailleurs, au cours de votre première promenade à Malaga, à la découverte de la ville, il est fort possible que vous atterrissiez sur le Paseo del Parque.
Là, juste en traversant au passage piéton, jetez un rapide coup d’œil sur votre gauche. Petite icône de la Costa del Sol, la Farola, pour dire lanterne ou lampadaire en espagnol, est un élément récurrent de l’iconographie malaguène.
En plus d’être un lieu de culte majeur pour les Malaguènes, la cathédrale de Santa María de la Encarnación est aussi un point de repère incontournable pour s’orienter dans la ville. Construite entre 1528 et 1782 sur le site d’une ancienne mosquée, elle est aujourd’hui la plus haute cathédrale d’Andalousie
En voyage, vous avez tout le loisir d’enrichir votre culture générale. Au détour d’un plat typique, d’un échange linguistique ou d’une visite touristique. C’est dire si le choix n’est pas vaste.
Foyer de la culture underground locale et de l’art urbain, le quartier Soho, ici à votre gauche, marqué par la Calle Córdoba, est le fruit d’une initiative citoyenne en faveur de la rénovation du secteur.
Aller à Malaga et ne pas arpenter la rue Marqués de Larios, c’est un peu comme aller à New York et ne pas se balader dans la Cinquième avenue. Vous saisissez l’idée ?
Vous voilà désormais sur la Plaza de la Constitución, véritable cœur battant de Malaga depuis l’époque islamique. Située au centre du quartier historique, cette place animée séduit les visiteurs par son atmosphère conviviale et lumineuse.
Aménagé sur les terrains autrefois occupés par un couvent du XVIIe siècle (dont il ne reste aujourd’hui qu’un portique visible du côté de la Plaza de la Constitución), le passage Chinitas est un lieu emblématique du centre historique de Malaga.
La Plaza del Obispo littéralement « place de l’évêque » est l’un des joyaux monumentaux du centre historique de Malaga. Son origine exacte reste sujette à débat : certains évoquent une implantation antique, d’autres penchent pour une création à l’époque musulmane.
Pourtant située au cœur de Malaga, cette petite merveille d’animation de grande envergure est très souvent comptée absente sur les parcours de visite. Par chance, ce n'est pas le cas avec le nôtre dans lequel elle est mise à l’honneur !
Au terme d’une bataille des plus sanglantes au XVe siècle, Malaga sous la domination de la toute dernière dynastie musulmane, dite “nasride”, bascule dans les mains des Rois Catholiques.
En tant que bonne capitale touristique qui se respecte, La Valette coche aussi la case d’une artère principale où priment la vie et l’animation locale. Et ça tombe bien, cette rue c’est justement celle dans laquelle vous vous trouvez en ce moment même.
Entourée de fortifications depuis le XVIe siècle, et caractérisée par un lot de rues perpendiculaires pentues, La Valette ne ménage pas nos efforts pour la découvrir.
Monter, descendre et monter encore… Tout ça transpire à grosse goutte l’effort ! C’est pourquoi, une pause de répit à cet endroit sera selon nous la bienvenue. Initialement fondé au XIXe siècle, par les Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean, le marché couvert n’a pas connu un parcours de prospérité des plus exemplaires.
Alors qu’elle ressemble aux dizaines de maisons qui la précèdent, ou qui la suivent, la Casa Rocca Piccola est pourtant irremplaçable. Lorsque les Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean combattent avec succès leurs envahisseurs turcs en 1565, La Valette se développe sur un modèle de ville prestigieuse pour rivaliser avec les autres capitales européennes.
C’est à la toute pointe nord de La Valette que nous vous emmenons faire connaissance avec le fort Saint-Elme, sans qui l’histoire de la ville n’aurait de sûr pas été la même.
Hormis ses paysages magnifiques, La Valette c’est aussi les récits d’une capitale méditerranéenne écrits au fil de ses peuples, de ses conquêtes et de ses dominations. Si l’Antiquité lui ramène les empires grecs, puis romains, et que le Moyen Âge lui confère une occupation arabe, La Valette prend ses toutes premières marques à partir de la Renaissance.
Promesse d’un instant suspendu en pleine nature, les Lower Barrakka Gardens s’apparentent à une petite oasis surplombant le Grand Port. Au milieu de la végétation, et des dizaines d’hibiscus qui colorent les allées en été, se notent quelques monuments qui méritent d’être admirés.
C’est avec une certaine sobriété, voire même pudeur, que le siège Bell War Memorial, positionné juste en face, rappelle combien l’île n’a pas toujours connu cette tranquillité dans laquelle elle s'épanouit de nos jours.
Tourner le dos à La Valette, à l’approche de ce vaste panorama , n’est vraiment pas un drame en soi. Plus que d’y contempler les eaux de la Méditerranée et la ferveur du Grand Port, on y apprécie aussi la vue sur les Trois Cités, qui se tiennent individuellement sur les langues de terre face à vous.
Dans les trois ensembles de jardins que compte la capitale maltaise, celui-ci est à l'évidence notre préféré. Situés au point culminant des bastions de La Valette, les Upper Barrakka Gardens ont connu leurs toutes premières minutes d’existence en 1661.
Ouverte sur le port depuis 1574, l’Auberge de la Castille - Léon et Portugal est un monument qui se met aussi bien au service de l’histoire que de l’architecture maltaise. Originellement, la bâtisse faisait partie des 7 auberges de La Valette, où résidaient et se réunissaient les Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean.
Dans la généreuse famille des églises que compte La Valette, vous voilà justement à côté de la plus vieille de toutes. Et là, attention, on parle bien du monument à votre droite avec un escalier à double volée.
S’il n’a pas fait de croix sur la couleur ocre, présente du sol au plafond à La Valette, le nouveau Parlement a néanmoins pris le pari d’assumer son jeune âge, à travers des lignes architecturales très contemporaines.
Venir à La Valette et ne pas approcher la co-cathédrale Saint-Jean, c’est indiscutablement passer à côté de l’une des plus belles pièces maîtresses de la ville. Okay, à première vue ce n’est pas franchement flagrant…
Plus que de vous présenter les incontournables à absolument voir dans la visite d’une ville, on aime aussi partager un contenu d’informations inédites à leur sujet, qui pour le coup ne vous sera pas donné au coin d’une rue.
Dans le centre de La Valette, il est bon d’être observateur pour ne pas passer à côté des petits morceaux d’histoire qui s’y cachent, comme le théâtre Manoel apparaissant sur votre gauche.
Rares sont les fois où, dans la découverte de La Valette, vous n’entendrez pas les mots Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean résonner jusqu’à vos oreilles. Et si ce n’est pas encore arrivé, alors ce n’est plus qu’une question de seconde, avec le magistral bâtiment qui vous fait face.
Là voilà, la sublime bibliothèque nationale, avec ses colonnes distinguées et cette inscription dorée, qui indique à tous les passants à quel trésor maltais ils ont affaire. De sa fondation en 1796 jusqu’à nos jours, cette bâtisse a pris énormément de valeur, grâce aux différents dons littéraires qu’elle a pu recevoir.
Franchir cette grille pour se retrouver face à cette immense cour vide, il y a de quoi rester perplexe. Où sommes-nous ? Pourquoi tant d’espace clôturé ? Qu’est-ce que ces arcades nous cachent-elles ?
Relayée dans un coin de la place de la Révolution française, la chapelle du Tiers Ordre, caractérisée par sa simple porte rouge, n’est pas ce genre d’attraction que l’on voit venir de loin. Mais qui sait ce que sa sobriété et sa taille légèrement réduite sont prêtes à vous offrir.
Sur votre droite se dessine un bâtiment aux nuances rouges, au bas duquel se trouve une fontaine. La façade est ornée d’un petit carré blanc.
Si l’on s’en tient au nom de la rue que vous venez de longer, l’histoire sur l’ancienne Université de Perpignan est sans l’ombre d’un doute à portée de main.
De tous les proverbes que nous avons encore pour habitude d’entendre dans notre société, il y en a quand même un qui est rarement contredit.
Historiquement, l’Église Notre-Dame de La Réal, ici devant vous, est la 4e paroisse de Perpignan, après Saint-Jean, Saint-Jacques et Saint-Matthieu.
Vous arrivez sur la place Hyacinthe Rigaud, et face à vous, justement, se dessine une grande statue qui représente cet homme.
Du florissant patrimoine de Perpignan, c’est sans trop de mal que vous entendrez parler des monuments qui en occupent le premier plan.
Accessible de toute part, bordée de divers commerces, animée à longueur d’année et éternellement bien située, la place de la République ne manque pas d’atouts pour nous attirer volontairement ou involontairement jusqu’à elle.
Surnommée la Rue des épices, ou bien la Rue qui sent bon, la rue Paratilla saura sans trop de difficulté mettre vos sens en éveil, et solliciter votre appétit.
À tous ceux qui ont un goût prononcé pour les Beaux-Arts, c’est ici et nulle part ailleurs dans Perpignan que votre soif de découverte sera entendue.
Bien moins grande que la Têt, fleuve côtier traversant la ville de Perpignan, la Bassa nommée en réponse à son bas niveau, sait elle aussi se faire remarquer.
Gourmets, gourmands, goûteurs, mettez vos sens en alerte, car ici, se tient l’attraction perpignanaise de toutes les couleurs, de tous les parfums, de toutes les saveurs.
À l’heure où la réalité virtuelle s’immisce de plus en plus dans notre quotidien, le Cinéma Castillet, lui, nous offre un sublime retour en arrière, lorsque les premières joies du septième art bourgeonnaient dans la cité méditerranéenne.
Depuis les berges de la Bassa, difficile de ne pas remarquer celui que l’on considère comme l’une des principales images d’appel de Perpignan.
Depuis le Moyen Âge, la place de la Loge est le centre actif, commercial et politique de Perpignan. En témoigne les 3 monuments en enfilade qui nous escorte jusqu’à elle.
Regardez cette façade rayonnante, bâtie en cayrou, large brique pleine, en pierre marbrière de Baixas et en galets roulés. Plus traditionnel hommage à l’architecture roussillonnaise sur Perpignan, vous ne faites pas.
Sur votre droite, vous admirez la Loge de Mer. Massive, rectangulaire, mais ô combien gracieuse, la Loge de Mer est un monument emblématique sans égal dans Perpignan.
Avec pas moins de 167 cathédrales à son actif, la France expose un riche patrimoine chrétien sur l’ensemble de son territoire.
Vous êtes ici devant le centre d’accueil des visiteurs du Parc national du Teide. Ce parc, classé au Patrimoine mondial de l’UNESCO, est indissociable de son île dont il prend presque toute la place.
Vous voyez ici, à l’entrée du square, la statue d’un homme agenouillé qui semble travailler sur quelque chose. Il s’agit de l’hommage au fabricant de tapis. Vous le savez peut-être, les tapis de La Orotava sont une spécialité traditionnelle de la ville.
Profitez des bancs de la petite plaza Casañas, pour vous installer tranquillement le temps qu’on vous explique un peu l’Histoire des Canaries. Parce qu’on les connait comme un lieu touristique hors pair, fait d’îles volcaniques, de plages et de sites naturels extraordinaires, mais on n’en sait rarement plus.
Vous voilà devant l’église de la Conception. Regardez-la bien, il s’agit là de la plus belle église baroque de l’archipel. Son dôme est unique sur l’île et s’inspire de celui de la cathédrale de Florence.
Vous voilà en plein cœur historique de la Orotava, face à la casa Lercaro, une demeure seigneuriale du XVIIe siècle déclarée Bien d’Intérêt Culturel dans la catégorie Monuments historiques. Cet édifice emblématique est connu pour sa belle architecture, mais aussi pour ses balcons et ses jardins.
Vous avez sur votre droite l’entrée au Moulin de Gofio, dit la “Maquina”. Ici, vous pouvez découvrir le travail du meunier, et repartir avec de la farine de gofio, des barres de céréales ou des pots de miel. Il y a eu un moulin à gofio sur ce site depuis le XVIe siècle et l’activité n’a jamais été interrompue.
Vous avez ici un petit mirador, qui vous permet d’avoir une vue d’ensemble de la vallée. Ce n’est pas grand-chose, mais le télescope vous propose de scruter l’horizon jusqu’à l’océan en contrebas et d’observer les environs.
Vous voilà devant la fameuse Casa de los Balcones, la maison des balcons. Il s’agit de la demeure seigneuriale la plus emblématique de l’île. Terminée en 1632, elle est aujourd’hui le plus important ensemble artisanal des Canaries dédié aux calados.
Vous avez ici l’église de San Francisco et l’hôpital de la Sainte Trinité. Cet ensemble a été construit sur les vestiges de l’ancien couvent de San Lorenzo fondé en 1519. Le couvent, alors gouverné par une importante communauté de frères franciscains, était une référence en matière d’éducation, de religion, mais aussi de développement économique.
Le bâtiment que vous voyez là est l’hôtel de ville de La Orotava. Avant sa construction en 1870, il y avait là le couvent des Sœurs Clarisses de Saint-Joseph, dont les voûtes sont encore visibles au sous-sol de la mairie.
Juste derrière l’hôtel de ville se trouve l’annexe du Jardin botanique. On l’appelle la Hijuela del botanico en espagnol. C’est un jardin de 4000 mètres carrés fondé en 1788 à la demande du VIe marquis de Villanueva del Prado.
Vous voilà à présent au cœur des jardins du marquisat de la Quinta Roja. On les appelle aussi les jardins Victoria. Ils ont été construits au XIXe siècle sur une plantation d’arbres fruitiers appartenant au marquis de la Quinta Roja qui vivait non loin de là.
Vous arrivez devant l’entrée de l’emblématique Liceo Taoro. Reconnaissable entre mille, cet édifice bicolore, construit en 1928 sur un promontoire surplombant la ville, était la demeure d’une riche famille de l’île, les Ascanios, qui possédaient de nombreuses terres dans la vallée de La Orotava.
Les deux bâtiments joints qui font l’angle devant vous, sont l’église de San Agustin et son ancien couvent, aujourd’hui reconverti en maison de la culture. La construction de cet ensemble religieux remonte au XVIIe siècle, quand les frères augustins ont commencé à construire leur couvent sur cette colline jusqu’alors occupée par la chapelle Saint-Roque.
La place sur laquelle vous vous trouvez à présent rend hommage à la constitution espagnole de 1812. Dans le langage courant, on l’appelle aussi la place du kiosque, pour son beau kiosque de style néo-mudéjar.
Vous avez ici, d’une part, la belle maison dite de Torre Hermosa, et de l’autre, l’église de Santo Domingo. La maison, aujourd’hui divisée en deux, était au XVIe siècle, la résidence du conquistador Diego de Mesa.
À votre droite, vous avez une vue parfaite sur l’église Saint-Pierre de Vienne magnifiquement encadrée par ses splendides façades d’immeubles.
Pas besoin de valser pour avoir le tournis à Vienne. Ici, à l’angle de la rue Graben et Kohlmarkt, on se sait plus où donner de la tête tant l’architecture qui nous entoure déborde de partout.
Il y a certainement la queue devant le beau café central, et c’est normal. Ce lieu est une véritable institution à Vienne. Certains disent même que c’est le plus beau café de la planète.
Vous voilà devant le majestueux Burgtheater. Au vu de son style, vous vous doutez bien qu’il s'agit d'un théâtre important !
Faisant face au théâtre, voilà le magnifique hôtel de ville de Vienne. On se sent pris au milieu d’un concours de beauté entre monuments viennois.
Vous voilà devant un nouveau bâtiment plutôt imposant, le parlement autrichien. Reconnaissable entre mille dans son style néo-classique, inspiré de l’architecture grecque, le parlement est l’un des monuments les plus remarquables du Ring.
Alors, je vous l’accorde, dans ce quartier, et il faut bien l’avouer, à Vienne en général, il ne passe pas 5 min sans que l’on tombe sur un méga-monument.
Vous voilà, comme Marie-Thérèse, bien entourée par ses deux palais jumeaux abritant respectivement le Musée d'histoire naturelle et le Musée des Beaux-Arts.
Vous arrivez à présent sur la Heldenplatz, l’historique place des héros. Jusqu’au XIXe siècle, cet espace faisait partie de l’enceinte de Vienne et il y avait là un important bastion qui protégeait la Hofburg.
Vous voilà dans la cour intérieure principale de la Hofburg. Sur votre droite, la porte des Suisses, aux couleurs rouge et noire. Elle tient son nom des gardes suisses qui la gardaient au XVIe siècle.
Vous voilà sur celle que l’on considère comme la plus belle place de la ville, la Michaelerplatz. Cette place baroque construite à la fin du XIXe siècle a pris le nom de l’église Saint-Michel, donnée au XIIIe siècle pour servir d’église paroissiale aux serviteurs de la cour.
Vous passez sur votre gauche, le manège de l’école d’équitation espagnole de Vienne installée juste en face dans une des ailes du palais. Cette école d’équitation prestigieuse est la seule au monde qui cultive, depuis la Renaissance, l'art équestre classique de la Haute-Ecole.
Vous voyez cette petite église plutôt sobre sur votre droite ? Elle renferme la crypte des capucins. L’église baroque a été construite entre 1622 et 1632 et abrite depuis, les tombeaux des membres de la dynastie des Habsbourg, dont ceux de 12 empereurs et de 19 impératrices.
Vous voilà sur la place Albertina face au musée d’art du même nom. Installé dans l’ancien palais de l’archiduc Albert, ce musée présente la plus riche collection d’art graphique au monde.
Juste un mot sur cette fontaine monumentale que vous voyez à la pointe du musée sous la statue équestre de François Joseph. Elle est intitulée Fontaine Albert ou Fontaine Danube.
Vous voilà devant l’un des monuments phares de la ville, l’Opéra de Vienne. Vous le savez déjà certainement, c’est l’un des plus grands et l’un des meilleurs opéras lyriques au monde, avec des programmations d’un niveau exceptionnel et qui changent tous les jours !
Vous voilà entre deux bâtiments dédiés à nouveau à l’art et à la musique. À votre gauche, le Musikverein, la maison de l’union musicale de Vienne.
Vous voilà face à un véritable tableau. L’église Saint-Charles de Vienne se dresse derrière la fontaine, en belle image emblématique de Vienne. Pas besoin d’aimer les églises pour admettre qu’elle est drôlement belle avec sa coupole et ses colonnes torsadées.
Vous voilà sur la place Schwarzenberg.Vous êtes à l’emplacement des anciens remparts de la ville de Vienne. À leur destruction, on a profité de l’espace dégagé pour construire plusieurs beaux bâtiments que vous voyez tout autour et pour créer cette petite place.
À votre droite, le Konzerthaus de Vienne. Cette salle de musique autrichienne, inaugurée en 1913, a depuis ses débuts jonglé entre tradition et innovation.
Vous êtes à présent dans l’un des plus anciens parcs de Vienne, le Stadtpark. Les Viennois l’adorent depuis 1862, certainement pour ses jardins à l’anglaise, la richesse de sa variété végétale ainsi que pour la rivière Wien qui le traverse, offrant ainsi de nombreux petits ponts.
À votre droite, le beau palais néo-renaissance rouge, c’est le MAK de Vienne. Le musée des Arts appliqués.
Oui, elle en jette cette petite place avec sa belle église et la magnifique académie des sciences de Vienne !! L’église baroque qui se dresse devant vous est la Jesuiten Kirch, vous l’avez compris, c’est l’église Jésuite de Vienne.
Vous passez à présent devant la maison musée de Mozart. Il a habité dans une douzaine de maisons à Vienne, mais c’est la seule qui a été conservée et qui a été transformée en musée.
Voilà le clou du spectacle, la sublissime cathédrale Saint-Étienne. Son nom en allemand est Stephansdom, mais les habitants la surnomment affectueusement Steffel qui signifie petit Stéphane.
Vous remontez la luxueuse rue piétonne Graben. Élégante et raffinée, bordée de belles boutiques, glaciers et cafés bien installés dans des bâtiments historiques, elle est l’artère commerçante principale de la capitale autrichienne.
Ici, sur la place Weyler, vous pouvez admirer le premier hôtel de luxe de la ville, et d’Espagne, voulu par Alphonse XIII en 1903 qui ne trouvait pas correct que son pays ne possède pas d’endroits dignes de ce nom pour accueillir les nobles de passage.
Vous voilà sur la plaça del Mercat, la place du marché qui en abritait déjà un à l'époque des Maures. En 1302, la place fut officiellement ouverte aux marchés par le roi Jaime II et ils s’y sont tenus tous les samedis jusqu’au XIXe siècle.
Les deux édifices plutôt impressionnants que vous voyez à présent sont les Can Casasayas. Vous reconnaissez, évidemment, le style moderniste catalan qui les rend si attirants.
Vous venez de rejoindre le passeig del Born ou la promenade du Born en français. Elle a été dessinée, sur le lit de l’ancien torrent de la Riera, au début du XIXe siècle et rappelle le paseo del Prado de Madrid.
L’élégante demeure jaune que vous avez devant vous est le casal Solleric, un exemple typique des manoirs que les riches majorquins se faisaient construire au XVIIIe siècle, véritable âge d’or pour la bourgeoisie de l’île.
En arrivant sur la petite place de Santa Catalina, vous êtes forcément surpris par cette mini église posée à l’envers, en équilibre sur son clocher. Qu’est-ce que c’est que cette œuvre d’art et comment est-elle arrivée là ?
Vous êtes sur le petit pont de la porte Santa Catalina, qui vous permet de découvrir le canal qui remplace l’ancien torrent de Sa Riera. Ce dernier prenait sa source dans la Sierra Tramuntana, qui prend toute la côte ouest de l’île du Nord au Sud, avant de se jeter dans la mer.
Vous passez ici, l’entrée du Musée d’Art Moderne de Palma, Es Baluard. C’est le musée d’Art contemporain par excellence !
Vous arrivez à présent devant la Llotja de Palma, qui veut dire la Loge en catalan. Il s’agit de l’ancienne bourse du commerce maritime et du siège des marchands.
Vous voilà face à l’image emblématique de Palma. Sa vue carte postale parfaite sur le palais royal de l'Almudaina et la splendide Cathédrale de la Seu. Des belles pierres, des palmiers bien verts, un bassin pour donner de la profondeur à votre photo, tous les ingrédients sont réunis pour que votre regard englobe d’un seul coup toute la beauté de Palma.
Ces petits jardins de style mauresques sont les S'hort del Rei, les jardins du roi, pour leur emplacement aux pieds du palais de l'Almudaina. Du temps de Jaume II de Majorque, au début du XIVe siècle, ces jardins étaient remplis d’arbres fruitiers et de fleurs, mais aussi de légumes, car ils servaient de potager royal.
D’ici, vous avez une magnifique vue en contre-plongée, sur la façade du palais de l’Almudaina. Son entrée se fait en face de la cathédrale. Vous pouvez, bien évidemment, aller le visiter et découvrir les pièces ouvertes à la visite, comme le chemin de ronde, la salle d’audience, la salle du trône, ou le palais du roi.
Vous l’admirez depuis votre arrivée, vous voilà finalement face à la belle cathédrale Sainte-Marie de Palma, construite sur les murailles de la vieille ville de Palma. Celle que l’on surnomme la Cathédrale de la Lumière pour ses 59 vitraux et ses 5 rosaces, ou la Seu, qui veut dire majestueux en Catalan, est le plus grand édifice religieux de l’île et le deuxième d’Espagne par sa longueur, derrière la Cathédrale de Séville.
Vous voilà sur une petite place face au musée du diocèse et d’une belle villa néo-gothique au numéro 3. Sur sa façade, un petit crocodile sculpté, le trouvez-vous ?
Vous passez sur votre droite, l’entrée des bains arabes de Palma. Vous en avez peut-être entendu parler, il s’agit de la construction la mieux conservée, et pour ainsi dire sans restauration, de l’époque islamique.
Vous avez ici le couvent de Santa Clara. Il s’agit du plus ancien de l’île, toujours en activité. Il a été construit au XIIIe siècle sur les vestiges d’un ancien édifice arabe, sous le règne du roi Jaime Ier, le conquérant.
Vous arrivez sur la petite place Saint-François, face à la basilique éponyme. Elle a été bâtie entre le XIIIe et le XIVe siècle, mais la belle façade que vous voyez date du XVIIe siècle. Si vous aimez l’architecture religieuse, la basilique Saint-François va vous plaire, car elle combine une église franciscaine médiévale classique, avec une façade baroque et un cloître gothique.
Rien de tel qu’un bel édifice moderniste comme la Catalogne en a le secret pour égayer un centre-ville ! Ici, vous êtes face à la Can Barcelo, une magnifique demeure construite pour plusieurs familles au début du XXe siècle. Elle est l'œuvre de Bartolomé Ferrà Perello, membre du mouvement de la renaissance catalane.
Bon, vous n’allez pas visiter Palma, sans goûter à l’une de ses douceurs ! La chocolaterie Can Joan de S’aigo est une véritable institution à Majorque. Elle a ouvert ses portes en 1700 et ne les a pas fermées depuis !
Vous vous êtes peut-être déjà rendu compte, depuis votre arrivée à Palma, que la ville était pleine de patios. Autrefois, on ne répertoriait pas moins de 500 patios à Palma.
Vous voilà, à présent, devant l’église catholique de Sainte-Eulalie. Il s’agit de la plus ancienne de la ville, après la cathédrale. Elle a été bâtie au XIIIe siècle, dans une version assez sobre de ce style gothique naissant. Elle prend le nom de la sainte patronne de Barcelone vénérée par les colons chrétiens qui arrivent de Catalogne lors de la prise de l’île de Majorque aux musulmans.
Vous arrivez à présent sur une place mythique de Palma, la plaça de Cort, la place de la cour en français. C’est ici que tout a commencé. Ici que Jaime II s’est réuni avec quatre nobles qui l’accompagnaient dans sa conquête pour se partager la ville.
Vous le trouvez beau depuis que vous l’avez aperçu au bout de la rue, voici le splendide immeuble de Can Corbella. Autre façade emblématique de Palma, l’édifice nous en met plein la vue et je suis sûr que vous ne vous attendiez pas à voir autant de belles architectures en venant à Majorque !
Sur la petite place du marquis de Palmer, vous ne pouvez pas manquer le sublime immeuble art nouveau qui se dresse devant vous ! L’Art nouveau est un style qui aura été aussi fugace que merveilleux, tout en courbes et en inventivité, laissant derrière lui de véritables trésors d’architecture et de décoration.
Vous voilà au centre d’une belle place fermée, encadrée d’arcades jaunes bien symétriques, vous l’avez deviné, vous êtes sur la Plaza Mayor de Palma, au cœur de son centre-ville ! C’est la plus grande place de la ville. Elle occupe l’espace laissé par l’ancien couvent San Felipe Neri.
Vous êtes sur la place de la Trémoille, face à une façade claire qui accroche la lumière. Oubliez un instant le vieux château fortifié à côté : ici se dresse son cadet, le Château-Neuf. Alors, pourquoi en construire un nouveau, si proche de l’ancien ?
Vous êtes sur la place du 11 Novembre, devant l’Hôtel de Ville de Laval. Cet édifice, avec sa façade régulière et monumentale, raconte l’histoire d’une ville qui voulait se moderniser.
Vous êtes devant les Halles de Laval. Ce bâtiment flambant neuf est le dernier né d’une histoire bien plus ancienne : depuis le Moyen Âge, la ville vit au rythme de ses foires et de ses marchés. Ici, on négociait le bétail, le beurre, les œufs, le lait… tout ce qui faisait la richesse des campagnes alentour.
Vous êtes maintenant dans la rue des Serruriers, l’une des plus belles rues médiévales de Laval, avec ses nombreuses maisons anciennes à pans de bois. C’est l’endroit parfait pour comprendre comment on vivait dans la ville intra-muros au Moyen Âge.
Vous êtes devant la Porte Beucheresse, la dernière porte fortifiée qui subsiste des remparts médiévaux de Laval. Imaginez : au XIIIe siècle, la ville était ceinturée d’une enceinte longue de plus d’un kilomètre, flanquée de vingt-sept tours et percée de trois grandes portes.
Vous empruntez maintenant la Promenade Anne d’Alègre. Cette allée ombragée suit la ligne des anciens remparts médiévaux et offre une belle vue sur le Vieux-Laval. Prenez le temps de lever les yeux, c’est l’un des meilleurs endroits pour admirer les murailles qui s’élèvent puissantes et ponctuées de tours rondes.
Vous avez rejoint la cathédrale de la Sainte-Trinité. À première vue, sa façade peut surprendre car elle ne ressemble pas aux grandes cathédrales gothiques que l’on a l’habitude de voir. Et pour cause : elle a été transformée et agrandie pendant près de mille ans.
Levez les yeux : dans les niches, deux figures féminines drapées à l’antique représentent la Peinture et la Sculpture, un clin d’œil à la vocation d’origine du lieu, conçu à la fin du XIXe siècle comme musée des Beaux-Arts sous l’impulsion du peintre Charles Landelle, natif de Laval.
Vous arrivez devant le parc de la Perrine, le grand jardin public de Laval. C’est un lieu gratuit et ouvert à tous, entre parc paysager et jardin botanique, perché sur un promontoire qui domine la Mayenne.
Le parc est aussi très apprécié pour la magnifique vue qu’il offre sur la ville et la vallée depuis son belvédère. À gauche, la tour massive du Vieux-Château domine encore la Mayenne, au pied de laquelle s’entassent les toits du vieux centre.
Si cette entrée au parc de la Perrine est fermée, merci de revenir sur vos pas afin d’emprunter l’accès principal. Remontez ensuite la rue des Éperons et vous retrouverez le parcours sur votre droite, au niveau de la place des Quatre-Docteurs-Bucquet.
Arrêtons nous un instant pour parler des Bains-Douches municipaux que vous voyez sur votre gauche. Impossible de rater leur façade sobre et géométrique, si typique des années 20. Ce bâtiment, construit entre 1925 et 1927 par l’architecte lavallois Léon Henri Guinebretière, est un petit bijou Art déco posé sur la rive de la Mayenne.
Regardez de l’autre côté de la rivière : cette drôle de maison flottante, c’est un bateau-lavoir. Laval conserve les deux derniers bateaux-lavoirs municipaux authentiques de France.
Avec un nom pareil, difficile de ne pas s’arrêter : voici la Maison du Pou volant. Rassurez-vous, rien à voir avec un insecte fantastique qui se serait mis à voler au Moyen Âge !
Il n’y a pas que des reflets de l’époque médiévale à Laval ! Vous voilà devant l’une des plus belles demeures Renaissance de la ville. La Maison du Grand Veneur a été construite en 1553 par un riche marchand de toiles, Jacques Marest et affiche clairement l’ambition et la réussite de la bourgeoisie lavalloise du XVIe siècle.
Vous voilà devant le Vieux-Château, le cœur battant de l’histoire de Laval. C’est ici que tout commence, vers l’an 1020, quand un seigneur, Guy de Dénéré, décide d’installer une motte castrale pour contrôler le passage de la Mayenne.
Les trois belles arches qui enjambent la Mayenne appartiennent au plus ancien pont de Laval, que tout le monde ici appelle simplement le Pont Vieux.
Voilà la véritable star de Nice, la si célèbre promenade des Anglais. Longeant la baie des Anges avec son infini de bleu, la Prom’ pour les intimes, invite à la balade contemplative.
La jolie petite église bleutée que vous voyez est l’église Saint-Jacques-le-Majeur, plus communément appelée l’église du Gesù. Son histoire commence avec celle d’un riche marchand niçois, qui décide de donner une importante somme d’argent aux Jésuites de Nice pour fonder un collège.
À l’angle de la rue de la Barillerie et de la rue de la Poissonnerie, vous pouvez admirer le seul témoin de l’ancienne tradition des maisons peintes. Il était courant au Moyen Âge et à la Renaissance de sculpter des bas reliefs inspirés de la bible sur sa maison.
Vous vous trouvez à présent sur le cours Saleya, créé au début du XVIIIe siècle sur l’espace libéré par le mur d’enceinte désormais inutile.
Dans le prolongement du cours Saleya, vous pouvez voir la petite chapelle de la Miséricorde, dite des pénitents noirs. Elle est considérée comme la plus belle chapelle baroque de Nice.
Vous arrivez sur la place du Palais de Justice, dominé par l’imposant palais en question, construit sur le site de l’ancien couvent des Dominicains en 1892.
Vous ne vous en rendez pas compte de là où vous êtes, mais cette belle promenade du Paillon, vu du ciel, ressemble à un immense tapis vert déroulé à travers la ville.
Sous cette place sublime et hypnotisante avec son sol en damier, coule le Paillon que l’on avait enterré il y a des années pour des raisons de salubrité.
Le Jardin Albert 1er, créé en 1852, est l’un des plus anciens jardins publics de Nice. Le tout premier est né en 1828, sur la colline du château.
Cette rue est nommée la rue de France, car c’était celle qui menait à la frontière avant le rattachement de Nice à la France. Nous entrons dans un nouveau Nice, ici pas de ruelles pavées ni de façades italiennes orangées !
Le monument commémoratif que vous voyez à présent est le Monument du Centenaire. Voyez au pied de la pyramide, les deux femmes représentées.
Cette imposante sculpture d’acier a été commandée par le maire de la ville pour célébrer les 150 ans de l’annexion de Nice à la France. Elle fut installée en 2010, et chacune de ses lignes représente les 9 vallées qui formaient le comté de Nice, lorsqu’il était un état de Savoie.
L’Opéra qui se tient devant vous aujourd’hui a bien changé depuis ses débuts. Tout commence en 1776, lorsque le roi de Sardaigne autorise la marquise Alli-Maccarani à transformer sa maison en petit théâtre en bois.
Vous trouverez ici une réplique de la célèbre statue de la Liberté. Une réplique, oui, mais une vraie. Signée de la main de Bartholdi.
Toute grande ville qui se respecte a désormais un lieu Instagramable porteur du célèbre hashtag. Vous êtes ici sur l’esplanade du quai Rauba Capeu qui était à l’origine un sentier creusé dans la roche.
Monter au sommet de la colline du château est un incontournable pour avoir une vraie belle vue d’ensemble de Nice. C’est tellement un incontournable que la ville a installé un ascenseur gratuit pour que personne ne passe à côté !
Vous voilà au premier belvédère du parc de la colline du Château, admirant la vue dégagée qui s’offre à vous depuis la tour Bellanda.
La cascade qui vous apporte un peu de fraîcheur est artificielle, mais bien agréable. Elle a été voulue au XIXe siècle, sur le souhait du roi Charles Felix de Savoie, qui voulait agrandir et embellir la ville.
C’est sur cette colline surplombant la mer que se sont installés les Grecs phocéens, premiers habitants de la Nice antique alors appelée Nikaïa, ce qui veut dire en grec ancien “celle par qui arrive la victoire" !
Du côté est du parc, c’est le magnifique port Lympia qui s’offre à vous , ainsi que le bord de mer, et le phare de Nice. Vous voyez également le long boulevard Franck Pilatte longeant la mer autour du mont Boron et du Cap de Nice.
Quoi de plus paisible qu’une promenade le long du port. Le vieux port de Nice s’y prête à merveille. Construit au XVIIIe siècle, aux pieds de l’ancienne citadelle, le port Lympia est avec celui de Cannes, le plus vieux port de la Côte d’Azur.
Cette jolie place, nommée place de l’île de beauté, vous offre une vue féérique sur le vieux port et ses pointus. L’église Notre-Dame-du-Port, avec ses 4 colonnes monumentales de style néoclassique, a été construite en 1830 par décision du roi Charles-Félix.
L’histoire de Nice est indissociable de celle de l’Italie. En 1780, lorsque le roi de Sardaigne Victor Amédée III décide de rendre carrossable la route qui relie sa capitale Turin, à Nice, il commandite une belle grande place au cœur de la ville, pour accueillir comme il se doit, les voyageurs de cette voie royale.
Vous voici dans l’une des plus authentiques rues du Vieux Nice. Au Moyen Âge, elle abritait la corporation des chaudronniers, les pairouliers en Niçois, ce qui lui a donné son nom actuel.
Regardez attentivement à l’angle de la rue Droite et de la rue de la Loge. Oui, c’est bel et bien un boulet de canon que vous trouvez là, encastré dans le mur !!
Vous êtes à présent dans celle qui était la rue principale de la ville au XVIIe siècle. Elle reliait le port à la place Garibaldi. Son nom vient d’une mauvaise traduction du Nissart Drecha, qui voulait dire Direct plus que droite, mais le temps fit son œuvre, et l’erreur s’accepta.
La place Rossetti pour le coup c’est vraiment l’Italie. Façades ocre, balcons fleuris, fontaine ancienne et terrasses de cafés, on s’y croirait ! La sainte patronne de la cathédrale, sainte Réparate, est d’ailleurs également la patronne de Florence, ainsi que d’autres villes italiennes.
Ce ne sont pas moins de 34 hectares qui composent le Brooklyn Bridge Park, qui longe l’East River depuis Atlantic Avenue et jusqu’au pont de Manhattan.
Avis aux grands sportifs ! Sur cette esplanade qui correspond au quai n°2, vous trouverez plusieurs terrains de basket où de nombreux New-Yorkais viennent s’entraîner chaque jour, ainsi qu’un skate park et une piste pour faire du roller.
Oui c’est bien une plage que vous voyez-là, en plein New York, dans l’un des quartiers les plus célèbres.
Vous voici à Brooklyn, l’un des cinq quartiers de New York.
Vous vous trouvez ici dans Joralemon Street. Sur votre droite se trouve un immeuble bien particulier de Brooklyn.
Brooklyn est tellement grand qu’il est lui-même séparé en différents quartiers.
Vous voici arrivé dans Montague Street, la rue principale du quartier de Brooklyn Heights.
Véritable attraction de New York, la Brooklyn Heights Promenade offre de magnifiques vues sur Manhattan et la Skyline de New York.
Vous voici sur la Pineapple Street, que l’on traduit en français comme la rue de l’Ananas.
Ici, vous êtes dans le quartier de DUMBO, qui se trouve en partie coincé entre le pont de Brooklyn et le Manhattan Bridge.
C’est l’une des vues les plus emblématiques de New York, au cœur de la Washington Street.
Ici, vous profitez d’une superbe vue sur le Manhattan Bridge. Bien que moins célèbre que son voisin le pont de Brooklyn, il n’en reste pas moins impressionnant par son histoire et son architecture.
Coincé entre le pont de Brooklyn, sur votre gauche, et le Manhattan Bridge sur votre droite, le Main Street Park est LE spot pour prendre des photos réunissant les deux ponts emblématiques de New York
Il fera le bonheur des petits et des grands : le Jane’s Carousel accueille ses visiteurs dans son écrin de verre signé Jean Nouvel, à l’abri des intempéries, pour ceux qui souhaitent faire un tour de manège, qu’ils soient enfants ou non !
Cet entrepôt en briques typiques de Brooklyn est une ancienne usine de mouture d’épices qui propose des spectacles éclectiques au cœur du quartier de DUMBO, à deux pas de l’East River.
À vos appareils photo ! C’est l’une des vues les plus emblématiques de New York, et certainement la plus connue de Brooklyn.
Autre merveille de la ville : voici la cathédrale Notre-Dame-des-Doms.
Occupé depuis la Préhistoire, le rocher des Doms, en plus d’offrir une vue magnifique sur les alentours, était un lieu privilégié pour vivre à l’abri des caprices du Rhône qui se trouve juste au-dessous, à 30 mètres plus bas.
Vous voici devant la vue emblématique de la ville. Les toits de la cité des Papes et des villages avoisinants s’offrent à vous, postés à deux pas du Rhône.
Situé à la pointe du jardin des Doms, vous avez devant vous une vue époustouflante sur le Rhône et sur l’île de la Barthelasse, plus grande île fluviale de France.
Nous voici devant le fameux pont d’Avignon, le pont Saint-Bénézet de son vrai nom. Alors, prêt à danser en rond ?
Après avoir franchi les remparts grâce à la porte de la Ligne, vous tombez sur l’un des plus anciens bâtiments de la ville, celui qui se trouve sur votre gauche.
Cette jolie façade de style baroque appartient à la Chapelle des Pénitents Noirs, qui accueillait l’une des confréries majeures de la cité des papes
Vous voici arrivés devant les Cinémas Utopia, véritable institution culturelle de la ville.
Nous voilà dans la rue Peyrolerie. Tout droit venu de Provence, le nom de cette rue vient du mot “peyrou”, qui signifie chaudron en provençal.
Située à quelques pas du Palais des Papes, la Basilique Saint-Pierre est construite une première fois au VIIe siècle, mais elle sera démolie par les Sarrasins.
Vous voici arrivés dans l’un des lieux les plus animés de la ville.
La place Pie, qui accueille le marché couvert de la ville, a été aménagée au XVIe siècle, à la place d’une ancienne maison.
Ici, nous allons tourner à droite, mais sachez que la rue qui se trouve face à vous est un lieu très touristique que vous pouvez aller découvrir si vous le souhaitez.
Sur votre droite se dresse un immense bâtiment qu’il est difficile de ne pas remarquer.
La place des Corps Saints est l’une des plus agréables de la ville.
Vous arrivez ici devant la porte Saint Michel. Avignon fait partie des rares villes françaises qui ont conservé la totalité de leurs remparts.
Nous voilà dans le cours Jean Jaurès, l’un des principaux axes d’Avignon, situé aux portes des remparts.
Nous voici arrivés dans le square Agricol Perdiguier. Arrêtez-vous un instant et regardez sur votre gauche.
Vous voici dans la rue Joseph Vernet, une rue historique de la ville.
Nous sommes toujours dans la rue Joseph Vernet, mais ici, il faut vous retourner vers la gauche pour en voir un aspect bien plus ancien que les hôtels particuliers.
Nous sommes devant le principal musée d’Avignon, le musée Calvet. C’est ce remarquable hôtel particulier du XVIIIe siècle qui accueille aujourd’hui les riches collections du musée depuis 1833.
Le palais du Roure, qui signifie “palais du chêne”, est un centre culturel consacré aux arts et traditions populaires provençales.
N’hésitez pas à entrer dans cette belle église du XIVe siècle, seule église de ce siècle qui possède des bas-côtés.
Vous voici au cœur de la ville, lieu d’animation et de passage immanquable pour la visite d’Avignon.
Vous pensiez visiter Avignon sans passer par son théâtre ? Impossible, quand on sait que le Festival d’Avignon est l’un des événements internationaux les plus importants dans le domaine du spectacle vivant !
Vous voici arrivé sur la place du Palais, la plus impressionnante de la ville. Avant de vous focaliser sur le superbe monument qui la compose, jetez un coup d’œil au bâtiment qui se trouve sur votre gauche.
Allez, parlons maintenant du véritable mastodonte qui vous fait face : le Palais des Papes.
Vous êtes à présent face à l’un des immeubles les plus emblématiques de Vancouver, qui pique notre curiosité avec ses belles couleurs jaunes et rouges, et son charisme d’un autre temps. Il s’agit du Dominion building, le tout premier gratte-ciel à charpente métallique de Vancouver.
Juste un mot sur l’immeuble que vous voyez un peu plus bas dans la rue, couplé d’une tour d’observation. Il s’agit de l’Harbour center, un gratte-ciel construit en 1977, comprenant une tour de bureaux et le Lookout de Vancouver.
S’il n’est pas commun pour nous autres européens, de trouver une cathédrale gothique entre deux gratte-ciel, en Amérique du Nord, c’est monnaie courante. L’édifice que vous voyez sur votre gauche, est la Holy Rosary Cathedral, traduisez la cathédrale du Saint-Rosaire.
Le taureau en bronze et platine, grandeur nature, que vous voyez sur votre gauche, est l’œuvre de Joe Fafard, l’artiste préféré du propriétaire de l’immeuble, un certain Mr Gordon Diamond. Cette sculpture a été installée là en 2001, pour remplacer celle plus abstraite d’un cheval, du regretté Jack Harman.
Le bâtiment néo-classique, qui se dévoile sur votre gauche, est celui de la Galerie d’Art de Vancouver. Si le musée revêt cet air solennel, c’est que le bâtiment avait été construit en 1911, pour être le palais de justice provincial.
De l’autre côté de la rue, vous ne pouvez pas manquer l’imposant hôtel Fairmont de Vancouver. Si vous avez déjà voyagé un peu au Canada, ce n’est certainement pas le premier que vous croisez, le plus connu étant celui de Québec.
Si vous vous posiez la question, sachez que la petite église que vous avez sur votre droite est la cathédrale du diocèse anglican de New Westminster. Érigée en 1895 dans un style gothique, elle est l’un des lieux de culte les plus grands de Vancouver, offre des services religieux tout au long de l’année et accueille parfois des spectacles.
Vous l’avez certainement remarqué, la Robson street est l’une des rues commerçantes les plus animées de la ville. En 1895, son importante concentration de commerces lui valut l’installation de voies de tramway.
La Bute Street vous mène tout droit sur le parc Harbour Green, étendu le long de Coal Harbour. La ville compte de nombreux parcs, et espaces verts, sans parler de l’incroyable Stanley Park
Pour vous rendre compte de l’importance de cette sculpture, il faut vous l’imaginer allumée, ou plutôt, enflammée. Comme le veut la tradition, après avoir été allumée par les rayons du soleil à Olympie, lors d’une cérémonie au temple d’Héra, la flamme a été d’abord relayée dans toute la Grèce, avant d’atteindre Athènes.
Vous ne voyez pas flou, la sculpture que vous avez là devant vous est bien pixélisée. Il s’agit du “Digital Orca”, soit l’orque numérique, élevée à côté du centre des congrès en 2009. Elle est l’œuvre de Douglas Coupland, un artiste et auteur né à Vancouver, connu pour ses romans postmodernes.
S’il y a bien un spectacle à Vancouver, qui plait autant aux habitants qu’aux voyageurs, c’est bien le ballet des hydravions. Aussi commun que cela puisse paraître à nos amis canadiens, ce n’est pas quelque chose que l’on voit tous les jours en France.
Autre sculpture originale, placée le long du port, voici “The Drop”. Vous avez certainement entendu le surnom peu flatteur de “Raincouver” dont est affublée la ville, pour ses précipitations bien connues.
Cette longue pointe qui s’avance sur l’eau est la partie de port que l’on appelle la Canada Place ! Elle a été créée lors de la grande exposition universelle de 1986, pour être le pavillon du Canada. Aujourd’hui, c’est ici que bat le cœur touristique de la ville, et là où les habitants se retrouvent pour célébrer les grands évènements.
J’attire votre attention sur l’édifice qui se trouve sur votre droite. Il s’agit du sublime immeuble de la Marine datant de 1930. Vous avez sous les yeux l’un des plus beaux exemples d’Art déco du Canada.
Vous avez ici, plusieurs bâtiments assez imposants. Sur votre gauche, vous avez l’ancien bureau de poste de Vancouver, reconverti en un centre commercial. De style Beaux-Arts, il est un repère visuel classique de Vancouver, facilement reconnaissable avec sa rangée de colonnes monumentales, son toit en mansarde, et surtout sa tour d’horloge surmontée d’un dôme.
Ce beau bâtiment à colonnade que vous avez devant vous est celui de la gare de Waterfront, appartenant au Canadian Pacific Railway, l’une des compagnies de chemin de fer du Canada.
Mais la vraie star de la ville, qui campe en fière représentante du centre-ville historique de Vancouver, c’est elle ! La fameuse Steamclock de Gastown.
En arrivant à l’intersection de Maple Tree square, vous pénétrez au cœur même de la naissance de Vancouver. Rembobinons un peu l’histoire, si vous le voulez bien.
Voyez ce bâtiment typique en briques, surmonté de son gros W rouge, perché au sommet d’une réplique de la pointe de la tour Eiffel. Il s’agit de la partie la plus ancienne d’un immeuble historique du centre-ville, construit en 1903, pour le grand magasin Woodward.
Cette étrange église en briques noires volcaniques et encadrée de portes blanches est l’église de San Agustin. L’ordre des Augustins, à quia elle appartient, est arrivé à Quito au milieu du XVIe siècle, mais leur couvent ne sera terminé qu’en 1617.
Le Palais de Carondelet qui borde la place de l’indépendance est la résidence officielle des présidents de la République d’Équateur. À l’époque coloniale, le palais était le siège de l’audience royale et du gouvernement civil et militaire de la région.
Vous avez ici, sur votre droite, l’entrée du centre culturel métropolitain. Si vous avez eu votre dose d’églises et de couvent et voulez voir un peu d’art contemporain, alors poussez la porte de cette ancienne éminente université jésuite reconvertie en centre culturel.
Vous arrivez maintenant devant celle qui est sans doute l’église la plus importante de Quito, celle de la compagnie de Jésus. C’est l’église des superlatifs. Au fil du temps, on l’a surnommée “Le temple de Salomon d’Amérique du Sud”, “la braise d’or”, et l’ambassadeur d’Espagne en Équateur l’a décrit comme “le meilleur temple Jésuite du monde”.
Ce mural plein de couleurs est l’œuvre magnifique de l’artiste espagnol Oscar San Miguel, dit “Okuda”. Son style est caractérisé de pop-surréaliste et ses œuvres sont aussi colorées et géométriques qu’engagées et pleines de contradictions.
Vous avez ici sur votre droite le centre culturel dit “El Tianguez”. Il s’agit d’un complexe formé par un musée/magasin d’artisanat, fait de sept salles d’exposition et de vente, ainsi qu’un café culturel orienté sur la découverte des traditions culinaires des Andes, de la côte océanique et de l’Amazonie.
La grande église San Francisco qui se dresse devant vous est l’une des plus anciennes de la capitale, car elle a été construite un an à peine après la fondation de la ville par Sebastian de Banalcazar après sa prise de Quito.
Vous n’allez certainement pas me contredire, une grande partie du voyage se passe au niveau des découvertes gastronomiques ! Rien de tel pour découvrir un pays que de manger comme ses habitants.
Depuis cette place aménagée le long du boulevard du 24 mai, vous avez une vue dégagée sur le Panecillo et sa célèbre statue de la Vierge aux ailes d’ange. Ce sont les Espagnols qui ont nommé cette colline le Panecillo, soit le petit pain, en rapport à sa forme.
La rue que vous remontez à présent est connue pour être la plus jolie de Quito. Cette rue piétonne bien entretenue est telle qu’on la trouvait au XVIIIe siècle.
La grande place Santo Domingo abrite en son centre un monument à la gloire du Maréchal Sucre. Laissez-moi vous dire deux mots sur ce héros de la guerre d’indépendance, certes moins connu que son homologue Simon Bolivar, mais qui libéra Quito et donna son nom à la capitale Bolivienne dont il fut le premier président, ainsi qu’à l’ancienne monnaie de l’Équateur.
Le bel édifice rose pâle que vous avez maintenant devant vous est le Teatro Bolivar. Il a été fondé le 15 avril 1933 et sa grande salle pouvait accueillir plus de 2400 spectateurs.
La plaza grande, ou place de l’indépendance est encadrée par plusieurs bâtiments importants. C’est le cas pour toutes les places principales d’Amérique du Sud, souvent appelées Plaza de Armas parce que c’est là qu’étaient installées les diverses représentations du pouvoir de la couronne espagnole.
Vous voilà au cœur de la ville, sur sa plaza de la independencia familièrement connue sous le nom de plaza Grande. C’est la place principale de la ville, centre politique et historique du pays et siège symbolique du président de la République.
Vous êtes ici, devant le palacio arzobispal, traduisez : le palais de l’archevêque. Il est le siège de l' archidiocèse métropolitain de Quito et la résidence officielle de son archevêque. En 1535, lorsque la paroisse ecclésiastique de la ville est créée, le pays que vous visitez aujourd’hui n’existe pas encore.
Vous êtes à présent sur la belle place du théâtre face à la magnifique façade du Teatro Sucre. Il s’agit de l’un des plus anciens opéras d’Amérique du Sud et du plus prestigieux d’Équateur. Il a été inauguré en 1886, donc avant le teatro Cristobal de Bogota et le teatro Colon de Buenos Aires.
Alors là, avec la Basilica del Voto Nacional, on est tout de suite dans l’ambiance ! Elle en impose et pour cause ! Il s’agit du plus grand temple néo-gothique des Amériques et du plus haut d’Amérique du Sud.
La jolie église blanche et bleu que vous voyez là est la iglesia de Santa Barbara. Elle a été construite au XVIe siècle et les Jésuites l’ont occupée de 1586 à 1589. C’est l’une des églises les plus modernes de la ville et elle ne conserve que peu d’antiquités.
Vous vous trouvez à présent sur le parvis de l’église et de son couvent de la Merced, traduisez de la miséricorde. Une première église s’élève déjà ici au début du XVIIe siècle, mais sera détruite par un tremblement de terre en 1660.
Petit chouchou des touristes, le quartier Albergheria est probablement le plus ancien de Palerme. Né sur un territoire autrefois riche en eau, traversé par l’ancienne rivière Kemonia, ce petit périmètre a vu se succéder les peuples, chacun en faisant son centre de pouvoir.
Avec un nom pareil, l’église Santissimo Salvatore évoque toute la majesté italienne.Véritable joyau du baroque sicilien, elle fut édifiée à partir de 1682 là où s’élevait autrefois un monastère de sœurs bénédictines, fondé au XIe siècle.
Bienvenue au cœur de Palerme ! Ici, vous êtes sur la Piazza Vigliena, mais tout le monde l’appelle les Quattro Canti, littéralement les “quatre coins” – et non pas les “quatre chants”, comme on le traduit parfois à tort.
Nous voici en plein cœur du centre historique de Palerme, sur la Piazza Pretoria. Ce n’est pas tant pour les palais et les églises qui l’entourent qu’elle est connue, mais pour la fontaine monumentale qui trône en son centre.
Bienvenue sur la Piazza San Domenico, l’une des places les plus emblématiques de Palerme, ouverte sur la grande Via Roma. Son histoire remonte au XVIIIe siècle, quand la Sicile était sous domination autrichienne : à cette époque, on réaménage la place, alors appelée Piazza Imperiale.
Difficile de visiter Palerme sans faire un tour dans le quartier d’Il Capo, l’un des plus vivants et pittoresques du centre historique. Installé sur l’ancien lit de la rivière Papireto, aujourd’hui comblé, le quartier s’est développé autour de son marché, actif depuis le XVIIe siècle et encore aujourd’hui l’un des plus populaires de la ville.
L’Italie, berceau de l’opéra et terre de la commedia dell’arte, a le goût des théâtres. On en trouve partout, dans les grandes villes comme dans les plus petites. À Palerme, il y en a une dizaine, mais aucun n’arrive à la hauteur du Teatro Massimo Vittorio Emanuele. Sa construction commence en 1875, à l’initiative du maire de l’époque, qui voulait offrir
Si vous êtes curieux de nature, le musée archéologique régional de Palerme est une étape à ne pas manquer. Installé depuis 1866 dans l’ancien couvent dell’Olivella, il abrite l’une des collections archéologiques les plus riches d’Italie, retraçant l’histoire de la Sicile depuis la préhistoire jusqu’à l’époque romaine.
Juste à côté de l’église San Domenico se cache un petit bijou baroque : l’Oratorio del Rosario. Fondé en 1578 par la Compagnia del Santissimo Rosario, il a été embelli un siècle plus tard par le grand sculpteur Giacomo Serpotta, véritable maître du stuc.
Bienvenue dans le quartier de La Loggia, l’un des plus anciens et des plus authentiques de Palerme. Situé entre le port et le marché de la Vucciria, il a toujours été un lieu de passage et d’échanges. Dès le Moyen Âge, marchands italiens et étrangers s’y installent: son nom vient d’ailleurs d’une ancienne loggia
À Palerme, les espaces verts se font rares, mais la Piazza Marina abrite l’un des plus agréables : le Giardino Garibaldi. Créé au XIXe siècle par l’architecte Basile, ce jardin mêle romantisme et charme un peu sauvage.
Avec son allure sobre et élégante, le palais Abatellis ne se remarque pas toujours au premier coup d’œil. Construit à la fin du XVe siècle dans un style gothique catalan, il fut la résidence privée de Francesco Abatellis, haut dignitaire de Palerme.
Le Foro Italico est cette grande promenade en bord de mer où les Palermitains viennent prendre l’air, lire un livre ou simplement profiter de la vue sur l’horizon bleu. Un luxe quotidien qui remonte en réalité à plusieurs siècles.
La Villa Giulia est l’une des plus jolies échappées vertes de Palerme. Créé en 1775 dans un style néoclassique, ce jardin public porte le nom de Giulia Guevara, épouse du vice-roi Marcantonio Colonna. Gratuit et romantique, c’est un havre de paix où se mêlent palmiers majestueux, arbres centenaires et orangers parfumés.
La Kalsa est l’un des quartiers les plus anciens et les plus fascinants de Palerme. Né sous la domination arabe, il fut le siège des émirs et du gouvernement au IXe siècle. Son nom vient d’ailleurs de l’arabe al-Khāliṣa, qui signifie “le pur” ou “l’élu”.
Parmi les 80 églises et chapelles de Palerme, la basilique Saint-François d’Assise mérite une halte particulière. Construite au XIIIe siècle, dans le quartier de la Kalsa, elle se distingue par son style gothique, loin du baroque qui domine tant d’édifices de la ville. Beaucoup la considèrent comme la plus belle église gothique de Palerme.
À Palerme, il y a des palais à chaque coin de rue, mais rares sont ceux qui impressionnent autant que le Palazzo Gangi. Construit au XVIIe siècle pour la famille Valguarnera puis transmis aux princes de Gangi, ce palais aristocratique cache derrière sa façade baroque sicilienne plutôt discrète près de 8 000 m² de salons somptueux, décorés dans un style rococo fastueux.
L’église della Martorana, aussi baptisée Santa Maria dell’Ammiraglio, est l’un des plus beaux joyaux de Palerme. Construite au XIIe siècle par Georges d’Antioche, amiral de Roger II, elle a été pensée selon un plan byzantin en croix, orientée vers l’est.
Vous êtes maintenant devant l’église de San Cataldo, l’un des symboles de Palerme. Construite au XIIe siècle par Maïone de Bari, grand amiral du roi Guillaume Ier de Sicile, elle fut donnée en 1182 aux bénédictins de Monreale qui la transformèrent en hospice.
L’église du Gesù, construite en 1564, est le tout premier lieu de culte édifié par les jésuites à Palerme. Gravement endommagée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a connu plusieurs restaurations, qui lui permettent aujourd’hui de briller à nouveau et d’accueillir ses fidèles.
Si vous continuez tout droit dans la rue Piazza Ballarò qui s’ouvre sur votre droite, un peu plus bas, vous tomberez sur l’un des marchés les plus vivants et colorés de Palerme : le Mercato Ballarò. Ici, c’est un véritable festival de sons, d’odeurs et de couleurs.
Impossible de visiter Palerme sans passer par le Palais des Normands, véritable condensé de l’histoire multiculturelle de la Sicile. Construit sur une hauteur stratégique de la ville, ce monument emblématique porte les traces de plus de deux millénaires de conquêtes et de transformations.
Partout en Italie, on croise des cathédrales, mais celle de Palerme a quelque chose d’unique. Située près de la Via Matteo Bonello, elle se distingue par son allure de forteresse et son style arabo-normand, hérité d’une histoire mouvementée.
Face à cette grande statue qui représente Pégase, c’est le château Mirabell qui s’offre à vous. Il a été construit en 1606 sous la demande du prince-archevêque de la ville, Wolf Dietrich von Raitenau, qui voulait offrir à sa bien-aimée une belle résidence pour elle et leurs enfants.
Sur ce pont qui traverse la Salzach, vous avez une vue imprenable sur la célèbre forteresse de Salzbourg, la forteresse Hohensalzburg.
Vous longez ici les eaux de la Salzach, la rivière qui traverse Salzbourg en son centre. Avec ses 226 km de long, elle constitue la principale rivière du land de Salzbourg.
Pendant que vous marchez le long de la Salzach, laissez-moi vous raconter une vieille histoire qui a valu le surnom de « laveurs de taureaux » aux Salzbourgeois. Nous sommes au Moyen Âge, et pendant cette période, vous le savez, il était d’usage d’essayer de conquérir les villes pour agrandir son royaume.
Nous revoilà dans le centre historique de Salzbourg, entièrement classé au patrimoine de l’UNESCO ! Ici, vous êtes dans la Getreidegasse, certainement l’une des plus belles rues de la ville.
L’un des points forts de la rue Getreidegasse, en plus de son charme incomparable et de ses boutiques idéales pour une virée shopping, est sans aucun doute cette maison colorée, si jaune qu’on peut difficilement la louper.
Voici la magnifique Kollegienkirche, très belle église baroque construite par Fischer von Erlach, l’un des plus grands architectes autrichiens de cette époque. C’est à lui que l’on doit plusieurs églises de la ville ainsi que les fabuleux jardins Mirabell.
Une petite parenthèse dans la visite pour découvrir l’histoire de celle que l’on surnomme la « Rome des Alpes ». Salzbourg, ville d’Autriche et capitale du land du même nom, est une métropole qui a une histoire bien chargée.
Vous voici dans une cour qui a toute son importance à Salzbourg. Les longs murs qui l’entourent appartiennent à l’abbaye Saint-Pierre, la plus ancienne de tout l’espace germanophone, c’est-à-dire l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse et le Liechtenstein.
Vous avez devant vous la belle église rattachée à l’abbaye Saint-Pierre. D’abord construite dans le style roman au VIIe siècle, elle arbore aujourd’hui une architecture baroque, au même titre que l’abbaye qui l’entoure.
Plutôt insolite comme visite, je vous l’accorde, mais vous voici dans l’un des plus vieux cimetières du monde. Et en plus de sa grande valeur historique, il a le don de retenir l’attention grâce à sa beauté assez unique.
Nous voilà devant l’un des monuments phares de Salzbourg, la cathédrale Saint-Rupert ! C’est l’édifice religieux le plus important de la ville et l’un des plus anciens : la première cathédrale construite ici a été érigée en 774.
Vous êtes actuellement devant un espace que l’on appelle ici le Domquartier, site qui a traversé le temps et retrace au travers de ses monuments plusieurs siècles de l’histoire de Salzbourg.
Vous arrivez ici sur la Residenzplatz. De cette place, principale de la ville, vous voyez bien l’architecture de la cathédrale, avec son impressionnant dôme. Mais cette place n’a pas que ce bel édifice à offrir.
Nous voici de l’autre côté de la Residenzplatz, où plusieurs bâtiments s’offrent à vous. Sur votre gauche, tout d’abord, se trouve le Weihnachtsmuseum, pardonnez mon allemand, qui donne, en français, le musée de Noël.
Une place qu’on ne peut pas louper dans la visite de la ville : la Kapitelplatz ! Et s’il y a bien une chose qu’on ne peut pas s’empêcher d’apercevoir ici, c’est bien l’impressionnante forteresse Hohensalzburg.
Vous êtes actuellement entre les murs de l’université de Salzbourg. C’est le prince-archevêque Paris Lodron qui la fonde en 1617, comme école tout d’abord, puis en 1622 comme université.
Impossible de visiter Salzbourg sans parler de son symbole, qui ici n’est pas un objet, un animal ou un monument, mais bien une personne, qui n’est autre que l’incroyable Wolfgang Amadeus Mozart.
Retournez-vous... Vous avez devant vous l’une des plus grandes figures du monde... Mozart. Installée sur la place qui porte son nom, cette statue est un véritable emblème pour la ville.
Avis aux amateurs de shopping, vous voici dans l’une des rues commerçantes de Salzbourg. Boutiques, bars, restaurants, il y a tout dans cette rue pour passer un bon moment. D’autant plus que c’est une rue historique, qui était autrefois le centre de la communauté juive de Salzbourg.
C’est l’ancienne place du marché qui se dévoile à vous ici. Aménagée dès le XIIIe siècle pour accueillir les marchands de la ville, c’est un espace animé en toute saison : l’été, ses grandes terrasses se déploient pour permettre aux habitants et aux visiteurs de prendre un verre, de manger au restaurant et de se relaxer.
Sur votre droite se dresse l’ancien hôtel de ville de Salzbourg. C’est au XIVe siècle que la ville se dote d’un grand bâtiment destiné à accueillir la municipalité.
Voici devant vous un beau point de vue sur les maisons caractéristiques de Salzbourg qui bordent la Salzach. Avec leurs couleurs pastel qui éclairent les rives, elles font partie du paysage de la ville et lui donnent tout son charme !
Le Landestheater est une salle de spectacle historique bâtie en 1775 sur les traces de l’ancienne salle de bal qui se trouvait là depuis le siècle dernier.
Sur la Makartplatz se dévoile l’impressionnante église de la Trinité, la plus grande église du centre historique. Édifiée entre 1694 et 1702, elle s’inspire de l’église Sainte-Agnès de Rome.
C’est un magnifique écrin de verdure qui se profile devant vous en arrivant dans les jardins Mirabell. Ils appartiennent, sans grande surprise, au château Mirabell qui se trouve un peu plus loin.
Vous voilà en face de la “mamma” de tous les édifices religieux de Venise. Historiquement à la recherche de prestige, la cité des Doges ambitionnait l’idée de pouvoir accueillir une relique qui serait à la hauteur de ses prétentions.
On vous l’accorde, d’un pont à un autre à Venise, les différences ne sont pas franchement frappantes. Sauf peut-être avec celui-ci ! Enjambant le Grand Canal, comme trois autres de ses compagnons, le pont de l’Accademia doit son existence aux Autrichiens.
Que serait Venise sans ses ponts ? Voilà une question que plus d’une personne s’est déjà posée. Le truc, c’est que pour le savoir, il nous faudrait faire un sacré bon arrière dans l’histoire. La Venise, telle qu’on la connaît aujourd’hui, est bien différente de celle du passé.
Maintenant que vous êtes arrivée au bord du canal, portez votre regard sur le quai d’en face et plus précisément sur la première bâtisse à 3 niveaux, à gauche du clocher de l’église. Construit entre 1748 et 1772 pour le compte d’une riche famille vénitienne, qui lui donnera son nom, le Palais de Grassi est depuis 2005 une adresse culturelle de Venise.
Autrefois la maison de Francesco Foscari, 65e doge de Venise, l’ancien palais sur votre droite a toujours été rattaché au monde de l’enseignement. En 1866, un juif vénitien y fonde l’École royale supérieure de commerce de la ville, dont l’objectif final était de perfectionner les commerçants et de préparer les professeurs en sciences commerciales aux instituts secondaires.
Deuxième plus vaste édifice de Venise, la basilique dei Frari, tel que nous la percevons aujourd’hui, a mis plus de 100 ans pour être construite. Outre son haut campanile de 70 mètres, du XIVe siècle, le monument renvoie une façade extérieure toute simple, faite de brique et de quelques éléments en pierre blanche et rose.
En tout, la belle Venise ne compte pas moins de six quartiers. Et, sans vraiment le savoir, vous êtes actuellement dans l’un des plus anciens, mais surtout le plus petit d’entre eux : San Polo.
Tout en couleur, et chargé en bonne odeur, voilà un autre arrêt typiquement vénitien qui prend place droit devant vous. Dans un secteur où se concentraient déjà autrefois le commerce de tissus, les échanges d’épices et autres négoces de denrées, le marché Rialto fait partie de l'identité de Venise depuis le XIIIe siècle.
Grande star des publicités touristiques de Venise, le pont Rialto est l’un des symboles les plus connus de la cité des Doges. Sauf qu’avant d’en arriver à ce succès-là, le monument a traversé une histoire plutôt longue et compliquée.
D’une ruelle étroite à un pont tout courbé, il est courant de traverser des places à Venise. Mais attention, pour ne pas risquer de froisser les locaux, il faut savoir qu’il n’existe qu’une seule et réelle place dans la ville. Naturellement, c’est la place Saint-Marc.
Venise fait partie de ces destinations où l’on aime y séjourner plus d’une fois. On ne saurait dire si c’est son ambiance romantique ou bien les eaux paisibles de sa lagune qui nous bercent le plus. Mais au fond, connaissez-vous réellement Venise ?
C’est positionné face au canal que normalement, vous devez apercevoir la silhouette d’une tour qui s’élance dans le ciel. Situé sur l’île du même nom, le campanile de San Giorgio est le troisième plus grand de sa catégorie dans toute la ville.
Tous ceux qui ont déjà pu l’approcher vous diront que cette figure vénitienne fascine autant par sa beauté, son histoire et toutes les légendes qui l'entourent. Construit au début du XVIIe siècle, le pont des Soupirs servait autrefois de liaison entre le palais des Doges et la nouvelle prison de l’autre côté.
S’il y a bien un palais qui surpasse tous les autres à Venise, c’est de loin celui qui se trouve sur votre droite. En raison de son prestigieux passé et de sa sublime architecture, le Palais des Doges demeure l’un des symboles les plus forts de la ville.
Affectueusement appelé le “Patron de la Maison” par les Vénitiens, le Campanile Saint-Marc est un symbole ancien de la ville. Sa toute première construction, ordonnée en 888 par le 17e doge de Venise, n’a jamais pu aboutir suite à un effondrement du sol, alors que la tour était en pleine édification.
Postée sur le côté gauche de la place Saint-Marc, la Tour de l’Horloge est un réel bijou d’art et de mécanique. Elle fut construite au XVe siècle, sous ordre du Sénat de la République de Venise, pour marquer le passage de la plus grande place de la cité des Doges vers les petites ruelles commerçantes, de l’autre côté, appelées les Merceries.
Seule “grande” place de Venise, la place Saint-Marc est en quelque sorte le cœur de la ville. Sa construction a débuté au IXe siècle et sa physionomie générale définitive n’a été achevée qu’en 1177.
Perdu dans un labyrinthe de ruelles en cul-de-sac, le Palais Contarini del Bovolo est un petit trésor caché. Construit vraisemblablement au XIVe siècle, l’édifice a vu naître sa notoriété lorsqu’une branche de la famille vénitienne Contarini en a fait sa résidence.
Qui n’a jamais entendu dans la bouche d’un proche, d’un ami, ou d’une connaissance, qu’il ne faut jamais se fier aux apparences. Incroyable, mais vrai, derrière cette façade discrète néo-classique se cache l’une des plus belles scènes lyriques au monde.
Dans la grande famille des campaniles que compte Venise, on vous présente celui de Santo Stefano et ses 61 mètres de hauteur. Si ses origines ont été évaluées au XIIe siècle, son aspect actuel, lui, est bien plus récent.
Semblable à l’une des plus belles avenues du monde avec ses splendides églises et palais, échelonnés comme les arbres au bord d’une route, le Grand Canal est souvent la première chose que l'on découvre à Venise.
Plutôt en dehors des sentiers battus et de l’affluence touristique, le Peggy Guggenheim Collection est l’une des plus importantes adresses culturelles de Venise. Au XVIIIe siècle, le site appartenait à la puissante famille Venier dei Leoni qui, engagée à construire le plus beau palais du Grand Canal, ne verra finalement pas son souhait se concrétiser.
À Venise, il n’est pas nécessaire de se trouver sur la place Saint-Marc pour être un monument emblématique. Située dans le quartier Dorsoduro, et presque à l’extrémité sud du Grand Canal, la Basilique Santa Maria della Salute est un repère spatial et symbolique pour les Vénitiens.
En plus d’avoir atteint l’extrémité du quartier de Dorsoduro, vous êtes également arrivé à l’endroit que l’on appelle, ici, la Punta della Dogana. Au XVe siècle, les bateaux devaient s’y amarrer pour se prêter au contrôle du bureau des douanes.
Petit coin charmant et assez méconnu, les Zattere étaient l’endroit où accostaient autrefois les embarcations pour déposer leurs cargaisons de bois. Et oui, il ne faut pas oublier qu’à cette période tout était construit à partir de ce matériau naturel.
Situé sur la partie sud-ouest de la ville, le quartier Dorsoduro, que l’on traduit par “Dos dur”, tire son nom de la solidité plus ferme des terrains qui le composent. Si les galeries d’art et les universités le rendent artistique et culturel, le Dorsoduro est plutôt connu pour être la zone “chic” de Venise.
Union Square, c’est une place emblématique de Washington DC : elle permet de profiter de magnifiques points de vue sur le Capitole.
C’est le moment de sortir votre appareil-photo ! Vous avez ici une très belle vue du Capitole, l’un des monuments les plus importants de Washington, qui se trouve derrière le Reflecting Pool, le bassin réfléchissant.
Ce beau bâtiment qui rappelle les colonnes d’un temple antique est la Galerie Nationale d’Art. C’est le premier édifice construit pour accueillir des collections d’art, rejoint en 1978 par le bâtiment plus moderne qui se trouve à l’extrémité du Mall, l’East Building, pour avoir plus de place.
Voici la partie la plus récente de la Galerie Nationale d’Art. Ce jardin de sculptures a été inauguré en 1999 pour dévoiler des œuvres contemporaines, qui ont été réalisées pour la majeure partie aux États-Unis.
Vous êtes ici devant les Archives nationales des États-Unis, où sont exposés trois documents parmi les plus importants du pays : la Déclaration d’indépendance, la Constitution et la Déclaration des droits.
Le Musée National d’Histoire naturelle a le don de plaire à tout le monde : il a d’ailleurs une grande réputation, puisque c’est l’un des musées d’histoire naturelle les plus visités au monde, et l’un des plus visités des États-Unis.
Vous voici devant le magnifique bâtiment du Old Post Office, ancienne poste de la ville construite entre 1892 et 1899.
Sur votre droite se trouve un grand complexe de plusieurs bâtiments qui constituent ce qu’on appelle le Triangle Fédéral. Construit dans les années 30, c’était l’un des plus grands projets de construction du pays, pendant lequel 7 bâtiments fédéraux ont vu le jour.
Le musée national d’histoire américaine permet de faire un véritable saut dans le passé, à la découverte de l’histoire et du patrimoine des États-Unis.
Vous l’avez peut-être déjà exploré de fond en comble, le National Mall est la partie la plus historique et touristique de Washington. Parc ouvert au public qui s’étend du Capitole au Washington Monument, il a été, à la base, conçu par l’architecte français qui a dessiné les plans de la ville autour des années 1800, Pierre Charles l’Enfant.
C’est en 1930 que le projet de construire un musée d’art sur le National Mall voit le jour. Il ne sera pourtant inauguré qu’en 1969.
Vous avez devant vous le musée national de l’histoire et de la culture afro-américaines. Il se divise en trois parties : l’une sur l’esclavage, une deuxième sur la ségrégation et la troisième sur la culture, le sport et les arts.
Sous sa forme très originale, ce musée est consacré à l’histoire, la culture et les arts des peuples amérindiens. On en trouve également un à New York et dans le Maryland.
À Washington, on trouve la Maison-Blanche, siège du pouvoir exécutif, le Capitole, siège du pouvoir législatif, et devant vous, la Cour Suprême des États-Unis, symbole du pouvoir judiciaire.
Cette belle fontaine qui orne le Senate Park a été conçue en 1929. C’est un monolithe de granit qui déverse plusieurs jets d’eau qui forment un ensemble élégant installé ici depuis 1932.
Cette fontaine située juste devant Union Station est surmontée d’une grande statue qui représente l’un des personnages les plus célèbres du monde : Christophe Colomb.
Cette cloche placée entre le mémorial de Christophe Colomb et l’Union Station est une réplique de la Liberty Bell, qui signifie “Cloche de la Liberté” et se situe dans la ville de Philadelphie comme symbole de l’indépendance américaine.
Vous voici devant la principale gare de Washington DC, appelée Union Station. Ouverte en 1907, elle reçoit aujourd’hui près de 40 millions de visiteurs par an !
L’histoire ne manque pas à Washington, qui a vu défiler tous les présidents américains depuis sa construction en 1800.
Avis aux amateurs de l’espace et de l’aviation, ce musée est fait pour vous ! Il fait partie des 5 musées les plus visités au monde, accueillant chaque année plus de 6 millions de visiteurs.
Vous voici devant le siège du Congrès, le pouvoir législatif des États-Unis. C’est en 1793, soit 4 ans après l’élection de George Washington, premier président américain, que débute la construction de ce bâtiment exceptionnel qui sera appelé le Capitole.
Vous voici devant la Bibliothèque du Congrès, la plus grande bibliothèque du monde en termes de livres et de références et la plus ancienne du pays.
Vous voilà à l’intérieur de l’une des plus grandes structures fortifiées d’Europe et sans doute, de la plus belle d’Italie. C’est l’espace artistique le plus important de Milan.
Après tant de cultures, rien de tel qu’un peu d’air pur. Le très beau parc Sempione, à la mode anglaise, vous offre 40 hectares pour vous promener et faire une pause de la ville.
Le bel Arc de Triomphe que vous voyez de l’autre côté du parc, est l’Arco della Pace, traduisez l’arc de la Paix. S’il vous rappelle son homologue parisien, c’est qu’il a été construit en 1807, durant l’époque napoléonnienne.
La Via Dante que vous empruntez à présent, relie le château des Sforza à la place du Dôme. Elle a été ouverte en 1888 comme liaison routière avec le château ! Pas étonnant que ce soit la rue la plus animée de Milan !
Les vestiges de l’époque romaine sont discrets à Milan. Mais sachez que la ville a été une importante cité romaine.
Arrêtez-vous sur la place des affaires pour voir cette statue insolente et surprenante. Elle a été offerte par le célèbre artiste contemporain Maurizio Cattelan, à la seule condition qu’elle soit placée face à la Bourse.
Vous êtes époustouflé et pour cause ! Vous voilà nez à nez avec l’une des plus grandes et des plus hautes cathédrales au monde !
Au croisement des deux galeries se trouve ce que l’on appelle, vous devinez pourquoi, l’octogone. Surplombé par une impressionnante coupole et entouré des allégories des 4 continents, ce carrefour est une vraie merveille !
À l’époque médiévale, vous seriez ici, au cœur de la cité. La piazza Mercanti constituait le centre commercial et gouvernemental de Milan.
Vous le sentez, vous le savez, vous êtes sur la place centrale de Milan. C’est ici que bat le cœur de la ville et que tout commence.
Vous voyez à présent le Palais Royal construit à l’initiative de Marie-Thérèse d’Autriche, lorsque le duché de Milan était entre les mains de la maison des Habsbourg.
L’entrée dans la galerie la plus belle d’Europe fait sensation et votre regard est immédiatement attiré par sa somptueuse et impressionnante verrière !
Vous voilà devant le Palazzo Marino. Ce palais est un remarquable hôtel particulier du XVe siècle, construit pour une famille de riches banquiers génois.
Vous vous trouvez sur la place San Fedele face à son église jésuite du même nom. Il s’agit de la première résidence des Jésuites à Milan.
Vous traversez l'artère qui connecte la place du Dôme à la place San Babila. C’est la deuxième zone piétonne de la ville et l’endroit parfait si vous voulez faire un peu de shopping.
Encore une église, me direz-vous. Alors, loin de moi l’idée de vous faire visiter toutes les églises de Milan, mais croyez-moi, entrez dans le petit édifice adjacent, juste à gauche de l’église, et vous verrez qu’il s’agit en réalité d’un ossuaire !
Ne pas juger un livre à sa couverture. Voilà une expression qui prend ici tout son sens. Alors oui, vous êtes déçus.
Véritable oasis au centre de Milan, ce jardin botanique est une charmante surprise qui vous mène tout droit au célèbre palais de Brera et sa fameuse Pinacothèque.
Vous voilà arrivé devant le fameux Palais de Brera regroupant plusieurs institutions. La pinacothèque de Brera est l’un des musées les plus importants d’Italie avec le musée des Offices à Florence et les musées du Vatican à Rome.
Un mot sur la statue de Napoléon que vous voyez au centre de la cour. L’empereur est représenté en Dieu Mars désarmé et pacificateur. Un nu triomphant destiné à finir dans un vestibule et non sur une place.
Vous êtes au cœur d’un quartier bohème, artistique et pittoresque. Bienvenue au centre de Brera. Des petites rues pavées comme on les aime, parsemées de boutiques, bars et restaurants.
Ce sublime bâtiment qui fait l'angle est le palais Bonacossa où se trouve le musée d’Art et de Science de Milan. Le musée est installé dans l’ancien monastère San Vittore fondé au XVIe siècle.
Figure emblématique de Milan, le Château des Sforza raconte à lui seul toute l’histoire de la ville. De son époque de forteresse aux musées d’aujourd’hui, le château a été le théâtre de nombreuses dominations étrangères.
ANZAC Square, c’est un peu l’endroit où Brisbane et tout le Queensland se remémorent. Située à la jonction de deux grandes artères, cette vaste esplanade offre une reconnaissance infinie, à ceux qui ont servi la nation au péril de leur vie, durant les principaux conflits du XXᵉ siècle.
D’une splendeur culturelle inégalée à Brisbane, la St John’s Cathedral, sur votre droite, est l’édifice religieux le plus grand, et le plus frappant, que vous allez rencontrer dans notre itinéraire. Alors que sa première pierre est posée en 1901, elle ne sera terminée que 108 ans plus tard.
S’il y a une chose que Brisbane maîtrise avec brio, c’est les décors propices aux photos souvenirs. Et par décor, on ne parle pas de ceux que vous êtes obligé d’aller chercher en hauteur, quitte à frôler le vertige, ou ceux qui se payent une fortune pour en avoir l’accès.
Admirez cette grande structure en acier à votre portée. Il s’agit du pont emblématique de Brisbane : le Story Bridge. À la fin du XIXᵉ siècle, après la construction du pont Victoria qui reliait déjà la partie nord et la partie sud de la ville, de nombreux habitants réclamèrent un autre ouvrage entre la douane et la banlieue de Kangaroo Point.
S’il ne se fond pas avec les immenses gratte-ciel adjacents, le Custom House en profite pour affirmer sa place parmi le patrimoine de Brisbane. Son look victorien, caractérisé par ses grandes colonnades, son portique et son dôme majeur en cuivre, a le pouvoir de nous replonger tout droit au XIXe siècle.
À force de le traverser en long, en large et en travers, vous verrez que se perdre dans les entrailles du CBD, ou le centre d’affaires de Brisbane, est très vite arrivé. Primo, c’est vraiment grand, et secundo toutes ses artères se ressemblent à quelques gratte-ciels près. Ce qui fait que pour se repérer, on s’en remet uniquement à l’appellation des rues, royales qui plus est.
Élément remarquable dans le périmètre proche, la St Stephen’s Cathedral est une touche d’histoire et de recueillement, comme il y en a peu à Brisbane. De la même manière que les cathédrales du monde entier, sa construction a été échelonnée sur plus d’un siècle, entre la pose de sa première pierre en 1860,
Quelle que soit la direction que vous prendrez à Brisbane, elle finira par vous amener tôt ou tard dans le CBD. Et quelle étape incontournable de la ville australienne vous êtes en train de vivre !
Contrairement à ce que l’on serait amené à croire, à Brisbane, il n’y a pas que les gratte-ciels qui y poussent. Et oui, la ville australienne compte en réalité une multitude d’endroits verdoyants, où des espèces végétales s’épanouissent pour le plus grand plaisir des habitants.
Nous profitons de ce petit moment où vous longez la rivière de Brisbane, pour vous conter les quelques mérites de la ville en termes de gastronomie. Car oui, il y a quelques petites choses croustillantes à savoir. En fait, la capitale du Queensland en Australie possède un atout fétiche, qui est de demeurer à proximité de la mer,
À votre avis, pourquoi Brisbane a-t-elle hérité du surnom de “River City” ? La réponse, vraiment facile à trouver, se trouve tout bonnement sous vos pieds. Plus long fleuve du sud-est du Queensland, la Brisbane river prend sa source dans la cordillère australienne, pour finir sa course 344 km plus à l’ouest, dans la baie de Moreton.
Parfait exemple du côté “chill” de l’australian way of life, South Bank Parklands est un endroit fantastique à explorer, et encore plus lors des belles journées ensoleillées. Autant dire presque toute l’année, si l’on a la chance de vivre ou de se rendre à Brisbane !
En vous disant que Brisbane est la 3e plus grande ville d’Australie, qu’elle compte plus de 2.5 millions d’habitants, et qu’elle tient son nom d’un ancien gouverneur de Nouvelles-Galles du Sud, on est certains que l’on vous apprend quelque chose.
Alors là, vous nous rejoindrez sur le fait qu’il n’y a pas meilleur endroit qu’ici, pour immortaliser votre venue dans la 3e plus grande ville de l’Australie.
Majestueux dans son allure, précieux dans son nom, et florissant dans son histoire, le Old Treasury Building coche toutes les cases.
La construction ayant débuté en 1920, l’Hôtel de Ville de Brisbane a fêté il y a peu son premier centenaire. Malgré son âge, il ne fait pas figure de vieille bâtisse, mais bien d’icône architecturale.
Modèle pittoresque dans un fond ultramoderne, l’Albert Street Uniting Church a elle aussi sa part d’importance à Brisbane. Lors de son inauguration en 1849, sous l’impulsion de John Petrie, tout premier maire de la ville, elle ouvre la voie du méthodisme dans le quartier, et au-delà.
Un moulin en ville ? Même nous on aurait bien eu du mal à le croire si on était tombé dessus par hasard. Et pourtant… On est jamais au bout de nos surprises.
C’est vrai que la première approche de la base sous-marine, ou de l’écluse fortifiée de Saint-Nazaire, n’est pas des plus réjouissantes.
En bordure de l’estuaire de la Loire, l’écomusée ne peut pas être mieux placé pour retracer toute l’histoire de Saint-Nazaire, de son port et de ses grandes industries.
En contact permanent avec les flots et l’air marin, qui bien sûr ne manquent pas de faire leur œuvre avec le temps, ce monument commémoratif n’est vraiment pas des plus faciles à interpréter.
Un peu partout à Saint-Nazaire, vous verrez, la sombre histoire de la Seconde Guerre mondiale se rappellera à vous. À travers d’anciens vestiges de défense flagrants devenus de véritables emblèmes du patrimoine local.
C’est à l’entrée de cette avancée de terre que votre chemin s’arrête certes soudainement, mais pas de la plus désagréable des façons si vous décidez d’aller jusqu’au bout.
Partout en France, la Seconde Guerre mondiale a laissé des traces de son passage.
Regarder l’horizon, voilà le type de réflexe qui nous accompagne tous quand nous nous retrouvons face à la mer ou à l’océan.
Idéalement située face à l’estuaire de la Loire, la place du Commando est le nouveau cœur festif et convivial de la ville. Pourquoi nouveau ?
Il est évident que vous vous trouvez en ce moment même sur le front de mer de Saint-Nazaire et pour ça, vous n’avez pas besoin de nous pour vous en rendre compte.
Se poser, marcher, courir, pédaler, se baigner, le front de mer de Saint-Nazaire vous offre un large choix des possibilités pour se laisser aller face à l’océan.
Après la mer, voilà la terre. Vous voici arrivé dans le Jardin des Plantes. Créé en 1886 par le paysagiste nantais François Aubry, ce jardin à l’anglaise fut imaginé comme un lieu de promenade, avec de larges pelouses, des allées sinueuses et des arbres rares.
Détruite à plus de 80 % durant la guerre, Saint-Nazaire renvoie davantage un profil naval plutôt qu’architectural à ses visiteurs.
Si le cadre de la balade est tel qu’il est, la visite de Saint-Nazaire, elle, n’a pas fini de s’agrémenter.
“Mille milliards de mille sabords”, mais que fait Tintin à Saint-Nazaire ?
Imposante dans le paysage de Saint-Nazaire, la base sous-marine est un élément fort de la ville, au sens propre comme au sens figuré.
Et si nous vous proposions de quitter la terre ferme le temps d’une visite inédite, mais payante, pour plonger dans l’univers des mastodontes de la mer ?
De loin comme de près certains diront qu’à Saint-Nazaire, c’est le grand ballet des grues et des portiques. Remarque à laquelle nous sommes obligés de répondre : et si vous aviez poussé la curiosité un peu plus loin ?
À l’image du Port-Salut où c’est écrit dessus, le Grand Café peut lui aussi difficilement vous cacher son activité, ou à juste titre ses anciennes fonctions.
Impliqués malgré eux dans une histoire mouvementée, les emblèmes du patrimoine de Saint-Nazaire ont souvent connu deux, voire trois vies pour se tenir encore devant vous aujourd’hui.
Si vous cherchez l’art à Saint-Nazaire, ne vous fatiguez pas trop vite, il se trouve à portée de main dans l’espace public.
Autre miraculé des destructions opérées au cours de la guerre, le théâtre Simone Veil est une intéressante rencontre architecturale.
Vous êtes formels, plus vous avancez tout droit et plus vous avez l’impression que vous allez vous retrouver au pied du mur. Un mur de béton, nous présumons ? Si c’est ça, pas de panique, laissez-nous vous dire que le meilleur est à venir !
Trésor incontestable de Saint-Nazaire, le sous-marin Espadon est aujourd’hui l’ultime représentant de la classe des Narvals, ses sous-marins lanceurs d’engins construits en France dans les années 1950.
À la fois au pied du Rocher et en contrebas du quartier de Monte-Carlo, le port Hercule est le genre de transition où l’on aime s’attarder et prendre du bon temps.
Petite tour de guet, plus meurtrières en vue, peu de place au doute, vous êtes bien sur une ancienne zone militaire. Celui que l’on surnomme le Fort Antoine a été bâti au début du XVIIIe siècle dans le but de renforcer la défense de la Cité-État.
Pas de statues religieuses en pierre, en marbre ou en bronze. Pas de vitraux transparents, colorés, classiques ou alors géométriques. Pas de clocher central, latéral, à une cloche ou plusieurs.
À flanc de falaise et quotidiennement en contemplation de la « Grande Bleue », le musée océanographique apparaît tel un majestueux palais de la mer.
« Il y a des êtres qui ne s’éteignent jamais », avait-elle pour habitude de dire. Mais aurait-elle songé un instant qu’une fois partie, elle serait de ceux-là. Pour les Américains, elle restera Grace Kelly.
Nature, nature, mais quelle belle nature ! À Monaco, c’est bien connu, les charmes de la Méditerranée se mêlent à la beauté des montagnes et aux reposants écrins de verdure dissimulés ici et là.
Depuis plus de 700 ans, les Grimaldi sont à la fois l’histoire, le destin et le visage de Monaco. Une saga familiale de quelques souverains dont le premier chapitre s’est écrit avec la figure de bronze postée devant vous.
De janvier à décembre, la vie se la coule généralement douce à Monaco. Mais, arrivé le mois de mai, le rythme de croisière change pour celui de la vitesse et de l’adrénaline. La cause ? Le Grand Prix de Monaco fait son entrée !
Pris entre deux pays plus qu’attractifs, la France et l’Italie, Monaco est pourtant emblématique à bien des égards. Ses princes et princesses, son Grand Prix, ses casinos, ses paysages azuréens, fascinent du plus simple au plus riche visiteur.
Que vous soyez sur le point de découvrir Monaco, ou de la parcourir pour une énième fois, en apprendre un peu plus sur son histoire est toujours une bonne idée.
Depuis son lancement le 18 novembre 1880, le marché de la Condamine fait le pied de nez à tous les supermarchés et les supérettes du coin.
Ni une, ni deux, vous voilà déambulant dans les entrailles du vieux Monaco. On peut dire que le charme et la photogénie sont nettement de la partie grâce à l’un des plus beaux axes de la Principauté : la rue Princesse Caroline !
Des façons de faire connaissance avec Monaco, il y en a plein, mais celle que l’on vous suggère à l’instant est de loin celle que l’on préfère. Éloigné sur les hauteurs et en même temps tout proche, le Rocher est le haut lieu de Monaco.
Fréquentée aussi bien par la famille princière que par les habitants, la cathédrale Notre-Dame-Immaculée est le centre ecclésiastique de Monaco.
Il fait la belle paire avec la cathédrale juste à ses côtés, comment ne pas vous présenter le palais de justice de Monaco. Sa première pierre a été posée lors d’une cérémonie en 1924, sous l’initiative personnelle du prince Louis II.
On se fraye un chemin parmi les arbres, on dompte le vide au bord de la falaise et abracadabra, comme par magie, surgit un autre morceau d’identité de Monaco. C’est le quartier Fontvieille, en quelque sorte le dernier petit nouveau de la bande.
Dès que l’on met les pieds à Monaco, on cherche à voir le Rocher. Et une fois que c’est chose faite, vient le tour du fameux palais princier. On ne vous le cache pas, c’est le passage obligé !
Pour tenter d’avoir une vue privilégiée de cette excentrique et richissime Cité-État qu’est Monaco, c’est auprès de notre ami le Rocher vers qui il faut se tourner, ou mieux encore se diriger. Sans aucune hésitation !
Et ça descend, et ça descend ! Les genoux et les articulations sont mis à rude épreuve avec la rampe Major. Mais si vous écoutez le souffle court des personnes qui montent, vous vous dites que tout compte fait on vous a épargné le pire.
Pour leur palais, pour leur titre et pour tout ce qui va avec, nombreux sont ceux qui échangeraient leur vie contre celle de la famille princière de Monaco.
Petite rue authentique du centre historique aubagnais, la rue Laget dévoile des maisons aux murs et aux volets colorés.
C’est la fontaine du Lion qui se dresse devant vous, sur cette petite place qui porte le même nom. Réalisée en pierre de Tavel, la fontaine représente un lion assis, qui tient sous sa patte le blason de la ville.
Vous voilà devant la maison natale de l’un des plus grands écrivains, dramaturges, cinéastes et producteurs français de son époque, à savoir le talentueux Marcel Pagnol.
Le cours Foch constitue la place la plus importante d’Aubagne. En son centre, c’est l’esplanade Charles de Gaulle qui dévoile un espace très fréquenté par les Aubagnais, mais aussi les visiteurs qui s’installent volontiers sur les terrasses pour prendre un verre ou goûter les spécialités locales.
Le cours Voltaire, espace plutôt vide au premier abord, est le terrain de jeu idéal pour les marchands qui viennent vendre leurs produits à la clientèle.
La porte Gachiou constitue l’un des plus importants vestiges de la ville : il nous vient tout droit du XIVe siècle ! Il faut imaginer qu’à cette époque-là, c’était à la fois une porte d’entrée dans la cité, mais aussi une tour de garde, destinée à surveiller les attaques ennemies.
Monument phare d’Aubagne, la tour de l’Horloge s’impose sur la place du même nom et dévoile ses belles pierres rouges et sa cloche, visibles partout dans la ville.
Cette jolie façade appartient à l’église Saint-Sauveur : c’est le plus vieux bâtiment d’Aubagne. Il a donc une histoire bien chargée, puisque la première église installée ici daterait du XIe siècle.
Voici un panorama qui a le don de plaire aux visiteurs ! Devant vous, vous avez un bel aperçu d’Aubagne sur l’autre rive de l’Huveaune, le fleuve qui traverse la ville, avec en toile de fond, l’imposant massif du Garlaban.
La Cité de l’art santonnier Thérèse Neveu est un bâtiment fraîchement rénové qui fait partie de l’identité de la ville. C’est ici que se trouvait, autrefois, la demeure de Thérèse Neveu, la plus célèbre santonnière d’Aubagne.
C’est un style baroque bien reconnaissable qui caractérise cette chapelle. Construite en 1722, elle appartenait à la confrérie des Pénitents Blancs.
La place Joseph Rau, qui se trouve sur votre droite, est une place très typique du centre-ville aubagnais. Si elle est plutôt calme en hiver, elle se pare d’une grande terrasse pendant la période estivale, déployée au cœur de ses charmantes maisons aux volets colorées.
Vous voici devant la Maison du santon et de la céramique, véritable institution à Aubagne. Il faut savoir que la ville a une histoire bien chargée en ce qui concerne les arts de la terre, et que la céramique fait partie de son identité.
Vous avez ici, d’un côté, la mairie d’Aubagne, et face à elle, un bâtiment d’un rouge flamboyant qui constituait autrefois l’hospice de la ville.
Dans la rue du Torte, dans laquelle vous êtes, se trouve un surprenant objet entièrement construit en pierre : un four à pain qui date du XVIIIe siècle !
Cette petite place pittoresque est appelée la place de Guin.
La confrérie des Pénitents Noirs est la première à s’être formée à Aubagne, en 1551. Les hommes et les femmes qui en faisaient partie ont obtenu le droit de se réunir cette année-là dans la chapelle Saint-Michel, une chapelle qui ne servait plus au culte.
La confrérie des Pénitents Gris est la dernière à avoir été créée, en 1672. C’est leur chapelle que vous avez devant vous et comme vous le voyez, elle arbore un style bien plus sobre que celles des Pénitents Blancs et Noirs.
Cet imposant bâtiment est l’un des plus beaux exemples de l’architecture coloniale de Mexico City. Il a été construit en 1588, près de 70 ans après l’arrivée des colons à Mexico City et l’écroulement de la civilisation des Aztèques.
Ici, vous êtes sur une place qui a longtemps été occupée par les écrivains publics et les imprimeurs, qui offraient leurs services aux clients analphabètes, qui étaient nombreux après la colonisation.
Ce théâtre, construit en 1918, a longtemps été le centre culturel le plus important de la ville, avant la conception du Palais des Beaux-Arts.
Derrière vous se dressent les six colonnes de la façade appartenant au Palais législatif de Donceles, siège du Congrès de Mexico où se trouve la chambre des députés.
Vous voici sur l’une des places les plus animées de la ville ! C’est ici que vous trouverez, à toute heure de la journée, des mariachis jouant de la musique qui attire aussi bien les Mexicains que les visiteurs.
Que serait le Mexique sans son incontournable Tequila, la boisson nationale ? Un peu plus fade, assurément !
Je profite de cet instant dans l’avenue Lázaro Cárdenas pour reprendre l’histoire de la ville.
Voici un musée qui retrace l’histoire de l’art mexicain de l’ère préhispanique au début du XXe siècle.
Ce bureau de poste situé au cœur de Mexico a plus d’un siècle d’existence !
Vous voici devant l’un des monuments phares du centre-ville, le somptueux palais des Beaux-Arts. Il faudra plus de 30 ans pour construire ce chef-d'œuvre de style Art Nouveau à l’extérieur, Art Déco à l’intérieur.
Vous voici dans le parc principal de la ville, aménagé au XVIe siècle grâce à Luis de Velasco, vice-roi de Nouvelle-Espagne, le nom donné au territoire du Mexique qui venait tout juste d’être découvert par les colons espagnols.
C’est le mexicain Porfirio Diaz, dictateur qui a régné sur le Mexique juste avant la révolution, qui a ordonné la construction de ce monument imposant qui rend hommage au président Benito Juárez
Voici un musée qui fait honneur au plus célèbre des peintres mexicains !
Dédié à l’art mexicain traditionnel, le musée d’Art populaire permet de retracer la culture des différents peuples qui ont vécu sur le territoire.
S’il y a bien une chose qu’on ne peut pas louper en visitant le Mexique, c’est de parler des différentes civilisations qui ont occupé le territoire depuis maintenant des millénaires.
Vous êtes au pied de l’une des tours les plus célèbres du Mexique ! Appelée la Tour latino-américaine, c’était la plus haute tour du pays à la fin de sa construction en 1956.
L’église de San Francisco nous vient tout droit du XVIIIe siècle : c’était, à ce moment-là, l’un des plus grands couvents de la Nouvelle-Espagne, ce grand territoire colonisé par les Espagnols à partir du XVIe siècle.
Impossible de louper la Casa de los Azulejos qui, avec sa somptueuse architecture mudéjare et sa couleur éclatante, se démarque sans peine des autres bâtiments de la capitale mexicaine !
Vous marchez ici dans l’une des rues historiques de Mexico ! Historique parce qu’elle a toujours fait partie des rues les plus fréquentées de la capitale, mais aussi parce qu’elle porte le nom d’un personnage indissociable de l’histoire du Mexique : Francisco Madero.
Comment visiter le Mexique sans parler de ses mille saveurs, reconnues dans le monde entier ? Riche de son héritage à la fois préhispanique puis espagnol, la cuisine mexicaine est variée et a tendance à mettre tout le monde d’accord !
Vous l’aurez compris en voyant cette place monumentale, vous voici dans le cœur de Mexico, sur ce qu’on appelle le Zocalo ou la place de la Constitution.
C’est en 1571 que débute la construction de cette immense cathédrale, plus grande cathédrale d’Amérique Latine.
Ce grand palais, qui borde la place de la Constitution, a une histoire chargée qui commence au XVIe siècle, lorsque Moctezuma II, souverain de la capitale aztèque appelée autrefois Tenochtitlan, décide de faire construire sa résidence ici, au cœur de la cité.
Vous voici devant un véritable vestige de l’un des principaux monuments de la cité Tenochtitlan, construite par les Aztèques au XIVe siècle.
Sur votre gauche se trouve l’entrée dans le musée de l’Acropole, dans lequel vous découvrirez plus de 4000 objets qui ont été retrouvés exclusivement sur la colline.
Vous l’avez sans doute remarqué, vous êtes ici au pied de l’Acropole, qui s’élève sur votre droite au sommet de celle que l’on surnomme la colline sacrée, à presque 160 mètres de hauteur.
Après cette petite ascension dans la colline de Philopappos, vous voici arrivé au sommet, devant ce monument funéraire édifié au IIe siècle de notre ère !
Il est sûrement inutile de vous le préciser, mais vous êtes ici devant l’un des plus beaux points de vue sur la ville d’Athènes, et surtout sur son site emblématique, connu dans le monde entier : l’Acropole.
Fondateur de la pensée libre et de la philosophie, Socrate est un personnage emblématique et indissociable de la Grèce antique et d’Athènes en particulier, puisque c’est ici qu’il est né et qu’il a vécu.
Regardez sur votre gauche : perchée à quelques mètres de là, on aperçoit un bâtiment qui attire l’œil.
Pour continuer l’itinéraire, nous allons tourner à droite dans la rue Adrianou, mais face à vous, si vous avancez encore un peu, vous entrerez dans le quartier Kerameikos, ou le quartier Céramique.
C’est l’un des quartiers les plus vivants de la capitale grecque !
La place Monastiraki est sans aucun doute l’une des places les plus animées et visitées de la capitale grecque ! Les touristes affluent chaque jour pour la traverser, et on les comprend !
Placés juste derrière la mosquée Tzistarakis, ces impressionnants vestiges nous viennent de l’époque romaine, qui s’étend entre le IIIe siècle av. J.-C. et le IVe siècle après J.-C.
Vous avez devant vous une partie de l’Agora antique d’Athènes. Il faut un billet d’entrée pour la visiter et seule cette petite partie est visible de l’extérieur.
Vous voici devant la Porte d’Athéna, qui marque l’entrée dans l’Agora romaine. Ce site se visite, il faut des billets pour pouvoir entrer, mais on le voit très bien aussi de l’extérieur.
C’est sous l’empereur romain Jules César, que nous connaissons tous, que la construction de l’agora romaine a débuté.
Vous vous demandez certainement ce qu’une mosquée fait dans l’Agora romaine d’Athènes, ancienne place publique.
C’est certainement l’un des vestiges les plus impressionnants de la ville : non pas par sa taille, ou son architecture, ou même sa fonction, mais simplement parce que cette tour, qui date très certainement du Ier siècle av. J.-C., affiche un remarquable état de conservation
Placée au beau milieu des nombreux vestiges antiques et romains de la ville, cette cathédrale paraît bien récente, comparée à toutes ces ruines, n’est-ce pas ?
À l’origine, cet édifice date du XIe siècle et a été agrandi au cours du XIIIe.
On est loin ici des petites boutiques typiques de la Grèce : la rue Ermou est bordée de magasins dont les enseignes sont internationales.
L’une des places les plus animées de la capitale grecque ! Et certainement la plus emblématique
Autre site incontournable de la capitale grecque, le Jardin National est un véritable écrin de verdure en plein centre-ville !
Situé dans le parc Zappéion, qui borde le Jardin National, voici un édifice construit à partir de 1874 et entièrement dédié aux Jeux Olympiques modernes.
Voici le stade qui a accueilli les premiers Jeux Olympiques modernes !
La porte d’Hadrien, ou arche d’Hadrien, est un arc de triomphe romain construit au IIe siècle apr. J.-C. en l’honneur d’Hadrien, grand empereur venu à Athènes en 131.
À l’époque antique, en plus des Jeux Olympiques, avaient lieu des concours de théâtre appelés les Grandes Dionysies d’Athènes, pendant lesquels plusieurs troupes s’affrontaient tous les quatre ans pour remporter le premier prix.
Encore une église au style byzantin qui rappelle le passé historique d’Athènes qui, entre le IVe et le XVe siècle, faisait partie de l’Empire Byzantin.
Ce quartier atypique - ou plutôt typique des villages de la Grèce, devrais-je dire - révèle un charme particulièrement attirant.
Plaka est certainement le quartier le plus célèbre d’Athènes, et donc le plus fréquenté.
Vous voici dans la rue Adrianou, l’une des rues les plus fréquentées d’Athènes.
Cette petite place cachée entre les maisons du quartier est le lieu privilégié des brocanteurs et des antiquaires !
Plus classique, mais pas moins intéressant que le Grand théâtre des Cordeliers, le Théâtre municipal des Lices est l’un des plus forts emblèmes culturels de la ville.
La place du Vigan, affectueusement surnommée le “nombril d’Albi”, ne donne pas l’impression d’un site relativement ancien. Et pourtant !
Cette demeure, datant de 1530, a longtemps appartenu à la famille Reynès. Comprenez l’une des plus grandes lignées albigeoises du XVIe siècle.
Vous voilà en face d’une emblématique attraction de la ville dont l’existence remonte au XVIe siècle. Quand on regarde la maison Enjalbert, il est difficile de rester insensible à son apparence.
Toulouse, Lavaur et Albi, en voilà un beau trio occitan. Mais hormis leur appartenance à la même région Occitanie, savez-vous ce qu’elles ont d’autre en commun ? Je vous le dis : elles sont toutes les trois d’anciennes dynasties pastellières.
Que dire, à part vous souhaiter la bienvenue dans un havre de paix ! Dans cet environnement silencieux, où se mêlent patrimoine et biodiversité, nous allons faire appel à votre œil de lynx pour déchiffrer quelques détails.
À deux pas de la cathédrale Sainte-Cécile, la collégiale Saint-Salvi se contente timidement d’une place secondaire. Pourtant, des années d’histoire et des trésors patrimoniaux, elle aussi, elle en a à revendre.
Si vous cherchez un lieu où gastronomie et patrimoine ne font qu’un, vous êtes au bon endroit !
En enfilade sur la rive opposée, le quartier de La Madeleine nous parait plutôt vaste. Mais ceci n’est qu’une illusion d’optique, car en réalité, c’est le plus petit quartier d’Albi.
Depuis la rive droite du Tarn, ce sont eux qui façonnent la première image que nous avons du quartier de La Madeleine.
Sa statue, l’une de ses anciennes maisons et maintenant un musée à son nom, si vous n’aviez jamais entendu parler de Jean-François de Galaup, comte de Lapérouse, c’est à présent fait.
On imagine déjà vos yeux pétillants à la vue de ce belvédère tout simplement magnifique ! En attendant, ce n’est pas pour rien que nous aimons dire qu’une image vaut mille mots.
Second trait d’union entre les deux rives du Tarn, le Pont-Vieux fait partie des anciens ponts médiévaux encore en service en France.
Triomphante sur une surface de 20 hectares et d’une grande singularité avec sa maçonnerie en brique locale, la Cité épiscopale d’Albi ne peut échapper au regard des visiteurs lorsqu’ils pénètrent dans la “Ville rouge”.
Dans les innombrables trésors patrimoniaux qu’Albi collectionne, vous garderez un souvenir impérissable de son imposante cathédrale et de son puissant palais de la Berbie, de qui vous avez là une parfaite vue en contre-plongée.
Qui est-ce qui dans quelques secondes va pouvoir accéder à l’un des endroits les plus magiques d’Albi ? Et bien, c’est vous, petits chanceux que vous êtes !
C’est à l'abri des regards et de l’agitation que votre découverte d’Albi se poursuit. Alors oui, on n’est visiblement pas à l’endroit le plus fréquenté de la cité, mais parfois, c’est en s’aventurant hors des sentiers battus que l’on tombe sur ces sites presque secrets.
Composé de seulement quelques rues, le quartier de Castelviel, étendu à l’ouest de la cathédrale Sainte-Cécile, a la haute distinction d’être le berceau de la ville depuis la protohistoire.
Vous avez l’impression que l’on vous éloigne quelque peu du centre et de ses trésors... Rassurez-vous, il n’y a rien d’alarmant à ça ! Il fallait impérativement que vous fassiez ce petit détour pour découvrir ce qui est l’un des endroits les plus charmants de la cité.
Aux allures de forteresse, voici la grande dame d’Albi. En chiffre, cela se résume à 113 mètres de long, 35 mètres de large et 78 mètres de haut. Oui, ça en fait de la surface !
La maison du Vieil Alby, c’est sans aucun doute l’un des symboles majeurs du cœur historique de la ville. Au détour des ruelles du Castelnau, elle nous tape immédiatement dans l’œil avec ses façades en briques et en pan de bois, si caractéristiques de la période médiévale.
Découvrir le patrimoine d’Albi, c’est aussi vous raconter l’histoire de celles et ceux qui ont contribué au caractère exceptionnel de ces lieux et de ces attractions, aujourd’hui regroupés dans notre itinéraire de visite.
Si la plupart d’entre vous se rendent à Albi dans le simple but de découvrir la diversité de son patrimoine, il y en a pour qui c’est l’occasion de se programmer un mini pèlerinage sur l’un des plus célèbres artistes français du XIXe siècle. J’ai nommé, Henri de Toulouse-Lautrec.
“Simple et grandiose”, on ne pouvait pas donner de consigne plus claire à l’architecte du monument aux morts d’Albi, qui se tient sur votre droite. Et il en fut ainsi.
À mi-chemin du centre historique et du centre universitaire, c’est ici que la ville d’Albi a fait naître un véritable quartier culturel, depuis la fin des années 1990.
Regard au loin, longue-vue dans la main droite, carte géographique et mât brisé sous la main gauche, même en bronze, Jean-François Galaup, comte de Lapérouse, n’a rien perdu en prestance de l’incroyable individu qu’il a été et continue d’être fièrement salué à Albi, plus que nulle part ailleurs.
Nous voici au cœur du Palais Royal. Tout autour de ce jardin se dessinent en effet les bâtiments qui composent ce véritable monument parisien. Construit au XVIIe siècle par le Cardinal Richelieu, en tant que résidence luxueuse, il devient le
Elegante et symétrique, la place de Valois se trouve juste à côté du Palais Royal, auquel elle appartenait autrefois. On aperçoit d’ailleurs sur votre gauche le prestigieux bâtiment. Cet espace fut cédé à la ville en 1867, et devient une place fermée,
Vous traversez ici le Pont Neuf, qui malgré son nom, est en fait le plus ancien pont de la ville. Ce sera le tout premier pont de pierres à traverser entièrement la Seine. On peut imaginer qu’Emily a souvent l’occasion de passer par ce pont pour
Sur votre droite, vous longez l’Hôtel de la Monnaie de Paris, un immense bâtiment au remarquable style néoclassique. Il a été construit à partir de 1771, et sera achevé quelques années plus tard. Véritable chef-d’œuvre de l’architecte Denis
Quoi de plus croustillant que de se tenir au courant de toutes les anecdotes de sa série préférée ? Vous appréciez les personnages qui accompagnent Emily, et toutes ses aventures, mais connaissez-vous les secrets de tournage et toutes les
Vous voici sur l’une des plus belles places du quartier ! Reconnaissez-vous cette fontaine ? Vous êtes sur la place Saint-Michel, et c’est ici que Mindy chantera en public pour la première fois avec le groupe dans lequel elle vient d’être engagée. Elle
Pendant que nous retournons tranquillement dans le quartier latin, en longeant la Sorbonne, qui se tient devant vous, parlons un peu des différentes musiques que l’on entend dans la série. Il faut savoir que les playlists d’Emily in Paris qui se
L’appartement d’Emily se trouve juste à côté du Panthéon. C’est devant ce monument phare de Paris, en rentrant chez elle après le travail, que son petit ami de Chicago l’appellera pour lui annoncer qu’il ne viendra finalement pas la voir à Paris
Le Champo, ce nom ne vous dit peut-être rien, mais c’est en faite dans ce cinéma qu’Emily et Luc viennent y voir un film ensemble dans le quatrième épisode de la saison 2. Classé Monument Historique, ce bâtiment est un cinéma indépendant
La grande avenue qui débute ici et qui continue sur votre gauche est l’avenue de l’Opéra. Elle mène tout droit au Palais Garnier, que l’on aperçoit au loin, au bout de la rue. Le Palais Garnier, c’est un magnifique bâtiment qui porte le nom de son
Reconnaissable entre mille, vous voilà devant la célèbre pyramide du Louvre ! Le musée, lui, reçoit tous les superlatifs possibles ! Il est à la fois le plus grand musée d’Art et d’Antiquité au monde, mais aussi le plus visité avec plus de 10 millions
Le pont des Arts est un lieu qui revient souvent dans la série. Emily y passe en effet plusieurs fois, puisqu’il relie le 5e arrondissement, où elle habite, au 2e arrondissement, où elle travaille. Véritable symbole de l’amour, c’est sur ce pont qu’Emily
En plus de l’intrigue, des acteurs iconiques et du magnifique lieu de tournage que confère Paris, la série est vivement remarquée par ses looks et la garde-robe de ses personnages. On ne va pas se mentir, on s’est déjà tous questionnés sur le look
Jetez un œil sur votre gauche : de l’autre côté de la rue se trouve le Café de Flore. Le reconnaissez-vous ? Il apparaît dans le sixième épisode de la série, juste après la rencontre entre Emily, Sylvie et Julien avec Pierre Cadault. Une rencontre un
Vous êtes ici sur la place Saint-Sulpice. Ici, pas d’anecdote ou de lien avec la série, mais une simple petite pause historique le temps d’admirer la belle église qui se tient devant vous. Elle porte le même nom que la place, et c’est l’une des plus
Vous l’avez forcément reconnu, avec sa devanture rouge et sa véranda, vous êtes devant le fameux restaurant de Gabriel, baptisé Les Deux compères dans la série. De nombreuses scènes se passeront devant et à l’intérieur du restaurant. On se
Les toutes premières secondes de l’épisode 1 montre Emily faire son jogging à Chicago et battre son nouveau record. En arrivant à Paris, c’est dans le jardin du Luxembourg qu’elle viendra régulièrement y faire son footing, comme on le voit dans
Nous voici sur la place de l’Estrapade, l’un des lieux que nous apercevons le plus dans la série. Car derrière vous, au numéro 1 de la place, se trouve l’immeuble dans lequel habite Emily Cooper, venue tout droit de Chicago pour travailler en
Vous êtes ici devant l’imposante grille, marquée du sceau de la République française, qui servait autrefois d’entrée officielle à la Manufacture d’Armes de Saint-Étienne. Pendant plus d’un siècle, ce quartier était le cœur battant d’un véritable empire industriel,
Vous voilà face à une étrange créature de béton et de verre, toute en longueur, posée comme un vaisseau au milieu de l’ancienne manufacture. C’est la Platine. Et ce n’est pas qu’un bâtiment, c’est une passerelle entre deux mondes que vous allez à présent traverser.
Vous êtes au cœur de l’ancienne manufacture d’armes, dans ce qui est aujourd’hui le cœur du District Créatif de Saint-Étienne. Faisons un petit tour d’horizon, histoire de vous repérer un peu dans l’espace. Juste devant vous se trouve la Fabuleuse Cantine, un tiers-lieu
À première vue, on ne s’en doute pas. Et pourtant, les bâtiments que vous voyez autour de vous forment l’un des plus grands campus de design de France. Impossible de la résumer à une seule façade : l’École supérieure d’art et design de Saint‑Étienne, l’ESADSE, se déploie
Juste un mot sur le beau bâtiment fraichement rénové que vous voyez devant vous. Comme son insigne l’indique, il s’agit des anciens ateliers de forge de la Manufacture d’Armes. Je vous laisse immaginez le vacarme
Nous avons laissé derrière nous l’enceinte de la manufacture d’armes, mais en réalité, vous restez en plein cœur de ce qui fut l’un des plus vastes tissus industriels de France. Tout autour de vous, dans ces rues en pente ou
Vous voilà devant le stade Geoffroy‑Guichard, surnommé “le Chaudron”. Un monument pour toute une ville, et bien plus qu’un simple terrain de sport. Ici, le football est une histoire de passion, de fierté populaire et
Le bâtiment que vous voyez sur votre droite abrite le Village Café Chapuis. Ne vous fiez pas à son nom : ce n’est pas un simple bar, mais un lieu de découverte sensorielle autour du café, animé par la maison Chapuis,
Le bâtiment aux allures futuristes que vous voyez là, c’est le Zénith de Saint‑Étienne. Avec sa coque nervurée en aluminium et ses volumes épurés, on dirait presque un vaisseau posé au bord du quartier. Inauguré en 2008, il
Vous êtes devant la Comédie de Saint-Étienne, un théâtre pas comme les autres. Derrière ses lignes modernes en béton brut, ses façades boisées et ses vastes baies vitrées, se cache l’un des hauts lieux de la création
D’ici, vous pouvez apercevoir un peu plus loin, la toute nouvelle version du Parc Expo, installée dans un quartier qui, chaque mois de septembre, se transforme en véritable ruche. Depuis plus de 70 ans, Saint‑Étienne
Vous êtes devant Le Fil, la scène de musiques actuelles de Saint‑Étienne. Encore une salle de spectacle me direz-vous ! Eh oui, à Saint‑Étienne, les lieux d’art et de création sont partout. Un théâtre national, une scène de
Si vous vous arrêtez un instant au centre de ce petit square, c’est pour observer une œuvre si sobre qu’on pourrait presque passer devant sans la remarquer. Pourtant, si vous avez noté le nom du square , Victor Schœlcher ,
Vous voilà place Carnot, face à la gare du même nom. Saint‑Étienne compte cinq gares secondaires en plus de sa gare principale, Châteaucreux. Mais ce qui attire ici le regard, ce sont ces grandes arches qui enjambent la ville.
Cet édifice a été construit au XVIIIe siècle. À ce moment-là, il servait de centre d’entraînement de tirs pour les arquebusiers, les soldats qui utilisaient une ancienne arme à feu, l’arquebuse. À partir de 1908, il devient la bourse du travail.
Vous marchez ici le long du port de Dole, où 30 emplacements sont mis au service des navigateurs désireux de découvrir cette belle ville médiévale.
Vous avez devant vous un très joli point de vue sur les maisons du centre historique de Dole et sa majestueuse collégiale qui la surplombe.
Vous voilà dans l’agréable jardin des Chevannes. Aménagé en 1998 à la place des anciens remparts de la ville, il constitue un lieu très sympa pour se balader en plein cœur historique.
Vous longez ici le canal sur un quai qui porte le nom du célèbre Louis Pasteur, créateur du vaccin contre la rage, qui est né non loin de là. C’est l’un des lieux les plus pittoresques de Dole, idéal pour flâner le long de l’eau et des restaurants et cafés qui se trouvent là.
Au cœur de ce passage souterrain se cache celle que l’on appelle la Grande Fontaine, une source qui a été aménagée en lavoir au cours du XVIIIe siècle. Mais la fontaine, elle, daterait du XIIIe siècle, puisqu’elle est mentionnée dès 1274.
Ici se termine le canal du Rhône au Rhin, qui se jette dans le Doubs, la rivière qui a donné son nom au département voisin du Jura.
L’édifice qui se trouve devant vous, construit au XVIIIe siècle, était autrefois le Pavillon des Officiers et faisait partie de l’ancien château de Dole. Il arbore une belle architecture typiquement comtoise du XVIIIe.
Sur votre droite, c’est la porte d’Arans qui marque l’entrée dans le centre-ville dolois. Érigée en 1551, elle faisait partie des fortifications qui entouraient la ville à cette époque-là.
Vous voici sur l’agréable cours Saint-Mauris, une belle promenade qui marque l’entrée dans le centre historique dolois. Il a été aménagé au cours du XVIIIe siècle, à la place des anciens remparts de la ville, supprimés au XVIIe.
Ce très beau théâtre est le symbole culturel de la ville. Édifié entre 1840 et 1843, il a été conçu avec une salle à l’italienne et une architecture élégante et imposante de style néo-classique.
Voici la façade de la chapelle des Jésuites de Dole. Elle fait partie du collège de l’Arc, un ensemble d’établissements d’éducation longtemps occupés par les Jésuites.
Cette belle place typiquement doloise est le cœur du centre historique. D’ici, vous avez un petit belvédère qui donne vue sur les ruelles médiévales qui composent la ville de Dole, mais c’est aussi ici que vous découvrirez la Fontaine à l’Enfant, réalisée par François Rosset en 1805.
Vous passez ici devant le marché couvert de Dole. Ce bâtiment, construit en 1883, a pris la place de l’ancien Parlement de la ville, qui se trouvait ici depuis 1422.
Elle surplombe la ville du haut de ses 73 mètres : la collégiale Notre-Dame est le bâtiment le plus imposant de l’ancienne capitale jurassienne. Elle a été édifiée au XVIe siècle et arbore deux architectures différentes : le style gothique et le style Renaissance.
Partez à la rencontre du très célèbre Louis Pasteur, le scientifique, chimiste et physicien français qui a créé en 1885 le vaccin contre la rage. C’est l’un des premiers vaccins à avoir été utilisé par la médecine humaine, avec celui de la variole, et qui favorisera la mise au point de nombreux autres vaccins par la suite.
Regardez la maison qui se trouve sur votre droite : c’est un beau trompe-l’œil que vous avez-là ! Ce sont des peintres du collectif Haut les Murs qui ont réalisé cette fresque en 2017.
Vous longez ici à la fois l’agréable canal des Tanneurs sur votre gauche et l’imposant Hôtel Dieu de Dole sur votre droite. Cet ancien établissement hospitalier a été construit au XVIIe siècle : il dévoile une belle architecture Renaissance franc-comtoise.
La place Jules Grévy est entourée de plusieurs beaux hôtels particuliers qui datent des XVIIIe et XIXe siècles. C’est d’ailleurs en 1764 que la place est construite ici, au cœur de Dole et au carrefour des routes qui mènent à Dijon, Besançon, Chalon ou encore Genève.
Je sais que vous voulez la plus belle photo sur les Painted Ladies, eh bien c’est ici que ça se passe. De cet angle du parc, vous avez le meilleur point de vue sur les belles seven sisters avec les gratte-ciel du centre-ville en toile de fond.
Juste pour votre information, l’église que vous passez sur votre droite, n’a rien d’une église classique. Voici la célèbre Church of 8 wheels, traduisez l’église aux 8 roues.
Je profite de Page Street, qui comporte un bel ensemble de maisons victoriennes colorées pour vous dire qu’avant les années 70, les maisons victoriennes de San Francisco n’étaient pas du tout multicolores !
Alors, oui, ça grimpe. Mais vous le saviez avant de venir à San Francisco et j’espère que vous avez mis de bonnes chaussures.
Vous voilà au cœur du plus ancien parc de la ville. Il a été fondé en 1867 sous le nom de Hill park, le parc de la colline pour son sommet à 175 m de haut.
Nous nous dirigeons vers le cœur du quartier de Haight-Ashbury. Là où tout a commencé et où tout a plutôt mal fini, mais qui nous a laissé un héritage et une façon de penser “out of the box” encore en vigueur aujourd’hui.
Vous voilà au croisement des deux rues mythiques qui donnèrent leurs noms au quartier. Haight vient de Henry Huntly Haight qui était le gouverneur de Californie en 1870 et Ashbury vient de Munroe Ashbury, qui, lui, était conseiller municipal à la fin du XIXe siècle.
Vous voyez l’importante maison qui fait l’angle ? C’est la clinique gratuite de Haight Ashbury.
Je vous laisse admirer d’un côté les trois stars du quartier, les trois J : Jimi, Janis et Jerry, et de l’autre l’evolutionary rainbow.
Vous longez à présent le fameux Golden Gate park de San Francisco. Libre à vous de partir l’explorer si vous avez un peu de temps libre devant vous, mais attention c’est grand !!
Alors, vous vous demandiez certainement où est ce qu’on allait en montant ses rues escarpées ! La réponse est sous vos yeux, éblouis j’espère ! Voici la magnifique église de Saint Ignace !
Alors juste pour votre information, et pour la minute zen de notre parcours, la maison orange que vous voyez à l’angle avec les drapeaux de prières tibétains qui décorent le péron, est en réalité le temple bouddhiste Kagyu Kunchab créé en 1974.
Vous traversez à présent le Parc Panhandle, littéralement le manche de poêle ou la queue de casserole, comme vous préférez, pour sa forme longue et étroite.
Moins connues que les 7 painted ladies, les quatre maisons bien alignées de Lyon Street avec le parc en arrière plan, méritent vraiment la petite pause photo !
Vous empruntez à présent la rue Divisadero qui, comme son nom l’indique, divise en deux San Francisco du Nord au Sud. Elle part de la Marina au Nord et devient Castro Street au Sud. Son histoire commence avec celle de la ville.
Alors, le style victorien ne s’arrête pas aux maisons, certains voient grand et se construisent un château ! Regardez un peu cette somptueuse demeure qui prend tout l’angle de la rue !
Vous l’avez compris, nous sommes dans le quartier des belles maisons victoriennes. Vous avez ici, tout le long de la rue, de magnifiques exemples de bâtisses colorées typiques de la région.
Il n’y a pas que les Painted Ladies qui impressionnent à Alamo Square. Il y a aussi la William Westerfeld House !
Les rues pentues de San Francisco vont sans doute vous faire les jambes pendant votre séjour, mais on ne peut pas leur reprocher de ne pas nous offrir de superbes points de vue !
Vous voilà au cœur du sujet, au centre du célèbre Alamo square. Tellement célèbre qu’il a fini par donner son nom à tout le quartier !
Elles sont géniales ces jetées arrondies pour avoir une vue d’ensemble sur la ville au bord de l’eau. Vous avez d’ici une superbe skyline qui se détache sur le ciel californien.
Alors vous vous demandiez certainement quand est-ce qu’on allait enfin aborder le sujet du Golden Gate Bridge, eh bien voilà, c’est maintenant.
Vous êtes au cœur de Ghirardelli Square. Alors, ce nom vous semble peut-être familier, c’est une entreprise américaine de chocolat et vous êtes dans leur ancienne usine réaménagée en centre commercial.
Autre incontournable de San Francisco, voici sa rue la plus emblématique, la fameuse Lombard Street ! Vous saviez avant d’arriver à San Francisco que vous alliez voir l’une des rues les plus en pente du monde !
Nous sommes à présent dans le quartier chic de Russian Hill. Le nom remonte à la ruée vers l’or, lorsque les nouveaux arrivants découvrent un cimetière russe sur la colline.
Elle a du style cette grande tour blanche de 20 étages à l’angle de la rue ! C’est la Bellaire tower, surnommée la Jewel, le bijou, plantée au sommet de Russian Hill.
Avant d’emprunter la belle Macondray lane, sachez que vous êtes à l’endroit idéal pour faire la fameuse photo des maisons penchées de San Francisco !
Vous arrivez dans le parc Ina Coolbrith nommé en l’honneur de Ina Donna Coolbrith qui était poétesse, écrivaine et bibliothécaire. Un personnage clé de la communauté littéraire de San Francisco.
Nous sommes dans le Washington square Park, au cœur du quartier de North Beach. Essayez de vous imaginer au XIXe siècle. Il n’y a pour ainsi dire rien de construit autour de vous !
Vous la voyez depuis le début, voici l’église de Saint-Pierre et Saint Paul. Elle est connue sous le nom de “La cathédrale italienne de l’Ouest” (bien qu’elle ne soit pas une cathédrale) et a servi d’église et de centre culturel pour toute la communauté italo-américaine de San Francisco.
Devant vous, s’élève à présent, l’une des signatures de la skyline de San Francisco, la Coit Tower. Si vous voulez une vue à 360° sur les environs, vous pouvez monter au sommet de la tour, mais le billet n’est quand même pas donné.
Vous êtes donc au sommet du Telegraph Hill, qui, comme son nom l’indique, est la colline sur laquelle a été installé le premier sémaphore de San Francisco avant qu’il ne soit remplacé par un télégraphe électrique.
Les escaliers que vous empruntez sont les célèbres Filbert Steps. Ils sont très populaires pour se rendre à pied, de l’Embarcadero à la Coit Tower.
Vous avez, sur votre droite, la jetée 33 d’où partent les bateaux en direction d’Alcatraz, visite phare de San Francisco. Comme on ne va pas pouvoir aller avec vous jusqu’à là-bas, je vous propose d’aller voir ensemble la maquette 3D qui représente l’une des plus célèbres prisons au monde !
Vous longez ce que l’on appelle l’Embarcadero, oui, l’Embarcadère en espagnol, tout simplement. Cette longue artère qui longe le front de mer de San Francisco, part du Ferry Building, que vous avez peut-être découvert en faisant notre visite de San Francisco Downtown, et s’étend jusqu’au Fisherman’s Wharf.
Vous le voyez aux grandes enseignes, à l’animation et à la statue de ce crabe qui vous accueille toutes pinces dehors, vous arrivez dans un lieu plutôt pas mal fréquenté. Il s’agit du Pier 39, la jetée la plus touristique de la ville.
Il fallait, bien évidemment, venir jusqu’au bout de la jetée afin d’avoir une belle vue ouverte sur l’horizon. De plus, c’est un excellent point de vue sur l’île d’Alcatraz.
Mais les stars de la jetée ce sont eux ! Les Sea Lions de San Francisco ! On les a d’ailleurs surnommés affectueusement les “Sea-Lebrities”. Ces éléphants de mer, aussi appelés les otaries de Californie, ne sont pas des seals, des phoques attention, ils n’apprécient guère la comparaison !
Vous voyez sur votre gauche, le musée de cire, Madame Tussaud, de San Francisco. Vous connaissez très certainement ces célèbres musées, dont le premier a été créé par la sculptrice française Marie Tussaud, à Londres en 1835.
Voilà une autre image emblématique de San Francisco, le panneau du Fisherman’s Wharf, vous indiquant le célèbre quai des pêcheurs. Vous l’avez compris, depuis, c’est toute la zone des quais qui porte ce nom.
Vous traversez à présent le centre commercial de Cannery mall. Ce grand édifice en briques rouges est un bon exemple de réemploi et de rénovation d’espaces industriels.
Le parc que vous traversez à présent, face à la jolie plage, fait partie du Parc national maritime historique de San Francisco. Il comporte le musée maritime, qui est le gros bâtiment derrière vous, qui avait été construit à la base comme bains publics, ainsi que le Hyde Street Pier sur votre droite, où vous voyez les bateaux accostés.
La sculpture de bronze que vous voyez devant vous, représentant un jeune homme le bras levé et accompagné d’un aigle, est la sculpture de Ganymède. Elle trône, face au lac sur la populaire Burkliplatz depuis 1952 et est aujourd’hui l’emblème de la place.
Ici, vous êtes à l’extrémité nord du lac. La Suisse compte près de 200 lacs et celui de Zurich, dont vous ne voyez qu’une infime partie, a la forme d’une banane de 42 kilomètres de long. Ce sont 88 km² avec une profondeur maximale atteignant les 143 mètres de profondeur.
Cette agréable promenade aménagée longe le lac en vous offrant une une vue splendide sur ses eaux turquoises. Si vous poursuivez sur votre lancée et que vous continuez à longer les quais, vous arriverez aux bains Utoquai, une institution zurichoise construite en 1890.
Vous voilà à présent face au majestueux Opéra de Zurich. Ouvert au public en 1891, le bâtiment prit tout d’abord le nom de théâtre de la ville, car il faisait office à la fois de salle de concert, de salle d’opéra et de salle de théâtre.
Vous traversez la charmante petite place Hechtplatz où se trouve le théâtre du même nom. Il a été fondé en 1959
L’église que vous avez à présent devant vous est la Wasserkirche. Traduisez l’église de l’eau. Ce nom si mystérieux vient du fait que la première église (celle-ci est une reconstruction plus tardive) était située sur une petite île de la rivière Limmat.
Vous voilà à présent face à la reine du bal, la célèbre Grossmünster. Traduisez la Grande Abbaye. Elle est l’un des édifices religieux les plus importants de Zurich et est un incontournable lors de la visite de la ville.
Vous rejoignez le Limmatquai, qui, comme son nom l’indique, longe la rivière de Limmat. La rivière commence ici à Zurich, car c’est le lac qui se déverse dans la rivière et pas le contraire.
L’impressionnant bâtiment que vous avez à présent devant vous est le Rathaus, l’hôtel de ville de Zurich. Ce bâtiment historique a été construit dans les années 1690 pour remplacer ses prédécesseurs en bois construits respectivement aux XIIIe et XIVe siècles.
Connaissez-vous le Dadaïsme ? Les amateurs seront ravis d’apprendre que c’est ici, au Cabaret Voltaire, que ce mouvement intellectuel et artistique a vu le jour.
Vous vous trouvez à présent dans le quartier de Neumarkt dans la vieille ville de Zurich. La petite place est dominée par des éléments importants. Vous voyez la grande maison de corporation blanche, qui accueille aujourd’hui le théâtre Neumarkt et son restaurant.
Vous avez ici, au cœur de la place, une belle fontaine, surmontée d’une statue d’un homme en armure. Si vous avez déjà visité Berne, vous êtes certainement familier avec ce type de fontaines ornementales, souvent considérées comme une particularité de la Renaissance suisse.
Cette longue rue animée du centre-ville est la rue Niederdorf, le cœur du quartier du même nom. C’est l’une des zones les plus appréciées de la vieille ville, notamment pour ses nombreux restaurants, cafés et boutiques qui bordent ses ruelles pittoresques.
Vous voilà à présent sur la rive gauche de la rivière Limmat, au cœur du Schipfe, le plus vieux quartier de Zurich. Les historiens pensent même que la zone faisait partie du port de la cité romaine Turicum.
Vous voilà à présent sur la place Lindenhof qui vous offre une belle vue panoramique sur le centre historique de Zurich. Mais si on vous a amené jusque-là, ce n’est pas que pour la belle photo souvenir.
Les vestiges romains du Lindenhof pourraient passer complètement inaperçus si l’on ne prête pas attention. Voyez sur votre gauche, la petite stèle adossée au mur. Il s’agit de la pierre tombale de Lucius Aelius Urbicus, datant du IIe siècle.
Vous voilà à présent devant l’Église protestante Saint-Pierre. Vous remarquez peut-être qu’elle est assez différente des autres églises de la ville. Inaugurée en 1706, elle est la seule église baroque de Zurich.
Sortez ou cachez vos cartes de crédit, c’est à vous de voir, vous voilà sur l’avenue chic de Zurich. La rue la plus chère d’Europe, les Champs-Élysées zurichois, j’ai nommé la célèbre Bahnhofstrasse.
Autre église majeure de Zurich, voilà la Fraumünster, que vous pourriez traduire par l’abbaye des dames. Son nom vient du fait qu’au IXe siècle, un monastère avait été fondé ici par le petit-fils de Charlemagne.
Le magnifique hôtel de ville néogothique que vous avez à présent devant vous est accolé à l’église, car il a été construit à l’endroit où se trouvait auparavant le couvent des dames de Fraumünster. La construction d’un hôtel de ville flambant neuf et aussi imposant que celui-là vient d’un phénomène que l’on appelle en Allemand, le Gründerzeit.
Vous vous trouvez devant un escalier qui vous mène aux portes de l’histoire de Roanne. Vous ne pourrez malheureusement pas y descendre en dehors des Journées Européennes du patrimoine, le seul moment où la visite est proposée.
Sur votre droite, vous avez une jolie maison médiévale qui se démarque sur cette place grâce à ses pans de bois remarquables.
Vous arrivez ici en plein centre-ville de Roanne, là où les amateurs de shopping trouveront leur bonheur ! Ici, les enseignes les plus connues se bousculent, mais l’histoire est également présente dans celle que l’on appelle aujourd’hui la rue Charles de Gaulle.
Vous voici devant la chapelle Saint-Michel, ou la chapelle du Lycée Jean-Puy. Construite par Etienne Martellange, elle appartenait au collège fondé par Pierre Coton, prêtre jésuite et confesseur des rois Henri IV et Louis XIII.
Avec la rue Charles de Gaulle, la rue Maréchal Foch est l’une des principales artères commerçantes de Roanne. Les habitants la nomment d’ailleurs encore la rue du Commerce.
Vous passez à présent sur la place du Marché, cœur du centre-ville roannais. Et comme son nom l’indique, elle accueille chaque mardi et vendredi matins les étals de nombreux producteurs qui viennent proposer toutes les bonnes saveurs de la ville !
L’hôtel de ville de Roanne est l’un des plus beaux bâtiments de la ville. Il a été construit à la place d’un ancien couvent qui se trouvait-là et qui servait déjà de mairie.
Sur la place de l’hôtel de ville, qui accueille chaque année le marché de Noël ou encore la fête de la musique, on découvre un bâtiment bien particulier à côté de la mairie : le théâtre municipal.
Vous voici devant un joyau du patrimoine roannais, l’église Notre-Dame-des-Victoires, appelée également l’église des Minimes, en référence à l’ancien couvent qui se trouvait ici à partir de 1634.
Vous vous demandez certainement quel est ce petit bâtiment qui se dresse ici, comme sorti de nulle part. C’est en fait une chapelle, appelée Saint-Nicolas-du-Port, qui a été construite en 1630 par des mariniers.
Vous voici arrivé dans un nouvel espace qui a récemment été aménagé ici. Appelé les Bords de Loire, il se divise en 2 parties : la première, sur votre droite, est appelée Roanne Plage.
Vous arrivez-là au bord d’un canal, dans le port de plaisance, l’un des lieux les plus appréciés de la ville. Il relie Roanne à Digoin, soit la région Auvergne-Rhône-Alpes à celle de Bourgogne-Franche-Comté, sur près de 60 km, et il est alimenté par la Loire.
Le temps de revenir vers le centre historique de Roanne, laissez-moi vous parler un peu de l’une des choses que vous devez absolument goûter pendant votre séjour ici : le vin.
Vous voici devant le symbole de la gastronomie roannaise ! Aux halles Diderot, vous avez l’occasion de goûter les plus grandes spécialités de la ville et de la région, dans un bâtiment qui a ouvert ses portes en 1983.
Saviez-vous que Roanne était, au XIXe siècle, une cité ouvrière presque aussi importante que celle de Lyon ? Car elle aussi était réputée pour son industrie textile, notamment lorsque la crise des canuts a éclaté à Lyon.
Cette belle église est un véritable joyau historique de Roanne. On pense qu’un lieu de culte se trouvait déjà-là au temps des Romains, mais la première église officiellement construite ici date de 1610 : c’est donc la plus ancienne de Roanne.
La place George Clémenceau dévoile 2 monuments de Roanne : le bâtiment qui se trouve de l’autre côté de la route est le palais de justice.
Cette fresque nous renvoie tout droit à l’époque médiévale. Roanne au Moyen Âge, c’est une ville qui a gardé son nom romain, Rodumna, et qui est marquée par la construction de son château, au cours du XIe siècle, dont il ne reste aujourd’hui que le donjon, qui se trouve sur votre gauche.
Il faut imaginer qu’il y a quelques siècles maintenant, se trouvait ici un grand château fort, dont la construction a débuté au XIe siècle. Il n’en reste aujourd’hui que le bâtiment qui se trouve devant vous, qui n’était autre que le donjon du château.
Que font ces deux maisons en plein milieu de la place ? Avec leurs magnifiques pans de bois, celles que l’on appelle les maisons bourbonnaises sont un vrai témoignage du passé médiéval de la ville de Roanne.
Le parc de San Telmo est un petit square que vous ne pouvez pas manquer lors de la visite de Las Palmas. Situé dans le quartier de Triana, il dévoile de jolis palmiers qui en font un cadre idéal pour se détendre, lire un livre ou jouer avec ses enfants.
Pendant que nous rejoignons le centre historique de la ville, je vous propose une petite présentation de l’île sur laquelle vous vous trouvez et des îles Canaries en général.
Vous voici dans la rue principale du quartier de Triana et dans l’une des rues commerçantes de la ville. C’est une très jolie rue, caractérisée par de belles maisons bourgeoises où habitaient autrefois de riches marchands andalous, anglais, danois ou maltais.
Le quartier de Triana est l’un des plus intéressants de la ville. C’est l’un des plus beaux et des plus anciens : il a été construit en même temps que celui de Vegueta au XVe siècle par le gouverneur des Rois Catholiques Juan Rejon.
L’édifice qui se trouve devant vous est le monastère Saint-François d’Assise. Le bâtiment a été construit en 1518 par un Sévillan appelé Pedro Llerena et, à ce moment-là, c’était déjà un couvent dédié au fondateur des franciscains.
Vous voici devant un monument qui s’appelle le Cabinet Littéraire, ou gabinete literario ici aux Canaries. Son architecture à la fois néoclassique et moderniste en fait l’un des plus beaux bâtiments de la ville, qui s’impose élégamment sur la place de Cairasco.
La jolie place sur laquelle se trouve le Cabinet Littéraire marque la limite entre les deux quartiers historiques de Las Palmas, Triana et Vegueta.
Petite pause sur la jolie place Hurtado de Mendoza ! Située entre les quartiers de Triana et Vegueta, elle dévoile une belle statue en son centre qui lui a donné son nom, car c’est un monument qui rend hommage à Hurtado de Mendoza, ancien maire de Las Palmas en 1903 qui a marqué la ville en réussissant à instaurer une solide administration dans la commune.
Vous êtes actuellement devant le monument le plus imposant de la ville, la cathédrale de Santa Ana. Elle a plutôt fière allure, n’est-ce pas ?
Peut-être les avez-vous déjà remarqués – ou pas, si vous étiez trop subjugué par la cathédrale, ce que je peux comprendre – mais vous avez, juste en face du majestueux monument, des sculptures de chiens ici et là, tantôt assis, tantôt couchés.
Dans cette rue typique de la ville de Las Palmas, vous longez ici le Musée Canarien, l’un des musées les plus intéressants de l’île. Ici, ce sont 11 salles qui sont déployées pour vous raconter l’histoire de cet archipel si apprécié des touristes aujourd’hui.
Vegueta est, avec Triana, le plus ancien quartier de Las Palmas. Plus historique encore que son voisin, il dévoile de nombreux monuments qui nous viennent tout droit du XVe siècle, au moment où les Rois Catholiques conquièrent et s’installent dans la capitale canarienne.
Avis à ceux qui aiment l’art contemporain ! Dans le Centre Atlantique d’Art Moderne de Las Palmas, vous allez être servi !
Voici l’un des monuments incontournables de Las Palmas : la maison de Christophe Colomb ! Alors, ce n’est pas la maison dans laquelle il est né, ni dans laquelle il a vécu : il n’est très certainement resté ici que quelques jours, mais quand même !
La place San Antonio Abad est connue pour abriter la chapelle dans laquelle Christophe Colomb est allé prier avant de partir pour ses expéditions.
Vous passez ici devant un bâtiment qui fait indéniablement partie de l’identité de la ville : le marché de Vegueta ! Lieu de saveurs, d’odeurs, de discussions en tout genre et d’étals à en perdre la tête, le marché propose toutes les bonnes spécialités des Canaries, servies dans une ambiance chaleureuse et décontractée.
Vous voici devant un théâtre qu’il ne faut pas manquer à Las Palmas. Appelé le théâtre Pérez Galdos, il est considéré, depuis sa rénovation en 2007, comme l’un des théâtres les plus modernes d’Espagne.
Aller, le temps de rejoindre le parc de San Telmo, je vous propose de revenir sur l’histoire de celles que l’on surnomme les « îles de l’éternel printemps ».
Vous voilà donc dans le grand parc Acueducto de los Milagros, traduisez le parc de l’Aqueduc des Miracles, face aux fabuleux vestiges du même nom. Il s’agit de l’un des sites archéologiques les plus importants de la ville.
Vous traversez l’agréable parc de la rivière Albarregas, l’un des plus grands espaces verts de la ville. Ces vastes étendues d’herbes sont très appréciables pour admirer les vestiges de l’aqueduc des miracles et il n’est pas rare en été que les pelouses se transforment en scène de spectacle avec une vue imprenable.
Vous voilà à présent devant l’Aqueducto de San Lazaro. Il tient son nom d’un ancien ermitage voisin, dédié à Saint Laurent, démoli au XXe siècle. Il s’agit de l’un des deux aqueducs qui approvisionnaient la ville en eau avant la construction de l’impressionnant Aqueduc des miracles.
Vous l’aurez deviné à sa forme ovale reconnaissable entre mille, vous vous trouvez en face de l’ancien cirque romain de Mérida. C’est l’un des cirques les mieux conservés de l’Empire et était l’un des plus importants après le Circus Maximus de Rome.
Vous arrivez à présent sur l’ensemble archéologique le plus important de Mérida. Si vous ne deviez visiter qu’un seul site, c’est celui-là. Malheureusement on ne voit rien ou pas grand-chose depuis l’extérieur, je vous conseille donc de prendre une entrée et d’aller découvrir les ruines de l’amphithéâtre et du théâtre romain de l’ex-Emerita Augusta.
Ce qui est assez fou avec Mérida, c’est qu’on tombe sans arrêt nez à nez avec de fabuleux vestiges de l’antiquité en se baladant dans la rue. Ici vous êtes en plein cœur de l’ancien forum romain, là où se trouvaient les bâtiments les plus importants, face au temple de Diane.
Vous voilà au cœur de Mérida, sur sa place d’Espagne. Elle fut aménagée telle que vous la voyez aujourd’hui, au temps des Rois Catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon. Les historiens considèrent leur règne comme la transition entre le Moyen Âge et l’époque moderne.
La Co-cathédrale de Santa Maria la Mayor que vous voyez là, est le plus ancien édifice de la Plaza de España. C’est une co-cathédrale, car elle partage le siège de l’archidiocèse avec la cathédrale de Badajoz.
Derrière ses murs d’enceinte fortifiés se cachent les ruines de l’Alcazaba de Mérida. Cette forteresse carrée a été construite sur ordre d’Abd-al Rahman II. Lui, c’est le 4e émir omeyyade de Cordoue. On est au début du IVe siècle si vous êtes perdus.
Vous avez vu, au centre du rond-point, la statue de la Louve du Capitole offerte par Rome à Mérida en 1997. L’originale est conservée aux musées du capitole depuis 1471, mais il existe de nombreuses représentations partout dans le monde, de Paris à Buenos Aires en passant par Chicago, Tokyo et une centaine d’autres villes.
Vous êtes à présent sur le pont romain de Mérida, l’un des plus long pont de l’Antiquité s’il vous plait ! Sous l’Empire romain, il traversait le fleuve Guadiana en deux temps, avec une pause sur un terre-plein au milieu de la rivière.
Vous voilà dans le parc de l’île, un bel espace vert, comme Mérida en a le secret. Sachez d’ailleurs qu’elle est la deuxième ville d’Espagne en termes de parc et jardin, dépassée seulement par Madrid. Je voulais juste attirer votre attention sur l’autre rive.
Vous avez ici une vue dégagée sur la Guadiana et le nouveau pont Lusitania. Il prend son nom du fait que l’ancienne Emerita Augusta était la capitale de la Lusitanie, une province impériale romaine qui couvrait une bonne partie de l’actuel Portugal ainsi que de la région de Léon et d’Estrémadure.
Puisqu’on ne parle que de lui, étant donné qu’il a fondé la cité romaine qui a donné Mérida, et que vous avez sa statue en face de vous, je vous propose de faire plus ample connaissance avec l’ami Auguste.
Vous voilà devant l’hôpital de San Juan de Dios. Il s’agit aujourd’hui du siège de l’Assemblée de l’Estrémadure, mais son origine remonte à 1632, lorsque le maire de la ville demanda aux frères de Saint-Jean-de-Dieu de s’installer dans ces locaux pour améliorer les soins aux malades et aux pauvres qui arrivaient en ville.
Si vous habitiez Augusta Emerita, au temps des Romains, vous emprunteriez cet Arc qui se dresse en face de vous, pour accéder au temple dédié au culte impérial. Ce culte nouveau est une sorte de religion qui considère dorénavant les empereurs et certains membres de leur famille comme des dieux.
Vous voilà à présent face à la belle basilique de Sainte-Eulalie et son remarquable portique d’entrée. L’édifice est considéré comme un noyau primordial de la naissance du christianisme dans la péninsule ibérique.
Nous nous dirigeons à présent vers le site où se trouvent les aqueducs romains de Mérida. Étant donné que les rues qui y mènent ne sont pas non plus fascinantes, j’en profite pour vous donner quelques infos sur la gastronomie de la région, comme ça, vous saurez ce qu’il faut absolument goûter quand vous irez au restaurant !
Semblable à un petit château au bord de l'eau, le pavillon du patinage est un bâtiment rattaché à l’histoire sportive de Stockholm. Au milieu du XIXe siècle, le patinage sur glace est une discipline qui devient très vite populaire parmi les classes supérieures de la capitale suédoise et celles du reste de l’Europe.
Vous voici devant une petite citadelle qui trône sur l'îlot de Kastellholmen comme un château médiéval au bord de l'eau. Ce monument en briques rouges cache une histoire mouvementée de plus de 350 ans.
Il est bien connu de dire qu’en chacun de nous sommeille une âme d'enfant même une fois l’âge adulte atteint. Et, de temps à autre, il ne suffit de pas grand-chose pour la réveiller. Prenez par exemple le Gröna Lund, situé juste en face, sur l'île de Djurgården.
Conscients que l’on ne pourra pas vous faire traverser l’eau à la nage, nous avons donc décidé de vous amener au plus près du rivage, pour vous parler du long bâtiment couleur abricot, doté d’une cheminée, visible sur la rive opposée.
À cet endroit-là, ce n’est pas vraiment terre en vue, mais plutôt bateau en vue moussaillons ! Construit en 1887, le Af Chapman est cet immense trois-mâts carré, à coque d’acier, amarré sur la rive ouest de l’île de Skeppsholmen.
Oui oui, Stockholm est une ville, et même une capitale, mais beaucoup ignorent que Stockholm est aussi le plus vaste archipel de Suède, entouré de pas moins de 30 000 îles et îlots. Dans ce vaste dédale maritime se répartissent à peu près 6 quartiers dont certains, en plein milieu de l’eau, demandent impérativement la traversée d’un pont pour être rejoints.
Comme si Stockholm ne comptait déjà pas assez de merveilles en surface, il a en plus fallu qu’elle s’attaque à son réseau souterrain. Et, par sous la terre, on entend tout spécialement son réseau de métro qui, ici, est bien plus qu’un simple moyen de transport.
Temple des pointes de danse et des voix soprano, baryton ou encore ténor, l’opéra royal de Stockholm est la scène nationale par définition dans tout le pays. Sa première troupe a été fondée en 1773 par le roi Gustave III de Suède, grand mécène de l’époque.
Occupant presque un îlot à lui tout seul, le Parlement suédois est le cœur démocratique du pays. Alors que plusieurs projets sont étudiés, afin de convertir l’espace insulaire en un vaste parc, ce seront finalement le siège du parlement et de la banque centrale qui occuperont le terrain dès 1905.
Si vous arrivez à repérer une tour en brique rouge, surplombée d’un élément doré, alors bravo, vous venez de mettre le doigt sur la prochaine attraction que l’on souhaite vous faire découvrir. En raison de son rôle institutionnel et de son histoire, l’Hôtel de Ville de Stockholm fait partie des monuments les plus marquants de la capitale suédoise, et ce depuis 1923.
Dans la grande famille des édifices de brique rouge que compte Stockholm se trouve la très chère église de Riddarholmen. Ses lointaines origines du XIIIe siècle font d’elle l’un des plus anciens monuments de la ville, mais surtout la seule église médiévale encore visible dans la capitale.
Voici le Riddarhuset, le Palais de la Noblesse, l’un des grands symboles de l’aristocratie suédoise. Érigé au XVIIᵉ siècle dans un style baroque impressionnant, il fut bien plus qu’un palais : pendant plus de deux siècles, c’était le parlement de la noblesse.
La plus importante bâtisse religieuse de Stockholm, c'est bien elle, la cathédrale Saint-Nicolas. L’histoire raconte qu’au XIIIe siècle, une chapelle en bois se trouvait déjà à cet endroit-ci grâce à Birger Jarl, accessoirement le fondateur de la ville.
Si l’on vous glisse le mot “Nobel”, quelle est la première idée qui vous vient instinctivement en tête ? On est certain que dans près de 99% des cas, c’est cette récompense internationale, décernée chaque année aux personnalités “ayant apporté le plus grand bénéfice à l'humanité”, qui a surgi en premier dans votre esprit.
S’il y a bien un endroit où se concentre l’essence même de Stockholm, c’est sans hésitation dans le quartier de Gamla Stan. Les premières origines de la capitale suédoise, comme les premiers événements historiques du XIIe siècle, se sont tenus dans cet entrelacs de ruelles médiévales pavées et sinueuses.
Triomphant dans son style baroque et ses massives dimensions, le Palais royal est enraciné dans l’histoire de Stockholm, tel un témoin précieux de son passé glorieux. Malgré des fondations remontant au Moyen Âge, c’est seulement au début du XVIIe siècle, par le biais du roi Gustave II Adolphe de Suède, et de sa fille Christine de Suède, que le palais occupe enfin sa fonction principale de résidence officielle de la monarchie.
Dans le cercle sélect des monuments phares de la capitale suédoise, on peut compter sans hésitation l’imposant bâtiment qui vous fait face. Fondé en 1792 et officiellement installé dans cet établissement de style Renaissance depuis 1866, le musée national de Stockholm est le premier musée d’art et de design de Suède.
À notre arrivée sur l’île Skeppsholmen, il nous est quasi impossible de ne pas apercevoir cette élégante bâtisse, teintée de rose, posée sur le sommet de la butte. Si un design plutôt romantique transparaît dans les courbes du site, l’histoire qui se cache derrière est, à vrai dire, d’un tout autre genre.
Étendue d’eau, paysages remarquables, ambiance paisible, voilà comment on peut caractériser en quelques mots l’île Skeppsholmen, ou alors “l'îlot des navires” si l’on se plaît à traduire. Depuis toujours situé à l’écart du reste de la ville, ce petit bout de terre flottant était autrefois un jardin d’agrément royal exclu de toutes sortes d’aménagements.
On est d’accord pour dire qu’une longue-vue n’aurait pas été de refus pour mieux apercevoir les détails de ce navire au loin, constituant à lui seul le musée maritime le plus visité du pays. L'histoire derrière cette adresse culturelle est tellement impressionnante qu’il n’en faut pas plus pour attirer la foule.
Regardez ce grand bâtiment jaune qui longe le rivage. Devant vous se dresse l'Exercishuset, ce magnifique bâtiment jaune construit entre 1851 et 1853 par l'architecte Fredrik Blom. Cette couleur emblématique de Stockholm remonte au 18ème siècle, quand les architectes suédois s'inspiraient des palais de briques jaunes admirés lors de leurs voyages en Europe du Sud.
Impossible de le louper avec ses grandes colonnes doriques qui dominent la place Mynttorget : voici le Ledamotshuset, la « maison des députés ». Sa façade, conçue au XVIIIᵉ siècle, provient de l’ancienne maison des monnaies, Kungliga myntet, qui occupait autrefois le site.
Ici, je vous invite à vous arrêter un instant. Dans la rue qui se trouve sur votre gauche, si vous avancez de quelques mètres seulement, vous remarquerez une étroite ruelle dont le nom est inscrit juste au-dessus : Stenbastugränd. Si c’est bien ouvert lors de votre passage, entrez et parcourez les quelques mètres qui vous mèneront vers une étonnante cour circulaire.
Devant vous s’élève le palais Bonde, considéré comme l’un des plus beaux exemples du baroque suédois. Construit entre 1662 et 1673 pour la puissante famille Bonde, il fut dessiné par deux grands architectes de l’époque, Nicodemus Tessin l’Ancien et Jean de la Vallée.
Difficile de visiter Stockholm sans goûter à sa gastronomie. Et tout commence bien sûr par le plat le plus emblématique : les köttbullar, ces fameuses boulettes de viande servies avec purée, sauce à la crème, confiture d’airelles et concombres marinés. Un mariage de saveurs sucrées-salées typiquement suédois.
Vous vous en apercevrez très vite, Bruges est une ville traversée par de charmants canaux. C’est simple, il y en a de partout ! Le Groenerei, que l’on peut traduire par le “canal vert”, est l’un de ces écrins naturels qui contribuent pleinement au charme de la cité.
On vous souhaite la bienvenue sur le site de photographie par excellence de Bruges ! Ancien port de sel, connu par tous les marchands du XIVe siècle, le quai du Rosaire est un lieu magique pour capturer le meilleur profil de la ville flamande.
Avant de devenir l’un des sites culturels de la ville, cette immense bâtisse, nichée dans une cour intérieure, était le palais des seigneurs Gruuthuse, dont le plus célèbre reste Louis de Bruges. Appartenant à une noble famille, enrichie grâce au monopole sur le gruut, soit l’ancêtre du houblon, ce prince a donné à ce lieu toute la grandeur et l’élégance du XVe siècle.
Cet endroit, loin d’être dans la démesure, est pourtant un incontournable de la ville, dont l’attraction principale n’est autre que le charmant petit pont en pierre enjambant le canal. Cette arche discrète, en forme pointue, faite de pierre et de briques, résume parfaitement l’atmosphère à la fois mystérieuse et romantique de Bruges, malgré sa jeune existence du début du XXe siècle.
Comme fondus dans le paysage urbain, on retrouve ici et là ces petits ensembles de maisons blanchis à la chaux si typiques de Bruges. Surnommés les Maisons-Dieu, ces îlots d’habitations remonteraient au XIVe siècle, lorsque de riches bourgeois et quelques confréries ont sans le savoir contribué à l’apparition des premiers logements sociaux de la ville.
Apparue presque comme par magie sur notre chemin, cette petite bâtisse de pur style flamand, proche du parc Minnewater, est tout simplement une ancienne maison écluse. Construite au XVIe siècle, elle servait principalement à approvisionner le centre-ville en eau, comme en témoignent les trois ouvertures d'écoulement, placées dans la partie basse de la structure.
C’est sur des notes plus champêtres que notre prochain arrêt nous éloigne définitivement de l’agitation du centre-ville. Le parc Minnewater, l’un des plus grands espaces verts de Bruges, est un hymne à la nature tant par le cadre végétal qu’il promet que par son mythique Lac d’Amour, dont le nom nous fait déjà rêver.
C’est justement dans ce genre d’endroit où on a la vague impression que le temps s’est figé pour de bon. Vous ne trouvez pas ?
Si beaucoup de personnes associent instinctivement la Belgique à la bière, il est impossible de leur donner tort avec cet arrêt suivant pas comme les autres. À la fois lieu de restauration et musée, la brasserie Halve Maan fait partie intégrante de l’histoire de Bruges depuis 1856.
Parmi le paysage historique de Bruges, on ne saurait se passer de l’ancien hôpital Saint-Jean positionné sur la droite. Construit en briques rouges au milieu du XIIe siècle, cet ensemble de bâtiments, dédié aux soins, était le plus important complexe hospitalier de toute l'Europe du Moyen Âge.
Dominant la ville, et transperçant le ciel avec son clocher de 122 mètres, l’église Notre-Dame de Bruges est un arrêt indispensable de la destination. Initialement simple chapelle au IXe siècle, puis église de style roman, elle adoptera son allure gothique définitive à partir du XIIIe siècle.
Construite entre le Xe et le XVe siècle, la cathédrale Saint-Sauveur est le plus ancien édifice religieux de la ville. Si elle n’a pas la grandeur et l’exubérance des autres cathédrales de l’époque, elle reste néanmoins le principal lieu de culte catholique accueillant l’évêché de Bruges depuis le XIXe siècle.
Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1999, le beffroi de Bruges n’a pas attendu cette année de reconnaissance pour se faire un nom. Symbole de pouvoir durant le Moyen Âge, cette construction tout en hauteur a connu ses premières origines au milieu du XIIIe siècle.
Toute personne qui vient visiter Bruges ne peut se permettre de manquer cet endroit. Étalé sur une superficie d’un hectare, le Markt, aussi connu sous le nom de la Grande place, est le cœur animé de la ville. Peu importe où notre regard se pose, les divers bâtiments de caractère présents nous dictent toute l’importance et l’atmosphère de l’endroit.
D’Ouest en Est, et du Sud au Nord, le Markt nous gâte en monuments importants. Maisons à pignons typiquement flamandes, beffroi en style gothique primitif, sans oublier ce bâtiment incroyable, doté d’une façade richement décorée, qu’est le palais provincial de Bruges.
Et oui, comme partout en Belgique, on ne rigole pas avec la frite ! Ce monument de 1399, l’un des plus anciens de la ville, était connu pour être la “Loge génoise”. Initialement bureau central des commerçants de Gênes, c’est à présent une tout autre fonction qui rend le site bien vivant.
Afin de ne pas porter votre regard sur la mauvaise attraction de la place, il vous suffit de chercher la seule bâtisse dotée d’une volée de marches à son entrée. Est-ce que vous la voyez ?
Du haut de ses 3.75 mètres, la statue de Jan Van Eyck domine fièrement la place, ou ce qui pouvait autrefois s’apparenter au “Manhattan” de la Bruges bourguignonne.
Celui qui vient à Bruges et ne traverse pas la place du Bourg a clairement manqué à ses principes de visiteur aguerri. Vous avez de la chance, avec nous, vous êtes sauvés à ce niveau-là !
De taille relativement modeste, en comparaison aux autres merveilles de la place, la basilique du Saint-Sang attise bel et bien notre curiosité. Loin de l’image classique que l’on se fait d’un édifice religieux, c’est sans traces de clocher, et avec une façade complètement sombre, que ce combiné de deux chapelles superposées se tient sur cette place depuis le XIIe siècle.
Site de prédilection pour la gestion et le gouvernement de la cité depuis 600 ans, l’Hôtel de Ville de Bruges est considéré comme le plus ancien des Flandres. Construit entre 1376 et 1421, en lieu et place de l’ancienne prison, ce siège de pouvoir devait impressionner et amplement participer au rayonnement de la cité.
C’est depuis cette demeure, pleine d’élégance, qu’était autrefois administrée la châtellenie "Franc de Bruges”, pour désigner la campagne brugeoise et ses environs. D’abord installé sur la place du Bourg, ce n’est qu’au XVe siècle que ses fonctions administratives déménagent à ce nouvel emplacement, anciennement occupé par un palais de 1520.
Perchée sur la colline de Camporegio, la basilique San Domenico est l’un des grands repères de Sienne. Elle fut commencée en 1226, puis agrandie au XIVᵉ siècle. Sa silhouette en brique rouge peut sembler austère, mais c’est justement le style des grands ordres mendiants, comme les Dominicains à qui elle appartient.
Nos félicitations ! En venant à la rencontre de Sienne, vous avez choisi une visite qui met à l’épreuve l’endurance. Bâtie sur trois collines, la cité toscane impose son rythme entre escaliers abrupts et descentes vertigineuses, de quoi mettre vos genoux à contribution.
Vous voici sur la piazza Salimbeni, une petite place élégante au cœur de Sienne. En son centre se dresse la statue de Sallustio Bandini, un ecclésiastique du XVIIIᵉ siècle considéré comme l’un des pionniers de la pensée économique moderne. Tout autour, trois palais forment un décor solennel, dont le plus célèbre est le Palazzo Salimbeni, siège historique
Bienvenue dans le cœur battant de Sienne, un véritable décor de ville médiévale resté presque intact depuis le XIIIe siècle. Tandis que Florence et Pise rivalisaient pour la puissance, Sienne se dotait d’un plan urbain d’une rare harmonie, qui ressemble à une œuvre d’art grandeur nature.
Vous voilà face à la basilique de Saint François. C’est l’une des grandes églises de Sienne, et elle a été construite par les Franciscains au XIIIe siècle. Fidèles à leur esprit de simplicité et de pauvreté, ils ont choisi un style volontairement dépouillé : une vaste nef unique, sans trop de décor, pensée pour accueillir un grand nombre de fidèles et mettre l’accent sur la prédication.
Vous êtes ici devant le Palazzo Tolomei, qui donne son nom à la place. C’est l’une des plus anciennes demeures privées de Sienne, construite au XIIIᵉ siècle pour la famille Tolomei, de riches marchands et banquiers qui comptaient parmi les plus puissants de la ville.
Sur cette place, deux monuments attirent immédiatement l’attention. D’abord, la colonne surmontée de la Louve, symbole indissociable de Sienne. Elle rappelle bien sûr la légende romaine de Romulus et Rémus, mais ici, l’histoire prend une tournure locale : selon la tradition, ce sont les fils de Rémus, Senius et Aschius, qui auraient fui Rome après la mort de leur père.
Vous êtes à la Croce del Travaglio, le carrefour où se rejoignent les trois grandes rues de Sienne. Ici s’élève la Loggia della Mercanzia, construite au XVe siècle comme lieu de réunion des marchands et tribunal de commerce. Sous ses grandes arcades de pierre claire, on négociait, on signait des contrats et on réglait les litiges entre négociants.
De retour sur la place principale, il est grand temps de faire le point sur l’événement le plus emblématique et important de Sienne: son célèbre Palio. Installez vous confortablement le temps que l’on vous raconte un peu son histoire. Car le Palio de Sienne, ce n’est pas seulement une course de chevaux. C’est l’âme de la ville, la tradition qui unit et divise,
Facilement reconnaissable à sa longue façade gothique légèrement incurvée, le Palazzo Chigi Saracini rappelle de loin l’emblématique Palazzo Pubblico, même si leur histoire diffère totalement. Sa construction remonte au XIIᵉ siècle, sous l’impulsion de la puissante famille Marescotti, dont l’emblème – un aigle aux ailes déployées –
Dominant la Piazza del Campo, le Palazzo Pubblico et la Torre del Mangia forment le symbole le plus puissant de Sienne. Construit à partir de 1297 et inauguré en 1310, le palais communal abrita le siège du Gouvernement des Neuf, l’organe dirigeant de la République de Sienne à son apogée.
Symbole absolu de Sienne, la Piazza del Campo a été conçue au XIIIe siècle comme le véritable cœur de la cité. À l’époque, un immense effort financier et urbanistique transforma un terrain insalubre en une place monumentale, destinée à représenter la puissance de la ville face à ses rivales, Florence en tête.
Positionné en contrebas de la cathédrale, le Battistero di San Giovanni est l’un des joyaux du complexe monumental de Sienne. Sa construction débuta en 1316, sous la direction de l’architecte Camaino di Crescentino, et sa forme carrée contraste avec la traditionnelle structure octogonale des baptistères italiens.
Le Facciatone, littéralement la “grande façade”, est l’un des témoignages les plus frappants des ambitions interrompues de Sienne. Il s’agit du vestige monumental du projet du Duomo Nuovo, lancé en 1339. L’idée était de construire une cathédrale gigantesque, qui aurait éclipsé toutes les autres en Europe.
Difficile d’imaginer Sienne sans sa cathédrale. Le Duomo di Siena est l’un des joyaux de l’Italie médiévale, une œuvre à la fois religieuse, politique et artistique qui a marqué l’histoire de la ville. Sa construction commence au XIIIᵉ siècle, sur le site d’une ancienne église romane, et s’étend sur près de deux cents ans.
Au pied de la cathédrale s’étend l’un des plus grands pôles culturels de Toscane : le complexe muséal de Santa Maria della Scala. Cet immense édifice, qui s’étire sur près de 40 000 m², fut d’abord l’un des plus anciens hôpitaux d’Europe, mentionné dès le IXe siècle et développé à partir du XIIe.
Depuis ce belvédère de la Via del Costone, c’est une véritable carte postale de la Toscane qui s’offre à vous. Le rouge ocre des toits et des façades de Sienne contraste magnifiquement avec la verdure des collines. Juste en contrebas, on distingue les anciens remparts de la ville, témoins de siècles de rivalités et de la volonté de Sienne de se protéger
Voici sans doute la plus célèbre des fontaines médiévales de Sienne : la Fontebranda. Mentionnée dès 1081, agrandie au XIIᵉ siècle puis reconstruite en 1246, elle arbore aujourd’hui sa façade gothique à trois grandes arches, surmontée d’un couronnement crénelé. Mais derrière son charme pittoresque se cache surtout un petit bijou
Face à vous s’élève la basilique de la Madonna di Provenzano, un monument qui incarne à lui seul l’âme de Sienne. Construite à la fin du XVIᵉ siècle dans un style maniériste, elle se distingue par sa façade en marbre blanc. Sa grande coupole, presque invisible de l’extérieur, se dévoile bien mieux une fois à l’intérieur.
Sur votre gauche se trouve la Maison et Sanctuaire de la sainte Catherine, là même où naquit et grandit Catherine Benincasa, fille d’un teinturier devenue patronne de l’Italie et figure majeure de la spiritualité médiévale. Après sa canonisation, la maison familiale fut achetée par la commune et transformée en sanctuaire.
Devant vous, ce bâtiment blanc et discret ne paie pas de mine. Et pourtant, c’est ici qu’a commencé une véritable révolution dans notre façon de voir le monde.
Majeure attraction de Besançon sur votre droite, le Palais Granvelle est considéré comme le premier édifice de grande ampleur en Franche-Comté. Sa construction, répartie entre 1534 et 1547, a été réclamée par Nicolas Perrenot de Granvelle, accessoirement garde des Sceaux et proche conseiller de l’empereur Charles Quint.
Tout connaitre d’une ville, voilà un défi de taille. Il y a toujours des histoires, des anecdotes ou des informations insolites qui échappent à nos radars partout où nous mettons les pieds.
Pour comprendre l’âme et l’histoire de Besançon, impossible de passer à côté de la Boucle. Et ce n’est pas qu’une façon de parler : jusqu’aux années 1950, la ville se résumait presque à ce secteur et au quartier du Battant, un peu plus au nord.
Côtoyer tous les jours par les Bisontins, sans réellement être bien connu, le temple du Saint-Esprit est un édifice qui a connu de multiples transformations au cours des siècles. Au Moyen Âge et durant une partie de l’époque moderne, l’édifice était un hôpital tenu par des religieux.
Grand incontournable du patrimoine bisontin, le musée des Beaux-Arts & d’Archéologie possède une longue et remarquable histoire. Né en 1694, soit presque un siècle avant le Louvre, le site détient le statut du plus ancien musée de France, mais aussi le plus important.
Pour approcher les bords du Doubs, il n’y a pas de meilleur point de rendez-vous que le quai Vauban. Alors que son appellation nous renvoie à l’architecte militaire qui formata le système de défense français comme personne, le site ne figure pourtant pas dans la liste de ses chefs-d'œuvre.
Visiblement catholique, de par ses quelques églises implantées dès l’époque romaine, Besançon garde aussi en elle un visage teinté de judaïsme comme le prouve sa belle et grande synagogue. La présence juive dans la cité franc-comtoise est en réalité une affaire de longue date qui remonterait au Ier siècle.
Sorte de petit village aux portes du centre-ville, le Battant est de source sûre l’un des plus vieux quartiers de Besançon. Histoire de vous donner une petite idée de son ancienneté, ses débuts d’existence remonteraient à l’époque gallo-romaine.
La gardienne du quartier Battant, c’est sans aucun doute la grande bâtisse qui se tient sur votre droite. Œuvre maîtresse d’un architecte franc-comtois, l’église Sainte-Madeleine a vu sa construction débutée en 1746, pour se finir en 1830, avec notamment l’élévation de ses deux tours.
Bienvenue dans celle que l’on appelle La Grande Rue ! En plus d’être l’artère la plus animée de Besançon, c’est aussi l’une de ses plus anciennes. Il faut savoir que bien avant vous aujourd’hui, ce sont les chars romains, en provenance d’Italie, qui défilaient autrefois ici, les uns à la suite des autres.
Si à votre droite on vous sert le siège de l’autorité municipale de Besançon, à votre gauche, c’est son Palais de justice qui règne en beauté. Construite en 1585, par un architecte franc-comtois, la bâtisse judiciaire se démarque dans un style architectural Renaissance à la fois fier et ravissant.
Alors que sa façade se perd dans une enfilade de bâtiments, la chapelle Notre-Dame-du-Refuge parvient tout de même à nous attirer jusqu’à elle.
Grande comme la carrière de l’homme qu’elle commémore, cette statue représente trait pour trait un écrivain français bien connu. Ainsi, figé dans le bronze par un artiste sénégalais en 2003, Victor Hugo reprendrait presque vie.
Compromis d’un ancien site religieux, et de locaux appartenant à l’Université de la ville, l’église Notre-Dame de Besançon vit avec son temps. Sur la partie la plus à gauche se tiennent les vestiges de l’ancienne abbaye Saint-Vincent, fondée au XIe siècle.
Que ce soit Les Misérables, Les Contemplations ou encore Le Dernier jour d’un condamné, toutes ces œuvres de la littérature doivent normalement vous faire penser à un seul et même homme de lettres. Avant que ça bouillonne trop dans votre tête, on parle bien évidemment de l’unique et l’indémodable Victor Hugo.
Des plus jeunes aux plus anciens, à Besançon, le square Castan est un endroit qui parle à tout le monde. En revanche, pour ceux à qui la visite de la préfecture du Doubs est une première, cet arrêt est une rencontre avec l’inconnu.
Monument emblématique de la ville franc-comtoise, la Porte noire est assurément l’illustration la plus prestigieuse du passé romain de Besançon. Après avoir conquis tout le territoire de la Franche-Comté, au Ier siècle, anciennement appelée Séquanie, la civilisation romaine agrandit
Dominée par la citadelle et engloutie par les bâtiments de l’ancien quartier des chanoines, la cathédrale Saint-Jean n’a pas hérité du meilleur emplacement de la cité. Mais, en dépit d’un environnement peu favorable, l’édifice religieux voit tout de même le jour dès le IIIe siècle, à partir de vestiges d’anciennes églises.
Haut lieu de culture et de tourisme, la citadelle de Besançon participe amplement à la renommée de la cité. Mais, plus que d’en avoir déjà entendu parler, connaissez-vous un peu son histoire ? Tandis que Besançon est sous la possession du Royaume d’Espagne au XVIIe siècle, Louis XIV se lance dans la conquête de la ville et de la région Franche-Comté.
Ce qui est bien avec presque tous les sites de défense, qu'il soit tour, fort, château ou bien citadelle, c’est la hauteur et la perspective qu’il nous donne sur une ville. Perché à plus de 100 mètres, et cerné par les méandres du Doubs, vous voilà gâté par un point de vue à couper le souffle.
Vestige des anciens remparts de la ville, la porte Rivotte ressemble à une maison tout droit sortie du Moyen Âge. Elle a pourtant été construite au XVIe siècle, sous le règne du puissant empereur Charles Quint, qui régnait alors sur de vastes territoires en Europe…
Non sans charme dans la traversée du quartier historique de la Boucle, la place Granvelle est le genre de bonne excuse pour s'extirper un court instant du centre-ville et de son engouement. D’origine privée, la placette était le jardin d'agrément du palais Granvelle, situé tout proche.
Si vous tendez suffisamment l’oreille, peut-être entendrez vous de douces notes de musiques s’échapper du Théâtre Ledoux, connu pour être une salle de spectacle mettant en avant des opéras, concerts, et autres sortes de représentations artistiques.
Côté gastronomie, Besançon n’a vraiment rien à envier à personne. Ici, dans l’Est de la France, le plaisir des papilles est aussi important que la découverte du patrimoine, et il serait dommage de passer à côté de ses spécialités.
Les marais salants, les moliceiros et les canaux sont les principales images d’appel que l’on rattache à Aveiro. Et c’est grâce à la présence séculaire de la Ria que ces dernières ont le mérite d’exister.
Des canaux paisibles, une atmosphère iodée et maintenant des belles pelouses où se poser, Aveiro a décidément tout ce qu’il faut à sa disposition pour faire de notre visite un pur moment de sérénité.
Le quartier de Fonte Nova, dans lequel vous déambulez en ce moment même, est considéré comme l’une des zones les plus récentes de la ville. Et les édifices modernes qui vous entourent en sont un bon indicateur.
Aveiro, une petite ville ? Tout dépend pour quoi ! Pour en faire la visite, ça oui. Mais pour détenir une cathédrale, ça, certainement pas. Et je tenais à vous le montrer.
Si toutes les attractions de notre itinéraire ont pour but de vous en apprendre un peu plus sur la destination, celle-ci est certainement celle qui s’en chargera le mieux.
Depuis la séparation de l’État et de l’Église, obtenue à la fin de la dictature salazariste en 1976, le Portugal est officiellement un État laïc.
À proximité immédiate des canaux et favorablement située dans le cœur historique d’Aveiro, la Praça da República en voit traverser des locaux et des touristes sur son sol en calçada portuguesa, caractérisé par cette mosaïque traditionnelle de pavés noirs et blancs.
Venir à Aveiro et ne pas goûter les ovos moles, en voilà une faute impardonnable. En comparaison, c’est un peu comme aller à Lisbonne et faire l’impasse sur les pasteis de nata. Vous saisissez l’idée.
Ce que les gondoles sont à Venise, les moliceiros le sont à Aveiro. En résumé, un symbole phare et une vitrine touristique de la destination.
Avant et pendant votre visite d’Aveiro, vous n’aurez de cesse d’entendre que la ville a de quoi rappeler Venise sous certains angles.
Romantiques, historiques, colorés, plats ou bien bombés, les ponts d’Aveiro apportent chacun à leur tour une touche personnelle à la traversée des canaux.
Déployant ses canaux au milieu des maisons, tels des tentacules d’eau, la Ria est indissociable d’Aveiro. C’est simple, sans elle, l’itinéraire de visite n’aurait pas du tout la même allure.
C’est là, gracieusement posé au milieu d’une chaussée en calçada portuguesa, dont la mosaïque de pierres dessine des vagues, que vous tombez nez à nez avec l’édifice religieux du quartier de Beira Mar.
Dans notre itinéraire de visite, un tour par le quartier de Beira Mar, centre historique d’Aveiro, est plus que fondamental. En son sein, ou à proximité, se trouve la majorité des attractions touristiques emblématiques de la ville.
Visiter Aveiro, ça ne demande vraiment pas beaucoup d’effort. D’une, la ville est plate. Et ça, au Portugal, c’est une qualité plutôt rare. Et de deux, elle est petite.
À gauche, à droite, et même sur la Ria, oui, les monuments d’Aveiro sont partout. Et en même temps, pour ce bâtiment linéaire, presque posé à la surface de l’eau, il aurait difficilement pu en être autrement.
Dans les ruelles historiques d’Aveiro, ça visite, auprès des canaux, ça se promène et par ici, en bordure de quais, ça achète.
En bordure de mer et délicatement installée sur la zone lagunaire de la Ria, Aveiro est fortement marquée par la présence de l’eau.
Vous arpentez à présent la calle comercio. Et avec un nom pareil et la quantité de magasins qui se déroulent devant vous, vous avez bien compris que vous vous trouviez dans la rue la plus commerçante de Tolède.
Au bas de la rue des Carmélites déchaussées, vous arrivez face à la petite mosquée del Cristo de la Luz. Églises, Synagogues Mosquées, vous comprenez mieux pourquoi Tolède, comme Cordoue, est surnommée la ville aux trois cultures.
Oui, encore une église, désolée, il y en a vraiment beaucoup à Tolède, vous l’aurez remarqué ! Celle-ci se nomme l’église Santiago del Arrabal, traduit par Saint-Jacques des Faubourgs en français.
Tolède garde des marques indélébiles de son passé défensif. Une ville tant convoitée doit bien évidemment se protéger des attaques extérieures. Sa muraille médiévale en est la preuve vivante avec ses incroyables portes monumentales.
Vous voilà à présent devant une nouvelle porte monumentale. Oui, quand des murailles entourent une ville, il faut plusieurs entrées sinon ça devient compliqué.
Bon, je vous l’accorde, ça monte un peu, mais quelle vue ! Le paseo del mirador a été spécialement aménagé au-dessus du palais des congrès pour vous permettre d’avoir de splendides vues panoramiques sur les environs.
Vous voilà à présent au pied de la ville, devant la belle porte de l’Alcantara. Elle date du Xe siècle et est d’origine omeyyade. Avec la mosquée Bab al-Mardum, plus connue aujourd’hui sous le nom de mosquée du Christ de la Lumière, elle est le seul vestige omeyyade à Tolède.
Le pont d’Alcantara vous permet également d’avoir une très jolie vue sur le château de San Servando qui s’élève sur l’autre rive. Il avait été construit à la base, sur les ruines d’un château arabe et était destiné à servir de monastère en l’honneur des saints Servando et Germano.
En arrivant sur la place de Zocodover, vous comprenez rapidement que vous venez d’atteindre le centre névralgique de la ville. C’est ici que bat le cœur de Tolède depuis des siècles. Une partie de la place date du XVIe siècle et a été construite sous le règne de Philippe II d’Espagne.
Il est immense et il surplombe la ville, imposant et encadré de ses 4 tours pointues, voilà le célèbre Alcazar de Tolède. Alcazar veut dire palais arabe fortifié. Vous êtes peut-être familier avec celui de Séville.
Vous l’avez vu à tout bout de champ. Il englobe la ville et l’enrobe de ses eaux vertes, voici, bien évidemment, la star de la région, le Tage !
Puisque nous passons l’église de los Santos Justo y Pastor qui a vu naître l’une des plus célèbres légendes de Tolède, et que nous sommes dans la ville qui forge les meilleures lames du monde, j’en profite pour vous raconter une petite histoire de cape et d’épée.
Vous voilà au cœur de Tolède, sur la place de l’Ayuntamiento, c’est-à-dire, sur la place de la mairie. Vous avez, d’un côté l’hôtel de ville donc, vous l’aurez deviné au nom de la place, et de l’autre, la superbe cathédrale Sainte-Marie de Tolède.
Vous passez à présent la Maison-Musée du Greco. L’artiste peintre n’a pas réellement vécu dans cette maison, la sienne étant située un peu plus loin, mais c’est ici qu’est exposée la majeure partie de ses œuvres peintes à Tolède dans une maison d’époque permettant d’imaginer la façon dont le peintre vivait.
Traverser ce joli petit parc bien fleuri et doté d’un monument commémoratif au peintre El Greco, vous permet surtout d’avoir cette magnifique vue sur la rivière et les monts de Tolède.
La sortie des jardins vous offre la jolie façade de la Synagogue du Transito. Ne vous laissez pas avoir par sa sobriété extérieure !
Toujours dans l’ancienne juderia de Tolède, vous voilà cette fois-ci, face à la Synagogue de Sainte-Marie-la-Blanche, l’une des plus anciennes synagogues d’Espagne.
En arrivant devant l’imposante façade du monastère de San Juan de los Reyes, vous comprenez tout de suite qu’ici, c’est du sérieux ! Et même si de l’extérieur vous ne voyez pas grand-chose, vous vous doutez bien que l’intérieur doit pencher vers le grandiose !
uste un mot sur la porte de Cambron que vous passez sur votre gauche. Elle est l’une des plus anciennes de la ville et ses origines remontent certainement à l’époque de la muraille wisigothe.
Vous arrivez sur la place du Cardinal Siliceo, face au magnifique collège royal des nobles demoiselles. Et vous avez de la chance, il a été récemment aménagé pour être ouvert au public.
Vous arrivez devant l'Église de San Román, qui est sans doute l’exemple le plus frappant de cette architecture mudéjare si typique de l’Espagne.
Autre église, autre style. Voici l’église jésuite baroque de San Ildefonso. Vous voyez au sommet dans la niche entre les deux tours, la statue de San Ignacio de Loyola, le saint fondateur de l’ordre des Jésuites.
Arrivés devant l’église de Saint-Vincent, j’aimerais attirer votre attention sur la ruelle qui se trouve à sa gauche. Vous voyez qu’elle était fermée par des portails. Elle fait partie des rues volées de Tolède.
Levez les yeux sur le grand clocher qui s’élève devant vous. Il s’agit de l’un des plus beaux exemples d’art mudéjar de Tolède.
À l’approche de ce bâtiment phare de la ville, comment résister à l’envie de vous souhaiter la bienvenue chez Rubens ! QG artistique, en particulier à son apogée, Anvers a vu défiler plusieurs personnalités de renom dans le domaine, dont la plus célèbre d’entre elles reste sans aucun doute Peter Paul Rubens.
Alors que par définition une gare est réduite à un banal lieu de passage, celle que vous avez à vos côtés prouve à l’inverse qu’elle vaut tout un voyage. En 1835, Anvers était déjà desservie par des lignes ferroviaires, alors que le terminus n’était qu’à ce moment-là un simple quai suivi d’un modeste bâtiment en bois.
À part dire qu’Anvers est une destination belge par excellence, sauriez-vous nous donner d’autres vérités plus méconnues à son sujet ? Si rien ne vous vient en tête, alors voilà 3 petites choses qu’il est bon de connaître à son égard.
Bienvenue dans l'un des endroits les plus fascinants de la planète ! Vous êtes dans le quartier des diamantaires d'Anvers, un tout petit périmètre où circulent chaque jour… 500 000 carats de diamants.
Opérette, danse moderne, ou encore ballet classique, voilà le genre de lexique qui définit l’univers du bâtiment dressé devant vous. Désigné par l'appellation opéra Flamand, le site est en réalité membre de l'Opéra Vlaanderen.
On peut dire que le moment est venu de vous faire rencontrer un enfant de la ville avec la ravissante statue qui se dévoile face à vous. C’est le regard perdu en l’air, et avec sa belle tenue d’époque, que l’on vous présente Antoine Van Dyck.
Pour saisir toute la valeur du site vers lequel on vous a emmené, il vous faudra impérativement y entrer. Pas de panique, c’est gratuit !
Comme caché au bout de cette allée, la Handelsbeurs est tout à fait le genre de bâtiment qui respire l’histoire. Forcée de reconnaître que son ancienne Bourse, la Hofstraat, était devenue trop petite, Anvers s’est alors lancée dans la construction d’une toute nouvelle version.
Au cœur du centre historique d’Anvers, l’église Saint-Charles-Borromée est l’un des plus beaux exemples d’architecture baroque de Belgique. Fondée par les jésuites entre 1615 et 1621, elle portait à l’origine le nom de Saint-Ignace, en hommage
Entre les anciennes maisons médiévales très basses qui l’entourent et cette petite place qui l’accueille, il n’en faut pas plus à la cathédrale Notre-Dame pour paraître encore plus gigantesque qu’elle ne l’est.
Si c’est à la statue de Brabo que revient la très convoitée position centrale sur la Grand-Place, l’hôtel de ville, lui, n’a pas besoin de cela pour se faire remarquer. C’est simple, il est tellement beau et imposant que l’on ne voit que lui !
Avec une existence d’environ 500 ans, la Maison des Bouchers est sans surprise l’un des bâtiments publics les plus datés de la ville. Jusqu’à la Révolution française, les bouchers d’Anvers représentaient la plus ancienne guilde, ou association marchande, parmi celles que comptait la cité flamande.
On les remarque à peine au premier coup d’œil, et pourtant, elles veillent sur la ville depuis des siècles. Nichées à l’angle de deux rues ou posées discrètement sur une façade, comme celle que vous voyez à votre droite, les statues de la Vierge Marie font partie du paysage d’Anvers.
Construite en 1639, sur ordre du couvent des dominicains auquel elle a autrefois appartenu, l’église Saint-Paul occupe une place de choix dans le cœur des Anversois. La raison principale à cela est indiscutablement l’impressionnante valeur artistique qui définit l’intérieur des lieux.
Devant vous, mesdames et messieurs, la construction la plus ancienne de la ville encore debout. Relativement bien conservé, le Het Steen est ce très beau demi-château du XIIIe siècle, qui autrefois faisait partie intégrante des vieux remparts d’Anvers.
Un peu de hauteur, en vous donnant cette vague impression de dominer le monde autour, voilà tout le secret de ce petit point de vue que l’on vous a décroché. En vous mettant vraiment à la pointe du toit et en tournant le dos au vide, vous devriez apercevoir une toile anversoise plutôt agréable à regarder.
Lentement mais sûrement, vous voilà en train d’arriver sur la Grand-Place d’Anvers. Équivalent du centre historique pur et dur de la ville, cette esplanade trouve ses premières origines au Moyen Âge en tant que forum, où se tenaient notamment les assemblées du peuple et les discussions sur les affaires publiques.
Si le hasard fait bien les choses, comme il est souvent dit, alors s’engouffrer dans le Vlaeykensgang est plus qu’une bonne idée. En marge des grandes places et des cafés, cette petite allée nous transporte dans le passé en un rien de temps.
Bel espace public d’Anvers, la Groenplaats est typiquement le genre d’endroit où les mots vitalité et pause se font face. À l’image de n’importe quelle place en tout genre, elle est à la fois un lieu de passage, où fourmille plus d’un piéton, et un point de rendez-vous où l'on peut se poser pour boire, manger et assister à des spectacles de rue.
Sorte de lien entre la gare d’Anvers-Central et le centre historique, la Meir n’est pas moins que la 2e rue commerçante de Belgique. Dans les remarquables bâtiments du XVIIIe et XIXe siècle, de style rococo qui la délimitent, se nichent les plus grandes chaînes de magasins européens et internationaux.
Absorbé dans l’agitation commerciale de la rue dans laquelle il se situe, le palais au Meir est un fragment d’histoire au milieu de toutes ces enseignes de shopping. Ses premières origines datent de 1745, lorsqu’un riche entrepreneur anversois utilise sa fortune pour le faire construire.
Cet édifice à l’architecture impressionnante est l’opéra de Dubaï.
Dans le bassin qui se trouve devant vous, et qui s’entoure de certains des plus grands immeubles de Dubaï, dont le Burj Khalifa, un véritable spectacle alliant son, lumière et eau a lieu toutes les 30 minutes en soirée
Cette vaste place est l’une des plus empruntées de Dubaï, que ce soit par les habitants qui travaillent aux alentours, mais aussi et surtout par les visiteurs qui viennent profiter de la superbe vue qu’elle offre sur le Burj Khalifa.
Sur votre gauche se trouve ce qu’on appelle l’île de la vieille ville, un ensemble de complexes hôteliers et d’appartements dont l’architecture reprend le style arabe.
Vous l’avez sûrement remarqué en regardant tout autour de vous pendant votre visite, le nom EMAAR est partout !
Sur votre gauche, vous passez devant le souk Al Bahar. Vous l’avez peut-être remarqué, les souks sont nombreux à Dubaï, notamment dans les quartiers anciens de Bur Dubaï et de Deira !
C’est certainement le point de vue le plus époustouflant qu’on puisse avoir sur le Burj Khalifa !
À côté de la plus grande fontaine du monde, de la plus haute tour du monde, que pouvait-on trouver si ce n’est le plus grand centre commercial du monde ?!
Du haut de ses 828 mètres, le Burj Khalifa est incontestablement la tour la plus haute du monde depuis son ouverture en 2010.
Voici une autre façade emblématique du quartier, celle du New Mission Theatre. Originalement construit par les Reid Brothers en 1916, il a été rénové pour les frères Nasser par le même architecte qui a construit le Castro Theatre.
De l’autre côté de la rue, au centre de sa magnifique fresque en noir et blanc, trône une icône du quartier, Carlos Santana.
Vous arrivez à présent à l’entrée de la Clarion Alley. Le CAMP, Clarion Alley Mural Project est une organisation née dans les années 90, qui a soutenu la réalisation de plus de 700 peintures murales engagées.
Vous la voyez de loin et elle semble vous appeler depuis le début de la rue, vous voilà devant la splendide maison des femmes. C’est un peu la cerise sur le gâteau du parcours street art.
Changement de style, vous voilà à présent devant la Mission Saint François d’Assise, aussi connue sous le nom de Mission Dolores en raison de sa proximité avec la crique des Dolorès.
Vous avez sur votre droite une grande fresque retraçant les combats de la communauté LGBT, de Harvey Milk brandissant le drapeau multicolore, à la lutte contre la terrible épidémie du Sida.
Mythique et emblématique, voici le magnifique Castro Theatre. Ce cinéma, financé en 1922 par les frères Nasser, reprend le style baroque colonial espagnol.
À l’angle de la rue sur votre droite se trouve le GLBT History Museum. Ce tout petit musée au prix dérisoire est une mine d’or d’informations retraçant l’histoire de la communauté.
Nous laissons derrière nous les drapeaux colorés du quartier gay pour nous rapprocher du quartier latino de Mission Dolores. C’est l’un des vieux quartiers de la ville et il tient son nom de la mission de Saint-François d’Assise, construite par les franciscains à la fin du XVIIIe siècle.
Avouez, depuis que vous êtes à San Francisco, vous avez cette chanson dans la tête. Eh bien, la voilà, la vraie, la fameuse maison bleue adossée à la colline où l’on peut entrer sans frapper puisque Lizzard et Luc ont jeté la clé.
Cette belle façade sculptée, c’est l’entrée de la Mission High School. C’est le plus vieux lycée de la ville toujours situé sur son emplacement d’origine.
Vous traversez à présent le Mission Dolores Park. Ce parc a été créé en 1905 à l’emplacement d’un ancien cimetière juif. L’année suivante, il accueillera 1600 personnes qui se sont retrouvées sans abri après le grand tremblement de terre.
La belle façade recouverte de l’arbre du Nouveau Monde cache la piscine découverte Mission Pool. C’est un lieu de rassemblement depuis les années 30 quand l’endroit s’appelait encore la Nickel pool en rapport à son prix d’un nickel, soit de 5 centimes de dollar.
Regardez juste rapidement les façades des 4 maisons victoriennes sur votre gauche. Vous voyez au niveau du toit, la façade continue comme un décor de théâtre avec plus rien derrière.
Vous ne vous attendiez certainement pas à trouver un immense calendrier aztèque au milieu de la rue, mais c’est bien l’emblème qui a été choisi pour orner la façade du Mission Campus. C’est la plus grande représentation murale de ce célèbre calendrier adapté du calendrier maya.
Vous avez ici, à l’angle de Mission street et de la 23ème rue, un bel exemple d’un mural peint en l’honneur de la communauté mexicaine par Cid Mario.
La 24ème rue est particulièrement riche en street art et j’espère que vous avez aimé les œuvres que vous avez croisées jusqu’ici. J’attire à présent votre attention sur la façade de cette maison magnifiquement repeinte en 2018 par plusieurs muralistes de la communauté.
Un peu plus gai cette fois-ci, vous voilà devant la devanture colorée surplombant the “house of brakes”, la maison du frein.
À l’angle de la rue Shotwell, ne ratez pas la photo carte postale du quartier avec le célèbre “Once Upon a time in Mission District” ! La fresque a été réalisée par des artistes ayant grandi dans cette rue en collaboration avec l’Urban Youth Arts Program de l’association Precita Eyes.
Vous voilà arrivés à la fameuse Balmy allée. C’est ici que vous avez la plus grande concentration de peintures murales de San Francisco.
Cette maison, entièrement recouverte de peinture, appartient à un musicien local, Richard Segovia. L’œuvre s’intitule “Take it from the Top, Latin Rock” et est un hommage au rock latino, courant musical très fort dans toute l’Amérique latine.
Elle est tellement belle la façade du Brava Theatre ! Et son extérieur magnifique n’est que le reflet de sa belle personnalité !
Cet immense mur bleu s’intitule La Llorona et mérite d’être décrypté. Bon, en réalité, ils le méritent tous, mais on n’aura pas assez d’une journée si on s’arrête devant chaque mur !
Arrivés au carrefour avec la rue Florida, vous voilà entourés de toutes parts par des œuvres de street art. Allez toutes les observer de plus près si vous le désirez, mais je vais m’attarder uniquement sur celle peinte sur la paroisse Saint-Pierre.
Après avoir admiré quelques autres belles œuvres le long de la rue, vous voilà devant l’entrée du Precita eyes mural visitor center.
J’imagine que cette église rouge vous surprend ! C’est vrai que c’est un édifice religieux plutôt inhabituel ! Il s’agit du temple bouddhiste Hua Zhang Si.
Il flotte fièrement dans les airs au croisement de Market street et Catro, vous êtes évidemment à l’entrée du célèbre quartier gay de San Francisco.
Quatre grandes colonnes ioniques, un fronton triangulaire et un vaste perron, est-ce un temple que vous avez face à vous ? Et bien non, les apparences sont vraiment trompeuses.
Salamanque l’a bien compris, pourquoi se contenter d’une seule cathédrale quand on peut très bien en avoir deux. Bien que collées l’une à l’autre, les deux bâtisses religieuses peuvent aisément se différencier.
D’un point de vue culturel et religieux, la visite de Salamanque ne peut se faire sans un arrêt au couvent de las Dueñas.
Aux portes du couvent de San Estebán, on saisit instantanément que l’on a affaire à l’un des édifices les plus réussis de Salamanque. Une église grandiose, une opulente façade, un cloître à deux étages, décidément rien ne manque à l’appel.
Parler de Salamanque, c’est d’abord parler d’histoire, d’art et de connaissances. Le petit trio de choc de tout séjour touristique auquel nous sommes obligés de rajouter, ici, les légendes.
Si “Mi casa es tu casa”, comme on entend le dire, on aimerait bien s’approprier la Casa Lis. Mais entre souhaiter et pouvoir se creuse en général tout un fossé.
Grâce à des lieux comme le centre documentaire de la Mémoire Historique, on se rend compte que le patrimoine d’une ville ne se mesure pas uniquement à sa quantité de monuments.
Dans la liste des monuments symboliques de Salamanque, on vous le dit, c’est l’université qui reçoit la palme d’or. D’une part, pour sa puissante valeur historique et d’autre part, pour ses atouts culturels et artistiques indiscutables.
Dans l’enseignement, il est impossible de griller les étapes. La règle est la même pour tout le monde : chaque palier du système scolaire se doit d’être honoré pour ensuite passer au suivant.
D’un monument à un autre, tout visiteur peut très vite se rendre compte que l’histoire de Salamanque n’est pas du genre à se résumer en deux lignes.
Nous y voilà, face au palais de Monterrey, soit l’un des nombreux monuments qui ont fait de Salamanque une ville patrimoine. Il a été conçu au XVIe siècle sous la volonté du IIIe comte de Monterrey.
Année après année, la Casa de las Muertes reste l’une des attractions les plus appréciées et connues de Salamanque. Peut-être parce qu’elle mêle à la perfection histoire et légende populaire.
Excusez d’avance notre langage, mais pénétrer la Plaza Mayor ça prend aux tripes. Non seulement c’est l’endroit le plus emblématique de Salamanque, mais c’est aussi l’une des plus belles places d’Espagne.
C’est à peine remis de l’effervescence de la Plaza Mayor que l’on tombe nez à nez avec une autre adresse authentique de Salamanque. Et oui, il faut vous y faire, ici, les belles trouvailles sont un peu partout.
De belles grilles et une façade finement travaillée, voilà comment le Palacio de la Salina impose sa place dans la liste des merveilles de Salamanque.
En orientant votre regard sur la gauche, la Torre del Clavero illustre à la perfection le genre de surprise auxquelles on ne s’attend pas toujours.
Juste après l’Université, l’autre vedette de Salamanque, c’est elle, la Casa de las Conchas. Non pas pour son âge, tout de même estimé à 500 ans, mais plutôt pour sa singularité esthétique atypique.
Dans son ensemble de sites religieux de grande valeur, Salamanque inclut sans hésiter la Clerecía.
En se promenant le long des quais du Rio Tormes, ce ne sont pas les ponts qui manquent pour rejoindre la rive opposée. Alors qu’ils sont presque tous accessibles aux automobilistes, il y en a un qui ne suit pas le mouvement.
En dépit du succès et de l’attention touristique que lui procure sa nouvelle cathédrale, Salamanque n’a pu se passer de sa réplique plus ancienne.
Plus que de vous trouver au 25 Calle Libreros, vous êtes arrivé à la maison-musée d’Unamuno. Cette modeste bâtisse du XVIIIe siècle fait parler d’elle à Salamanque pour avoir été la résidence de Miguel de Unamuno.
Vous voilà sur l’une des plus importantes places du centre historique de Naples, la place San Domenico Maggiore. Historiquement, la place représente la limite des murailles grecques de Neapolis et est aujourd’hui l’un des points principaux du centre historique de Naples, entièrement classé UNESCO.
La chapelle Sansevero que vous avez à votre gauche, d’apparence sobre et réservée, abrite pourtant une importante collection d'œuvres d’art. Une trentaine de sculptures en marbre dont les célèbres Pudeur et le Christ voilé, toutes deux recouvertes d’un linge de marbre, si fin que sa réalisation relève du miracle.
Vous voyez à présent la statue du Dieu Nil. Attention, elle date de l’époque romaine et a été réalisée entre les IIe et IIIe siècles. La tradition voudrait qu’elle ait été érigée par une communauté égyptienne venue d’Alexandrie et installée à Naples.
Voyez sur votre droite l’entrée du palais Diomede Carafa. Ce palais de la Renaissance était la résidence d’un cardinal italien avant d’être transformé en musée par un riche avocat au XIXe siècle. Mais ce qui est intéressant ici se situe dans la cour intérieure.
Voilà la fameuse rue San Gregorio Armeno. Elle prend son nom de l’église que vous avez sur votre gauche, édifiée vers 930, mais elle est plus connue sous le surnom de la rue des crèches ou Christmas Alley.
Vous avez à présent sur votre droite, la basilique San Lorenzo Maggiore, ou Saint-Laurent-Majeur en français. C’est l’une des plus anciennes basiliques de Naples. Elle a été construite sur ce qui était l’Agora grecque puis le Forum romain.
Au bout de la rue, vous avez la basilique Saint-Paul-Majeur. Elle aussi est construite sur l’emplacement d’un temple romain dédié aux dieux jumeaux : Castor et Pollux. L’intérieur est encore une fois magnifique et vaut le détour !
Vous avez remarqué, depuis votre arrivée à Naples, que vous ne pouvez pas faire 500 mètres sans tomber sur une église. Et pour cause ! La ville en compte plus de 500.
La petite place du Cardinal Sisto nous offre une nouvelle fois une belle colonne sculptée comme Naples en a le secret. Celle-ci a été commandée en 1636 après l’éruption du Vésuve de 1631 lors d’une action pour la sauvegarde du patrimoine de la ville.
Vous arrivez devant le Castel Capuano, le château Capuano, nommé ainsi, car il était, à sa construction, sur la route qui menait à la ville de Capoue. La rue qui vous amène au château, la voie du Tribunal est un des axes urbains qui existe à Naples depuis l’Antiquité, le decumanus maximus !
Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais cette rue San Paolo est inhabituellement courbée par rapport au quadrillage ancien de la ville. Cela vient du fait qu’elle est entourée de part et d’autre de théâtres antiques, aujourd’hui engloutis dans la ville moderne.
Encore une église me direz-vous, et pourtant, on ne vous a choisi que les plus importantes ! Celle-ci s’appelle l’Église Sainte-Marie-des- âmes-du-Purgatoire. Amateurs du tourisme morbide ou étrange, la visite de cette église est faite pour vous !
Allez, encore une église, pour la forme. C’est que la Pietrasanta, l’église Santa Maria Maggiore alla Pietrasanta, de son nom complet, est l’une des plus importantes du centre historique de Naples. Son histoire remonte au VIe siècle si l’on se base sur la consécration, en 535, de la première basilique paléochrétienne, elle-même bâtie sur des fondations romaines.
Vous arrivez à présent sur la charmante place Bellini. Façades colorées, terrasses de cafés, verdure et ruines gréco-romaines, elle est un petit condensé sans prétention des bonheurs simples de Naples. C’est un endroit agréable pour s’arrêter boire un verre, loin de l’agitation de la ville.
La petite rue piétonne Alba, bordée de librairies et de magasins de musique, vous amène jusqu’à la Porte Alba, que vous venez de traverser. Elle est l’une des anciennes portes des remparts de Naples et a été percée dans la muraille angevine en 1625 pour faciliter les déplacements des habitants.
Vous voilà donc sur la place Dante, qui, vous vous en êtes rendu compte, est l’une des plus importantes places de Naples. Elle a été construite en dehors des murs du centre historique, à l’occasion de l'agrandissement de la ville en direction du quartier monumental, nouveau siège du pouvoir à l’époque des vice-rois espagnols.
Vous voilà face à l’une des églises les plus emblématiques de la ville, celle du Gesù Nuovo. Elle est la principale église des Jésuites de Naples et l’un des principaux édifices de l’art baroque napolitain.
La basilique Santa Chiara, que vous voyez devant vous, appartient à un important complexe religieux construit au début du XIVe siècle par Robert d’Anjou et sa femme, la reine Sancia de Majorque.
Vous voilà, arpentant la Riverwalk, tel un vrai Chicagoan. Oui, si vous n’aviez pas encore entendu ce mot, c’est bien comme ça que l’on appelle les habitants de Chicago.
Magnifique autant qu’emblématique, vous avez maintenant devant vous le superbe Chicago Theatre ! Il ouvre ses portes en 1921, dans ce style baroque clinquant qui allait lancer le ton pour l’ouverture des futures salles de cinéma aux États-Unis.
La célèbre horloge qui fait l’angle du Marshall Building vous indique que vous passez le légendaire magasin Macy’s. Classé patrimoine historique, cet édifice construit à la fin du XIXe siècle fait indéniablement partie de la culture de Chicago.
Vous ne rêvez pas, c’est bien un Picasso de 15 mètres de haut, qui se dresse devant vous en plein centre-ville, sur le Daley Plaza. Une œuvre d’art en plein air et accessible à tous qui sera la première d’une longue série.
De l'autre côté de la rue, le gratte-ciel gothique que vous voyez est en réalité une église !! Parfaitement ! Il s'agit même de la plus haute église du monde avec son clocher culminant à 173 mètres !
L’imposant bâtiment néoclassique que vous venez de longer et de laisser derrière vous est le City Hall de Chicago. Son hôtel de ville. C’est là que se trouvent les bureaux du maire, du greffier, de la trésorerie ainsi que plusieurs services communaux et les chambres du conseil municipal de Chicago.
Vous voilà donc à l’intérieur incroyable du Thompson center. Il s’agit d’un bâtiment civique qui accueille des instances du gouvernement ainsi que le centre commercial Atrium. Alors loin de nous l’idée de vous forcer à faire les magasins, mais une fois à l’intérieur, vous avez vite compris pourquoi nous avons choisi de vous le faire traverser !
Sur votre gauche, le Cadillac Palace Theater. Construit en 1926, il ouvre ses portes sous le nom de New Palace Theatre. L’intérieur est grandiose, inspiré du château de Fontainebleau et du château de Versailles.
Vous avez, de l’autre côté de la rivière, le Civic Opera House, qui est le siège de l’opéra lyrique de Chicago. Cette institution fait partie des plus prestigieuses du monde et possède le deuxième plus grand auditorium d’Amérique du Nord.
Vous le savez bien, une ville pleine de gratte-ciel, tous plus hauts les uns que les autres, offre forcément de nombreux points de vue spectaculaires. Ici vous avez la Willis Tower, que vous avez peut-être connue sous son ancien nom de Sears Tower.
Vous avez, devant vous, l’une des icônes architecturales de la ville : Le Rookery Building. Son nom veut dire nid de corbeaux en anglais. Cela fait allusion aux volatiles qui s’y perchaient, mais aussi et surtout, aux politiciens qui travaillaient à l’intérieur.
Voilà une nouvelle œuvre d’art de rue typique de Chicago.C’est le Calder’s Flamingo, le Flamant rose de Calder. Calder, si vous ne le connaissez pas, est un sculpteur et un peintre américain.
Vous avez devant vous l’un des ponts du métro aérien de Chicago. Peut-être même que vous voyez passer l’un de ces trains, un peu old school mais qui font totalement partie du charme de la ville.
Voilà le fameux Begin sign qui annonce le début de la route 66. Car c’est bien ici, à l’angle de la East Adams Street, à Chicago, que tout commence. Le panneau End, lui, se trouve à 3940 km de là, sur la jetée de Santa Monica à Los Angeles.
Vous arrivez devant la célèbre Crown Fountain du Millenium Park. Elle a été réalisée par l’artiste catalan Jaume Plensa et a été inaugurée en juillet 2004.
Attention, spoiler alert, vous allez voir un endroit fabuleux ! Vous êtes devant le Chicago Cultural Center, le premier centre culturel entièrement gratuit des États-Unis.
Vous voilà devant le fameux haricot magique de Chicago. The Cloud Gate de son vrai nom, The Bean pour les intimes, ou la fabuleuse épopée d’une œuvre d’art qui devient en deux temps trois mouvements, le symbole de toute une ville.
À quelques pas du célèbre Bean, se trouve une autre œuvre majeure de Millennium park : Le Pavillon Jay Pritzker. Il s’agit d’un immense kiosque à musique, conçu par le célèbre architecte Frank Gehry, à qui l’on doit d’autres structures aussi étranges que mémorables comme le musée Guggenheim de Bilbao ou la Fondation Louis Vuitton de Paris.
Vous empruntez à présent la passerelle BP. B pour bridge, P pour pedestrian, vous l’avez compris dans votre anglais parfait, c’est tout simplement un pont piéton. En réalité BP fait ici double emploi car le nom a aussi été mis pour la société pétrolière britannique BP qui a donné 5 millions pour sa construction.
Vous l’avez remarqué, Chicago, c’est vert. Ses parcs publics sont énormes et bien entretenus. Ici, vous êtes dans le Maggie Daley Park, né en 2012 de l’aménagement de la partie nord du Grant Park qui était à l’époque occupé par un vaste parking.
Juste pour vous situer encore un peu plus dans cette ville gigantesque, sachez que vous êtes à 500 mètres des berges du lac Michigan. Si vous continuez sur votre droite, vous tomberez sur le Lakefront trail, un sentier de randonnée réputé qui longe le lac Michigan sur 29 kilomètres.
Je profite du fait que nous passions une importante caserne de pompiers, pour vous expliquer un peu pourquoi la ville de Chicago est à ce point flambant neuve. En effet, ce condensé d’architecture remarquable et renommée qu’est devenu Chicago, est dû à son événement le plus tragique, son fameux Grand Incendie.
Levez les yeux, et vous verrez une petite statue en bronze d’une femme, sortant des eaux du lac Michigan, entourée de flamme, d’animaux et de blé. Elle représente la renaissance de la ville après le grand incendie, et comment elle est ensuite devenue une ville pionnière dans plusieurs domaines.
Vous voyez, juste à l’entrée du pont, le buste de Jean Baptiste Point du Sable. Son nom ne vous dit peut-être rien, mais approchez-vous et faites connaissance avec le fondateur de Chicago ! Son buste, installé en 2009, est un don des membres de la communauté haïtiano-américaine de Chicago.
On ne va pas se mentir, ce pont est un superbe point de vue pour profiter d’une vue iconique sur Chicago. Vue formée par le groupe des 4 bâtiments édifiés dans les années 20 encadrant le pont : le 333 North Michigan, le London guarantee, Le Wrigley et la Tribune Tower.
Cette longue place publique, aujourd’hui appelée place du Sultan-Ahmet, était, à l’époque romaine, l’hippodrome de Constantinople ! Cette arène hippique monumentale où se déroulaient les courses de chars a été construite par l’empereur Septime Sévère à Byzance, pour se terminer sous le règne de l'empereur Constantin, dans sa nouvelle capitale de Constantinople.
Les citernes à Constantinople étaient le type de construction le plus répandu dans la capitale de l’Empire byzantin. Comme il n’y avait pas de rivières à proximité, il a fallu s’organiser pour alimenter la ville en eau grâce à tout un système d'aqueducs.
Voyez sur votre droite, cet autre vestige de l’époque romaine, la colonne de Constantin. Elle est la dernière encore debout, mais essayez de vous rendre compte, elle faisait partie d’un immense forum romain, édifié en bordure de l’enceinte de Septime Sévère et qui allait devenir le centre de la nouvelle capitale. Mais ce n’était pas une colonne parmi tant d'autres.
Cette mini mosquée que vous voyez sur votre droite est la mosquée ottomane de Sinan Pasha. Elle date du XVIe siècle et a été construite par Mimar Sinan, l’architecte en chef de Soliman le magnifique, à qui l’on doit au moins 300 projets majeurs.
Voilà celui que vous attendiez ardemment depuis que vous avez prévu d’aller à Istanbul, bienvenue au Grand Bazaar !! Pendant des siècles les marchandises provenant d’Orient, les épices, le blé, la soie et le miel ont rencontré ici les marchandises venant d’Occident, les métaux, les fourrures, le bois ! Alors vous imaginez aisément la richesse de la ville !
À proximité du Grand Bazaar se dresse la mosquée Nuruosmaniye. Vous remarquez que son style est complètement différent des autres mosquées que vous avez vues jusqu’ici, c’est ce que l’on appelle du baroque ottoman, et c’est la première à avoir été édifiée dans ce style à Istanbul.
Sur votre gauche se trouve l’accès au Büyük valide han, l’un des nombreux Hans qui parsèment Istanbul. Les Hans ce sont des caravansérails où se logeaient les marchands venus à dos de chameaux du fin fond de l’orient pour amener leurs marchandises dans ce légendaire carrefour marchand.
Vous arrivez à la mosquée de Soliman le magnifique. Souvent boudée des circuits touristiques du centre-ville, elle est néanmoins extraordinaire et finalement plutôt facile d’accès. De plus, sa position sur une colline lui offre une vue sublime qui vous laissera un souvenir exquis et des photos carrément canons.
Vous voilà sur l’esplanade de la mosquée. Elle comporte un portique couronné de 28 dômes soutenus par 24 colonnes antiques. Au centre vous voyez une petite construction en marbre blanc.
Vous êtes à présent dans les jardins à l’arrière de la mosquée, et vous comprenez mieux pourquoi Soliman à choisi de faire construire sa mosquée sur une colline. Cette mer de coupoles grises aux cheminées élancées qui descendent face au Bosphore vous ouvre une vue splendide sur la corne d’or, la ville et le pont de Galata ainsi que la célèbre tour du même nom.
Vous voilà à l’entrée du bazaar égyptien, le fameux marché aux épices d’Istanbul. Incontournable d’un voyage en Turquie, découvrir les épices, mais aussi les noix et les sucreries de ce pays est un régal pour les sens. Les étales, soigneusement achalandées, présentent un choix incroyable de douceurs et d’épices en tout genre.
Vous voilà à présent face à une autre mosquée emblématique d’Istanbul. Celle que l’on appelle la mosquée neuve a été construite en 1663. Oui, je sais, avec un nom pareil, vous vous attendiez à ce qu’elle soit un peu plus récente.
L’animation est à son comble. Les pêcheurs remontent des poissons, les passants circulent entre les musiciens et les caricaturistes, les restaurants sont bondés et font griller les poissons frais avec du citron et de la coriandre, et les mouettes font un boucan d’enfer.
D’ici, vous avez une vue imprenable sur le Bosphore. Étroitement lié à l’évolution d’Istanbul, le Bosphore est un détroit convoité depuis la nuit des temps. En effet, si vous contrôlez le Bosphore ainsi que les Dardanelles, de l’autre côté de la mer de Marmara, vous avez la mainmise sur le commerce en méditerranée.
Vous passez sur votre droite, la tombe du Sultan Abdul Hamid Ier. C’est le 27ème sultan de l’Empire ottoman. Le mausolée contient 20 sarcophages au total, dont celui de son fils assassiné, le sultan Mustafa IV.
Voyez cette jolie gare. Ce n’est pas une gare comme les autres, c’est l’ancien terminus de l’Orient express ! Elle a été construite en 1890 par un architecte prussien, invité par le sultan à travailler pour l’Empire ottoman.
Pendant 400 ans, du XVe au début du XIXe siècle, le cœur de l’Empire ottoman bat ici, au palais de Topkapi. Édifié au-dessus de la corne d’or à la pointe du Sérail, il sera le lieu de résidence de 30 sultans de la Dynastie, chacun transformant tour à tour le palais pour le mettre à son goût.
Parlons un peu de la fameuse Basilique Sainte Sophie que vous avez devant vous. L’édifice résume à lui seul toute la complexité de la ville et les tumultes de son passé. Aujourd’hui, c’est à nouveau une mosquée, mais Sainte-Sophie, de son petit nom chrétien a longtemps été une église puis une mosquée du XVe au XXe siècle, puis un musée avant d’être à nouveau convertie en mosquée en 2020.
Vous voilà devant l’entrée de la mythique et mystique citerne basilique. Cet endroit est sans doute le plus mystérieux et le plus intrigant d’Istanbul. Il s’agit d’un réservoir d’eau construit pour l’empereur byzantin Justinien Ier au VIe siècle.
Vous voilà au cœur du quartier de Sultanahmet, le lieu le plus touristique d’Istanbul. C’est ici que sont regroupés la plupart des éléments touristiques de la ville. Si le quartier de Sultanahmet regorge à ce point d’histoire, c’est tout simplement parce que c’est ici, autour de vous, que les Grecs ont fondé Byzance, il y a presque 3000 ans !
Vous voilà devant la mosquée la plus connue d’Istanbul, celle du Sultan Ahmet, en turc Sultanahmet Camii. Vous la connaissez sûrement sous le surnom de mosquée bleue, pour son intérieur recouvert de carreaux de céramiques bleus et blancs inspirés de la porcelaine chinoise.
Vous êtes à présent devant la fontaine allemande. Ce joli puits, surmonté d’un gazebo à l’architecture néo-byzantine, a été offert par l’empereur allemand et roi de Prusse Guillaume II. Elle a été construite pour commémorer le deuxième anniversaire de la visite de l’empereur à Istanbul en 1898.
Pour l’église San Pedro Claver, en opposition au décor qui l’entoure, la beauté ne rime pas avec couleur. À la fois sobre et sévère, cet édifice religieux a été construit entre 1700 et 1756 par un groupe de jésuites.
En taille comme en âge, personne ne peut voler la vedette à la Plaza de la Aduana. Initialement, elle occupait le rôle de place centrale de Cartagena. Ce qui explique qu’un grand nombre de bâtiments administratifs et gouvernementaux ont autrefois élu domicile sur ses pourtours.
C’est presque en toute logique qu’aussi près de la mer, vous rencontrez le musée naval de Cartagena. On ne dirait pas comme ça, mais ce grand espace culturel s’avère être l’un des meilleurs cadres pour apprendre et recréer le passé de la ville.
De style colonial et précédé d’un imposant portail baroque en corail, le palais de l’Inquisition n’a pas trop de mal à se hisser parmi les plus jolis édifices de la ville. Mais, comme tout ce qui peut sembler beau de loin, ce bâtiment s’avère loin d’être beau lorsque l’on s’attarde sur son passé peu innocent.
S’il y a bien une attraction que personne ne veut manquer dans la visite du centre historique de Cartagena, c’est bien celle-ci, la cathédrale Santa Catalina. En même temps, soyons honnêtes, il est presque impossible de fermer les yeux sur elle, tant on l'aperçoit de loin.
Venir sur la Plaza Santo Domingo, c’est mettre un pied dans l’un des endroits les plus populaires de Cartagena. Nommé en raison de l’église qui se tient dans l’un de ses trois coins, cet espace public ne manque jamais d’animation.
Classique parmi les classiques, obtenir un joli point de vue depuis les remparts d’une ville est à 99 % une valeur sûre. Nul doute que l’effet de hauteur, plus ou moins important, y est pour quelque chose.
Qu’on les longe ou qu’on les parcourt, les murailles de Cartagena font partie des incontournables de la balade. Primo, elles nous aident à profiter de la brise marine et secundo elles nous donnent un accès privilégié aux meilleurs couchers de soleil de la ville.
Avec sa couleur pastel, rose bonbon, et ses lettrages à l’ancienne, le théâtre Heredia Adolfo Mejía surprend toute personne qui le croise par sa beauté singulière. Construit en 1911, à l’occasion du premier centenaire de l’indépendance de Cartagena, l’édifice présente un style italien aux influences caribéennes, restauré à deux reprises en 1970 et 1988.
Celle que l’on nomme de nos jours Cartagena das Indias était à l’origine la terre des Calamarí, une tribu amérindienne dont le nom signifie Peuple de la mer. En 1533, Pedro de Heredia, conquistador castillan, débarque sur le continent et fonde la ville.
1, 2, 3, 4, 5 et vous montez comme ça jusqu’à 47 arches ? Alors c’est tout bon, vous êtes bien à côté de Las Bóvedas. Érigé entre 1792 et 1796, cet interminable bâtiment est considéré comme le dernier ouvrage colonial du périmètre fortifié de Cartagena.
S’il y a bien une chose à faire ou à refaire à Cartagena, c’est se parer de sa meilleure paire de chaussures de marche et d’arpenter les ruelles rectilignes du centre historique. Ancien fief de la haute bourgeoisie coloniale, cette sorte de grand village, à l’intérieur des remparts, enchante en un rien de temps tous ceux qui l’approchent.
À Cartagena, comme quasiment partout ailleurs en Amérique du Sud, il y a un nom qui risque bien souvent de revenir à vos oreilles. C’est celui de Simón Bolívar.
On la prend en photo dans tous les sens, on vient jusqu’à sa porte pour la contempler tête renversée, on cherche la meilleure perspective qui la mettra en valeur, que ce soit de face, de dos, ou bien de côté…
Servie d’une part par la Torre del Reloj et d’autre part par le Portal de los Dulces, la Plaza de los Coches est le cœur vivant de Cartagena. Au fil du temps, mais surtout des événements en tout genre qu’il a reçus, cet espace public a plus d’une fois vu son nom évoluer.
Frontière “verte” entre les quartiers Getsemaní et San Diego, le parc Centenario est l’endroit privilégié de Cartagena pour s’isoler du remue-ménage urbain. Son inauguration en 1911, alors qu’il n’était même pas encore achevé faute de fonds, s’est inscrite dans la commémoration du premier centenaire de l’indépendance de la ville en tant qu’ancienne colonie espagnole.
Additionné à l’ensemble des murailles de la vieille ville, le château San Felipe de Barajas, que l’on devine au loin, représente la plus grande fortification espagnole jamais construite aux “Amériques”. Autrement dit, c’est un point d’intérêt obligatoire lors d’un séjour dans la ville colombienne.
Situé à l’écart de la ville fortifiée, le quartier de Getsemaní n’en est pas moins intéressant. Sous la domination espagnole, c’est dans ce périmètre que va venir s’installer une grande partie des esclaves, ramenés de force d’Afrique de l’Ouest, avant d’être revendus au port de Cartagena.
De temps en temps, il est conseillé de prendre du recul ou de faire des pas de côté pour dénicher une autre facette esthétique d’une destination. C’est comme ça, il faut oser le détour ! En vous amenant en plein milieu de la marina, notre intention était toute réfléchie : vous faire monter d’un cran l’envie de connaître Cartagena, en commençant par deviner ses richesses.
Boca del Puente, Puerta del Reloj, Torre del Reloj sont autant de noms donnés à cette attraction indissociable de Cartagena. Construit au XVIIIe siècle par un ingénieur militaire, le monument de 30 mètres de hauteur était autrefois la seule porte d’entrée de la ville fortifiée.
À tous nos soucieux de leur ligne ou de leur santé dentaire, on s’excuse d’avance, mais cette adresse gourmande est une étape clé de la découverte de Cartagena. Historiquement réservées au trafic des esclaves durant l’époque coloniale, les arches sous lesquelles vous déambulez aujourd’hui sont devenues l’endroit où les palais des visiteurs et des locaux se délectent des meilleures confiseries des Caraïbes.
Pendant que vous descendez la rue Bourbonnoux, laissez-moi vous parler d’un personnage emblématique de la ville.
Arrêtez-vous un instant ici et retournez-vous vers la droite pour observer le dernier bâtiment que vous venez de dépasser.
Sur votre gauche, derrière les grilles, se cache un ancien hôtel particulier, l’Hôtel Lallemant. Il renferme aujourd’hui le passionnant musée des Arts Décoratifs.
Vous voici sur la séduisante place Gordaine qui, avec ses maisons à pans de bois, ses terrasses bondées et ses boutiques en tout genre constitue l’un des lieux les plus animés et les plus pittoresques de Bourges !
Nous arrivons ici à la limite du centre historique de Bourges. Face à vous se dresse l’église Saint-Bonnet, un édifice religieux qui a été construit au XIIIe siècle.
Sur votre gauche, vous voyez les halles Saint-Bonnet, un grand marché couvert historique.
Reliant la place Gordaine à la place de la Barre, la rue Mirebeau est l’une des artères commerçantes principales de Bourges.
Le petit passage qui se trouve sur votre droite mène à ce qu’on appelle l’espace Calvin, qui correspond à l’ancien couvent des Augustins qui y étaient installés à partir du XIIIe siècle.
Vous voici dans l’une des rues les plus animées de la capitale du Berry, mais aussi l’une des plus anciennes.
Cet hôtel particulier a été bâti au XVe siècle pour devenir l’Hôtel de Ville de Bourges, juste après le Grand Incendie de Bourges qui a ravagé la ville en 1487.
Ce magnifique bâtiment, qui arbore une architecture typique de la Première Renaissance française, a été bâti au XVIe siècle.
Deuxième monument incontournable après la cathédrale, ce magnifique palais nous emmène sur les pas de Jacques Coeur, marchand, aventurier et surtout, Grand Argentier du roi Charles VII à partir de 1439.
Regardez l’imposant bâtiment qui se dresse sur votre gauche. Il s’agit de l’Hôtel des Postes.
Je profite de cet instant où vous remontez la rue Moyenne pour vous parler de l’une des particularités les plus connues de Bourges : son festival de musique.
Construit entre 1936 et 1938, ce bel édifice conçu en briques rouge clair était destiné à devenir une salle des fêtes.
Vous voici dans le jardin de l’Archevêché, l’un des jardins les plus fréquentés de Bourges.
Époustouflant, n’est-ce pas ? C’est certainement la plus belle vue que l’on puisse avoir à Bourges
Cet édifice qui fait face à la cathédrale n’est autre que le musée des Meilleurs Ouvriers de France, installé dans l’ancien palais archiépiscopal qui date du XVIIe siècle.
Véritable emblème de la ville de Bourges, la cathédrale Saint-Étienne a de quoi épater les visiteurs qui viennent la découvrir !
Vestige du Moyen Âge, la grange aux Dîmes porte bien son nom. Elle servait, à partir du XIIIe siècle, à stocker les redevances données par les paysans, appelée la dîme.
Vous voici dans l’ancienne rue commerçante de Bourges, là où, à l’époque médiévale, les habitants venaient acheter toutes sortes de choses aux artisans, commerçants et marchands de la cité.
Ce petit passage, aménagé au cœur des maisons du quartier, vous permet de faire un véritable bond dans le passé et de revenir à l’époque gallo-romaine, au temps où la ville de Bourges s’appelait Avaricum.
Inclus dans le géant complexe du St. Lawrence Market, cet important bâtiment en est seulement la partie sud. Dans les faits, encore deux autres structures viennent compléter la liste.
À l’évidence, la réputation de Toronto n’est plus à faire et certaines de ses particularités sont des vérités à part entière. Son art de vivre, son identité culturelle, son style unique font de la plus grande ville du Canada celle qu’elle est.
Plaque tournante du transport interurbain de la région, la Toronto Union Station est au service de plus de 300 000 voyageurs par jour, depuis son ouverture en 1927. Un chiffre nettement supérieur à la fréquentation de l’aéroport le plus côtoyé du pays.
Élément essentiel de la silhouette torontoise, la Tour CN est le symbole le plus reconnu du Canada. Avant de gagner toute cette notoriété, l’immense chef-d'œuvre d'ingénierie avait surtout un objectif d’ordre pratique.
Grand projet de construction sur les anciens terrains ferroviaires, le Skywalk est une passerelle fermée faisant partie intégrante du Path de Toronto. Ce dernier, les locaux le connaissent bien. Il s’agit d’un réseau de souterrains pédestres, d’une longueur de 30 kilomètres, reliant stations de métro, immeubles de bureaux, boutiques, hôtels et centres commerciaux de Toronto.
Temple de la musique à Toronto, le Roy Thomson Hall a ouvert ses portes en 1982. C’est dans son architecture circulaire inclinée, en verre et peu banale, que siège depuis 2002 l'Orchestre symphonique de la ville, à la renommée internationale.
Dans une ville où notre regard se perd facilement en hauteur d’un gratte-ciel à un autre, il est vrai que c’est louche de devoir focaliser votre attention sur le sol, et pourtant. Lancée en 1998, le Canada’s Walk of Fame honore, à travers une série d’étoiles, le succès et le travail de grandes personnalités canadiennes.
Surprenant morceau d’histoire, perdu dans cette immensité vitrée ultra futuriste, la St Andrew’s Church interpelle notre curiosité. Conçue en 1876 par un architecte et homme d'affaires canadien, cet édifice religieux a dès ses débuts servi à accueillir une congrégation de l’Église presbytérienne ou des laïcs sont élus à sa direction.
Comptée parmi les sections les plus connues de Toronto, la Queen Street West bouillonne constamment d’énergie avec ses nombreux lieux de restauration, ses boutiques indépendantes et ses galeries d’art.
Il est vrai que dans le genre architectural contemporain, ici, on est davantage habitué à de hautes tours vitrées plutôt qu'à ce genre de bâtisse. Loin d’être banal, le Sharp Centre for Design a ouvert ses portes en 2004 dans le cadre d’un projet d’agrandissement du campus de l’Université OCAD, soit l’école d’Art et de Design de l'Ontario.
Reconnu comme l’un des plus beaux musées d’Amérique du Nord, le musée des Beaux-Arts de l’Ontario est bien loin de se trouver dans une ancienne bâtisse, contrairement à ce que l’on a l’habitude de voir. Ni la municipalité, ni un quelconque organisme public, ne sont responsables de la création de ce lieu en 1900.
Avant de traverser la route, arrêtez-vous un instant et regardez sur votre gauche. Vous êtes dans la University Avenue. Une quantité importante, des plus sérieuses institutions de la ville, sont situées de part et d’autre de cette large artère à huit voies de circulation.
Au cœur de l'agitation, avec sa scène clinquante et lumineuse, le Yonge-Dundas Square est l’un des principaux carrefours de Toronto. Ouverte officiellement au public en 2003, via un projet de rénovation du centre-ville, cette place est un lieu de rassemblement unique pour les 56 millions de personnes qui la fréquentent chaque année.
Séparant la ville du nord au sud, la Yonge Street est la voie principale de notre destination. Conçue par John Graves Simcoe, premier lieutenant, gouverneur du Haut-Canada et fondateur de Toronto, l’artère a fait partie intégrante de la planification des routes de concession, aménagées en Ontario par le gouvernement colonial.
Connue comme étant la plus ancienne et la plus honorée salle de concert du pays, le Massey Music Hall est le monument qui a donné un nouvel élan à l’industrie musicale à Toronto.
Image de modernisme comme il se fait bien dans la ville, le Toronto City Hall est l’un des monuments torontois les plus reconnaissables. Inaugurée en 1965, cette impressionnante réalisation est le résultat du plus grand concours d’architecture jamais mené par une ville.
Plus que le simple parvis de l’hôtel de ville, le Nathan Phillips Square, nommé en la mémoire d’un ancien maire de Toronto, est LA place centrale de la ville. Inauguré en 1965 sur l’ancien quartier d’immigrants du XXe siècle, appelé The Ward, cet endroit est l’un des principaux hôtes de festivals et d’événements saisonniers divers.
Loin d’être aussi design que son successeur, l’ancien Hôtel de Ville de Toronto est l’un des monuments les plus représentatifs de l’histoire de la ville. À son inauguration en 1899, après 10 ans de travaux, ce bâtiment de style néo-roman était le plus grand dans le domaine municipal de toute l’Amérique du Nord.
Illustre quartier du centre-ville, le Financial District est difficilement invisible avec sa concentration de buildings à nous en donner le tournis. Alors que Montréal est aux commandes de l’industrie financière du Canada, Toronto nuance son visage historique en intégrant une série de tours à son paysage. Et ce pas de côté, vers la modernité, va lui être bénéfique.
Si sa fonction principale se résume uniquement à être une passerelle piétonne, entre les deux tours de Brookfield, la galerie Allen Lambert, nommée en l’hommage de l’ancien président de la Banque Toronto-Dominion, est une vraie pièce d’architecture moderne.
Logé depuis 1993 dans l’ancien édifice de la Banque de Montréal, le Temple de la renommée du hockey est une véritable déclaration d’amour au sport canadien par excellence. D’abord prévu pour être inauguré à plus de 200 km dans la ville de Kingston, où serait né le hockey, c’est finalement à Toronto que cette institution verra le jour le 26 août 1961.
Silhouette plus qu’emblématique de Toronto, le Gooderham building dégage un magnétisme fou d’autrefois. Avant sa grande apparition en 1891, à l’intersection des rues Front et Wellington, le coin était occupé par son ancêtre plus petit et plus court, le Coffin Block.
Inauguré en 2013, le Rod Robbie Bridge est un élégant pont piéton surélevé qui relie la rue Front West au secteur de la Tour CN et du Rogers Centre. En l’empruntant, vous suivez un itinéraire extérieur qui rend hommage à l’un des architectes les plus marquants de Toronto, Rod Robbie, auteur notamment du
Vous pouvez observer ici, un remarquable alignement de maisons Corsaires, toutes reconstruites à l'identique après le grand bombardement de 1944.
Vous arrivez à présent au bastion Saint-Louis, nommé en l’honneur de Louis XIV. Les maisons bordant le Bastion sont les seules rescapées du bombardement de 44.
Vous passez la fameuse demeure du Corsaire classée monument historique ! C’est l’un des derniers hôtels d’armateurs encore debout !
Ce joli pont fermé traversant la rue fait partie des vestiges de l’ancien couvent des Récollets. L’ordre des frères Récollets vient d’une réforme des franciscains.
Ce chouette bâtiment avec sa belle verrière et sa structure métallique, c’est la Halle au blé.
Vous voilà face à un café plutôt original. Si son nom à rallonge vous fait sourire et que son classement “historique et hystérique” vous intrigue, laissez-moi vous dire 2 mots sur le café du coin de la rue du bout de la ville d’en face du port !
Vous arrivez sur la place Chateaubriand, bordée de beaux hôtels particuliers et de nombreux cafés et restaurants.
Ce château fort dominant l'océan a la particularité d’avoir été construit en plusieurs étapes. Mais avec toujours le même objectif : assurer la tutelle des ducs de Bretagne sur la cité de Saint-Malo.
Vous avez remarqué que tout autour de vous s’appelle désormais Chateaubriand. La rue, la place, les cafés, les hôtels, etc.
La porte Saint-Thomas que vous empruntez pour vous rendre sur la plage de l’éventail a été construite en 1740 pendant les travaux d’agrandissement de la ville.
Vous voilà donc sur le promontoire rocheux abritant le célèbre Fort National.
Le Fort National vous offre un panorama excellent sur la ville de Saint-Malo face à vous dressé derrière ses remparts et son château fort.
Le bastion que vous atteignez à présent se nomme Fort la Reine.
Petite anecdote comme ça en passant, car les noms de rues de Saint-Malo sont souvent chargés d’histoire. La rue du Chat qui danse tient son nom de la plus célèbre attaque anglaise contre la ville.
Bâtie à l’angle de l’enceinte, sur la pointe du rocher, la tour Bidouane est en forme de fer à cheval comme toute tour d’artillerie qui se respecte au XVe siècle.
Profitez de la belle place du Québec avec ses drapeaux blanc et bleu flottant dans le ciel français et admirez la vue sur la baie.
Si la marée le permet, je le dis, je le répète, attention aux marées: allez voir Grand Bé !
Respectant son souhait d’y être inhumé afin de poursuivre je cite “sa conversation avec la mer”, la tombe de Chateaubriand, sobre et sans nom, gise avec pour seule épitaphe : “Un grand écrivain français a voulu reposer ici pour n’y entendre que la mer et le vent.
La piscine naturelle que vous voyez en contre-bas devant vous est une image forte de la Plage de Bon-Secours.
Ici, en passant au dessus de la porte Saint-Pierre sur les remparts, vous avez une vue plongeante sur la place du guet.
Ce Bastion a été construit suite à l’écroulement d’une partie du mur du rempart. On l’appela Bastion de la Hollande, car à l’époque des travaux on était en guerre contre la Hollande.
Vous arrivez sur le Bastion Saint-Philippe qui date du deuxième agrandissement de la ville, effectué entre 1714 et 1720.
Le tour complet de la citadelle vous permet de découvrir les secrets de neuf portes fortifiées.
Faisant face à la baie de Saint-Malo, se trouve la célèbre station balnéaire de Dinard, réputée pour ses imposantes villas Belle Époque, et son festival du film britannique.
La plage du Môle des Noires, bien à l’abri du vent, au pied de la cité, vous propose d’aller la voir de plus loin, tout au bout là-bas, à la fin de la jetée.
Voici la plus ancienne porte fortifiée de Saint-Malo ! Essayez de vous imaginez, qu’à l’époque, on arrivait à cette porte par bateau !
Vous voilà face à la cathédrale Saint-Vincent. Elle a été édifiée au XIIe siècle.
Vous apercevez à présent la maison dite de la duchesse Anne, facilement reconnaissable avec sa tour pointue et son balcon ancien.
Vous voici à la "Marc'had Pesked”, excusez mon breton, voici la Halle aux poissons !
Vous arrivez sur la place de la Libération, fraîchement repensée en un espace vert et ouvert, dernier usage en date d’une place qui a vécu bien des fonctions. Au départ, il y avait là un ancien cimetière ainsi que deux églises.
Si vous êtes friands d’art urbain, à Troyes vous allez être servis ! La belle Sophie vous envoie un baiser, à l’angle de la rue Georges Clémenceau et du quai Dampierre.
Voici une autre statue de l’artiste belge Tom Frantzen qui vous offre un panorama rêvé sur le quai de la fontaine avec la préfecture et la basilique en arrière-plan !
Vous voilà face à la Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul, reconnaissable entre mille avec son unique tour gauche. Les origines du christianisme à Troyes remontent à très loin et les faits et légendes se mélangent dans un résultat un peu flou.
Vous êtes sur l’ancien pont tournant où a été ajouté en 2018, une nouvelle œuvre vivante et poétique pour animer encore plus le centre de Troyes. Cette statue d’un petit chien provoquant l’envol d’un groupe d’oiseaux se nomme Attendez-moi et elle est l'œuvre de l’artiste belge Tom Frantzen connu pour ses créations qui semblent prendre vie.
Voici une autre statue emblématique de Troyes et qui contribue grandement au charme de la ville. Voici Lili, surnommée la dame au chapeau. Elle est née de l’imagination du sculpteur hongrois, Andras Lapis, qui a un faible pour les dames chapeautées.
Vous avez certainement remarqué au cours de cette visite qu’il y avait un nombre surprenant de puits anciens ! Tous très beaux, avec leur margelle de pierre et leur poulie en fer forgé joliment travaillée.
Vous voyez à votre gauche, l’enseigne du cellier Saint-Pierre ainsi que l’inscription ancienne peinte sur le mur “Fabrique spéciale de la Prunelle”. Car oui, c’est ici qu’est distillée la fameuse prunelle de Troyes.
Cette charmante petite place nous amène face à l’église Saint-Nizier. Sa toiture vous rappelle celle des Hospices de Beaune, et c’est normal, son toit est fait sur le modèle typique bourguignon connu pour ses splendides tuiles vernies.
À l’angle de la rue Kléber se trouve la plus ancienne maison en pans de bois de Troyes. Cette belle bâtisse parfaitement restaurée s’appelle “La Maison du Dauphin” et date de 1472.
Vous passez à votre droite, l’entrée des jardins du musée Saint-Loup. L’ancienne abbaye a été fondée au IXe siècle pour accueillir les reliques de l’évêque de Troyes, Lupus, devenu saint Loup à sa mort.
Vous voilà au cœur du Bouchon de Champagne, géographiquement, symboliquement et maintenant également littéralement. Cette œuvre est la pièce maîtresse de la remise en valeur des quais du canal de la Haute Seine.
Voici une visite incontournable dans toutes les villes de France. Les Halles. Nous sommes bien placés pour savoir que nos régions ont du talent et que les spécialités culinaires dépassent les jours de l’année dans un pays où on ne mange pas pour vivre, mais préfère vivre pour manger.
Vous traversez le joli jardin du Rocher, aménagé en 1860 dans les fossés des anciennes fortifications de la ville. Il est connu principalement pour son kiosque à musique d’époque.
Cette église, qui paraît aujourd’hui un peu coincée au milieu des nouvelles bâtisses qui l’entourent, est l’église de la Madeleine. C’est la plus ancienne de la ville.
Vous empruntez à présent la ruelle la plus célèbre de la ville. Celle qui est si étroite que les chats passent de toit en toit sans toucher terre. Vous pouvez observer son pavé classique du XIIIe siècle avec une rigole centrale pour l’écoulement des eaux usées.
Vous entrez à présent dans la cour du Mortier d’Or. Ce bijou du passé nous permet de voir à quoi ressemblent les cours privées cachées à l'arrière des maisons à pans de bois.
Vous voilà face à l'église Saint Pantaléon. Des sources parlent d’abord ici, d’une synagogue puis, au XIIe siècle, d’une église en bois dédiée au martyr Pantaléon. Selon la tradition chrétienne, Pantaléon était un médecin connu pour sa piété et ses guérisons miraculeuses.
Vous passez à votre droite, le fascinant Musée de l’Outil et de la Pensée Ouvrière. Ce musée, très émouvant, vous propose une collection unique au monde, regroupant 12 000 outils de façonnage à la main datant du XVIIe au XIXe siècle.
Vous entrez dans l’artère commerçante principale de la ville. Vous connaissez certainement la réputation de Troyes en matière de shopping, notamment avec ses célèbres magasins d’usine ! Mais sachez que la renommée textile de Troyes ne date pas d’hier !
Nous sommes à présent, sur le lieu historique des foires de champagne, qui s’appelait au Moyen-Âge, la place du change. À cette époque, pas d’hypermarché où trouver des produits du monde entier, mais on avait tout de même d’immenses foires où se regroupaient des marchands venus de toute l’Europe.
Au bout de la place se trouve l’église Saint-Jean-du-marché. Il y avait déjà là une paroisse au IXe siècle. C’est même dans cette église qu’a été sacré pour la deuxième fois Louis le Bègue, roi de France, lors du concile de Troyes.
Cette magnifique maison à pans de bois qui fait l’angle est la Maison du Boulanger. C’est aujourd’hui un centre culturel, mais elle est surtout le symbole de tout le patrimoine troyen. C’est en effet la première à avoir été rénovée en 1964, au lieu d’être rasée comme c’était prévu.
Vous voilà à présent à un carrefour entre le bois et la pierre avec à gauche des maisons traditionnelles à pans de bois et à droite, un bel alignement d’immeubles bourgeois du XIXe siècle. Mais je voudrais attirer votre attention sur la façade de l’Hôtel de Ville.
Vous voilà devant la somptueuse basilique Saint-Urbain. On dit que c’est l’exemple du gothique parfait. Si Troyes a fait construire cette basilique en splendide style gothique rayonnant, c’est pour le fils d’un savetier de Troyes, Jacques Pantaléon qui va vivre une carrière ecclésiastique époustouflante et se faire élire Pape en 1261, sous le nom d’Urbain IV.
Ici, vous êtes dans le quartier de Gracia. Qui, en 1883, à l’époque de la construction de la Casa Vicens, est une ville à part entière. C’est la première œuvre majeure de Gaudi.
Vous voilà à l’entrée du mythique Park Güell. Depuis 2013, face au nombre grandissant de visiteurs et pour protéger les lieux des dégâts que peut provoquer le tourisme de masse, l’entrée au parc est désormais contrôlée, limitée et payante.
Voilà la Casa Calvet. Elle fait partie des premières œuvres de Gaudi, construite en 1899.
Nous nous arrêtons maintenant admirer la Casa Mila. Plus connu sous le nom de la Pedrera. C’est le dernier chantier civil de l’artiste avant de s’attaquer à la Sagrada Familia.
Vous voilà face à l’une des plus belles maisons modernistes de Barcelone, la Casa Comalat.
Vous êtes à présent au cœur du quartier de Gracia, sur la place de la Vila de Gracia.
En arrivant sur la place Lesseps, vous pouvez admirer la grande Casa Ramos qui fait l’angle sur votre gauche.
Le modernisme catalan a touché à toutes les architectures, y compris religieuses. Le beau sanctuaire de Saint-Joseph de la Muntanya en est un bel exemple.
À l’entrée, impossible de rater le double escalier monumental du Drac, du Dragon. Saviez-vous que Barcelone est pleine de Dragons ?
L’escalier organisé par paliers vous mène à la salle hypostyle. Des 86 colonnes doriques que vous voyez autour de vous, aucune n’est droite !
Le magnifique portail en fer forgé, qui selon Dali ressemble à des foies de veau, vous emmène sous le fameux portique de la lavandière.
Vous arrivez sur la cerise du gâteau, le théâtre grec. Le projet initial l’avait baptisé ainsi en prévision des grandes représentations à l’air libre qui allaient s’y produire
Et enfin vous y voilà. Devant LA vue carte postale de Barcelone. L’image que vous attendiez.
Alors, puisqu’on parle tant de lui et que nous avons une longue rue à descendre, je vous propose de faire un petit point sur la vie de Gaudi.
Vous arrivez à la Travessera de Gracia, qui, comme son nom l’indique, traverse tout le quartier de Gracia.
Ce n’est pas tous les jours que vous pouvez ressentir ce qu'ont vécu nos ancêtres, bâtisseurs des cathédrales. Ces hommes qui travaillaient toute leur vie sur des projets qu’ils ne verraient jamais finis. Vous êtes devant un chantier colossal commencé en 1882 !
Voilà donc la façade de la Passion ! On la doit au sculpteur catalan Josep Subirachs. Gaudi voulait qu’elle fasse peur.
Alors, oui, ce Palais n’a pas été imaginé par Gaudi, mais le palais Macaya est un bel exemple d’architecture moderniste de Barcelone, et comme on passe devant, pourquoi ne pas prendre un instant pour y regarder de plus près !!
Vous passez sur votre gauche, l’église de Saint-François de Sales. Bien installée sur l’agréable promenade Saint-Jean, elle est l'un des plus beaux exemples d’architecture gothique à Barcelone, avec son clocher placé sur la façade.
La rue d’Aragó sur laquelle vous vous trouvez est l’une des artères principales du grand plan d’urbanisme de 1863.
Vous arrivez sur le Passage de Grâce, paseig de Gracia. C’est l'axe central du nouveau quartier de l’Eixample sorti d’un immense plan d’urbanisation datant de 1860.
Bon, avec Gaudi on n’a pas vraiment besoin de vous dire que vous êtes arrivés devant l’une de ces œuvres ! Voilà la fameuse Casa Battló, la plus célèbre de ses maisons.